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oops, i made a mistake | olirren

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Il est encore.. douloureux. Immédiatement, tes doigts lâchent sa peau. Tu délaisses la surface froide et pâle pour ne pas lui faire mal. Tu fermes les yeux en t'enivrant de son parfum, que tu sens à cause de la faible distance qui vous sépare. Dé-désolé.., souffles-tu, alors. Je ne sais pas. J’imagine que j’attendais le bon moment. Ca l’est là, non ? Hochant la tête, bien qu'elle ne te vois pas, tu essaies de te convaincre que c'est peut-être le bon moment, bien que.. ce moment, tu aurais préféré ne jamais avoir à le vivre. Elle avait vraiment fait ça? Pour toi? Enfin.. pour vous deux? Pour votre couple? "C'est magnifique." Et c'est vrai. Tu prends une grande respiration pour tenter d'atténuer cette douleur à ta main. Je l’ai fait hier après-midi. Je m’en suis tellement voulue Warren, putain, t’imagines pas ! J’ai ouvert les yeux quant à l’importance que t’avais dans ma vie ce soir là, plus que jamais ! Alors j’ai couru chez le tatoueur pour qu’il m’le fasse. J’me suis presque battu avec lui pour qu’il me prenne quand je suis arrivée.. Je te voulais gravé en moi Warren. C’est surement idiot, mais pour moi ça représente énormément ce tatouage. Peut-être même plus que le mariage. Le seul truc que t'as du mal à envisager, c'est qu'elle n'ait réaliser que ce soir là, que tu avais autant d'importance pour elle. Elle n'a réalisé, qu'après avoir bu, et qu'après avoir sûrement joui avec un autre homme entre les jambes, que tu étais son grand amour. C'est ce que tu es, non? "Tu es gravée en moi depuis le premier jour, sur ce terrain de basket." Mais à l'entente de sa légère bagarre avec le tatoueur, tu as un faible sourire qui se dessine sur tes lèvres. Encore plus évident lorsqu'elle te saute de nouveau dans les bras. Tu pousses un mini cri rauque de surprise, alors qu'elle t'embrasse. Ta vie dépend des ses lèvres, tu en as tellement besoin. Jamais tu ne te lasserais de leur goût, de leur parfum, de leur douceur. Tu m’perdras jamais Warren. Jamais. T’en a ma putain de parole ! Oh mon dieu, ce que je t’aime ! Tu la retiens en posant tes mains sous ses fesses, que tu serres entre tes doigts. Tu sens vraiment toute cette fougue, cette passion, cet amour dans ce baiser. Alors.. il n'y a aucun doute.. elle t'aime. Elle s'en veut, tu le sens. Tu le sais, c'est vrai. C'est ton mal-être soudain qui t'as donné tant de mal, suite à son aveu. Tes mains prennent son visage entre elles, tu sens ses larmes rouler entre tes doigts. J’ai envie de toi Warren… Cherchant à mordiller sa lèvre inférieure, tu gémis en rompant le baiser, le regard au sol. "La maison est trop loin.. J'ai que ma voiture..", souffles-tu, d'une voix rauque et malgré tout, pleine d'envie pour elle.
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Tu es gravée en moi depuis le premier jour, sur ce terrain de basket. Le premier jour de votre rencontre. Oh oui, tu t’en souviens. Le basketteur de l’équipe universitaire de l’Ohio. T’avais fuis de chez toi, encore à cause du départ de ta sœur. Et puis il était là, au skate-park. Et puis sans même que tu ne t’en rendes compte, Jay Warren Cooper t’avais volé ton cœur. Ce jour là, tu ignorais à quel point il allait se battre pour t’avoir, à quel point tu tomberais amoureuse de lui, à quel point tu lui en voudrais de ça. Tu ignorais aussi que tu allais te marier. Oh ça oui, tu étais à des années lumières de te l’imaginer. Et puis tu te souviens de la soirée à la piscine, des autres soirées que vous aviez passé ensemble à vous quereller pour des pacotilles, la nuit où il t’a suivi jusqu’au bassin de Jumper, votre premier baiser, votre long mois de dispute qui t’avais étrangement fait souffrir, la fête de l’automne, son annonce : il était amoureux de toi. Puis ton départ à Harvard. Et là.. son retour, tes sentiments, votre première fois, votre premier Noël ensemble puis votre mariage. Putain, vous en aviez vécu des trucs ensemble ! Oh ça oui ! réponds-tu avant de te jeter de nouveaux dans ses bras. Et à mesure que vous vous embrassiez, ton désir pour lui s’accentuait. Tu avais envie de cet homme, de ton mari.. Maintenant. La maison est trop loin.. J'ai que ma voiture.. Tu pousses un petit cri contre ses lèvres. Malgré tes nombreuses – anciennes – expériences sexuelles, je n’a jamais rien fait dans une voiture. Même pas de préliminaire. Rien. Cette idée pousse tout ton désir jusqu’au bas de ton ventre. Je trouve ça vraiment excitant, la voiture, Monsieur Cooper. grognes-tu contre ses lèvres en accentuant chacun de tes mots. Emmenez moi.. souffles-tu contre son oreille avant de plonger tes lèvres dans son cou pour le picorer de baisers brûlants de désirs.
