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i always love you ✱ maxille

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Tu le savais depuis le début. Tu savais que tu étais juste incapable de te défaire de lui. C'était comme ça et probablement que ça le resterait toujours. Tu pouvais pas aller contre ce que tu ressentais et c'était tellement puissant que dans tout les cas, tu serais stupide de te battre contre. Tu ne pouvais juste pas parce que tu avais besoin de lui. T'avais besoin de sentir sa peau, d'entendre sa voix et de profiter de chaque instant qu'il pourrait te donner. Au final, la seule chose que tu savais était que tu étais incapable de partir loin de lui. La preuve était que t'avais succombé à ses bras parce qu'il t'étais juste impossible de résister. Tu ne te sentais vivante seulement quand il était à proximité. Alors oui, c'est quelques jours sans lui c'était l'enfer. Comme si tout autour de toi était complètement néfaste en somme. Il pouvait rien t'arriver de bon si y avait pas Max pour partager chaque instant avec toi. C'était comme ça et pas autrement. T'inspirais un coup refermant un peu plus ta prise sur lui et il ne bougeait pas. C'était tout ce que tu voulais. Rester emprisonner dans ses bras pendant des heures et des heures. Faire comme si vous étiez heureux et que rien n'était venu entacher votre petit monde. Et il reprenait la parole alors que t'avais totalement perdu la notion du temps. « Reste.. » C'était comme si ce simple mot arrivait à soigner tes plaies. Réellement. Pourtant, t'avais la sensation que les choses ne seraient pas aussi facile que ça. Que la tempête était à proximité et qu'elle n'allait pas tarder à débarquer plus puissante que jamais. « Tu veux toujours de moi ? »
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J'étais tombé amoureux d'elle, genre vraiment. Un amour foudroyant et effrayant. Mais on dit que tomber signifie se briser. Il était clair que là, j'étais bien plus que brisé, j'étais détruit. Elle m'avait tourné le dos sans raison valable. Certes, j'avais embrassé une autre fille lors d'un jeu - et donc pas vraiment sous ma volonté, mais celle du jeu - et voilà, elle avait rompu, me laissant au plus bas parce que je voulais continuer à écrire une histoire avec elle. C'était peut-être trop tôt pour dire que c'était la femme de ma vie ou quoi, mais elle avait le potentiel pour l'être, c'était une certitude. Je l'aimais putain, ça me consumait tellement que j'en avais mal, de ressentir cet amour. Et pourtant, je ne pouvais rien faire pour atténuer cette douleur. Sauf céder à mes pulsions, comme je venais de le faire. Elle était allongée sous moi et je ne bougeais pas, restant alors planté là avec mon visage enfoui contre sa peau, me laissant le plaisir de me délecter de son odeur bien à elle. Putain j'étais vraiment amoureux d'elle, elle était à moi et je n'avais pas envie que quiconque ne l'ait. Ce genre de pensées me faisait peur, mais je ne pouvais pourtant pas les réfréner. « Tu veux toujours de moi ? » Sans bouger, restant exactement à la même place, je ne disais aucun mot. Est-ce que je voulais toujours d'elle malgré le mal qu'elle me fait ? Bien sûr putain.. bien sûr. Parce qu'en plus de me faire du mal, elle me faisait tellement de bien et ça, c'était juste non négligeable. Commençant alors à déposer mes lèvres contre sa peau, je remontais doucement le long de sa mâchoire et j'atteignais enfin ses lèvres, ne me faisant pas prier pour lui prodiguer un baiser loin d'être chaste.
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Au fond t'y croyais pas vraiment. En fait, tu te disais surtout que tu lui avais fais du mal à lui aussi. Et même si toi tu souffrais de ne plus être avec, même si t'avais mal comme jamais, c'était toi qui avait prit cette décision alors forcément, y avait rien qui l'obligeais à te pardonner ni même à retenter quoi que ce soit avec toi. Alors ouais, t'étais sceptique. Et puis peut être que là t'avais peur qu'il te réponde que non. Parce que ça pouvait arriver pas vrai ? Il pouvait te dire que non et tu serais sûrement la personne la plus misérable au monde par la suite. Et c'était hyper stressant parce que t'avais pas de réponse. Est ce que t'étais censée l'interpréter ? Parce que du coup tu trouvais ça hyper négatif toi. Pourquoi il répondait pas ? Il pouvait pas dire quelque chose. Ok, t'allais paniquer. T'allais vraiment paniquer s'il ne disait rien. Peut être même te mettre à pleurer. T'inspirais lentement comme pour te calmer alors que tu sentais finalement ses lèvres sur ta peau. Mine de rien ça t'apaisais un peu. Tu frissonnais quand il remontait le long de ta mâchoire avant de complètement succomber quand il s'arrêtait sur ta bouche. C'était ça ta réponse ? Parce que du coup, c'était complètement positif. Tu lui rendais son baiser encore et encore incapable de te détacher de lui. T'étais même prête à te laisser étouffer tellement t'avais aucune envie d'arrêter ce moment. Mais faudrait peut être une discussion pas vrai ? Un vrai échange pour vous mettre d'accord parce que forcément, tout était encore trop flou pour le moment.
