KENYA ▬ Valentine's day

Je riais à sa remarque. "Tu vois pas que je te rend hommage? Hommage à notre rencontre quand tu m'as accroché au radiateur de ma chambre à mon anniversaire." Je lui rappelais même si je pense qu'elle s'en souvenait parfaitement, je me souvenais tellement de son regard content en partant de ma chambre. Je lui claquais les fesses, rieur, elle les relevait. "Oh mais avec plaisir." J'embrassais son fessier doucement, tendrement, ma langue sortait même un peu, sa position me faisait tellement envie que je pris une grosse inspiration pour pouvoir m'en détacher et me poser à ses cotés. "J'attends, plus tu parlera plus tu vas rester les fesses à l'heure. Non parle encore vas-y, ça me dérange pas." Dis-je très simplement. Chantage ou non, j'avais envie de l'emmerder, je m'en moquais de ses compliments, je voulais la voir un peu ramper pour avoir sa liberté. Elle se mouvait, je rigolais caressant ses fesses que je claquais encore une fois. "Arrête, tu vois pas que tu te fatigue pour rien en plus. Laisse tombé ta dignité allez dis moi tout ça et avec un peu de conviction." Je rigolais un peu alors qu'elle se lançait. J'écoutais amusé, je me mordais la joue pour ne éclater de rire, elle était vraiment en galère et moi je pouvais en profiter seulement quand elle me chuchotait des mots beaucoup plus chaud à mon oreille, je ne savais pas si c'est ce qu'elle pensait ou non. "Ta de la chance que tu ne veuilles rien faire, je t'aurais bien, bref..." Je la faisais se mettre à quatre pattes, moi derrière elle complètement habillé, je me penchais dans une position des plus suspecte et la détachait en soupirant, je peux vous dire que j'étais un peu déçu, que j'aurais bien aimé l'avoir ainsi mais non pas aujourd'hui. "Donne-moi tes poignets." Je me posais face à elle tendant mes mains pour lui masser doucement, au moins mon bracelet sera utile aujourd'hui pour lui couvrir l'une de ses marques, car oui je ne me voilais pas la face Anya était le genre de personne qui ne mettait pas des tonnes de bijoux même mes cadeaux.

Je te signal que ce jour là, tu m'as cherché quand même ! Tu m'as pris pour une pute dis-je encore horrifié. Sérieusement, tu le pensais vraiment ou tu avais trop bu et tu voulais m'énerver ? je fronçais un peu les sourcils d'ailleurs, attendant cette réponse qui m'était devenu presque indispensable. Une claque sur les fesses, je lui demandais rapidement un bisous magique, je n'aimais pas vraiment ça, surtout dans ce contexte, j'avais l'impression d'être ... un objet et ... soumise ? Cependant son petit bisous me fit sourire Hey dis j'ai dis juste un bisous magique, n'en profite pas non plus. Je tendais de me défaire de sa conne de cravate, mais je n'y arrivais pas, il avait bien trop serré, alors je m'y ma dignité de côté pour le complimenter comme il me l'avait demandé. Mais il me claquait encore les fesses. Hey mais arrêtes de me claquer les fesses comme ça, j'ai l'impression d'être un bout de viande que tu prépares à cuire ... tu veut me faire cuire c'est ça ? demandais-je en riant un peu, je continuais dans les compliments, lui en faisant des plus intimes à l'oreille Je crois qu'en moins de 24heures, tu m'as assez .. bref je le refaisais sur ses derniers mots, un sourire aux lèvres alors qu'il me défaisait enfin les poignets AMEN ! Cependant, la position qu'il prit, je tournais la tête un peu vers lui, lui donnant un petit coup de fessier en riant, je dois dire que c'était assez explicite. Une fois face à face, je le laissais me masser les poignets tendrement que je regardais. Merdes Kenny , regardes mon poignet j'étais un peu ahurie face à cette marque que je regardais d'un peu plus prêt. J'ai intérêt à garder ma veste en prenant Alessia, sinon je vois déjà ta mère venir de loin à me regarder étrangement et à me donner des conseils ou oui, sa mère n'était pas pudique pour ça, je me souviens encore de cette horrible fois ou elle nous avait conseillé lorsque j'étais enceinte. J'aurais aimé m'enfoncer dans le sol et me cacher à jamais.

