tu portes une culotte, aujourd'hui ? • Aarline

En fait, il l'imagine un peu partout. Contre un mur, sur ce canapé, par terre. Sous et sur le bureau. D'ailleurs, elle vient s'installer sur le bureau, s'y asseoir alors qu'elle déboutonne, peu à peu, son chemiser. Là, sa mâchoire est prête à tomber, plus bas que terre. Une petite grimace s'affiche sur son visage alors qu'il vient près d'elle. En fait.. Il vient à descendre son doigt le long du chemisier pour faire péter ? Ouais péter les boutons. Il entrouvre le chemisier pour retrouver sa poitrine caché par un soutien-gorge. Je préfère que tu l'enlèves complètement. Les chemisiers, ça ne te va pas. Pas du tout, même.

Ouais, c'était clair qu'il s'attendait pas à ce revirement de situation. Pas si soudainement. Suffisait de voir la tête qu'il faisait. Mais il s'reprenait assez vite puisqu'il avançait vers toi avant de carrément ruiner ton chemisier en pétant les boutons. « Faudrait que tu perdes l'habitude de défoncer mes affaires. » Bref, perdu pour perdu je l'enlevais. Il servait plus à grand chose de toute façon. Puis j'enroulais tes jambes autour de lui le forçant à s'coller à moi. Doucement, j'relevais son tee shirt laissant mes lèvres parcourir son torse avant de rire. « Tu voulais mon corps c'est ça ? Bah sers toi. » J'me foutais de perdre en fait. J'allais juste lui donner les raisons d'me courir encore plus après. Le rendre dépendant de ma personne et là, ça deviendrait réellement amusant.

Ouais, Aaron peut être complètement perdu avec elle. Elle ne sait absolument pas ce qu'elle veut ou alors, elle a juste tout prévu. Tant qu'il peut coucher avec elle, avec son consentement, franchement, le reste, il s'en fiche un peu. Bien qu'il adore ce jeu. De ses doigts, il fait péter les boutons de son chemiser. Rien à foutre. Ouais.. Quand je te vois, j'ai la seule envie d'arracher tout ce qui cache ton corps. Puis, faut dire qu'il n'a pas totalement découvert son corps... En fait, il ne sait pas s'il perdra cette habitude. Il aime arracher les choses. À ses propos et à son geste, il retire complètement son haut. Avant bien sûr d'avoir retiré sa veste. Oh oui, il va se servir et pas qu'un peu. Ses mains sur sa taille, il dépose ses lèvres sur les siennes pour un nouveau baiser, passionnel. Peu après, ses mains descendent sur le pantalon de la brune pour déboutonner ce foutu pantalon.

Faudrait vraiment qu'un jour j'arrête de jouer avec les gens mais pour ma défence, c'était lui qui le cherchait. S'il était pas revenu à la charge comme ça, j'aurais simplement tirée un trait sans me préoccuper une seule seconde du reste. Alors ouais, c'était lui qu'il fallait blâmer là. « Pourquoi je suis encore habillée alors ? » Je riais une nouvelle fois alors que mes baisers faisaient leurs effets. Il enlevait sa veste suivit de son tee shirt avant de s'emparer de mes lèvres. Et j'mordillais l'inférieure le tirant d'un coup sec pour qu'il tombe sur le bureau alors qu'il s'attaquait à mon jean. J'perdais peut être ce coup là puisque j'allais le laisser faire ce qu'il avait envie mais gagner une partie signifiait pas remporter le jeu et il était clair qu'il allait perdre en beauté avec moi comme concurrente.

Un baiser. Passionnel. Alors que ses mains se baladent et sur la taille de Charline avant d'arriver à son pantalon. Elle a raison, pourquoi, elle est encore habillée ? Faut vraiment y remédier. Promis, il va faire attention. Un sourire amusé l'accompagne alors qu'elle vient à s'allonger sur le bureau. Il se mordit la lèvre inférieure, rien qu'en la regardant. Elle est là, totalement à sa merci et bordel, il ne peut pas être patient. D'un baiser, ses mains parcourent son corps pour finir au pantalon, qu'il vient à faire glisser le long de ses jambes. Il revient au dessus d'elle, l'embrassant dans le cou, une main qui descend peu à peu à son entre-jambe.

J'pouvais dire ce que je voulais mais c'était dingue l'effet qu'il me faisait. Vraiment. J'avais l'impression d'être complètement en transe avec lui et là, j'rêvais juste de m'envoyer en l'air encore et encore avec lui. Il ne me restait plus que mes sous vêtements et à mon tour j'faisais glisser son pantalon alors que sa main descendait jusqu'à mon intimité m'procurant plus de frisson que de normal. Je mordais sauvagement sa lèvre l'faisant basculer pour me retrouver au dessus de lui. « Capote ? » Ma bouche venait parcourir son corps à nouveau et je défaisais mon soutien gorge le laissant tomber au sol avant d'sourire. La première fois, il avait pas eu ce loisir, fallait qu'il s'estime chanceux là non.

Tout deux sont rapidement en sous-vêtement mais là, il ne domine plus puisque Charline se retrouve au dessus de lui. Rah, il aime ça. Le brun pose ses mains sur les cuisses de la brune, serrant quelques fois. Il veut profiter de chaque parcelle de sa peau... Dans la poche de ma veste.. dit-il pour lui répondre alors qu'elle vient à défaire son soutien-gorge. Première fois qu'il voit sa poitrine, première fois qu'il la verra complètement nue. Son regard se pose plusieurs fois sur elle, il ne pouvait pas la lâcher. Comment le pourrait-il, hein ?

A peine avait-il répondu que je me penchais pour récupérer sa veste attrapant un des préservatif vraiment avant d'ouvrir le sachet avec mes dents. Bah voilà, il avait ce qu'il voulait non ? J'faisais glisser son caleçon mettant moi même la protection sur lui. Il était complètement nue et il ne me restait plus que mon boxer. En somme, on arrivait presque au moment. « A quel point t'as envie de moi ? » Je laissais mes doigts courir le long de sa peau sans pour autant le lâcher du regard une seule seconde.

Il n'attendit pas longtemps avant que la brune s'échappe pour attraper le préservatif, enlever son boxer et enfiler la protection. Assise sur lui, il ne la quitte pas des yeux, se mordant même la lèvre du bas, à ce paysage. Ouais, elle est un paysage. Faut le voir pour le croire, c'est tout, pas de secret. Au point que j'pourrais rater un devoir, tellement j'pense à ton corps. En gros, elle peut le déconcentrer en moins de deux secondes. Faut le faire, quand même. Quelque chose chez elle est intriguant et il veut savoir quoi, puis il y a son corps. En fait, il ne connait que son corps, maintenant. Tu tiens à cette petite culotte ? dit-il d'un sourire amusé.

« J'aime l'idée de te rendre dingue. » Vraiment. C'était plaisant et ça prouvait avec quelle facilité déconcertante je pourrais le faire tourner en rond par la suite. Que des avantages au final. J'prenais mon pied et j'pourrais aussi continuer à jouer ce genre de jeu malsain. « J'en ai une de rechange maintenant alors disons que non. » Il n'aurait qu'à m'en offrir une autre par la suite. Plus un chemisier tiens pour la peine puisqu'il semblait qu'il adorait me racheter ce qu'il détruisait. J'venais mordiller son oreille doucement alors que je finissais par murmurer. « T'es faible tu sais ? »