Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityUne autre partie de moi (feat. Maxym) - Page 4
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Une autre partie de moi (feat. Maxym)

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Maxym & Ricardo
Une autre partie de moi
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Ricardo préférait plaisanter sur l'état de la belle brune, puisque la plaindre n'était certainement pas ce dont elle avait besoin. Que ce soit à l'hôpital ou même en revenant à Cambridge, elle avait du en bouffer des "comment tu vas" ou "est-ce que tu as mal". Le jeune homme savait que ça allait. Du moins, qu'elle arrivait à surmonter tout ça. Et si jamais elle avait encore des petits coups de cafard, il était là quoi qu'il arrive. L'amenant sur les hauteurs de Rio de Janeiro, le brunet s'attendait à ce que la vue lui plaise. En même temps, il faudrait être difficile pour ne pas apprécier le spectacle, même pour quelqu'un qui a beaucoup voyagé. Ric n'avait montré cet endroit qu'à sa mère. C'était très personnel pour lui, mais il tenait à ce que Maxym le découvre toujours un peu plus.  En parlant de sa mère, le brunet avait remarqué dès son arrivée que la belle McAllister portait toujours son bracelet. "Je sais où t'habite maintenant, de toute façon". Elle arriva à décrocher un sourire sur le visage du brésilien. "T'as tout ici". Il hocha négativement la tête, continuant donc son ascension vers elle, tandis que très vite la séparation entre leurs deux corps fut très mince. Il prenait ses mains, renouant contact avec elle, parce que c'est dans cette situation qu'il se sentait le mieux. Et là, il lui sortait une phrase digne des plus grands romans à l'eau de rose. Et elle, qui pourtant devait en avoir l'habitude, sembla se montrer particulièrement touchée par ces quelques paroles. "Arrête.. c'est même pas vrai". Il arqua un sourcil. Alors là, elle ne savait vraiment plus quoi dire. Soutenant son regard, le brésilien ne pouvait se résigner à se détourner d'elle. "Fait gaffe Ric, cet endroit te rend romantique". Il sourit légèrement, conscient que ce qui le rendait romantique n'avait rien à voir avec l'endroit dans lequel il se trouvait, mais bien de la personne qu'il avait en face de lui. "Il te fait dire des trucs que tu vas regretter après". Le brunet hocha la tête. "Regretter ? Je ne pense pas.." Littéralement subjugué par son regard, il commença presque à voir un peu flou. "Et il va même me faire faire une chose que je ne regretterais surement pas après.." Ricardo retira sa main droite de celle de la jeune femme pour venir la placer dans sa nuque. Et là, sans crier gare, il met fin à ce petit espace qui séparait leurs deux visages. Venant coller doucement ses lèvres contre les siennes, il commença à l'embrasser.
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C'est que c'est traitre, de la surprendre comme ça. Même si Maxym ne doutait pas du potentiel.. romantique, de Ricardo, elle ne s'y attendait pas. C'est donc une demoiselle décontenancée dans ses certitudes que l'on retrouve. Ils avaient convenu de laisser le passé derrière eux, d'essayer de faire un truc qui leur ressemble, en se laissant porter par le courant. Parce qu'ils étaient aussi instables l'un que l'autre, et se retrouver sur la même barque chancelante n'était pas gage de réussite. Pourtant. Elle se laisse bercer par le lieu, apprécie la chaleur du temps, et la compagnie du mather. Elle ne connaît que lui ici, et ne maîtrise même pas la langue. Soit, coincée avec le garçon. Et ca ne lui déplaît pas, même pour elle qui déteste dépendre de qui que ce soit. La forte se fait un brin fragile quand il la flatte, ne pouvant même pas camoufler cet état ridicule. "Regretter ? Je ne pense pas.." C'est ça, rassure-la. Maintenant qu'elle connait et accepte tous tes côtés, l'enjeu s'élève. Sa respiration s'accélère légèrement, son être entrant en cacophonie quand il continue : "Et il va même me faire faire une chose que je ne regretterais surement pas après.." Coupe sa respiration, et se laisse faire. Zéro résistance, zéro volonté. Il a mit le temps à venir ce baiser, hein, ca se compte en mois, et un léger frisson lui parcourt l'échine. Ne quittant ses lèvres que l'espèce de quelques secondes, juste le temps de rouvrir ses billes sur lui, esquissant un léger sourire. Le temps de prendre conscience de ce qui se passait, et de glisser avec une moue mutine : « Je finissais par me dire que ça n'arriverait jamais. » Son souffle contre sa bouche. Et confirme en goûtant à nouveau à ses lèvres, avec d'avantage d'intention, approfondissant le baiser. Ses doigts saisissant le tee shirt masculin à sa taille pour coller leurs corps, puis ses bras l'entourent. Ne faire qu'un, profiter, et oublier le reste.  
