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i always love you ✱ maxille

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Et puis ça aussi tu pouvais te passer de le dire. Parce que tu l'avais quitté non ? Alors c'était pas juste de lui parler de tes sentiments aussi réel soit-il. Parce que tu le voyais déjà venir de loin. Il pourrait t'envoyer au visage que quand on aimait quelqu'un on ne le quittait pas. Ce qui au final était un argument plutôt légitime même si.. Même s'il t'avais blessé et que c'était en partit ce qui avait précipité tout ça. Ouais. Peut être que sans ce baiser, tout irait toujours bien entre vous. Peut être ou peut être pas. T'avais parfois l'impression qu'il ne comprenait pas vraiment tes raisons et pourtant.. Pourtant c'était logique non ? Sauf qu'au final, t'avais toujours aussi mal et un trou béant s'était formé dans ta poitrine depuis qu'il ne faisait plus partit de ta vie. Comme une sensation de vide. Y avait plus que le noir, le néant et tu ne revivais que dans ses bras. Il détachait ton soutien gorge et t'étais quasiment nu maintenant. Ce n'était plus qu'une question de seconde. Tu relevais même pas le fait qu'il ne répondait pas à tes paroles. Après tout, c'était pas tellement le moment de discuter. Vous auriez bien assez de temps par la suite pour vous hurlez dessus puisque c'était très probablement ce qui allait arriver. Une fois que vous auriez répondu à vos envies, que vous ne seriez plus aveuglés par vos retrouvailles, la tempête reviendrait. Tu le savais et sûrement qu'il le savait lui aussi. C'était comme ça, tu pouvais rien faire contre.
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J'étais avec une Vanille à moitié nue dans mon lit et bien sûr, j'étais excité à l'idée de ce que ça allait donner. Aussi, j'avais mis de côté toute la colère que je pouvais ressentir vis à vis d'elle, de la rupture que nous étions en train de vivre et du trou béant dans mon coeur depuis qu'elle a dit que nous étions terminés, elle et moi. Ses mots étaient gravés dans ma mémoire et ce, jusqu'à nouvel ordre. Je ne savais pas si un jour, j'arriverai à me défaire de l'expression sur son visage quand elle avait pris la décision de ne plus être ma copine, après avoir avoué que je n'étais pas bon pour elle. Je devais éviter de repenser à tout ça, parce que j'étais en train de l'embrasser, dans l'optique de coucher avec, juste parce que j'en avais envie. Son soutien-gorge retiré, je venais alors foutre mon visage contre sa poitrine, me délectant alors de chacune des parcelles de sa peau. Comment j'ai pu la laisser filer ? Elle était à moi cette fille, à moi. Putain, tous les mecs devaient comprendre que c'était même pas la peine de tenter de l'approcher, c'était chasse gardée. Je descendais ensuite mon visage pour embrasser son ventre, sa cicatrice même, pendant que mes mains venaient retirer le dernier bout de tissu qu'elle portait. Ouais, j'y allais franco parce que j'voulais plus attendre. Dès que ce fut fait, j'attrapais le préservatif, retirant mon boxer pour le foutre en place. Fallait bien sortir couvert, peut-être que le président Dunster avait des MST. Je voulais pas savoir, donc couvert. Et puis je remontais, sur elle, me glissant entre ses jambes que j'avais écarté moi-même puisqu'elle ne pouvait pas et je me laissais entrer en elle, afin d'assouvir ce désir qui montait en moi depuis qu'elle était dans la pièce. Mes lèvres contre les siennes, je murmurais simplement « T'es à moi » pour bien lui faire comprendre que, peu importe ce qui se passait, au final rien ne changeait.
