KENYA ♥ You have your own Waitomo Caves

J'avais posé une question, une simple question qui m'en apprenait tellement en l'espace de quelques minutes sur mon mari. Il ne me racontait presque jamais rien sur lui, d'ailleurs, je ne le faisais pas non plus. Il ne savait pas que j'étais allé en pensionnant en France, que j'avais voyagé partout autour du monde, que j'avais gagné des prix au violon ... j'avais moi aussi fait pas mal de chose, certes pas autant que lui parce que j'avais eu une vie toute tracée. Mais ça va mieux maintenant, je veux dire, que tu t'es fait opérer, Kenny tu sais que t'es plus obligé de porter tes lentilles quand même ... je le voyais faire, par automatisme surement, mais il s'était fait opérer un soir à New York et il n'avait plus besoin de toute ces conneries, à moins que ça ne soit que pour me sortir l'excuse des lentilles, lorsque je découvre de l'urine sur la cuvette (aa) Tu m'endors pas Kenny, ça fait 5 ans qu'on se connait, bientôt 6 et tu ne m'as jamais parlé de tout ça... dis-je en haussant une épaule, c'était étrange d'ailleurs en y réfléchissant bien. Je prenais une tranche de pain pour faire une tartine à Kenny, je lui tendais avant de m'en faire une, me laissant ensuite tomber contre la couverture, regardant le soleil se lever sur l'océan, du haut de notre falaise J'ai gagné un concours international à Moscou de violon, je suis même aller au conservatoire ... mon père aime vraiment quand j'en joue c'était une chose qu'il ne savait pas, une chose sur moi.

Je me sentais toujours pas à l'aise avec cette opération que j'avais eu, elle avait corrigée certaine chose mais pas tout non plus mon nerf avait été touché dans l'histoire, détérioré du coup je sais pas je ressentais le besoin de mettre les lentilles. "Je me sens mieux avec." Avouais-je en haussant les épaules. Il est vrai que je devais m'en débarrasser, je pouvais passer à autre chose, je me devais de le faire. Regardant l'étendue de verdure, je prenais la tranche qu'elle me tendait en souriant. "Merci." Dis-je en croquant dedans. "Je trouvais pas ça intéressant puis je sais pas je voyais pas dire ça comme ça." J'avalais, c'était si bon le Nutella, le chocolat, j'adorais tout ça sans compter le pain qui venait de sortir du four ce matin. Anya prenait place s'allongeant, ma main allait automatiquement contre le bas de ses reins, je repoussais même un peu son haut pour lui caresser la peau avec douceur. "Je l'ai vu dans ses yeux." Lâchais-je en repensant à ce jour ou on avait eu le droit à nos fiançailles et qu'Igor tenait à ce que sa fille joue. "Il était tellement fière de toi." Il y avait des petits détails qui nous échappait, des détails de notre vie qui pouvait nous revenir à tout moment d'ailleurs. "Le conservatoire alors musique et danse et le concours c'est pas donné à tout le monde, mon père disait souvent que c'était en Russie qu'on avait les talents les plus forts alors je me dis que tu as du vraiment bosser comme une dingue." J'en revenais pas, un concours moi qui adorait la musique, qui était si admiratif je peux vous dire que j'étais fier d'elle, fier de savoir ça. "Raconte moi autre chose, tu as voyagé plus jeune? tu es allée ou?"" Je me laissais tomber à ses cotés, le ventre sur la couverture, je tournais mes yeux vers elle en glissant ma main dans ses cheveux.

