I'M IN NEW YORK, STATE OF MIND. (isaac)

« T'es toujours trop gentil Isaac. A croire que tout le côté méchant et pervers et partit chez Maxime. » dis-je en gloussant pour détendre l’atmosphère. Il était comme pris au piège dans une tornade qu'il avait crée lui même. Emprisonnait par de vieux démons, et contrôler par des pestes qui se prenne pour des princesses des temps modernes. J'aurais toucher deux mots à cette Charline si je la connaissait, mais d'après la description d'Isaac elle me donne tout sauf avoir envie de la connaître. Je hurle presque lorsque j’apprends l’existence d'une deuxième Roseburry. « Alors cette fille, c'est sa sœur jumelle ? Genre elles se ressemble comme deux gouttes d'eau ? Et elle s'appelle comment ? Elle est où en se moment ? Chrissy sait qu'elle existe ? » Parce qu'il y avait pas mal d'histoire dans ce genre là sur le campus, des jumeaux qui ne savait pas du tout qu'ils avaient des jumeaux et qui se retrouve dans un cours de philo ou entre deux personnes dans la queue de la cantine. « C'est dingue cette histoire.. Et donc toi et Chrissy au carré ? » dis-je pour en revenir à lui. Max et lui n'était pas jumeaux pour rien, Chrissy était déjà sortit avec mon cousin, et voilà qu'Isaac se tape sa copie conforme, y a pas assez de fille dans se monde pour qu'ils se tapent les mêmes personnes ?

Je passe ma main dans ses cheveux, comme le fait souvent Max pour l'embêter. Mais ça paraît plus comme une caresse qu'autre chose. Il était gentil et c'était l'un de ses nombrables qualités, mais il faut quand même faire gaffe à se faire prendre pour un con. « Et cette Charline, tu l'aimes plus que bien ou c'est juste un flirte ? » c'est sûre qu'avec Amen c'était plus profond qu'un coup d'un soir, quand on est conscient de prendre la première fois d'une personne, on ne s'amuse pas à le faire sur un coup de tête. A moins de s'appeler Macsen, lui n'a aucun remord lorsqu'il s'agit de prendre la virginité d'une fille, c'était même un jeu. Mais pour Isaac, c'était tout sauf un jeu. Il n'était de ce genre là, c'est pas un Jorden, c'est pas un Macsen, c'est un Jackson, mélange parfait entre gentillesse et dureté. « Carrie ? Chrissy et Carrie ? Wow. » j'suis sur le cul. Bon, j'avoue que la dernière fois que j'ai parler à Chrissy j'étais dans un état second, complètement à l'ouest. J'étais en sous vêtement sur son canapé et je ne savait plus ce que je raconter, entre mon envie de vomir et mes idées de me rouler dans l'herbe fraîche et jouer avec les pissenlits. « Tu craques ? Dans le sens sexuelle ou dans le sens vous êtes sur la même longueur d'onde ? Parce que moi aussi je craque sur Ryan Gosling. » dis-je dans un gloussement.

« Amen... Elle t'aimais, je crois. » je n'essaie pas de le culpabilisé, mais de lui faire voir en face. C'est une fille bien, une fille de bonne famille, prête à traverser un tsunami dans une tornade pour lui, et il avait pris ça à la légère. Je n'étais pas fâcher contre lui, ni même contrarier qu'il l'est maltraitée, mais je trouvais ça un peu trop rapide qu'il passe déjà à la nouvelle blonde qui sors de je ne sais où « Je ne veux pas te culpabilisé, mais tu devrais peut être prendre le temps de règle tes anciennes histoires de cœur avant de passer aux nouvelles ? Avoir une vrais discussion avec Amen, qui en souffre encore d'ailleurs, elle a refuser de m'accompagner à l'anti-st-valentin, alors qu'elle adore les anti-bal. » dis-je en gloussant un peu. Je passe une main dans mes cheveux, nerveuse, je ne voulais pas êtres du côté d'Amen ou du sien, je ne voulais être du côté de personne. Je voulais trouver un compromis, un truc qui arrangerais les deux partis. « Elle veut rester ami avec toi.. » comparer à Jorden et moi.

