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oops, i made a mistake | olirren

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Oui.. Non.. Warren ! Ne prenait-elle pas son pied, là? Tu la sentais pousser son bassin vers toi, que ce soit volontaire ou pas, ça lui plaisait, c'que tu lui faisais. Et tu la connais assez, ta femme, pour savoir comment son corps réagit à ce que tu peux bien lui offrir comme caresses. Mais elle en veut plus. Ce n'est pas ce qu'elle attends de toi. Pas seulement des caresses buccales. Elle te voit en elle. Et c'est ce que tu veux aussi. Fais moi… oh Warren… fais moi l’amour… Ça, c'est ce que t'attendais. Qu'elle te le demande. Tout à l'heure, tu t'étais toi-même fait mal en l'accusant de t'avoir baisé, après la vente aux enchères. Tu lui avais reproché de n'avoir toujours eu envie que de te baiser, rien que pour son plaisir, et qu'elle ne t'aimais pas, qu'elle n'avait jamais voulu te faire l'amour. Mais c'était tout le contraire. Et maintenant qu'elle te le demandait... qu'elle te suppliait, comment lui refuser ça? Elle te tire par les cheveux pour te ramener à elle, tu as le visage sérieux, ton coeur qui menace de sortir de ton corps, alors qu'il tambourine tellement fort que tu l'entends battre au niveau de ta tête. Olive tente, tant bien que mal de te retirer ton boxer, et maintenant que vous êtes nus, du moins du bas du corps, tu n'attends pas plus une seconde. D'un coup de bassin envieux, impatient et empli d'amour, tu entres en elle, poussant un gémissement rauque de soulagement. Tu poses tes mains de chaque côté de sa tête, trouvant un étroit appui sur la banquette arrière de ta voiture. Enfin... Ton corps ne fait plus qu'un avec le sien. Tu oublies tout, vraiment tout. Il n'y a que toi et elle. Plus que vous deux. Jamais que vous deux. Ensemble. Tu penches ta tête pour aller unir tes lèvres aux siennes, allant à la rencontre de sa langue, pour qu'elles puissent débuter une danse sans fin, une danse pleine de sensualité et de douceur, en même temps que ton bassin va, à plusieurs reprises, dans des mouvements lents, à la rencontre du sien. Un instant, tu souffles contre elle : "Alors.. C'est plutôt ça, que tu voulais?", demandes-tu par saccades, avant d'reprendre ses lèvres, impatient d'y goûter de nouveau. Cette fille, son corps, jamais tu ne t'en lasseras.
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ENFIN ! Son regard perce le tient tandis qu’il te possède enfin, après de longues minutes à l’attendre. Ton plaisir est à un tel niveau que tu n’es pas certaine de tenir bien longtemps. Tes lèvres gémissent son nom à mesure que vos corps dansent l’un contre l’autre. Et par moment, il vient te voler tes gémissements par un baiser langoureux, électrique. Plus ses coups de bassin s’aditionnent, plus tu te vois monter jusqu’à un point de non retour. Et finalement, tu t’abandonnes autour de lui. Tous les membres de ton corps sont pris de spasmes que tu n’arrives pas à contrôler. C’est si bon.. Seul Warren te fait ressentir ça. Il est le seul, l’unique, qui te fait t’évader aussi loin. Votre amour est tellement.. puissant ? Oh putain, je t’aime Warren ! Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! souffles-tu alors qu’il se laisse tomber sur toi, le front recouvert d’une fine couche de transpiration après de parfait effort. La voiture, c’était définitivement quelque chose à refaire.
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À défaut de ne pas faire de bébés, vous essayer au moins, en faisant régulièrement l'amour, et dieu que c'était bon. Chaque fois, c'tait toujours un peu meilleur. Ton corps n'avait jamais réagit de la sorte, lorsque d'autres femmes passaient dans ton lit, autrefois. Olive te faisait grimper dans un monde bien plus haut que le paradis. En même temps qu'elle se tend, se crispe contre toi, tu sens toi aussi le point de non-retour t'atteindre, grimper en flèche. Tu fermes les yeux dans un énième coup de bassin qui te fait partir bien loin, alors que tu t'effondres sur elle, heureux comme aucun autre homme. Oh putain, je t’aime Warren ! Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Ton coeur explose, littéralement, après tant d'émotions dans une seule soirée. Tu déposes des dizaines de mini et bref baisers sur ses lèvres, les yeux remplis de ces mêmes émotions. "Olive, j'suis dépendant de toi. J'peux pas m'défaire de toi. J'peux pas. J't'aime trop. À en crever." Puis, tu souris. "Comment on va s'rhabiller dans la voiture?", demandes-tu en riant un peu, alors que toute la chaleur redescend peu à peu, suite à votre moment d'amour extraordinaire.
