Flashforward ✮ I missed you so much | Samuel /!\ HOT

Cela faisait maintenant deux semaine qu’elle était parti. Faut dire qu’on s’envoyer des sms et elle avait pas du tout aimé cette distance alors j’y ai remédié. Sa grossesse ne m’aidait pas du tout en fait. Je ne savais pas quand elle était envieuse ou si c’est les hormones qui parlaient. Un vrai casse-tête, ce qui était dommage c’est que nous n’avions pas pu fêter nos cinq mois ensemble, mais je me rattraperais pour les six qui représente la moitié de notre année. Aujourd’hui, elle allait revenir. J’étais aussi excité qu’un gamin pour noël, car elle m’avait horriblement manqué. Les heures passaient et je ne savais toujours pas comment l’accueillir. Elle allait sans doute vouloir des détails de la prise d’otage, j’aurais toujours cette cicatrice à la poitrine en tout cas, d’après les médecins j’ai de la chance et qu’instinctivement j’aurais bougé pour que le balle n’atterrissent pas dans un des poumons, peut-être l’expérience.

Je continuai de rédiger le prochain sujet d’examen, j’allais les tuer cette fois avec ce que je demandais. Je trouve que pas mal sont un peu ramollis pour des secondes années. On voit qu’ils ne m’ont pas eu l’an passé. Alors que les premières années gueule déjà avec tout ce que je leur avais dit de bien apprendre. Je sentis une présence derrière moi et d’un coup le noir complet, qui pouvais bien faire cette farce, je sentis cette odeur, je ne pourrais pas me tromper : « Non ce n’est pas vrai. » j’attrapai le bras et tiras contre moi tout en faisant tourner ma chaise pour la mettre sur mes genoux et l’embrassa automatiquement, un vrai baiser rempli de passion : « je croyais que tu arrivais que dans trois heures. » Je l’embrassai de nouveau : « je peux t’accrocher à moi maintenant, histoire que tu t’en aille plus, je suis content que tu sois là chérie. » Je ne voulais plus la lacher maintenant, je voulais qu’elle reste près de moi.

J’étais tellement heureux de la voir et puis de l’avoir dans mes bras. L’embrasser était un réel délice, mais après l’avoir rompu, elle me donna une tape derrière la tête, puis un coup sur l’épaule et après un tendre baiser. J’aimais sa façon de me dire que je lui manqué, je lui caressai la joue et la regarda dans les yeux : « je suis désolé d’avoir fait superman. » Je tournai un peu mon siége et attrapa une petite boite qui était posé sur la table et lui montra : « Un petit cadeau de retour, ça devrais te plaire. » Je lui embrassai la joue et fourra mon visage contre son cou, humant ses cheveux blond que j’adorais : « tu as été vilaine de me mentir et dire que tu arrivais que trois heure après, je n’ai pas pu nous faire un petit repas en amoureux du coup. Puis tu m’as tellement manqué » Je déposa un baiser dans son cou.

Je lui donnai la boite contenant le bracelet breloque que j’avais trouvé lors de mon excursion autour de l’hôpital, car j’en avais marre de marché dans les couloirs de ce bâtiment rempli de truc qui font peur. Elle en était content et j’étais sûr que ça le serait, je la connaissais bien maintenant ma petite femme. Elle me caressait la nuque, c’était agréable de pouvoir sentir à nouveau sa peau. Elle se décala et m’embrassa pour me remercier, je souris à ces proposition, si j’avais la force, il suffit de faire attention en fait et faut changer mon pansement : « ils sont déjà pas là tu sais, ils ont fui quand ils m’ont vu sortir mes feuilles d’exam. Il faudra par contre changer mon pansement, tu crois pouvoir faire mon infirmière privée aujourd’hui ? Ya juste a désinfecter un peu et remplacer le pansement, rien de bien méchant. Puis pour les câlins j’ai le droit, mais faut pas faire les fous, un câlin d’amoureux sera très bien. » Je l’embrassai à nouveau, car nos lèvres étaient vraiment proche : « mais je dois d’abord terminer mon petit truc avant d’être entièrement à toi, tu es arrivé plus tôt que je le pensai. » Elle m’a horriblement manqué et maintenant je ne mettrais plus rien sur la route que me relie à elle.

Je la regarde avec une petite moue : « quoi pas de câlin, mais c’est nul je voulais des câlins moi. » Je lui tirai ensuite la langue, je faisais un peu mon gosse, mais bon j’étais heureux de la revoir. Elle mit ses bras autour de mon cou et était un peu triste que je bosse, elle sortait quoi ? Une contato quoi, elle me le sortait d’où son truc : « une quoi ? Tu ne viens pas de l’inventer ton mot là. C’est sérieux chérie, c’est les copies d’examen pour les dernières années alors faut que je sois sadique pour qu’ils apprennent bien mes cours. » Elle finit par se lever pour me laisser terminer de bosser, il en aurait pour 10 min à tout cassé, elle me demanda si elle pouvait prendre de la glace : « toi avec ta glace, je veux bien, mais tu m’en prépare un bol, la dernière fois t’avais tout mangé. Il me semble qu’il y en as dans le petit congèle » Je me retournai face à mon bureaux et continuant ce que j’étais en train de faire puis lui demanda : « tu veux manger quelque chose de particulier ce soir ? » Alors que je griffonnais un truc sur ma feuille. Je pourrais peut-être lui faire plus qu’un câlin ce soir, j’ai tellement d’elle depuis qu’elle est partie que je ne sais pas si je me retiendrais.

J’étais sur mes feuilles afin de préparer les exams des dernières années, c’est chenapans pensaient pouvoir réussir mes examens sans vraiment réviser, bah ils se trompent tous. Je suis assez exigent sur les réponses de mes cours, je ne souhaite pas seulement qu’on recrache mon cours, je veux sentir un vrai investissement dedans. Ivy était parti préparer les glaces, je la regardai du coin de l’œil et je n’osais même imaginer ce qui avait pu lui passer par la tête quand elle prit le pot de cornichon, elle ne va quand même pas mélanger la glace. Cela me fit frissonner rien que d’y penser. Je la sentis derrière moi, penchait au niveau de mon épaules, je fermai les yeux quand je sentis ses lèvres sur mon cou et ses doigts sur mon torse : « bientôt, mais continue ce que tu fais j’aime bien ça. » J’entendis le bruit du cornichon : « heureusement que t’es enceinte pour mélanger du cornichon avec de la glace et en plus du chocolat, sinon je t’aurais pris pour une folle. » Je rigolai et continua un peu de préparer les examens : « tu crois que je suis meilleur que ton cornichon avec de la chantilly ou ce truc me dépasse ? » Je déposai un baiser sur sa joue.