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Maxym & Ricardo
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Se laisser aller. Voilà quelque chose que Ricardo n'avait pas fait depuis un temps. Laisser parler son cœur, ses sentiments avant sa raison. Avec Maxym, ça ne l'avait pas fait il y a quelques mois. Aujourd'hui, elle lui avait révélé qu'elle ne voulait plus faire attention à sa réputation pour se concentrer sur l'homme qu'elle avait rencontré et apprit à connaitre. Il avait décidé de la laisser entrer dans une part bien plus intime de sa vie en venant ici. Ce n'était pas donné à tout le monde, mais la belle Eliot était vraiment quelqu'un de spécial à ses yeux. Cela faisait plusieurs mois que leur histoire avait foiré, et pourtant il n'avait jamais pu véritablement l'oublier. Il avait essayé de passer à autre chose en se mettant avec Aaliyah puis en reprenant ses habitudes de Don Juan. Mais au final, il se retrouvait ici avec elle, et c'est ça qui importait. Prenant son courage à deux mains, le brésilien décida de briser cette ultime barrière qui les séparait. L'embrasser, c'était prendre un risque. Son cœur s'emballa lorsque ses lèvres se posèrent sur les siennes. Il n'avait pas souvenir d'avoir ressentit une chose pareille une seule fois dans sa vie. La brune décida de prolonger le baiser qu'il lui donna, l'interrompant juste quelques secondes. "Je finissais par me dire que ça n'arriverait jamais". Ricardo sourit à ses propos, tandis qu'il prolongea ce baiser qu'elle lui rendit. Maintenant, il allait avoir du mal à se détacher de ses lèvres. Il en aimait affreusement le goût. Finalement, le brunet recula légèrement sa tête, ré-ouvrant lentement ses yeux pour les plonger à nouveau dans les siens. Il lui offrit son plus beau sourire avant que sa main ne vienne récupérer la sienne. "Je sais que sur le papier, je suis loin d'être le petit copain idéal.. Mais ce que j'éprouve pour toi est vraiment sincère". Il marqua une petite pause, sans détourner son regard de ses belles billes. "Je ne me vois vraiment pas sans toi. J'ai changé Maxym, beaucoup changé. Je ne suis plus le mec qui veut augmenter son tableau de chasse. Aujourd'hui, j'ai envie de passer à autre chose. J'ai grandit et.." Il posa son front contre le sien avec un petit sourire dessiné sur les lèvres. "Je ne veux que toi".
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"Je sais que sur le papier, je suis loin d'être le petit copain idéal.. " Elle l'interrompt, une seconde, à voix à peine audible. « J'm'en fous.. » Parce que sur son papier, c'est pas beau non plus. C'est honteux, et il en connaît pas la moitié. "Mais ce que j'éprouve pour toi est vraiment sincère.  Je ne me vois vraiment pas sans toi. J'ai changé Maxym, beaucoup changé. Je ne suis plus le mec qui veut augmenter son tableau de chasse. Aujourd'hui, j'ai envie de passer à autre chose. J'ai grandit et.." Elle le sonde, essaye d'en discerner une faille inexistante. Quelque chose qui la ferait douter. Elle sait dire quand on lui ment, d'habitude. Mais là, elle se dit qu'elle est peut-être comme ces filles stupides, naïves, qui se laissent conter des histoires juste parce que le mec a des beaux yeux et un sourire ravageur. Parce qu'avoir des sentiments ça rend aveugle, et qu'elle est totalement aveuglé, là. Il repose son front contre le sien. "Je ne veux que toi" Pourtant, j'vous jure qu'elle lit de la sincérité dans l'océan. « T'es sûr ? » Car elle, elle est pas sûre qu'on ne puisse vouloir qu'elle. La jeune femme se pince les lèvres, pleine d'interrogations qu'elle ne tarde pas à expliciter. « Je veux pas que.. tu regrettes. On est pas de ces cons qui se casent, on aime notre liberté. » C'est ce qu'elle aimait aussi chez lui. Les trucs niais, passer sa vie collée à l'autre, se donner des surnoms idiots, Max n'a jamais éprouvé ce genre de besoins.  « T'imagines la pression, va falloir que je compense toutes ces filles. » Elle plaisante, mais ses traits trahissent que pas vraiment. Oh, elle en vaut une dizaine, j'dis pas. Mais elle a les défauts de dix, aussi. Est-il prêt à renoncer à ce plaisir exaltant de la chasse ? Est-elle prête à renoncer à se sentir désirable à tous les yeux masculins ? Prenez les paris. S'écartant légèrement de lui, sans lâcher ses mains, elle tend ses bras et penche la tête en arrière. Tellement pas douée pour ça. « Je plaisante. C'est juste que.. » Elle cherche ses mots, se mord la lèvre. Pose à nouveau ses billes sur lui. « Je veux que tu sois sûr. On joue pas là Ricardo. Moi je joue pas. » Y a rien de drôle à s'balancer contre un mur et s'le prendre. Elle a aucune envie de fissurer son armure pour y laisser entrer quelqu'un qui broierait l'intérieur sans état d'âme.
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Ricardo se sentait à la fois mal et à la fois terriblement bien. Une sensation qu'il n'avait pas ressenti depuis... A vrai dire, il n'avait jamais ressenti ça. Le brunet était un grand dragueur, toujours doué pour savoir dire ce qu'il faut pour amener une fille dans son lit. