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TG2 ❥ Le bar

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Tate était le roi des bouffons. Il essayait de me clasher mais à part dire que de la merde, il ne disait pas grand chose. Sérieusement, je plains ce gamin, et je plains tous les eliots qui ont voté pour un président aussi con. Je n'aimais déjà pas la Eliot House à la base, mais avec ce type en haut de la liste, c'était devenue la maison sur ma liste noire. Je manquais de rire lorsqu'il disait qu'Andrew allait être le prochain président. J'étais pas certain que son voeux sera exaucé comme son meilleur ami n'a pas eu un franc succès cette année, mais je fermais ma bouche, je ne disais rien, préférant le frapper pour me défouler. Il me rendit quelques coups, mais c'était moi le plus fort puisque mademoiselle Tartine s'en est allé comme un prince, alors qu'il a surtout pris la fuite. Je regardais Charlie qui s'était interposé entre nous deux en prenant mon parti et j'étais content de le voir comme je le considérais comme un de mes meilleurs potes. Ce mec est mort, il aurait du rester à sa place! grognai-je en le regardant s'éloigner et de le voir balancer une table sur quelqu'un, ah bah bravo, de mieux en mieux. Au lieu de rester à sa place, Tate était monté sur ses grands chevaux mais là il venait de faire une chute phénoménale. Alexys regarda mon visage et se proposa gentiment de s'occuper de moi. Je me laissais faire, le regard toujours noir et les sourcils toujours froncés, sans compter ma peau assez rouge de m'être énervé. La prochaine fois que je le croise, je le tue, j'te promets bro, je le démonte lui et sa petite tête de pd. lançai-je à Charlie qui savait que je ne pesais pas forcément mes mots quand j'étais énervé, mais il comprenait le délire que je traversais. Heureusement qu'il s'était interposé entre nous sinon je l'aurais vraiment buté je crois. Je grimaçais lorsque Alexys nettoyait mes blessures. Je sais pas ce qui me faisait le plus mal, les coups sur la tête ou les plaies sur mon visage.
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Mon plan avait marché à merveille, même plus que je ne l'avais espéré mais visiblement j'avais vraiment gâché leur moment. Je regrettais presque mon intrusion mais ce qui était fait l'était après tout. Je ne pensais pas qu'Orlane pouvait porter un homme dans son coeur, et ça m'avait légèrement touché je dois dire. Alejandro se présentait alors à son tour avant qu'il ne disparaisse complètement de ma vision. Interloqué, je le cherchais du regard sans trouver la solution à cette disparition si soudaine. J'étais pas du genre à faire fuir les adultes en général, les enfants certes mais pas les adultes. Voyant qu'Orlane furieuse, je comprenais que ma petite blague ne lui avait pas du tout, mais alors pas du tout plu, me refroidissant pour le coup. Je ne répondais alors pas à sa demande, sachant pertinemment que la moindre réponse pourrait être interprété d'une autre manière, pouvant même finir en dispute et je n'avais pas envie de ça. Pas ce soir. Voyant que la foule s'agitait autour d'un couple étendu par terre, je faisais volte face en m'approchant d'eux. Visiblement l'un était entrain de tomber dans la boisson et la tête la première vu ses rires. Je tendais alors ma main au jeune Eliot en le regardant dans les yeux. « Allez redresse toi. Mais je te jure tu m'emporte avec toi, on va pas s'entendre. » Répliquais-je poliment en lui envoyant un sourire faussement enjoué. « Vous voulez que je vous aide aussi mademoiselle ? » Demandais à la jeune femme (Isabel) piégée de ses bras musclés. J'avais provoqué cette maladresse et en tant qu'homme je devais réparer ce que j'avais crée. Tout était prétexte pour éviter le regard d'incompréhension de la jolie mather surement pas très loin de moi à présent. Je ne savais pas exactement ce qui m'avait prit mais j'avais lu dans son regard que c'était une mauvaise, très mauvaise idée. J'avais été trop loin. J'en prenais note.
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Aussi surprenant que cela pouvait paraître Tate avait finit par rendre les armes pour le moment et partir de l'endroit où nous nous trouvions. Décidément, je savais pas que j'étais devenu persuasif. Mais je préférai cette fin à celle d'une bagarre ou tu deux auraient eu la tête colorée avant d'être envoyé à l’hôpital. Et même si j'étais prêt à me battre, l'idée qu'un bleu porté sur mon visage soit visiblement m'aurais à coup sûr bien emmerdé, après tout j'avais un discours à faire à une demoiselle en particulier et le visage défiguré, ça n'aurait pas été très charmant. D'ailleurs j'avais entendu Alexys montrer mon mécontentement, je me demandais bien sur quel sujet l'Eliot l'avait attaqué. Ne voulant pas continuer ce sujet jugé bien trop épineux, je suivais la Mather puisque je comptais tout de même être là pour Royce. C'était normal pour moi. « Putain Royce, tu me surprendras toujours. » J'imagine bien que c'est pas la réponse qu'il l'attendait mais cette technique du ventre et de la tête sur le comptoir ça me donnait envie de rire, mine de rien il en avait dans le ventre. Reprenant mes esprits et surtout mon sérieux en me raclant la gorge, je regardais Alexys lui penser ses plaies avec délicatesse. « Non mais plus sérieusement, Royce t'es plus intelligent que ce type. Te fou pas à son niveau, vraiment. » J'aurai été à sa place, s'il m'avait attaqué j'aurai très certainement fait pareil. La dernière en date, Adriel. « Faut que tu te calme. La violence ça ne résout rien. » Sauf quand elle est méritée, j'avoue. « Je vais te chercher un verre d'eau. » Me retournant tout juste je commandais un verre d'eau bien frais pour qu'il se rafraîchir un peu les idées. Faut qu'il pense à Leevy, à son gamin merde, il faut qu'il se reprenne, qu'il est un peu plus de sang froid que ça à l'avenir.
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Je n'avais rien prévu de tout ça, Rhys était vraiment quelqu'un d'imprévisible. Certes, je m'attendais à ce qu'il me joue un petit tour, mais pas qu'il vienne m'embrasser en prétextant ce geste comme une tradition à une religion qui n'était même pas la sienne. Je ne savais pas quoi dire, ni même comment réagir. J'étais assez embarrassée qu'il ai fait ça devant l'espagnol, mais je ne lui en voulais pas pour autant. J'étais juste surprise, confuse, comme si j'avais manqué un épisode. Je ne comptais pas le gifler, la raison serait injustifiée. C'est vrai, l'idée de l'embrasser ne m'avait jamais quitté l'esprit, mais j'ignorais que ça se ferait dans ces conditions. Alejandro jugeait bon de retourner à sa table et de nous laisser, sauf qu'il trébuchait maladroitement à terre et qu'il rigole de ui-même. Qu'il ne me dise plus qu'il allait bien, il n'était clairement pas dans son état normal. Instinctivement, je m'avançais vers lui avant qu'Isabel ne me devance. Toujours là quand il le faut celle-là. Sauf que, pas de chance pour elle, à son tour elle se retrouvait étalée à terre et je me retenais d'en rire. A cet instant, Rhys se portait volontaire pour donner un coup de main, fuyant mon interrogation autant qu'il le pouvait. Si je décidais de ne pas insister, la discussion allait être rapidement reportée. M'approchant d'Alejandro, je ne portais aucune attention à la demoiselle à côté de lui. Son état m'importait peu, même pas du tout. Autant dire tout de suite que je ne la portais pas vraiment dans mon coeur. "Qu'est-ce que tu me fais Alejandro?" Lui, tomber de la sorte et partir en éclats de rire? Ca ne le ressemblait pas, même après avoir bu un peu de vin, comme il se justifiait. "Allé, debout, tu ne pas vas pouvoir rester là toute la soirée." Me plaçant auprès de mon cavalier, j'attrapais le bras d'Alejandro pour l'aider à se relever en priant de ne pas à mon tour terminer à terre. A deux, la tâche avait été plutôt aisée, même si je n'avais pas vraiment servi à grand chose dans la manoeuvre. "Tu crois que tu vas pouvoir marcher tout seul ou tu comptes nous faire une nouvelle chute?" demandais-je à l'espagnol tant dis que Rhys proposait également son aide à Isabel. Autant s'en assurer tout de suite et prévoir le coup.
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Moi aussi j'avais envie de frapper Tate et j'aurais peut-être du le faire parce qu'aux dernières nouvelles, les hommes frappent pas les femmes du coup, Royce aurait été épargné. Les Eliots sont sensés avoir le classe donc techniquement, ça devrait être le cas sauf qu'en voyant Tate, je me dis que finalement, c'est qu'un putain de stéréotype non vérifié. Ouais ce gars là, il a aucune classe et en plus, il se tire avant même que tout soit terminé. Juste un petit joueur qui a peur de se salir les mains. Je pose les affaires de Royce sur les comptoir et attrape un verre d'eau et des serviettes bref, tout ce qui se trouve à porter de main et dont je pourrais avoir besoin. Fallait arranger ça avant que Leevy arrive et tape une crise parce que la connaissant, c'est exactement ce qu'elle pourrait faire. Royce a du mal à se calmer mais Charlie fait de son mieux pour faire redescendre cette colère. Bah moi, je pense que la violence résout beaucoup de trucs. On se sent mieux après et puis sérieusement, il méritait tellement plus ce connard ! Ok, tout le monde a compris que je déteste Tate ! Je m'emballe un peu truc et appuie un peu plus fort sans le faire exprès du coup, je grimace et tente de faire plus doucement. Excuse-moi ! Ouais, faut pas que je l'abîme encore plus sinon, je vais me faire tuer par sa copine hein ! Charlie part chercher un verre d'eau et j'en profite pour poser des questions à Royce en prenant une nouvelle serviette pour nettoyer une autre blessure. Il s'est passé quoi au juste entre Tate et Leevy ? Me dis pas qu'elle est sortie avec cet abruti quand même ?! J'y crois pas si c'est ça et qu'elle me l'a caché, je vais vraiment la tuer. Sérieusement, le président Eliot quoi, elle pourrait pas faire pire.
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Chouette ! J'étais toute collante dorénavant et je pue la bière, je hais la bière en plus. Cette putain de cabot va me le payer cher très très cher et elle eux directement faire une croix sur mon petit frère parce que lorsqu'il va être au courant de tout ça il ne voudra plus d'elle c'est certain. Si seulement il la reprend dans sa vie je serais trop déçue, mais je ne pense pas. Alors que je criais qu'elle allais le regretter, elle s'éloigne avec Lenaïs. Bon vent biatch ! Puis comme si c'était le moment, Lyssana vins me voir, je l'apprécie beaucoup mais la elle a choisis le mauvais moment alors qu'elle me dit de me calmer c'est pire. «Foutez-moi tous la paix ! » Ok je suis aller un peu trop fort mais là ce n'est pas le moment. Je partais en direction des toilettes pour arranger tout ça.