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Oh ça oui ! Tu préfères ne pas penser, ne plus penser à rien d'autre que ce qui se passe entre vous dans l'instant présent. La seconde passée, c'est justement du passé. Le présent, c'est l'oubli, et surtout le plaisir. L'oubli de ta douleur, de ce qui s'est passé entre toi et un autre homme, l'oubli du monde extérieur, de la circulation dans la rue. Tu te serres contre elle, tu la serres contre toi, et malgré la situation étrange, tu as vraiment envie d'elle. Ton bassin se colle au sien, tu pousses un grognement empli de désir. Je trouve ça vraiment excitant, la voiture, Monsieur Cooper. Ton appétit se fait bien puissant, le moment est urgent. Tout ton corps dépend du sien, il cherche le sien, il veut le sien. Tu veux prendre possession d'elle, lui faire l'amour pour oublier les minutes passées, tu veux lui donner ce même plaisir qu'elle mérite de recevoir. Emmenez moi.. Tes mains la tiennent fermement pour qu'elle ne tombe pas en cours de route. La voiture est derrière le bâtiment du restaurant, dans le stationnement. Tant pis, vous ne changerez pas de place. Tu as envie d'elle. T'essaie de mettre de côté cette douleur aux doigts et aux jointures pour ne pas péter tout le moment. Tu pousses un soupir d'aise lorsqu'elle te bécote dans le cou. Elle te rend dingue. "Je vous emmènerais partout, Madame... Cooper.", dis-tu finalement, alors que vous arrivez à la voiture. Tu déverrouilles les portes pour que vous puissiez y entrer, mais avant, tu la déposes les deux pieds au sol, sur le capot de la voiture. "Finalement, à bien y penser.. Ça me simplifierait la tâche, si tu mettais à l'occasion des mini-jupes..", dis-tu d'une voix coquine. "C'pas l'endroit le plus confortable, mais je vais tellement bien m'occuper de toi, que..." Tes lèvres cherchent son oreille, que tu mordilles au passage. Ta main gauche, la non-meurtrie, se glisse sous son chandail, que tu remontes, remontes, et remontes jusqu'à entrevoir le soutien gorge. Puis, tu te penches, agenouillé au sol, le visage au niveau de son nombril. Tu embrasses avec un plaisir évident, avec un appétit à son apogée, toutes les parcelles de sa peau, au niveau du ventre. "T'es tellement.. tellement belle."
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Je vous emmènerais partout, Madame... Cooper. Voilà une charmante nouvelle qui parvenait à tes oreilles. Tu iras là où Warren ira. Tu le suivrais, n’importe où où il irait ! C’était ça d’être amoureuse à en crever non ? Alors pour ce soir, on ira au septième ciel, Monsieur Cooper. Et tu avais faim. Faim de lui, faim de la sensation que tu ressentais chaque fois qu’il était en toi. Finalement, à bien y penser.. Ça me simplifierait la tâche, si tu mettais à l'occasion des mini-jupes.. te dit-il en te déposant contre le capot de la voiture. Et ses paroles ne faisaient que t’exciter un peu plus. La simple idée qu’il n’ai qu’à relever un morceau de tissus et écarter ton sous-vêtement.. putain, t’y penserais un jour. Vraiment. Alors si ça te simplifie la tâche, j’irais m’acheter quelques jupes pour toi. réponds-tu avec le même air coquin que lui. Toute la dispute qui précède votre échange amoureux semble s’être évaporée et c’est parfait comme ça. C'pas l'endroit le plus confortable, mais je vais tellement bien m'occuper de toi, que... Que quoi ? Réussirait-il un jour à finir ses phrases ? Bon, attention, phrase méga niaise dans trois, deux, un.. Tu rends confortable n’importe quel endroit par ta présence, Cooper ! souffles-tu en soupirant sous ses baisers qui t’assaillent le ventre. Ses lèvres son brûlantes sur ta peau fraîche et pourtant luisante d’un désir inavouable. T'es tellement.. tellement belle Ton top relevé dévoile ta poitrine à moitié recouverte par un soutien-gorge en dentelle noir. Le vent glisse sur ta peau, t’offrant un nouveau frisson. Dans la voiture… Warren… soupires-tu en ouvrant la portière arrière du véhicule, t’engouffrant à l’intérieur. Les regards de quelques curieux étaient braqués sur vous et bien que très excitant, il était hors de questions que tu leur offre ce spectacle. Allongée sur la banquette arrière, Warren ne tarde pas à te rejoindre et refermer la portière derrière lui. Les vitres teintés du véhicule vous garantissent un minimum d’intimité.. Tes yeux brillants plongent dans le regard amoureux de ton mari. Tu n’imagines pas à quel point être enfermée dans cette voiture avec toi m’excite, Cooper. Tu glisses tes doigts autour de la ceinture de son jean et plaque son bassin contre le tient en gémissant son nom. L’attente devenait insoutenable.. Tu le voulais, vite. Tu déboucles sa ceinture, déboutonne son pantalon et le fait glisser comme tu peux le long de ses cuisses. La voiture c’est excitant, certes, mais on est vite à l’étroit. Et.. la température monte vite aussi, beaucoup trop vite.