Comment lui dire que tout ce qui le concernait, m'intéressait sans passer pour la pauvre fille éperdument amoureuse. Détrompe toi, j'aime bien savoir de chose, puis c'est pas rien, tu m'aurais dit, je suis le champion du plus gros mangeur de surimi ... c'est clair que je m'en fou dis-je en éclatant de rire mais là, j'apprend que tu pilotes, d'ailleurs, tu peux piloter autre chose ? Nos jets ? juste question de savoir, parce que j'aime le fait qu'il soit dans la cabine avec moi. Puis nous étions amené à parler de moi. Moi et toujours moi, j'aime ce sujet de conversation (aa) Kenny semblait avoir vu dans le regard de mon père, une certaine fierté lorsque j'avais dû jouer du violon lors de nos fiançailles, d'ailleurs, c'est lui qui me l'avait demandé. C'est vrai qu'en Russie, on est plutôt douer dis-je avec un mouvement de cheveux qui se voulait fier. Kenny s'allongeait à mes côtés, posant sa main sur le bas de mes reins en soulevant mon tee-shirt. Je me tournais vers lui, heureuse qu'il laisse sa main alors que pour ma part, je posais les miennes sous ma tête, pour maintenir cette dernière et le regarder dans les yeux et mettre une jambe entre les siennes et l'autre par dessus. Oui, j'ai beaucoup voyagé, j'ai fais un semestre en France, c'est la raison pour laquelle je parle aussi bien Français, puis j'ai passé plusieurs de mes étés dans des pays chauds, comme le Brésil, mais aussi sur des îles. Après, j'ai fais toute l'Europe, d'ailleurs, c'est là-bas que j'ai appris à faire de la moto

"Ah merde." Je faisais la grimace. "Je comptais te dire que j'étais numéro 1 du plus gros mangeur de saucisse mais tu t'en fou." Je rigolais juste après avec elle. "Oui je sais piloter ça aussi." Ce n'était pas si différent comme appareil, j'avais pu faire mes armes sur beaucoup d'engin bon par contre un avion de ligne jamais et tant mieux je crois qu'être responsable de plus de 10 personnes pouvait me faire peur déjà que j'avais eu un peu peur de faire une erreur tout à l'heure avec le planeur juste parce qu'elle était là. Je me posais vers elle, la regardant tout en caressant son dos, sa peau de mes doigts. "Te gonfle pas trop madame, les russes peuvent aussi se montrer un petit peu chiant." Je lui tirais la langue avant de lui poser un baiser sur le bout du nez, j'adorais lui faire ça voir ses yeux se plisser pendant notre bisou, son sourire naitre seulement je reconnaissais que c'était ses lèvres qui me manquaient le plus dans cette histoire. "La moto." Je laissais ma tête tombée contre la couverture faussement désespéré. "La première fois que je suis monté avec toi j'ai cru que tu allais me tuer tu vois un peu comme j'ai fais avec le planeur en plus j'avais même pas de casque et tu allais si rapidement. Je m'en souviendrais toute ma vie, mon cœur allait sortir de ma poitrine." On était pas encore ensemble à cette époque et c'était la période ou j'avais été très malade, elle m'avait emmenée je ne sais plus ou et je peux vous dire que j'avais cru mourir vraiment mourir. "J'ai été une fois en France et encore c'était une seule journée ça avait l'air d'être vraiment beau." Je ne savais pas que derrière ce voyage en France pour Anya se cachait un secret dont elle ne m'avait jamais parlé, je crois que je n'allais jamais le savoir d'ailleurs. "Regarde le soleil se lève." Je le désignais, mes yeux bifurquaient sur Anya, ma main remontait derrière sa nuque et je l'embrassais enfin.