OUT
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J'étais entre de bonnes mains avec Charlie et Alexys à mes petits soins. Les gars, je me suis juste battu, je sais encore tenir sur mes jambes donc tout va bien. Mais bon, je les laissais faire et parler avec la mather et le winthrop, ça m'aidait un peu à me calmer. Mais malheureusement, le sujet était encore porté sur ce bouffon de président et ma copine. Merde quoi, je pensais qu'un bal sans histoires ça existait, apparemment pas. Et d'après ce que j'ai entendu, il y en a eu pas mal de bastons pendant la soirée. Charlie me disait que je devais me calmer car la violence ne servait à rien. C'est lui qui a lancé le premier coup, d'accord? Moi j'étais calme. soupirais-je en laissant Alexys nettoyer mes plaies. Plusieurs gens me regardaient et j'avais juste envie de leur demander en gueulant s'ils voulaient ma photo. Je serrais mes doigts contre mes cuisses, j'étais pas du tout calmé, je bouillonnais encore et je ne savais pas ce qui me retenait d'aller rattraper cet abruti. Charlie s'en alla me chercher un verre d'eau, sans doute pour rincer ma bouche en sang. Je me retrouvais donc avec Alexys et je croisais son regard si proche du mien. J'avais jamais encore remarqué à quel point elle était mignonne en fait. Je ne la connaissais pas en profondeur, mais elle a toujours fait preuve d'élégance à mon égard. Je me mordis la joue lorsqu'elle me posa une question à laquelle je ne savais même pas répondre. J'en sais rien... c'est un sujet qu'on préfère éviter, les exs et tout ça. car ça partait toujours en couille quand on osait prononcer le prénom d'un de nos exs. J'peux pas supporter qu'un autre mec soit amoureux d'elle, y'a que moi, tu comprends? dis-je d'un voix légèrement brisée. J'avais l'impression que ma soirée était pourrie, d'abord Leevy qui se bourrait la gueule parce que je parlais avec Delilah et maintenant cette bagarre... stop quoi. Je laisserais personne me la prendre. n'y même essayer, celui qui essaye de me prendre ma Leevy, je lui explosa la tête contre un mur. Et oui, on dirait bien que je n'étais plus le même qu'avant notre rupture, j'étais beaucoup plus jaloux comme je ne l'avais jamais été.
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Alejandro était étendu au sol avec la pauvre Isabel, son amie cabot qui avait bien voulu l'aider et qui s'était fait quelque peu prendre. Rhys revint et lui parlait d'un ton assez directif et sarcastique tout à la fois. Trop inconscient pour se rendre compte du sarcasme, il n'aimait pas pour autant se faire donner des ordres, surtout pas par un monsieur avec des grosses lèvres comme lui. Grosses? Elles sont gigantesques, difformes, c'est horrible!

-Hey oh, je suis capable de me lever tout seul. Yo soy Alejandro Ortega! ... Orlane?! Youhou!

Il faisait des petits signes de main à la Mather, qui semblait le chercher ou qui le regardait fixement, il ne saurait dire, car elle avait des yeux tout le tour de la tête maintenant et son visage paraissait bouger après sa tête, c'était vraiment bizarre et délirant. Elle lui parlait, mais il n'entendait que vaguement. Ceci dit, il arrive à se calmer et à prendre le bras d'Orlane pour se relever, enfin!