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Je n'avais pas envie de m'engueuler encore avec elle, je ne sais pas si j'arriverai à le supporter en fait, alors je faisais ce que je savais faire de mieux dans ce genre de situation : faire l'autruche. Et on pourrait même dire que je le faisais littéralement parce que j'avais enfoui ma tête dans son cou, me cachant alors de tout le reste. Et puis elle m'avait répondu à mon "Reste", chose à laquelle je devais m'attendre mais qui me décontenançait quand même un peu. Du coup, pour seule réponse, elle recevait mes baisers. Ils venaient se déposer dans son cou, remontant doucement sa mâchoire pour finir leur course sur ses lèvres. Je ne pouvais pas parler. Je ne voulais pas m'engueuler avec elle, je ne voulais pas dire des choses que je regrette alors ouais, je l'embrassais parce que c'était tellement plus facile. Ouais, je choisissais la facilité parce que je n'avais pas vraiment le choix. Je me doutais qu'elle s'attendait à une autre réponse mais je n'en avais pas d'autre. J'étais mitigé. J'avais envie qu'elle reste parce que oui, j'voulais encore d'elle. Mais la partie blessée de moi ne cessait de me crier d'arrêter, que c'était mal et que j'allais encore souffrir si je restais à côté d'elle, amoureux d'elle. « Je t'aime... si tu savais comme j't'aime.. » disais-je doucement alors que je continuais de l'embrasser, préférant agir que parler.
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Est ce que ça allait arriver ? T'avais bien peur que oui. Parce que même si vous le vouliez, vous étiez tout les deux conscients que vous ne pouviez pas faire comme si rien ne s'était passé. T'avais vécu un calvaire sans lui et t'étais totalement consciente que de son côté ce n'était peut être pas mieux. Sauf que t'étais la seule à blâmer puisque tout était entièrement de ta faute. C'était sûrement ça le pire. Savoir encore et toujours que c'était à cause de toi. Et qu'est ce que tu pouvais faire contre ? Sûrement rien. Maintenant, t'avais juste la trouille. Peur de ce qu'il pourrait dire quand il serait venu le temps de la discussion. Ouais, t'avais réellement peur parce que quelque part, t'avais la sensation que ce serait encore pire que les fois précédentes. Vous n'étiez pas tendre entre vous. Vous aviez ce don de vous blessez continuellement alors forcément, ça allait faire mal. Plus que mal. « Je t'aime... si tu savais comme j't'aime.. » Et pour le moment, ses paroles te mettais un peu de baume au coeur. Tu te sentais mieux. Plus vivante. Parce que l'amour de Max était le seul truc qui te maintenait à la surfance. L'entendre dire qu'il t'aimait c'était sûrement la plus belle des choses. Tu profitais encore une fois de ses lèvres sur les tiennes raffermissant ta prise sur lui un peu plus. Tu voulais pas partir, tu voulais pas qu'il te demande de t'en aller. Tu voulais rien de tout ça. Juste être heureuse avec lui, voilà. « Personne ne t'aimeras jamais comme je t'aime. »
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J'avais peur de la confronter, pour la simple et bonne raison que rien de bon n'en sortirait. En fait, ouais, c'était ça ma plus grande peur. La perdre pour toujours et ne jamais la récupérer. C'était bien pour ça que je ne voulais pas me défaire de son corps, de ses lèvres. J'veux dire, quand on est avec la personne qu'on aime, on veut pas la quitter, pour quelque raison que ce soit. Donc c'était pour cette raison que je ne bougeais pas des bras de la jeune Dunster, me délectant de chaque contact que nous avions ensemble. Nos deux corps dénudés collés l'un à l'autre, nos lèvres échangeant alors des baisers langoureux. Mon coeur battait la chamade et je n'avais aucunement envie de le stopper, aucunement. D'ailleurs, je n'avais pas su m'empêcher de lui dire ce que je ressentais parce que bordel, c'était fort, tellement fort que je pouvais juste pas le garder, elle devait le savoir, et j'avais besoin qu'elle l'entende. « Personne ne t'aimeras jamais comme je t'aime. » On continuait de s'embrasser, l'étreinte que nous avions l'un envers l'autre se resserrant un peu plus à chaque instant. Ouais, je l'aimais bordel, et elle m'aimait. Alors pourquoi on pouvait juste pas être heureux ensemble? Hein? C'était juste trop compliqué ? Bullshit.