J'étais assez surprise de savoir que Kenny avait eu peur ce jour là. Je me souvenais très bien de ce moment, il était malade, nous passions du temps ensemble, il m'avait fait confiance. Puis j'avais décidé de lui changer les esprits et je l'avais amené sur la plage, en moto. Peut être que c'était mon intention à cette époque laissant un brin de mystère dans ma voix, j'haussais deux fois de suite les sourcils avant d'éclater de rire Maintenant c'est l'effet que je te fais tous le temps je secouais mes cheveux, de bonne humeur et rieuse. Par la suite, je lui parlais de mes voyages, j'étais allé un peu partout à vrai dire, j'avais toujours aimé voyager, mais il y'a des pays dans lesquels je ne suis pas encore allé et où j'aimerais y aller avec lui, mais aussi avec Alessia. J'aimerais que notre fille hérite de notre côté aventurier en ce qui concerne ce point là. Mais non, tu m'as amené à Paris pour la saint Valentin l'année dernière, puis on est allé au ski c'était en France et on avait passé plus d'une journée. J'avais des souvenirs en France, certain plus beau que d'autre, certain qu'il connaissait et certain qu'il ne connaîtrait surement jamais. Kenny me signifiait que le soleil était entrain de se lever, je tournais la tête vers ce dernier, pour voir son levé, c'était d'une beauté à couper le souffle, le décors l'était tout autant, mais ce qui suivis, me procurait cette même sensation et pas que littéralement parlant. Sa main était monter si rapidement contre ma nuque que je n'avais pas venu venir ses lèvres s'écraser contre les miennes. Nos lèvres se cherchaient, je tirais un peu sur sa lèvre inférieur, avant d'entrouvrir les miennes pour laisser ma langue faire le tour de sa bouche puis se faufiler entre ses lèvres ouvertes pour venir caresser sa langue. Sur le moment, mon corps s'était rapproché du sien, jusqu'à venir se poser au dessus de lui, une main sur une de ses joues et l'autre en appuie, à côté de sa tête. Bon dieu, ce sentiment m'avait tellement manqué, j'aimais tellement le sentir si proche, sentir ses lèvres contre les miennes, son souffle se mélanger au sien. Je riais un peu finalement, posant mon front contre son cou. Tu me fais rater le levé de soleil dis-je en remontant ma tête, pour positionner mon visage face au sien, yeux dans les yeux, avant que mes lèvres ne dépose plusieurs baiser sur les siennes, puis contre son nez, sa mâchoire, sa joue, son cou ...

J'avais succombé à ses lèvres si pulpeuses et charnues, elles m'avaient limite appeler, appeler pour que je puisse les sentir contre les miennes, appeler pour que mon cœur s'emballe. Il n'y avait qu'elle pour me faire ce genre de sensation, qu'elle qui pouvait me rendre complètement marteau quand sa langue faisait le contour de ma bouche, c'était si sensuel. Je souriais durant notre baiser, ma main sur sa nuque quand elle se glissait au dessus de moi, je laissais mon autre main aller dans le creux de ses reins alors que nos langues se livraient à un ballet des plus majestueux jusqu'à ce qu'elle coupe notre étreinte. Haletant, à bout de souffle, ma tête était sur l'oreiller la couverture, les yeux brillants, elle m'avait manquée cruellement. "Je devrais m'excuser mais je suis pas du tout désolé." Riais-je en caressant sa nuque du bout des ongles. Elle se redressait, je la contemplais alors qu'elle repartait à l'attaque, elle était insatiable d'abord quelques baisers volés sur mes lèvres puis des baisers sur ma mâchoire, ma joue, fallait que je me tienne, fallait pas que je la renverse et qu'on fasse des bêtises ensemble ici, ce n'était pas sage mais totalement excitant. "Anya…" poussais-je en descendant ma main sur son fessier. "Arrête après je vais ba…" Je préférais me taire mais je pense qu'elle avait bien comprit ce que je voulais dire seulement la laisser partir, hors de question vu que je l'embrassais une seconde fois plus langoureusement cette fois, je pouvais pas m'en empêcher plus fort que tout, plus fort que ces stupides règles qu'on avait imposé entre nous et alors que le soleil se levait derrière nous, mon cœur se réparait peu à peu.

