I'M IN NEW YORK, STATE OF MIND. (isaac)

Les choses que je hais le plus à cet instant précis, c'est le froid, ma jupe trop courte et le faite que le soleil ne soit même pas levé. Max et moi avons eu notre petit moment, malgré la présence de Cora qui d'après moi faisait un peu trop barrage entre nous. Quoi qu'il en soit, il a dû être fâché par tout ça, parce que j'ai refusais d'être co-opérative avec cette blondasse décolorée, je n'ai pas eu de nouvelle depuis. Je me suis promis de passer un moment avec Isaac aussi, faut équilibrer les choses, trop de Laska d'un côté pourrais rendre jaloux l'autre côté, étant dans la même fase bad stuff que moi, je lui ai proposé un trip. J'veux dire, qui n'a jamais rêvais de faire un week-end à New York ? Ce la jouais à la sex and the city, prendre un petit déjuner chez tiffany's and co, se promener sur time square, manger leurs énorme humberger, boire un verre dans un bistro du coin et finir dans une comédie musicale à Broadway, pourquoi pas funny girl ? Ou encore Mamma Mia, c'était à 50% sûres d'être joué. J'avais tout planifié, il avait besoin d'un break, peut être plus que moi. Je le sentais déborder rien qu'à ses messages, je voulais le voir heureux après tout, dont la manœuvre Amen. Je vis sa silhouette entre deux obèses à la recherche de muffins, je priais pour qu'il est ramené un staburcks. « t'es en retard Jackson. » dis-je dans un sourire avant de l'enlacer.

Strabuck, Strabuck, Strabuck. Je lui saute presque dessus, en faisant gaffe au chocolat. J'avais une folle envie de me réchauffer. Non seulement parce que j'étais en mini-jupe, mais surtout parce que j'avais besoin de sucre à cette heures de la journée. « T'es un ange ! Et j'dis ça pas seulement pour le Strabuck, mais en générale. J'avais cherché des billets pour ce matin, mais impossible d'en trouver, t'as montrer ton derrière à qui pour en avoir ? » dis-je dans un rire. On se diriger vers le quai en direction de New-York, je tirais ma petite valise tout en buvant mon chocolat. Je suis victime de la mode, j'étais obligé de mettre ma jupe patineuse à la Carrie Bradshaw, pour me la jouer new-yorkaise. D'ailleurs, je remarque qu'Isaac aussi est super bien habillé. J'ouvre un peu sa veste du revers de la main pour remarque qu'il porte un hugo boss, j'ai eu un petit moment de fangirling en souriant grandement, MES CONSEILLES MODE MARCHE SUR QUELQU'UN AAAAAAAAWWW. « Tu mets un hugo boss, comme je dit à Elio de mettre depuis ses quinzes ans, et tu sais ce qu'il porte ? Des tee-shirt avec des trucs imprimés dessus, y a que les gros et les pauvres qui portent ça. » dis-je dans un rire. « Hm, je voulais te dire, tu vas devoir dormir avec ta cousine préféré parce que l'hôtel ne prenait de lit deux places, pas grave ? » c'est pas de ma faute, j'ai essayais de trouver deux lits, mais l'hotel était trop classe pour faire ça, je n'ai pas insisté et j'ai pris ce qu'il y avait. Pour la vue qu'on a, j'étais prête à dormir dans la paille.

« Si, je suis glacer même, plus que d’habitude. » je passe une main sur sa joue, déjà que de base je suis froide à cause de la leucémie, je devait être geler à cet instant précis. On se diriger doucement mais sûrement vers notre train, lorsque mon esprit de modeuse se réveille à la vue des merveilles que mon cousin porter sur lui. C'était peine perdu d’essais de changer la manière de s'habiller de mon frère, j'avais essayer avec Thomas, rien, qui a dit que mes conseilles si précieux marcherais sur la personne d'Isaac ? « ça ne va à PERSONNE. Crois moi, on a eu une étude de cas sur les tee-shirt imprimer, je comprend toujours pas que les gens ai envie d'acheter des tee-shirt avec des trucs marrant écris dessus. » dis-je en soupirant. Bon, c'est vrais que moi même, j'avais des tee-shirt imprimer, mais c'était des trucs genre comme à la fermeture de la DH ou on s'était fait des tee-shirt ou à l'anniversaire de Billie, des événements à marquer avec une pierre blanc (dans ce cas si d'un tee-shirt). Vient ensuite le sujet de notre programme, on arrive au wagon et j'entre dans le train, première classe, si c'est pas top ça. Je lui prévient que les deux prochaines nuits se feront en ma compagnie, il n'a pas l'air d'être dégouter, j'en suis heureuse. « J'te promet rien, la couverture et moi on s'aime d'amour. » dis-je dans un gloussement. « Pour le programme, j'ai prévue un tas de truc, j'espère que t'aime Broadway ! » dis-je en chantant le mot Broadway

« On ira nul part, cette jupe coutre plus cher que toute ma garde-robe, la mode, c'est une passion, ça se vit. C'est comme les joueurs de foot qui joue alors qu'il neige, et bien la fashionista peut attraper une pneumonie si elle porte une jupe édition spéciale hiver 2003 par Barbara Bui. » en m'écoutant parler, je me rends compte que ça doit être du chinois pour Isaac, après tout, avoir une fan de mode, c'était comme avoir un geek, elle a son langage à elle, qu'elle seule et ses compatriotes peuvent comprendre. En autre terme, j'aurais pu être déguisé en Sakura dans Naruto, pour lui ça aurait était la même chose. Je lui laisse le plaisir de monter mes bagages, alors que je pars à la recherche de nos places, et pour mon plus grand plaisir, nous étions en première classe, l'un à côté de l'autre. « J'te laisserais un coin de drap, ne stresse pas. » dis-je dans un gloussement, je me suis posais et je l'ai laissé prendre place. Il faisait moins froid ici, d'ailleurs, j'étais contente puisque le chauffage me réchauffer un peu, plus que le chocolat. « ça va te faire du bien non ? J'te sens un peu stresser. »

« Tu sais que dit comme ça, et avec une autre fille : passer notre week-end dans une chambre, peut être très différente de ce que tu peux penser ? » je ris, parce que c'est ce genre de quiproquo qui fait que Thomas et moi, on est souvent comparé à un couple, alors que ew, qui voudrais sortir avec Thomas? Il pue des pieds et il mange des chips au petit dej. Je m'installe au siège du côté de la fenêtre et pause mon café, en laissant à Isaac la charge des valises. Certes, j'aurais pu l'aider, mais dans ma mini-jupe, je risquerais de faire un strip-tease sans m'en rendre compte et gratuit qui plus est. « Ses gâteaux ? C'est le paradis. C'est le juste-milieu entre le bien et le mal, les kilos et la gourmandise, la vie et la mort. » dis-je dans un ton dramatique, tout en présentant le cookie tel une pierre précieuse ou le plus gros diamant trouver en une décennie. Je remarque ses cernes et son air fatiguait, après une gorgée de chocolat, je me dit qu'il est tant de passer au chose sérieuse : AMEN. « Tu sais ce qu'on va faire ? On va parler de tous les sujets qu'il faut parler pendant le trajet et arriver à New York on en parle plus. Amen, Charline, Jorden, Alexys, on laisse tout ça a Cambridge, une fois à New York. » Je lui tends mon petit doigt comme lorsque nous étions enfant, avec cette pratique étrange du pinky promise.