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Alors pour ce soir, on ira au septième ciel, Monsieur Cooper. Tu ne veux penser à rien d'autre qu'à ça. Rien d'autre qu'elle et son corps. Tu hoches la tête prestement, comme toute réponse. Tu t'sens trop pressé. Alors si ça te simplifie la tâche, j’irais m’acheter quelques jupes pour toi. Tu as soudainement l'imagination qui déborde, et tu le lui fais savoir, un air charmeur collé au visage. "Tu sais.. une petite écolière sexy qui essaie d'avoir des bonnes notes.." Et tu serais le bon professeur qui ne parvient pas à résister aux charmes de la jolie jeune femme. Tu ne lui résistais jamais, en temps réel, de toute façon. Tu rends confortable n’importe quel endroit par ta présence, Cooper ! Tu ne réponds pas. Tu as un pincement au coeur en l'entendant te dire ça. Tu t'acharnes sur son ventre, trop concentré sur elle, oubliant les gens qui pouvaient peut-être bien se trouver dehors, dans le même stationnement que vous. Olive, elle, pris soin de votre intimité en t'ordonnant d'aller dans la voiture. Dans la voiture… Warren… Tu lui obéis. Elle s'installe sur le dos, sur la banquette arrière, et ni une ni deux, tu te retrouves à califourchon par-dessus elle, refermant la porte rapidement derrière toi. Tu n’imagines pas à quel point être enfermée dans cette voiture avec toi m’excite, Cooper. Ta respiration se fait bien chaude, d'un coup. Elle prend les devants, retirant ta ceinture pour descendre ton pantalon. Tu l'aides, bien que ce ne soit pas fort simple dans une voiture. L'espace est restreint. Tes mains reprennent leur activité de tout à l'heure, De ta main moins fragile, tu glisses tes doigts sous son corps, au milieu de son dos, pour détacher d'une main habile son soutien-gorge. "J'espère que tu sens bien l'effet que tu m'fait, Shark.", maugrées-tu en te frottant légèrement contre son corps, alors que ta main vient empoigner l'un de ses seins. Tu le masses avec une douce fougue. Tes lèvres cherchent les siennes, mais pas pour longtemps, Soulevant son chandail jusqu'au niveau de son épaule, comme tu le peux, c'est ton visage, tes lèvres qui descendent en trainant sur son menton, dans son cou, afin d'atteindre rapidement sa poitrine. Tu enfouis ta tête entre ses seins, sur lesquels tu déposes de suaves et chauds baisers. "Tu es mienne, Olive." Possessif? Oui, un peu. Peut-être encore un peu plus, maintenant que tu sais qu'elle est allée voir ailleurs. Tu n'as pas envie que ça se reproduise..