Nos langues étaient l'une contre l'autre et bon dieux, ses lèvres .... elles m'avaient manquées. Ce petit goût de menthe mélangé au goût sucré de ses lèvres. C'était divin. C'est pas super gentil ça, tu me prives quand même d'un super levé de soleil dis-je, la bouche en coeur, avant de repartir à l'assaut. Mes lèvres touchaient les siennes à plusieurs reprises, puis elle dérivaient contre sa peau. Son nez, son front, sa joue, sa mâchoire et même son cou passait sous mes lèvres presque affamées. Je l'aime et être si proche de lui tout en était loin avait été difficile alors, en ce moment qui se voulait hors du temps, entre la nuit et le jour, je profitais pleinement de ce qu'il me donnait, de ce que je prenais .. de ce que nous avions. Son murmure me fit frissonner, je ne relevais pas la tête au contraire, je laissais peser un peu plus mon corps contre le sien en relâchant un peu la force que je mettais dans mon bras en appui, mes cheveux venaient chatouiller sa peau, mes mains glissaient sur son torse, j'avais envie de lui enlever ce maudit tee-shirt, j'avais envie de sentir sa peau sur la mienne et je n'attendais pas plus pour passer ma main qui se voulait froide, sur ses abdominaux bien dessinés. Sa main à lui allait se poser sur mes fesses, comme bien souvent d'ailleurs, mais comparé à lui, j'étais bien couverte. Pantalon de yoga, tee-shirt, pull et sa grosse veste en jeans. Ses mots me firent lever les yeux vers lui, ma bouche se détacher de sa peau. J'avais un petit sourire sur le coin des lèvres qui se voulait espiègle. Je savais ce qu'il allait dire, clairement, mais ça m'avait toujours plus qu'il le dise, puis le voir dans cet état entre le plaisir et l'embrassa était un spectacle dont je ne me lasserai surement jamais. Tu vas quoi ? lui demandais-je dans le creux de l'oreille, laissant mon souffle se répercuter contre cette dernière avant que je n'y passe ma langue, contre son lob, pour le tirer un peu du bout des dents, mais se fut sans compter Kenny qui venait m'embrasser de nouveau. Bon dieu, le retrouver était tellement bon. Je me sentais tout à coup légère, guidé par la douce alizé matinal. Il devait être dans les 6h50 du matin et nous étions là, tous les deux, sur cette falaise, allongés sur une couverture à s'embrasser au lieu de déjeuner. Son second baiser se voulait tellement plus langoureux que j'en avais des palpitation, mes jambes se serraient un peu plus contre sa taille, en cet instant j'avais tellement envie de lui que je ne m'en cachais pas pour le lui signifier, contre ses lèvres.

Je sentais le rouge monter à mes joues, je ne voulais pas lui dire ce qu'elle me faisait, j'avais tellement l'impression de lui manquer de respect quand je disais ça, je préférais qu'elle oublie mes paroles d'ailleurs et qu'elle se laisse guider par ses sentiments comme moi j'étais guidé. "Tu sais très bien." Dis-je en souriant, je caressais son fessier de mes mains. Mes yeux étaient tellement chaud, brulant de désir pour elle, j'avais envie de la manger sur place et en plus elle ne me donnait aucuns répit, elle me mordillait le lob d'oreille, je poussais un petit grognement de plaisir faut dire qu'elle visait celui qui me laissait jamais de marbre, elle savait mon point faible alors je cédais à mon tour l'embrassant langoureusement sans aucuns complexes, sans ménagement, ma main droit dans ses cheveux, l'autre sur son fessier que je poussais vers mon bassin, ma langue s'amusait avec la sienne, ma respiration s'accélérait de plus en plus. Elle me manquait tellement, j'avais l'impression de la retrouver peu à peu à travers notre étreinte, nos regards, nos gestes l'un envers l'autre, je retrouvais cette femme que j'aimais par-dessus tout, les disputes semblaient si lointaines désormais c'était remplacé par nos rires et nos regards remplient d'un désir certain pour l'autre. Elle murmurait, je souriais à ce qu'elle osait me dire, j'aimais l'entendre, j'aimais sentir sa main sous mon t-shirt plus désireuse, elle caressait ma peau remontant légèrement, son touché était chaud, j'avalais ma salive alors qu'une voiture se faisait entendre puis un avion se posait pas très loin de nous. C'était raté pour notre câlin et en même temps ce n'était pas plus mal, on avait dit qu'on se donnait du temps, on allait se l'accorder. "Pas maintenant, je ne suis pas un homme facile Kovalevski." Dis-je en me redressant un peu, je passais mes mains dans les cheveux d'Anya pour la peigner, c'est dingue on était arrivés ici à 5h, on avait volé une bonne demi heure et voilà que tout prenait fin, j'étais déçu que le temps passe si rapidement. A califourchon toujours sur moi, j'emprisonnais son visage embrassant à plusieurs reprises ses lèvres comme si elle allait m'être enlevé après tout son anniversaire n'était pas si loin et ce jour là, Andy venait alors oui elle me serait enlevée. "On termine de déjeuner, de profiter et après je te libère." Dis-je en voyant notre voiture avec chauffeur garé un peu plus loin. Au moins personne posait le regard sur nous même les deux pilotes chargés de remorquer le planeur.