"Je vais mourir avec ce secret." Je rigolais, je n'avouerais rien du tout, je ne lui dirais pas si j'avais pensé que c'était une pute comme elle disait ce jour là, d'ailleurs la robe qu'elle avait mon dieu ce qu'elle était belle. Je lui avais claqué deux fois les fesses, j'y pouvais rien j'adorais entendre le bruit qu'elle faisait sous ma main puis surtout poser mes lèvres dessus pour apaiser la douleur. "Je veux pas te faire cuire voyons, je te mangerais bien…" Sauf qu'elle me confiait que je l'avais trop fait ces derniers jours, je soupirais, ok comme si y avait que moi dans l'histoire, comme si Anya n'avait pas du tout profité de cet instant. Je me posais derrière elle retirant la cravate, j'avais plus envie de jouer même dans cette position quand me donnait un coup de fesse, ça ne me faisait plus rien juste une petite moue. "ça va passer." Dis-je doucement en lui massant, ce n'était pas non plus un rouge vif. "Merde ma mère faut que je l'appelle sinon tu vas rester avec elle pour le déjeuner demain soir." Anya et ma mère ensemble sans moi, je peux vous dire que ça devait être chaud bien que super intéressant. "Tu devrais d'ailleurs faire tes affaires." Je soupirais, je devenais tout morose, lâchant ses mains pour m'allonger et regardant le plafond, je déprimais de trop mais c'était nécessaire que je reste elle le savait, moi aussi seulement c'était dur pour moi, j'avais l'impression que notre vie serait comme ça, que je ne la verrais pas alors que non je me trompais mais sur le coup toutes les pensées négatives remontaient ce qui me donnait encore plus de matière pour réfléchir. "Je t'ai pas pris pour une pute quand je t'ai vu, je sais pas pourquoi je l'ai dis, tu m'intimidais un peu avec ton visage impassible mais tu me rendais curieux, j'avais envie de toi c'est vrai."

J'avais remarqué le changement d'humeur soudain lorsque je lui avais dis que se fut bien assez en moins de 24heures, il n'était plus aussi joueur, moins tendre et plus ... sérieux , plus morose. Je soupirais un peu, lui donnant un petit coup de fesses pour jouer mais rien. Alors qu'il était devant moi, je regardais mes poignets en soupirant un peu surtout en vue de la tête qu'il affichait. Peut-être mais c'est pas toi qui te promène avec ça dis-je un peu lasse tout à coup, moi aussi. Fais donc si elle ne peut pas attendre je levais les yeux au ciel et lorsqu'il me disait de préparer mes affaires je le regardais un peu .. surprise. Je sais bien que je dois le faire, mais le fait qu'il me le répète ne me plaisait guère, à croire qu'il avait envie que je parte. T'inquiète pas, je vais les faire dis-je en me redressant. Je vais prendre une douche avant passant ma langue contre mes lèvres, avant que je ne parte, il répondait enfin à la question que je lui avais posée tout à l'heure. J'hochais la têt à sa réponse, ravie de ne pas avoir été mise pour une prostituée. Ce n'était pas l'image que je voulais véhiculé, c'était d'ailleurs la première fois qu'on me disait ce genre de chose, car j'avais toujours eu le talent pour m'habiller avec élégance tout en sachant me mettre en valeur. ça me rassure un peu dis-je avec un petit sourire avant de m'engouffrer dans la salle de bain. Rapidement, j'allais dans la douche, faisant couler une eau chaude sur mon corps, j'augmentais même la température essayant de ne pas penser au comportement de Kenny si changeant tout à coup.

Anya devenait comme moi, morose, je sais que c'était à cause de ma personne mais je n'y pouvais rien, elle me manquait déjà, il restait désormais 4h avant son départ et je me voyais mal être ici tout seul alors oui il y avait Priape et sa famille mais moi je voulais mon épouse, je voulais m'amuser avec elle et lui tirer la langue, et la voir me faire des doigts d'honneur, rire quand j'étais gêné ou dans une sale situation, la voir me toucher les cheveux chose que je n'aurais jamais cru capable. Je soupirais, je décidais de lui avouer ce que j'avais pensé d'elle la première fois que mes yeux avaient croisés les siens. J'avalais ma salive alors qu'elle partait prendre sa douche, ni une, ni deux, je me déshabillais, je ne voulais pas de câlin, ça m'avait un peu refroidis sa phrase de tout à l'heure mais je la voulais contre moi. J'ouvrais la porte de douche dans ma tenue d'Adam pour glisser derrière elle et l'enlacer. "Reste." Murmurais-je à son oreille. "S'il te plait." C'était affreusement égoïste, je le savais, ça ne se faisait pas mais ma mère serait surement heureuse de garder Alessia, elle était en vacance en plus et je voyais bien que pouponner l'amusait puis nous on venait de sortir d'une grosse dispute et ça me brisait le cœur de la voir partir parce que j'avais l'impression de revenir plusieurs jours en arrière. Je la suppliais en plus chose qui ne m'arrivait que rarement. Je fermais les yeux mes mains qui la resserrait fortement, mon nez qui frôlait son oreille. "S'il te plait Anya." Répétais-je espérant qu'elle cède mais au fond je savais que demain elle allait s'embêter seule à la maison sauf si elle venait avec moi au boulot pour voir le projet qu'on allait faire sur son immeuble.