« Je suis sûre que tu vas bien faire les choses Isaac, t'es pas un bad boy, qui brise toutes les filles sur sont passage, comme si c'était des mikado. T'as un grand cœur, facile à troubler, mais si tu fais les choses bien, Amen restera amie avec toi. » Ce n'est pas comme si c'était l'amour de sa vie, certes, c'était sa première fois, certes, elle en avait souffert, certes c'est l'une des raisons pour laquelle elle était en totale déprime en plus d'autres soucis d'ordres familiaux. « Si j'ai réussi à oublier Jorden, elle arrivera à t'oublier. » Le monde est rempli de brun, sexy, elle pourra trouver son bonheur si j'ai réussi à trouver le mien. Le train commencait avait déjà quitté la région de Cambridge, et approcher déjà New York. Certain était même déjà près à se lever pour prendre leurs valises, et quitter les lieux en vitesse grand V. On avait un deal, oublier tout ce petit monde à Harvard et avoir un week end sans se demander si demain Pierre, Paul ou Jaques aller nous tomber dessus pour une raison X ou Y. Je passe une main protectrice sur l'épaule de mon cousin, et lui adresse un sourire. C'était notre week end, on avait le droit à une pause non ? De plus, les exams trimestrielle approcher à grand pas, ils nous fallait un petit break entre tant d'émotion. « Prêt pour un week-end de folie ? » dis-je en pointant l'affiche « Welcome in the big apple. » quand celle-ci défiler à grande vitesse sous nos yeux.

On arrête de parler de tout ça, c'était le deal. Une fois ici, vous n'êtes plus qu'Alaska et Isaac, deux jeunes adultes, travaillant dans une des plus grandes écoles de ce pays. Le train prévient qu'il s'arrête, tous les passagers sont déjà près à sortir, leurs valises à la main. « Tu prends les valises ! » dit-tu à ton cousin, alors que tu te faufiles entre les gens pour essayant de sortir. Un gros monsieur transpirant te dévisage avec ta jupe trop courte, et tu te contentes de lui tirais la langue comme une gamine. Les portes, s'ouvrent et tous les mondes se précipitent à l'extérieur. Tu pousses les gens autour de toi pour faire en sorte qu'Isaac est un chemin pour passait avec les valises. C'est fou comme ils sont pressaient, ils en deviennent carrément sauvage. Une fois dehors, tu lâches un énorme soupir, avant de te faire renverser par une pouf en talon haut, avec sa petite valise rose fluo à la main, elle te renverse et ne prend même pas le temps de se retourner, ni de s'excuser. « PROSTIPUTE. » hurle-tu, en essayant de te redressait. « C'est la savane ici ! » dit-tu a Isaac en vérifiant que tu es intacte, et qu'elle n'a pas abîmé ta jupe bien-aimée.

sorry:

Voilà que le train arrive à destination et bien entendu, Isaac va porter les valises. Ah les filles ! Vite qu'ils rejoignent l'hôtel car se trimbaler les valises, ça devient lassant. Mais, il reste amusé alors qu'Alaska disparut dans la foule. Alala, elle est incontrôlable. Ce week-end promet, je vous le dis ! Bref il réussit à prendre les valises puis à sortir de ce train de dingue. Il remarque Alaska, bousculée par une personne et sourit à son insulte. Héé, commence pas, tu veux. dit-il. Genre, il la sermonne mais gentiment. Bienvenue à New-York, hein ! Bon, il est où, cet hôtel ? demande-t-il en regardant tout autour de lui mais déjà, vaut mieux sortir de cette gare. Trop de monde. Une avalanche de new-yorkais et d'étrangers se bousculent pour sortir ou pour prendre un train. Isaac va vite étouffer.

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