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La fille (Mary) qu'Aaliyah visait fit demi-tour pour s'approcher d'elle et régler ses comptes. Elle parlait d'Ashton, l'ami de mon frère et de Darnell. Alors, elle avait couché avec ? Wahou, il y avait tant d'histoires dans cette université. Mais, je n'étais pas là pour juger. Puis, je n'en eus même pas le temps. Les cris de la Cabot me firent sursauter. Elle gifla la brune en face de nous avant de la pousser. Elle me faisait vraiment peur et j'étais inquiète pour cette fille alors j'attrapais la Cabot pour l'en éloigner le plus loin et le plus rapidement possible. « Aaliyah mais arrête, t'es complètement dingue ou quoi ! ». Je l'avais entraînée carrément en dehors du bar. Il ne fallait plus qu'elles se voient ses deux là !
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Bon alors là je pense que le bal tourne au cauchemars. Qu'est-ce qu'elle veux cette Aaliyah là? Elle me jete de la bière sur moi, normaaaaal ! Putain mais elle est conne ou quoi? Non elle l'est vraiment. Là je me contiens de toutes mes forces et pour mon petit frère de ne pas la frapper et je réplique à sa connerie que ça ne lui a pas suffit de tromper mon frère. Mais cette ***** me traite limite de "pute" mais qu'elle se regarde celle-là, c'est l'hôpital qui se fout de la charité comme elle le dirait si bien tiens ! Là par contre elle me faisait limite peur, on aurait dit qu'elle est possédée, elle hurlait comme une psychopathe qu'elle va me crever et que je suis morte en donnant une gifle et par la suite me pousser violemment. « OSE ME CREVER KOVALEVSKI ET C'EST TOI QUI ES MORTE ! LA TU AS DEJA SIGNER TON ARRET DE MORT SACHES LE ! » Mon frère ne sera pas content de savoir ça et je pense même que c'est mort entre eux, enfants ou pas enfants entre eux. « AALIYAH EN MÈRE MAIS C'EST UNE BLAGUE C'EST UNE HYSTERIQUE ! » J'avais même envie d'appeler l'asile là. Pauvres gosses quoi. Lanaïs attrape alors Aaliyah pour l'éloigner de moi, elle a bien raison parce que 'étais à deux doigts de la frapper, je me contiens tellement qu'à un moment je vais craquer. Alexys était encore à mes côtés et ça me fait plaisir qu'elle prenne mon partie. Elle me demande alors si ça va aller et je fais une légère moue. « Ouais on va dire que ça va aller... En revanche, ma robe elle va moins bien... » Merde elle avais tout gâcher, je devais m'arranger dans les toilettes avant de prendre l'air.
La situation me faisait bien rire, Royce qui se pensait le roi du monde en croyant que ces petites menaces allaient m'empêcher de parler à Leevy, elle était ma meilleure amie quand même et rien ne pouvait détruire notre amitié sauf peut-être le président Winthrop. Je répondis à Royce toujours aussi arrogant: ''C'est drôle au Summer Camp, elle avait pas l'air à montrer que tu étais le mec de ses rêves sur la plage à Cuba...Mais bon, je vais attendre que vous rompiez de nouveau, dans combien de temps ta petite crise? 2 heures? 3 jours? Oh quoi ? tu va nous avouer que tu es Spiderman en réalité?''. Je sentais que mon poing pouvait partir à tout moment mais le bar devenait de plus en plus bonder de gens. La preuve, Mary venait s'interposer entre nous, en appelant à la paix ou non la guerre. Je lui souriais toujours mignnone la Windsor quand elle tentait de juger les médiateurs. Je répondis à la bagnole: ''Pour une fois on va être d'accord, réglons sa entre hommes.'' Et merde, l'autre mather arrivait Alexys. Elle devait à peine japper un peu plus fort que Royce toujours aussi pathétique...Royce scandait que j'avais dit qu'il était pas un mec pour Leevy, je faisais qu'hocher la tête, c'était la vérité, ''C'est vrai que j'ai dis sa Magyar et je vais continue de procalmer mes dires, je plains déjà votre futur gosse. Aucun problème du côté maternelle mais sa va faire défaut à cause de son père.''Je m'en foutais de paraître sadique ou cruel dans mes dires, fallait pas me chercher point. La vice-présidente me tapait sur le système, ''Oh mais ta gueule Alexys, mêle toi de tes choses et retourne pleurer parce Zakhar a pris une autre cavalière, je savais qu'il pouvait avoir du goût.'' Ca allait devenir une tradition que je me bats le jour du bal? Genre, il pétait l'ambiance ce demeuré. Je fis à croire de me retourner en disant: ''La vérité fait toujours mal à entendre Royce, je sais. Je nous croyais amis, le pire c'est que j'ai jamais dit à Leevy que j'étais amoureux d'elle mais...peut-être saisi va t'aider à comprendre''Je me retournais rapidement en décochant un coup de poing en pleine gueule de Royce
Je voulais simplement qu'il se taise, je savais que ces paroles étaient incorrectes, jamais Leevy se saurait foutu de ma gueule après notre petite balade nocturne ou il y avait eu un véritable mal entendu pour que princesse Royce fait sa crise hormonale pourtant c'était pas lui qui attendait un gosse. Je lui répondis: ''Mais non patate!, moi jaloux tu es sérieux? Jamais je pourrais être jaloux d'une merde comme toi. Surveiller mon langage? Oh mais la ferme Royce, j,ai pas d'ordre à recevoir de toi aussi non je fais finir comme tous les Winthrops, la risée du campus. Vivement qu'Andrew soit votre président l'an prochain'', je commençais vraiment à croire que les hongrois étaient plus stupides que les américains. Maintenant c'était rendu du corps à croire, j'encaissais quelques coups et en bloquait aussi, il frappait dans n'importe quel sens. Il me claqua la tête contre le bar mais c'était quoi leur foutu problème aux mecs de vouloir me briser le crâne sérieux? Ce qui était amusant moi et Royce ont étaient à force égale alors je lui donnais un coup de coude assez force dans le ventre et riait de sa gueule: ''Royce Magyar qui? Mais on s'en fous de toi, espèce de bipolaire, tu n,es pas Dieu.'' Je le refrappais au visage et j'allais répliquer dans sa foutu gueule quand Charlie venait s'interposer entre nous, genre j'étais loin dans avoir fini avec Royce mais j'appréciais bien Wilcox alors je levais les mains et tourna la tête pour cracher du sang et reprenait mon souffle, toujours en décochant un regard noir à Royce, je dis: ''Ce n'est que partie remise Barbie, c'est bon je me casse.'' Je tournais les talons et envoya valser une table par terre dont le contenu arrivait près d'Alejandro, je m'excusais du regard et replacait mon costard comme si de rien n'était et quitta cet enfoiré.