J'étais dans la douche, espérant juste que ma mauvaise humeur ne se dissipe dans les tuyaux d'écoulement d'eau. Kenny venait dans la douche lui aussi, je suppose que c'est plus pour moi, pour me parler qu'autre chose étant donné qu'il avait déjà pris sa douche et que justement, il était en serviette depuis tout à l'heure. Ses bras se refermaient contre moi, je n'ouvrais cependant pas les yeux, le visage toujours levé vers les jets de douche. Il me demandait de rester, me suppliant même. Je soupirais un peu en me laissant aller contre lui, enfin. Non je ne pouvais pas rester, je devais retourner à Cambridge, je devais récupérer notre fille mais aussi m'occuper de mes cours. Il me serrait encore et encore, je fermais les yeux un peu plus fort, pour finalement ouvrir les yeux. Kenny .... je me tournais vers lui en me mordillant la lèvre inférieur pour finalement me pincer la lèvre. Tu vas travailler, tu vas rentrer tard et moi je vais rester là, sur NY à flâner toute la journée alors que je dois aller en cours, que je dois m'occuper d'Alessia ? Tu sais bien que tu vas rentrer tard, que tu vas être fatigué en rentrant et qu'après le repas tu vas surement t'endormir, tu le sais bien, sinon tu me l'aurais proposé avant que les heures ne s'écoulent Je me poussais un peu de lui pour terminer de me rincer, prenant sa main pour qu'il profite lui aussi de l'eau chaude contre lui. Puis tu m'as dis que tu revenais mardi on est quoi, dimanche .. ça va vite passer je déposer un baiser contre son front, fermant les robinets ensuite. M'enroulant dans une serviette, j'enroulais celle de Kenny autour de son corps en le frictionnant pour le sécher. Lèves les bras dis-je en passant la serviette , regardant mes gestes. Je lui essuyais plus minutieusement le dos, les jambes, les pieds, le centre de son corps et enfin ses fesses que je claquais ensuite. ça c'est pour tout à l'heure darling !

Elle m'expliquait que ce n'était pas possible, je baissais les yeux, j'étais tout triste vraiment, je ne trouvais même pas la force de parler, je me sentais si dépendant d'elle, on avait une relation tellement forte que quand on se séparait je me retrouvais désemparé. "D'accord." Lâchais tout triste, je sortais, j'avais les yeux baisser, je croisais un peu les bras alors que pour la première fois elle me séchait, je souriais, c'était bizarre mais j'aimais bien. "Très bien chef." Je rigolais alors qu'elle me rendait tout sec, ma bonne humeur revenait peu à peu mais ce qui la faisait réellement revenir c'est son surnom vis-à-vis de moi et sa tape sur les fesses. "D’où tu te venge comme ça." Riais-je en l'attrapant dans mes bras pour l'embrasser tendrement. "J'ai lu dans le livre machin de Grey, qu'il filait des fessées à sa copine, je pourrais te faire de même alors je me méfierai." Je riais doucement, un jour je pense que j'essayerai sans la prévenir ça avait l'air de plaire à certaines femmes bien sur que je ne m'y prendrais pas sauvagement ou avec un ustensile juste avec ma main, cette idée me rendait nerveux, connaissant Anastasiya, je sais qu'elle serait prête à me coller une gifle, elle n'était pas du tout le genre de femme soumise. La déposant sur le sol, je décidais de poser la question qui m'avait plongé dans ma morosité tout à l'heure. "Tu as trouvé ça beaucoup ce que je t'ai fais en 24h je veux dire en câlin, tu me dis moi alors qu'on était deux, du coup je sais pas ça me dérange que tu t'inclus pas dedans, on dirait que je t'utilise comme un objet." Je faisais pas la grimace, mon visage ne trahissait rien du tout au contraire c'était sérieux totalement, je voulais vraiment une réponse sincère.