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Et clairement, tu n'avais pas envie. Pas envie d'entendre les hurlements par la suite. T'étais fatiguée de vous voir vous déchirez encore et encore alors que l'un comme l'autre vous saviez pertinemment que vous étiez fait pour être ensemble. Tout ça ne rimait à rien. S'auto détruire encore et toujours puis coucher ensemble cédant à des pulsions humaines. C'était strictement inutile si derrière vous recommenciez encore une fois à vous blessez l'un l'autre à coup de mot meurtrier. Non, t'étais réellement fatiguée de tout ça. Tu sombrais doucement dans quelque chose qui ne te laisserais pas indemne et tu avais besoin de lui comme toujours. Vas y Vanille, dis lui. Mais non. Saloperie de fierté. Tu fermais les yeux te laissant aller sous ses baisers descendant le long de ton corps. T'avais oublié à quel point tu te sentais bien quand il s'agissait de lui et là, tu retrouvais ta raison d'être. Tes mains passait doucement dans ses cheveux alors qu'il venait embrasser ta cicatrice, geste te faisant frissonner plus que de raison. Et puis le reste allait plutôt vite. Vous vous retrouviez nu et Max finissait par entre à toi venant récupérer tes lèvres. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Dans quel monde étais-tu capable de vivre sans lui ? C'était inconcevable. Tu n'étais plus toi s'il n'y avait pas Max aux alentours. « T'es à moi » Qu'il disait. Et oui, tu voulais réellement lui appartenir mais.. Ce n'était plus le cas pas vrai ? Et comment t'allais faire pour arranger ce que tu avais brisé chez lui en t'en allant ? Peut être que tu ne le pourrais pas. Peut être que c'était trop tard et qu'en prenant les mauvaises décisions, t'avais fini par te détruire toi aussi. Tes mains venaient parcourir son dos pour profiter encore une fois de chaque zone de sa peau, c'était comme si tu redécouvrais tout chez lui alors qu'au final, tu le connaissais par coeur. « Toi t'es à moi. » Qu'il le veuille ou non. Pour toujours.
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Il était évident que pour moi, Vanille ne devait être avec aucun autre homme. Elle était mienne. Juste ça, elle était mienne et il était hors de question que les autres puissent la toucher. Déjà, j'devais casser la gueule du président Dunster, pour la simple et bonne raison qu'il a osé toucher celle qui a mon coeur. Rien que d'imaginer ce qui s'est passé entre eux me donne la gerbe. Genre vraiment, ça m'rendait malade, vert de jalousie et rouge de colère. Mais je préférais ne pas y penser en cet instant parce que j'avais Vanille dans mon lit, soumise au châtiment que mes lèvres faisaient sur sa peau. Et même que je ne tardais pas à venir en elle, tant j'avais envie d'elle. C'était ma copine, enfin techniquement non, mais elle l'était. Elle était à moi et je ne me gênais pas pour le lui dire. Certes la situation n'était pas propice à ce genre de petits mots, mais je m'en foutais, je l'avais sorti parce que je le pensais, tout simplement. « Toi t'es à moi. » Valait mieux pas qu'on commence à rentrer dans ce jeu là parce que ça pouvait finir en fight et c'était loin d'être le moment de commencer un fight. Putain, on était plus ensemble et on trouvait le moyen de coucher ensemble quand même. On était genre pas normaux quoi. Mes lèvres collées aux siennes, je continuais mes mouvements de va e vient en elle, le plaisir ne cessant alors d'augmenter au fur et à mesure que le temps passait. Il était certain que je ne pouvais pas me passer d'elle, genre vraiment pas. Et il fallait vraiment qu'on fasse un truc parce que je ne pouvais pas continuer comme ça, elle me manquait trop et j'avais besoin d'elle, ne serait-ce que pour être bien.
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Et c'était terriblement égoïste de penser un truc pareil mais malheureusement, tu ne pouvais pas faire autrement. Tu ne pouvais pas le partager, c'était juste impossible. Tu l'aimais beaucoup trop pour ça et que rien d'y penser ça te donnais envie de tout casser. Il était à toi putain. Juste à toi. Du moins, il l'était jusqu'à ce début de spring break. Maintenant, t'avais clairement perdu le droit de lui imposer quoi que ce soit. Et non, c'était pas possible. Tu pouvais pas continuer comme ça. T'avais besoin de lui tout le temps. Tu l'aimais merde. Tu l'aimais tellement que tu sauterais d'un pont si ça permettait de l'aider. Tu ferais tout et n'importe quoi pour le voir sourire et non.. A la place, t'étais responsable de son malheur. Connasse que tu étais. Un soupir sortait de ta bouche alors qu'il commençait ses vas et viens te faisant ressentir des vagues de plaisir toujours plus importante. Tes doigts s'accrochait sur sa peau et ton dos se cambrait un peu plus sous chaque mouvement donné. Suffisait de voir là pour comprendre que y avait qu'avec lui que ça fonctionnais. Ça ne pouvait être personne d'autre et tu voulais le récupérer. Réellement. Peu importait les efforts que ça te demanderais, t'allais le faire. T'allais devoir prendre sur toi et mettre de côté cette fierté qui allait finir par te bouffer. Peut être pas maintenant mais.. Fallait vraiment que tu le fasses ou tu pourrais définitivement le perdre et ça, tu savais que tu ne le supporterais pas.