Je n'avais pas entendu la voiture arrivée, ni même un avion se poser près de nous, j'étais complètement à lui. Je m'étais concentrée sur lui, totalement et c'est bien pour cela que lorsqu'il me disait pas maintenant, j'eu un grand mouvement de recul. Je tournais la tête lorsqu'il tentait de déposer des baisers sur mes lèvres, repoussant un peu sa main, non pas dans un mouvement brusque mais léger, pour me recoiffer toute seule. J'étais totalement abasourdis et dégouté. Il me fait des avances, me dit d'arrêter au risque d'avoir un léger problème technique et quand je m'offre à lui, il me dit pas maintenant. Rude. J'ai terminé de déjeuner, tu sais, je mange pas énormément le matin dis-je , à genoux sur la couverture, terminant rapidement mon café comme pour partir au plus vite de cet endroit, je me sentais juste honteuse et mal à l'aise en cet instant, j'imposais des règles, je ne les respectai pas et en plus, il me repoussait. Peut être qu'on devrait rentrer finalement ... je suis fatiguée, je vais aller me coucher je pense Il avait juste tout gâché, m'avait totalement refroidis pour mettre à nouveau ce mur invisible entre nous.

La chute était rude, fallait la voir se détacher de moi comme ça, elle se foutait de ma gueule c'est ça? Elle refusait pas qu'on la repousse je le savais mais je n'allais quand même pas la prendre ici face à d'autres paires d'œil non? Franchement pour le coup je la trouvais un peu mauvaise, j'avais l'impression que dès la moindre faille, dès que quelque chose lui déplairait elle allait me le reprocher. "D'accord." Je n'allais pas bataillé, je le prenais affreusement mal, je faisais tout ça, elle ne voyait que le rejet, ce rendait-elle compte de toute l'organisation que j'avais pu mettre dans ce projet, le fait de choisir ce qu'elle aimait prendre le matin sans compter hier à voyager allée-retour pour voir si je pouvais toujours voler sans la mettre en danger, pour voir les terrains ou on pourrait se poser sans souci, bien sur que non, elle était égocentrique. Ah qu'est-ce que j'avais la haine, je rangeais toutes les affaires, je prenais les couvertures au sol une fois qu'elle était debout, quelle idée à la con. Je pestais, j'avançais vers le véhicule en me battant avec le coussin qui glissait de mes mains quand le chauffeur venait m'aider pour fourrer le tout dans le coffre. J'étais silencieux en montant dans la voiture, je ne voulais rien dire que je regrettais même si je commençais à me dire que tout ceci n'était qu'une erreur, la prochaine fois je ferais comme tous les autres mecs de cette terre je l'inviterai à faire des activités ennuyante comme le cinéma ou le bowling au moins je prendrais pas la tête si ça tourne en sucette. "A l'hotel." Répondais-je au chauffeur qui me demandait notre destination. La voiture assez grande me permettait de tendre mes jambes pour que je puisse me reposer.