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Olive, j'suis dépendant de toi. J'peux pas m'défaire de toi. J'peux pas. J't'aime trop. À en crever. Tes doigts glissent dans dos, collant par endroit à la pellicule de sueur qui s'était installée là. Et tu le serres fort contre ton coeur, d'une force que tu n'envisageais. Tu l'aimes, oh oui, tu l'aimes au point de le t'être gravé dans la peau. Jusqu'à la fin de temps, jusqu'à ce que la mort vous sépare.. comme les voeux que vous aviez formulés devant le p'tit bonhomme lors de votre mariage. Comment on va s'rhabiller dans la voiture? demande-t-il en riant. Ton rire rejoint aussitôt le sien. Vous n'aviez que vos bas à remettre, et ton soutif.. mais dans l’exiguïté de la voiture, c'était difficile. Mais vous aviez bien réussi à vous déshabiller. Le chemin inverse est forcément possible. Putain j'en sais rien. Mais commence par ouvrir la fenêtre s'te plait, ça sent l'cul là dedans ! ris-tu en remontant comme tu le pouvais ta culotte qui était resté au niveau de tes chevilles. T'attrape ton soutif et te relève légèrement. Tu veux bien m'aider avec ça ? Tu colles ton menton contre ta poitrine dans l'espoir de te faire toute petite.. pas facile.
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Putain j'en sais rien. Mais commence par ouvrir la fenêtre s'te plait, ça sent l'cul là dedans ! Comme elle t'le demande, tu mets les clés dans le contact pour démarrer la voiture et ouvrir les fenêtres. Maintenant que vous avez terminés vos ébats, pas de mal à laisser un petit trou d'air pour laisser aérer un peu. Tu rigoles. Puis, tu cherches ton boxer, qui est tombé juste devant le siège de la banquette arrière. Tu prends position assise convenablement pour t'aider à les renfiler, puis tu attrapes ton pantalon, que tu enfileras dehors. Au moins, t'es pas trop gêné avec ça, ça n'durera que deux petites secondes. Tu veux bien m'aider avec ça ? Tu souris en coin comme tu attrapes les agrafes de son soutif, que tu ré-attache habilement de deux doigts. T'es doué, hein? Tu viens murmurer à son oreille : "Ça n'aurait pas été plus mal, si tu décidais d'pas le porter, hein..". C'est que ça ne faisait pas de mal de retrouver le Warren provocateur que tu étais autrefois, une fois à l'occasion. Même que ce Warren que tu avais jadis été te manquait inévitablement. Peut-être manquait-il à ta femme, aussi? Tu déposes un dernier baiser au creux de son cou, puis qu'tu ouvres la portière, sortant les jambes pour t'aider à enfiler ton jean, ayant un peu plus d'espace de cette façon. "C'tait bien. Vraiment bien, tout ça..", murmures-tu, t'remémorant les minutes passées avec un délice évident.
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Ça n'aurait pas été plus mal, si tu décidais d'pas le porter, hein.. murmure-t-il à ton oreille alors qu’il t’aide à fermer ton soutien-gorge. Tu lui donnes une tape sur l’épaule. Mais tu n’aurais plus tout le plaisir de l’enlever ce soir.. quand on sera chez nous. réponds-tu en rabaissant correctement ton top sur ton petit ventre. Tu comptais rentrer ce soir et ne plus jamais quitter ton homme. Peu importe ce que les gens peuvent bien penser de ton couple, de ton mariage, de toi, de lui – non, de lui tu ne t’en moque pas – tu ne te laisseras plus jamais marcher sur les pieds. Tu ne veux pas que l’amour que tu avais considéré comme une faiblesse bien trop longtemps le devienne. Tu voulais que ça soit ta force. C'tait bien. Vraiment bien, tout ça.. Tu t’agrippes la lèvre inférieure en voyant les muscles de son dos se contracter lorsqu’il enfile son pantalon. Tu profites de l’espace qu’il a laissé en sortant un peu de la voiture pour remonter le tient aussi, te tortillant dans tous le sens sur la banquette. Une fois habillée, tu te mets à genoux et te colle derrière Warren, entourant son cou de tes bras. Et il n’y a que toi pour m’faire ressentir tout ça. Je t’aime. dis-tu en posant tes lèvres sur sa joue piquante. Maintenant pousse toi de là, j’ai besoin d’une clope ! dis-tu en lui pinçant les côtes pour qu’il te laisse passer.