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J'avais toujours du mal à bien vivre les ruptures, j'avais toujours eu du mal et c'était bien pour ça que j'me lançais dans des relations quand j'étais vraiment sûr. J'veux dire, c'est quoi le but quand tu penses que ça ne vaut pas la peine de se battre ? Vanille valait la peine, c'était une certitude. C'était bien pour cette raison que j'avais une réelle difficulté pour me défaire de son emprise. C'était pour cette raison que je me trouvais en sa compagnie dans le lit et que j'étais en train de coucher avec elle. Je l'avais dans la peau, c'était aussi simple que ça. Mes lèvres sur les siennes, je ne disais plus rien, je me contentais de l'embrasser et de continuer les mouvements qui nous procuraient à tous les deux du plaisir, en plus de nous lier d'une façon si primaire. Nous ne ferions bientôt plus qu'un, dès que la réalité nous frappera d'un coup. On est faits l'un pour l'autre putain alors pourquoi m'avait-elle quitté ? Pourquoi ? Une part de moi la détestait de m'avoir abandonné de la sorte, même si c'est un juste retour des choses puisque c'était ce que je voulais faire plusieurs semaines auparavant. Quoiqu'il en soit, je venais glisser mon visage dans son cou, y trouvant un certain réconfort et refuge. Je n'avais pas envie de la laisser partir, j'avais pas envie de m'engueuler avec elle et je voulais juste que le temps s'arrête et puisse voir à quel point on s'aime, en ce moment précis. Putain ouais je l'aimais et c'était pour ça que tout était si difficile à vivre. Je l'aime et je ne voulais pas la laisser partir.
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Une vie sans Max c'était clairement pas une vie. Et pourtant, c'était toi qui avait prit le risque de peut être le perdre définitivement en le quittant de la sorte. Et tout ça pour quoi ? Pour une simple dispute ? Est ce que tu n'aurais pas pu agir normalement pour une fois ? Lui hurler une bonne fois pour toute dessus mais concevoir que ce n'était qu'un jeu et par conséquent une simple erreur de sa part. Fallait croire que non. Et même s'il te manquait, la pilule avait toujours du mal à passer pour la simple et bonne raison que pour toi, il aurait été inconcevable que t'ailles embrasser une autre personne même s'il ne s'agissait que d'un pari. Alors pourquoi est ce qu'il avait fait ça hein ? Il savait pourtant que tu manquais affreusement de confiance en toi. Il savait aussi que tu ne comprenais pas pourquoi il restait avec toi et que depuis ton incapacité à marcher, t'avais constamment peur qu'il finisse par partir pour une fille plus mobile. Alors ouais, pourquoi est ce qu'il avait tout de même tenté le coup ? C'était idiot de sa part. T'inspirais son odeur à plein poumon alors que le plaisir s'intensifiait sous le rythme de ses mouvements. Il t'avais manqué, beaucoup trop. Tu ne pouvais même pas concevoir qu'après ça, vous retourneriez chacun dans votre souffrance mutuelle. C'était pas possible d'être aussi stupide. Il l'était autant que toi et non, tu ne voulais pas que ça s'arrête après cette acte. Tu ne pouvais pas juste repartir faire ta vie de ton côté comme si ça ne signifiait rien. Et pourtant, c'était ce que tu allais faire non ?