-Je suis Excalibur et toi Arthur. Oh non, l'inverse, l'inverse...

Répondit-il à la question "que fais-tu" ou quelque chose comme ça. Puis, elle lançait un tas de questions, de paroles, tous échos. Les yeux grands, ébahis, la bouche entrouverte, il finit par la fermer et semblait chercher quelque chose des yeux.

-Il faut que je retourne à ma table, ma cavalière m'attend. @Elena Del Duca, j'arrive!

Il avait passé son bras autour de Orlane et se tournait un brin vers elle, tandis que sa main descendait de l'épaule de la belle vers le creux de son dos et même un peu plus bas.

-Tu veux bien m'aider à la retrouver? Je crois que j'aurai besoin de ton aide. Ou j'ai peut-être une meilleure idée...

Le clin d’œil qu'il ajoutait rendait la situation encore plus... cocasse?

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Jamais Isabel avait vue Alejandro dans un pareil état, la belle espagnole commençait même à douter qu'il soit conscient de ce qu'il faisait. Il aime les apparences et les bonnes manières et rarement qu'elle l'avait vue consommer de l'alcool jusqu'au point d'être ivre. Elle avait toujours la main tendue et ria à sa remarque: ''Tu as raison, je suis jalouse de ne pas être le centre d'attention...sérieux allez leve-toi l'ami.''. Plutôt que de coopérer, son ami se mettait à la dévisager?! Aussitôt, Isa restait sur ses gardes en se demandant si elle avait un truc sur le visage ou si elle avait un défaut vestimentaire. Elle lui donna un coup de poing à l'épaule, un peu choquée: ''Tu n'es même pas drôle !'' Si Isa voulait que son premier bal aux États-Unis soit mémorable, il semblait qu'Alejandro avait compris le message car au lieu de s'aider, il l'a fit chavirée, elle recu même un coup dans les talons! Isabelse retrouvait les fesses par terre et un peu plus tout le monde aurait vue la couleur de son string. Fâchée, elle refrappa Alejandro à l'épaule: ''Alejandro tu n'es même pas drôle!!! Qu'est-ce qui te prends?!'' Isa était au bord des larmes, elle était morte de honte! Soudainement, elle leva la tête pour voir un mec (Rhys) venir lui offrir son aide, ce qu'elle acceptait volontier! Elle tendit le bras qu'il lui offrait, une fois debout et sa robe replacé, elle regardait son prince charmant Rhys: ''Merci à toi, dieu merci que la galanterie existe encore pour certains!''Même si elle détestait Orlane, la Cabot lui demanda discrètement: ''Il a disjoncté ou quoi?'' Honnêtement, elle s'en foutait de l'opinion de la mather mais les deux tenaient à Alejandro
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Quel espèce d'enflure de première. En voyant Orlane, il s'était très vite remit sur pieds, m'avait presque ignoré ou du moins parlé d'une manière ingrate et avait déjà sa main sur son fessier. Il commençait sérieusement à me courir l'Eliot, et dieu sait que je suis très calme et que le sang froid est une de mes première qualité sauf que là, ça allait un peu trop vite pour moi. Je plissais les yeux, les regardant partir tout en prenant sur moi, même si mon humeur changeait peu à peu. Quel espèce de con, je serrais les dents, préférant me conduire comme j'avais appris à l'être. Un gentleman. Je relevais alors la jolie Cabot, en lui offrant un merveilleux sourire. Elle ne m'avait rien fait et j'avais encore la délicatesse de ne pas l'associer à cet abruti. « C'est tout à fait normal. En revanche, tu devrais faire attention à ton cavalier, il chaparde bien facilement celles des autres. Tu veux un verre ? Pas blessé ? » Avec sa force, je pensais qu'elle aurait très bien pu se rapper la jambe contre le sol ou bien se couper. Finalement, je m'approchais du couple en question m'arrêtant devant Orlane et Alejandro. « Orlane laisse je vais l'aider. J'ai plus de force que toi et le porter ça pourrait te fatiguer. » Répliquais-je de manière intelligente. J'avais plus d'un tour dans mon sac tout en me montrant courtois et à la fois énervant. Si jamais la mather se refusait à cette proposition, ce serait un échec, certes, mais j’essayais. Dans le cas contraire, je pouvais très bien raccompagner Isabel, la pauvre tomber par terre lors d'une réception, on aurait vu mieux comme belle soirée. Les interrogeant du regard, j'attendais que l'un d'entre eux se manifeste même si j'attendais beaucoup plus l'avis d'une personne que de l'autre.
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