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C'était impossible que ça arrive un jour. Pour la simple et bonne raison que tu donnerais ta vie pour la sienne et que peu de gens ferait ça par amour. Alors non, personne ne pourrait jamais lui donner autant que toi. Personne ne pourrait jamais rien que dire qu'il l'aimait plus que toi. C'était impossible, t'en étais convaincu. T'aimais Max d'une façon totalement déraisonnable et personne ne pourrait vivre ça. C'était pire qu'un coup de foudre. Mieux que ça. T'étais convaincu que ta vie serait avec lui et si ce n'était pas le cas, tu ne voulais personne d'autre que lui. T'étais bien trop malheureuse sans sa présence, c'était un fait. T'enfouissais ta tête dans son cou te délectant de son odeur et restant ainsi sans bouger pendant quelques minutes. Juste respirant son odeur encore et encore. « Je t'aime tellement. » D'une façon inimaginable. C'était destructeur d'aimer quelqu'un à ce point là, tu le savais. Mais c'était encore plus destructeur de ne pas être avec alors non. Putain, tu pouvais bien mettre ta fierté de côté pendant quelques minutes non ? Tu pouvais bien essayer de le récupérer pas vrai ? Parce que jamais tu ne le laisserais partir avec quelqu'un d'autre, c'était impossible.
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J'avais envie de lui dire de rester, de ne plus jamais me quitter. Mais ces mots ne trouvaient pas leur chemin jusqu'à ma bouche. Putain qu'est-ce que j'avais envie de les dire pourtant. Mais non, nada, rien. Et c'était compliqué à gérer parce que ça allait à l'encontre de tout ce que je désirais. Je voulais être heureux et ce n'était qu'en sa compagnie, je le savais. « Je t'aime tellement. » J'arrivais pas à me détacher de son étreinte. C'était juste trop compliqué, je me sentais bien, rien que de sentir son souffle dans mon cou. Non, c'était impossible pour moi de bouger ne serait-ce que d'un pouce. Je n'en avais juste pas envie. Alors je restais toujours sur elle, glissant à mon tour mon visage dans son cou. Pourquoi bouger, hein? Pourquoi parler aussi, quand nos gestes parlent pour nous? Enfin, ça ne faisait pas tout non plus, nous étions toujours deux individus qui ne sont pas en couple, mais bon. Ne voulant pas me retrouver une nouvelle fois avec le coeur brisé, je restais silencieux, ne voulant pas lui répéter de rester. Après tout, peut-être qu'elle m'aimait mais qu'elle voulait garder sa "liberté" ? J'en avais aucune idée, ça m'bouffait et j'arrivais pas à me l'enlever de la tête. Juste.. impossible.
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Si jamais une autre fille l'approchait. Si jamais il était en couple avec quelqu'un d'autre, jamais tu ne te le pardonnerais. C'était impossible. Puis tu ne pourrais pas vivre avec ça. Mais.. Tu voulais prendre le temps d'y réfléchir. Le fait que tu viennes de coucher avec lui t'empêchais totalement de réfléchir correctement et.. Tu ne pouvais pas tout effacer comme ça même si tu le voulais. Tu déposais quelques baisers dans sa nuque avant de prendre une profonde inspiration. Ça te déchirais intérieurement mais.. Fallait que tu t'en ailles. Plus tu restais avec lui et plus t'étais faible. Il avait embrassé une autre fille et t'étais pas sûre de pouvoir lui pardonner au final. Jeu ou pas. T'avais besoin de temps, besoin de réfléchir réellement. Ta main caressait doucement son dos alors que tu savais que t'allais devoir t'en aller. C'était affreux. Affreux parce qu'en quittant cette pièce, t'aurais le coeur brisé. Totalement. Tu arrêtais tes caresses plaçant doucement ta main sous son visage pour pouvoir le regarder. Puis pour atteindre ses lèvres aussi. Un dernier baiser. « Je t'aimerais toujours » tu murmurais. Parce que oui, tu l'aimerais toujours. Mais les choses étaient plus compliqués que ça. Tu fermais les yeux quelques secondes avant de reprendre. « J'dois y aller. » Et t'étais sincèrement désolée.
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Si on était un peu comme dans une bulle, ça apportait les risques qu'il y avait avec. Notamment le fait que ça explose. Après tout, une bulle est du genre fragile et le moindre petit truc faisait qu'elle explosait. Pouf, comme ça. Et puis plus rien. C'était un peu ce qui risquait de se passer entre nous si on ne faisait pas attention, surtout qu'on était du genre à envenimer les choses assez rapidement. Bordel quoi, j'avais pas envie que ça s'arrête, j'étais juste trop bien en ce moment précis et... ouais, j'voulais rester ainsi pour toujours. « Je t'aimerais toujours » Je m'étais délecté de chacune des caresses qu'elle avait pu prodiguer à ma peau, à mon corps pendant ce laps de temps trop court à mon humble avis jusqu'à ce qu'elle s'arrête, se mettant à me regarder alors avant de fermer les yeux. J'inhalais alors son odeur, sentant alors la fin de notre étreinte arriver. « J'dois y aller. » Dans ta face Max. Genre bien de plein fouet, parce que c'est pas drôle sinon. Me décalant alors, je m'allongeais sur le côté, enlevant la capote que je jetais à la poubelle après m'être levé du lit, sans faire le pudique et puis j'enfilais mon boxer. « Okay, okay » J'allais mal, c'était une certitude.
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