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Tu sais.. une petite écolière sexy qui essaie d'avoir des bonnes notes.. Cette idée te rendrait folle en moins de temps qu’il n’en faudrait pour le dire. Le costume de l’innocente écolière.. une jupe, une chemise bien trop près de corps, une petite cravate et un ridicule petit gilet gris. Miam, Warren ne ferait qu’une bouchée de toi dans cette tenue. C’est bon, j’suis convaincue ! Il m’en faut pas plus.. dis-tu en riant. Puis vous vous étiez retrouvé enfermés dans la voiture, assez rapidement. L’excitation était là et elle refusait d’attendre, c’était insoutenable comme sensation ! J'espère que tu sens bien l'effet que tu m'fait, Shark. Tu sentais son érection contre tes cuisses, alors oui, c’était difficile de ne pas sentir l’effet que tu lui faisais. Très vite, il te délivre de tes vêtements et part à la rencontre de ton corps, la caressant, lui offrant mille et uns baisers. Tu n’en peux plus d’attendre. Tu soupires de plaisir chaque fois que ces doigts rencontrent tes tétons et que son plaisir rencontre tes cuisses. Tu es mienne, Olive. Sa tête plongée dans ta poitrine, tu grognes en glissant tes doigts dans sa chevelure. Pour l’éternité, Warren ! soupires-tu en enfonçant tes ongles dans la chair de son dos, glissant jusqu’à son boxer. Tu avais besoin de le toucher, de sentir son excitation entre tes doigts. Putain, il est parfait. Et tu n’en peux toujours plus d’attendre. Tu le veux pleinement, tu veux qu’il te possède tout de suite et ne plus attendre. S’il te plait… J’ai envie… Tout de suite… articules-tu entre deux gémissements..
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C’est bon, j’suis convaincue ! Il m’en faut pas plus.. Et c'est la dernière parcelle de conversation sensée que vous eûtes avant de passer à l'action, dans ta voiture de sport, qui bien que possédant beaucoup d'espace, était serrée pour un jeune couple qui s'attaque à des ébats amoureux sur la banquette arrière. Tu souris, tandis que ton l'activité qui te plaît le plus actuellement est de goûter son corps. Tu t'enivres d'elle, tu ressens déjà l'envie qui monte en toi qui t'empêche de penser convenablement avec intelligence. Tu perds tes moyens, tes points de repère, partant dans un monde qui est tout autre, où tu voles en plein bonheur. Tu mordilles avec envie ses tétons, afin d'y mettre le bouquet final. Pour l’éternité, Warren ! Si vous saviez à quel point ça te faisait plaisir d'entendre ça. Pour l'éternité, Warren. Pour toujours et à jamais. Rien que vous deux. Tes lèvres rompent le contact avec sa poitrine pour descendre juste à leur base, en haut du ventre. Tu te plais à faire durer le plaisir. Elle aime ça, et tu pousses un grognement rauque en sentant ses ongles se planter dans ton dos. Oh. Elle ne met pas de temps à vouloir te rendre la pareille. Vous avez passionnément envie de l'un et de l'autre. Tu n'sais même pas comment ça peut être possible, des pulsions aussi puissantes que celles que tu éprouves, que tu ressens. Ton corps est tendu, tout comme ton membre, qui ne demande qu'à être soulagé par son corps, par ses chairs. S’il te plait… J’ai envie… Tout de suite… Relevant la tête, tu souris en coin, amusé, puis secoue la tête. "Oh non... pas tout de suite, mon amour.", murmures-tu, passant ta langue du creux de ses seins, jusqu'à son nombril. Les frissons te parcourent tout le corps, alors que ta bouche atteint le haut de son intimité. Tu n'y touches pas. Tu veux la faire languir. C'est pourquoi ta bouche s'attaque gentiment, sensuellement à l'intérieur de ses cuisses. Ta main caresse l'un de ses jambes, de haut en bas. Tu viens mordiller la peau à quelques endroits, pour y laisser des marques. Tu l'aimes. Tellement. "Si parfaite...", souffles-tu pour toi-même à son intention, admiratif de son corps, du fait qu'elle se tortille de plaisir, d'aise et d'impatience sous tes doigts et ta bouche. Tu ne tarderas pas à lui sauter dessus comme un lion affamé, ça, c'est clair.
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Oh non... pas tout de suite, mon amour. Tu sens l’amusement dans le son rauque de sa voix. Putain, oui, tout de suite. Tu n’étais plus capable d’attendre une minute de plus. Et puis c’était de la torture ce qu’il faisait ! Te toucher si prêt de , sans jamais vraiment y toucher. Tu sentais son souffle à travers le fin tissu qui recouvrait ta féminité. Bordel de merde, qu’il cesse immédiatement ces trucs là ! Il te faisait payer c’que t’avait fait en te faisant languir et aussi excitant que celui puisse paraître, c’était incroyablement vicieux de sa part. Warren. couines-tu d’une ridicule voix, à peine audible. Si parfaite... S’en ai trop. Tu glisses tes doigts entre le tissu de ta culotte et la fait glisser le long de tes jambes. Ta patience à des limites, quand même. Oh si. J’ai besoin de te sentir.. Pleinement ! Warren, j’t’en supplie. Donne-moi c’que j’attends. J’en peux plus d’attendre. De t’attendre toi, juste là ! Tu colles ta féminité à présent mise à nue un peu plus contre lui. T’avais les yeux fermés, tu ne savais même plus quelle position réelle il avait entre tes cuisses. Tu l’imaginais, seulement, en suivant la chaleur de son souffle contre ta chair.