Sécher Kenny me faisait plaisir, me plaisait. Je le regardai avec un petit sourcil, surtout lorsqu'il obtempérais. Je riais au petit surnom qu'il me donnait Hey, j'aime ça quand tu m'appelles chef dis-je avec un large sourire. Je me venge comme je veux monsieur dis-je en haussant les épaules, jusqu'à ce qu'il ne me parle du livre qu'il m'avait offert Ahah, tu es pris la main dans le sac, tu l'as lu haussant deux fois de suite les sourcils, je l'écoutais un peu surprise par la suite de ses mots. Le jour ou tu me prendras sur tes genoux, que tu baisseras ma culotte pour me mettre une fessé n'est pas arrivé et n'est pas prêt d'arriver, je veux bien mettre ma fierté de côté de temps en temps, mais je trouve ça humiliant certes, j'avais lu le livre, certes j'avais été attiré par certain traits de l'histoire, mais ceux qui étaient portés sur le caractères, sur la personnalité des personnages, je n'en avais que faire des actes, même si je dois avouer que certain m'avait émoustillés lorsque je les lisais à côté de mon mari. Bien rapidement, il me faisait penser à autre chose avec son baiser, je lâchais un petit cri de surprise lorsque mes pieds ne touchaient plus le sol. Repliant d'ailleurs mes jambes, j'avais l'impression d'être dans l'un de ces films romantique, les cheveux dégoulinants en plus. Cependant, une fois posé au sol, les joues légèrement rosies par le baiser, j'arquais un sourcil en me reculant un peu pour le regarder. C'est ça qui t'as rendu si ... si distant ? demandais-je un peu interloqué. Du tout, j'ai dis ça comme ça, pour qu'on arrête parce que j'ai des choses à faire avant de partir et je sais bien que si je m'étais retrouvé encore dans tes bras, je n'aurais pas pu les faire et je n'aurais plus la volonté de partir, même si cette dernière reste encore à prouvé je levais les yeux au ciel, me retournant pour attraper le sèche cheveux. mais que veux-tu, c'est la vie bébé

"Et si je te disais que c'est l'un de mes fantasmes." Peut-être que ça marchera, non en fait je n'étais pas trop attiré par le coté sadomaso seulement j'étais bien curieux de voir ou Anastasiya serait prête à aller pour me faire plaisir. Bon d'accord, là c'était beaucoup trop demandé, je sais. Je riais un peu en l'embrassant, elle me manquerait c'est sur seulement nos retrouvailles allaient être belle, j'essayais de m'en convaincre et ça ne marchait pas, la seconde suivante, ma bonne humeur retombait un peu comme un soufflet alors je décidais de me lancer pour annoncer ce qui me tracassait. "Un peu." Je croisais les bras, je l'écoutais au début sans aucune expression sur mon visage puis peu à peu, il devenait plus beau, plus rayonnant, elle ne pouvait pas se séparer de moi, tant mieux, je me sentais moins seul dans ma dépendance. "Donc y a un moyen de te faire rester." Elle prenait son sèche cheveux, je me glissais derrière elle pour l'enlacer peut-être qu'à l'usure elle allait céder et rester avec moi. Je le voulais vraiment. "Allez…" boudais-je un peu en la regardant à travers le miroir mais je devinais rapidement que la réponse était non. "Je te parle plus." Dis-je en sortant de la salle de bain pour rejoindre la chambre. J'enfilais mon boxer et me glissais sous le drap, je déprimais pas vraiment mais peut-être que ma mascarade marcherait.

Je te dirais que tu n'as qu'à le réaliser seul, tu sais, tu peux aussi te donner la fessée à toi même dis-je en me donnant une tape sur une fesse pour illustrer mes propos J'me suis presque fait mal tellement elles sont fermes et musclées je riais en lui faisant un clin d'oeil, j'avais bien le droit de me lancer des fleurs, ça faisait bien longtemps qu'il n'avait pas complimenté mon fessier royal. Puis se fut après un tendre baiser que Kenny m'avouait la raison de sa mauvaise humeur, alors c'est en commençant à me sécher les cheveux que je lui répondis. Non Kenny arrêtes de suite, je suis armé ! dis-je en pointant le sèche cheveux vers lui, les deux mains sur le manche Allez ! Ousssssssst je m'approchais de lui, alors qu'il reculait avant de sortir de la salle de bain. Bon dieu, ne pouvait-il pas arrêter de me faire ce genre de chose, je devais rentrer, bien que l'envie ne m'en manque. Une fois mes cheveux sec, je mis juste un peu de mascara et du baume à lèvre pour les hydrater. Je sortais, j'allais dans ma valise pour prendre des sous vêtements, la chemise de Kenny que j'avais porté tout à l'heure et un jeans. Je rentrais la chemise à l'intérieure de mon jeans taille haute sans faire attention à bébé Kenny. Puisque tu fais l'enfant, je vais aller acheter des gâteau pour Candice toute seule avant de partir, d'ailleurs, je pense même que je vais prendre mes valises maintenant dis-je en me posant au bout du lit pour enfiler mes bottes. Rapidement, je me levais, j'enfilais mon manteau puis j'avançais à quatre pattes sur le lit pour déposer un baiser sur le front de Kenny. Bon ben ... au revoir