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Depuis qu'il étudiait à Harvard, Alejandro avait un peu réduit ces séances de voilier, mais en revanche, l'été, il se reprenait, puisqu'il avait plus de temps libres, entre autre. C'est ce qu'il devait expliquer à Orlane, qui se montrait curieuse d'en savoir plus.
-Pas autant que je le souhaiterais, mais oui, quand même, je m'offre des week-end de temps en temps. J'en fais surtout un grand usage l'été.
On sait combien l'Espagnol privilégie ces études en tout temps. Une fois dans l'eau, le beau brun se montrait curieux à son tour, pour savoir ce que la jeune femme lui trouve au juste. Il eut droit à de belles énumérations, tellement, qu'il fit une petite blague sur l'amour. N'en fallait pas plus pour qu'Orlane se replie en bon ordre.
-M'effrayer? Oh, tu es terrifiante mar azul.
Alejandro blaguait bien sûr. Ceci dit, il remarque bien combien Orlane a peur d'aimer et peut-être de l'être aussi. Il ne comprend pas trop pourquoi. Alejandro a toujours été assez à l'aise avec le fait d'aimer. Sauf qu'il admet que son cœur a tendance à voler d'une fille à l'autre. Ses passions s'éteignent vites. Il n'était pas surpris de se faire poser la question à son tour. Un brin songeur, il prit quelques secondes de réflexion avant de répondre.
-Ton regard me fascine toujours autant, mais sinon... J'aime ta franchise, ta sensibilité, mais aussi ta liberté et ton indépendance. Certaines femmes sont plus dépendantes. Ce n'est pas désagréable, mais j'aime bien ce que tu es: pleine et entière.
Alejandro nageait alors en direction du voilier et se hissait grâce à la petite échelle, avant d'aller ramasser la serviette et de s'essuyer le visage un peu.
-Je ne sais pas si c'est moi, mais c'est frais quand même à la longue!
-Pas autant que je le souhaiterais, mais oui, quand même, je m'offre des week-end de temps en temps. J'en fais surtout un grand usage l'été.
On sait combien l'Espagnol privilégie ces études en tout temps. Une fois dans l'eau, le beau brun se montrait curieux à son tour, pour savoir ce que la jeune femme lui trouve au juste. Il eut droit à de belles énumérations, tellement, qu'il fit une petite blague sur l'amour. N'en fallait pas plus pour qu'Orlane se replie en bon ordre.
-M'effrayer? Oh, tu es terrifiante mar azul.
Alejandro blaguait bien sûr. Ceci dit, il remarque bien combien Orlane a peur d'aimer et peut-être de l'être aussi. Il ne comprend pas trop pourquoi. Alejandro a toujours été assez à l'aise avec le fait d'aimer. Sauf qu'il admet que son cœur a tendance à voler d'une fille à l'autre. Ses passions s'éteignent vites. Il n'était pas surpris de se faire poser la question à son tour. Un brin songeur, il prit quelques secondes de réflexion avant de répondre.
-Ton regard me fascine toujours autant, mais sinon... J'aime ta franchise, ta sensibilité, mais aussi ta liberté et ton indépendance. Certaines femmes sont plus dépendantes. Ce n'est pas désagréable, mais j'aime bien ce que tu es: pleine et entière.
Alejandro nageait alors en direction du voilier et se hissait grâce à la petite échelle, avant d'aller ramasser la serviette et de s'essuyer le visage un peu.
-Je ne sais pas si c'est moi, mais c'est frais quand même à la longue!
Copyright Clochette
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