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Warren. Elle te supplie. Intérieurement, ça t'amuse puisque.. elle t'es soumise. Non pas que tu joues le rôle du dominant face à sa soumise, mais plutôt dans le sens où elle ne peut rien faire d'autre qu'attendre que tu combles enfin ses désirs. C'est toi qui a le pouvoir dans la situation actuelle, c'est elle qui se tord sous tes caresses. Tu as certainement autant, sinon plus envie d'elle qu'elle de toi, mais... putain que t'aimes ça jouer de la sorte. Ta libido est à son apogée, littéralement. Oh si. J’ai besoin de te sentir.. Pleinement ! Warren, j’t’en supplie. Donne-moi c’que j’attends. J’en peux plus d’attendre. De t’attendre toi, juste là ! Et elle se colle contre toi, juste après avoir retiré sa culotte, la faisant glisser le long de ses jambes. Tu l'aides, jusqu'à la descendre à ses pieds, afin qu'elle ne soit pas trop prise au piège. Tu souris, enfouissant ton nez au niveau de son intimité. "Olive..", souffles-tu contre elle, d'une voix dans laquelle elle sent certainement ton impatience et ton envie à toi. Puis, ta bouche s'attaque à son intimité. Elle se plaît à goûter les saveurs, le parfum qu'elle dégage. C'est comme si ça faisait des années que vous aviez été séparés et que tu la retrouvais charnellement parlant, rien que maintenant. Ça te semblait nouveau à chaque fois. Tes mains serrent leur emprise sur ses hanches, tes doigts agrippent avec férocité la peau du haut de ses cuisses. Tu t'acharnes dans un plaisir malsain et agréable sur elle, pour répondre à ses désirs, bien que ce ne soit pas exactement cela. Tu sais qu'elle veut t'avoir tout contre elle, que vos corps ne fassent qu'un. Mais pour l'instant, tu t'amuses, et tu te plais réellement à lui donner le plaisir que tu as l'impression de ne pas lui avoir donné ces derniers mois.. "C'est comme ça, qu'tu m'attendais?", demandes-tu d'une voix faible et malicieuse.
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Attendre, toujours attendre. Tu étais une fille impatiente, il devait le savoir depuis tout ce temps ! Pourtant, il prenait un malin plaisir à te faire attendre, toujours attendre. T’avais beau le supplier – et en plus, tu jurerais que ça lui plaisait de t’entendre le supplier – rien n’y faisait.. Il ne faisait que souffler sur la peau de tes cuisses, la picorant de baisers de temps en temps. Tu devais prendre les choses en main avant que tu n’imploses. Tu n’étais plus qu’une boule de plaisir donc chaque terminaison nerveuse s’enflammait dès qu’on l’effleurait. Olive.. souffle-t-il en plongeant la tête dans ton intimité. Bordel de merde. Surprise, tu lâches un petit cri que tu tentes d’étouffer en plaquant ta main sur ta bouche. Mais difficile de contenir autant de plaisir alors que votre mari fait ce qu’il est entrain de faire à la perfection. Tu pourrais presque te laisser aller jusqu’au plaisir ultime comme ça si seulement tu ne voulais pas que vos corps s’emportent à l’unisson. En parfaite harmonie. C'est comme ça, qu'tu m'attendais? Ton sang cogne si fort dans tes oreilles que tu entends à peine les mots que murmure ton mari. Bon sang, c’est si bon ! Oui.. Non.. Warren ! Tu ne réponds plus de toi. Sa langue, là, c’est parfait. Mais tu veux plus. Tu veux toujours plus de lui. Fais moi… oh Warren… fais moi l’amour… gémis-tu, le cœur au bord des lèvres. Tu le tires par les cheveux doucement, pour qu’il remonte, glissant comme tu pouvais son boxer avec la pointe de tes pieds. Pas très sexy, mais pour une voiture, tu pouvais difficilement faire mieux. Et franchement, tu t’en foutais. Tu le voulais juste en toi. Oh oui.
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