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Bien évidemment, je profitais du mieux possible ce moment que nous étions en train d'échanger elle et moi, parce que dès que la réalité nous rattrapera, ce ne sera plus des bisous et des câlins, mais des insultes et autres mots durs qu'on s'enverra à la tronche. Je savais qu'elle m'aimait, je savais que je l'aimais. Mais visiblement c'était loin d'être assez pour que nous soyons heureux en couple elle et moi. Elle n'est pas capable de faire la part des choses et elle prend tout trop à coeur. Je dis pas que je suis pas pareil, parce que je sais que c'est le cas. Seulement la situation s'est présentée de cette manière et maintenant on en est là. Tous les deux misérables, n'arrivant clairement pas à nous passer de l'autre. Sinon, comment expliquer le fait que nous étions dans le même lit ? Il n'y a pas d'autre explication, tout simplement. Sentant alors le plaisir augmenter considérablement depuis mes derniers mouvements, je savais que nous n'allions pas tarder à connaitre la jouissance. En même temps ? Aucune idée. C'était l'idée ouais, mais je n'savais pas du tout si ça serait le cas. Après tout, on était un peu rouillés tous les deux. On a connu aussi bien elle que moi d'autres personnes peut-être mieux.. enfin, je parle pour elle parce que moi, c'était pas du tout le cas, et au final, ensemble ça ne rend plus pareil ? Rha, j'en ai aucune idée et je préférais ne pas trop me poser de questions. Ca me stressait, ça me crispait et ça rendait l'acte beaucoup moins bien.
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Au fond, t'avais pas envie. Pas envie de quitter ce lit ni même sa chambre. Pas envie de quitter la chaleur réconfortante de ses bras pour retrouver ton propre malheur. Mais quoi ? A la fin de l'acte allais tu lui dire que t'étais désolée ? Que tu voulais tout recommencer ? Tu savais pas vraiment si tu pourrais. Si t'en aurais la force. Et puis, qu'est ce qui te disais qu'il voulait encore de toi après ce que tu avais fais ? Peut être qu'il était trop blessé pour te laisser une nouvelle chance et au fond, t'avais pas envie de le savoir. Tu préférais autant continuer à souffrir en sachant que tout était de ta faute plutôt que te faire détruire en apprenant qu'il ne voulait plus de toi. Des gémissements plus prononcés filtraient de tes lèvres et dans un dernier soupir, t'atteignais ton orgasme alors que ton coeur battait à un rythme effrené. Non, tu ne voulais pas que ce soit la fin. Pas maintenant. Et pourtant, au fond, tu savais que ce n'était qu'une question de minute. Pas plus. Peut être qu'il ne te mettrait pas dehors mais il n'allait certainement pas t'autoriser à rester là. Alors une dernière fois tu venais chercher ses lèvres voulant en profiter encore un peu et tu lui donnais un baiser tendre signe de ton amour pour lui. Tu vivais Max, tu respirais Max et.. T'enroulais tes bras autour de lui comme pour le forcer à rester là. Pour l'empêcher de partir et de se décoller de toi. Et tu sentais qu'il était crispé, que y avait un truc qui venait tout à coup de le bloquer mais.. Tu pouvais pas le laisser partir. T'avais besoin de lui.
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La situation était bien trop compliquée pour que j'y pense alors que j'étais en train de coucher avec elle. Je pouvais tout simplement pas me permettre de laisser tout ça prendre mon esprit quand je devais rester concentrer sur le positif. Le positif, quel était-il ? Et bien tout simplement elle était dans ma chambre. Je crois que c'était suffisant non ? Ouais, clairement. Du coup j'coupais toute pensée négative, toute pensée tout court et je continuais de lui faire l'amour, comme j'aimais le faire depuis maintenant un moment maintenant. On était ensemble depuis fin novembre donc... ouais, quelques mois. Elle ne l'avait jamais fait avant moi et j'ose espérer qu'elle ne l'avait pas fait durant cette rupture. Putain sérieux, on pouvait pas juste continuer comme ça. On pouvait juste pas. Je l'aimais et j'voulais être avec elle, ça m'bouffait littéralement. L'entendant soupirer bien plus fréquemment, je sentais que c'était la fin pour elle et dans un dernier mouvement, elle venait en même temps que moi. Délivrance, libération, tout ce que vous voulez. Le fait est que je n'avais pas envie de bouger tout simplement parce qu'elle était la femme que j'aime et que j'aimais sentir son odeur comme ça. D'ailleurs, j'avais cette impression que c'était le cas pour elle aussi puisque ses bras venaient s'enrouler autour de moi après qu'elle m'ait embrassé. Glissant ma tête dans son cou, je restais comme ça pendant un moment, ne faisant pas gaffe au temps qui passait. Et finalement, je lui faisais tout simplement « Reste.. » Moment de faiblesse, lui demandant donc de rester, dans cette chambre, avec moi, qu'importe. Qu'elle reste, tout simplement.
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