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Mais tu n’aurais plus tout le plaisir de l’enlever ce soir.. quand on sera chez nous. Le coin de tes lèvres s'étire pour former un sourire bien malicieux. "Ah... coquine ! Parce que tu avais prévu qu'on recommence?", fais-tu en pivotant la tête vers elle, alors que tu enfiles ton pantalon. Elle ne manque pas d'aplomb, ta femme. Une vraie sauvage, comme tu l'aimes. Ce soir, vous avez fait l'amour. Avec passion. Avec douceur, mais fougue. Vous avez été un vrai couple, un couple qui s'aime. Tu ne veux pas tomber dans les traditions, encore moins dans la routine, mais... son corps tout entier, il t'le fallait, tu ne pouvais t'en passer. Tout d'elle t'était nécessaire comme survie. Son coeur, principalement, l'était avant toutes les autres choses. Et il n’y a que toi pour m’faire ressentir tout ça. Je t’aime. Ton coeur recommence à faire des siennes. "Je t'aime aussi.." Vraiment très fort, même. Maintenant pousse toi de là, j’ai besoin d’une clope ! Tu rigoles de bonheur comme elle te pince les côtes, en mimant un "Aie!", bien que ça ne t'ait aucunement fait mal. Mais, après, tu t'lèves d'un bond en refermant la portière, pour t'adosser contre ta voiture, un regard félin et amoureux posé sur Olive. "Tu m'donnes une clope, mon amour?", demandes-tu en faisant les yeux doux. T'en voulais une, tout à l'heure et maintenant qu'elle s'payait ce p'tit luxe.. pourquoi pas l'faire à deux?
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Ah... coquine ! Parce que tu avais prévu qu'on recommence? Oui ? Peut-être ? C’était trop demandé dans la même soirée qu’il encaisse la tromperie et te fasse l’amour deux fois de suite ? Peut-être même trois, ou quatre. T’avais une faim de lui comme jamais. Insatiable.. que voulez-vous ? Ce n’est pas moi que ça dérangerait. réponds-tu en lui faisant un clin d’œil. Puis tu étais sortie de la voiture, un grand besoin de fumer une cigarette. C’était souvent comme ça, après l’amour. Tu m'donnes une clope, mon amour? Tu tires le paquet de la poche de ton pantalon – eurg, les ébats dans la voiture l’ont un peu abimé ce paquet – et en sort deux cigarettes. Une que tu coinces entre tes lèvres et une que tu glisses entre celles de Warren avant de l’allumer. Puis t’allumes la tienne et tire une longue latte t’adossant à la carrosserie de la voiture. Les gens nous regardent. dis-tu d’un ton laconique avant d’éclater de rire en recrachant la fumée. Tu glisses tes doigts sur l’épaule de Warren, profitant en silence de cette cigarette. Allez, emmènes nous chez nous mon amour. dis-tu en écrasant le mégot au sol avant de dérober un dernier baiser à Warren et glisser côté passager de la voiture en bouclant la ceinture. C’était bon de se retrouver.
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Ce n’est pas moi que ça dérangerait. Toi non plus, pour tout dire. Bien à contre-coeur, tu étais incapable de reprendre assez de vigueur corporelle pour la satisfaire plus d'une fois à la suite. Oh, mais ça ne t'empêchait pourtant pas d'être insatiable par l'esprit. Tu lui donnerais tous les plaisirs, si elle t'en donnais la chance, le droit. La cigarette qu'ta femme te glisse entre les lèvres et t'allume te redonne un peu d'énergie, bien qu'à long terme, c'est tout le contraire qui se produira. Tu ne fumes qu'en de très rares occasions : principalement lorsque tu es stressé, nerveux ou énervé. Là, c'était un peu de ces trois émotions à la fois qui avaient prises possession de toi au cours de la soirée, et ça ne pouvait que t'être bénéfique au niveau moral que de prendre quelques bouffées de ce néfaste produit industriel qu'est la cigarette. Les gens nous regardent. Pivotant la tête pour observer les curieux et leur lancer un regard amusé, mais satisfait, tu hausses les épaules. "Ils sont jaloux.", dis-tu en lui glissant un clin d'oeil, dans un demi-sourire. Allez, emmènes nous chez nous mon amour. Tu te tires une longue et dernière latte en acquiesçant sa proposition, puis la laissant entrer dans la voiture, tu écrases toi aussi ta cigarette au sol, faisant le tour pour aller du côté conducteur, puis tournant les clés dans le contact, tu démarres à vivre allure pour retrouver votre chez-vous, rien qu'à vous, qui te paraissait si loin, tout à l'heure, si... inexistant. Mais les choses vont s'arranger, par vrai? Suffit de penser à autre chose, et... d'oublier le passé.

Fin.
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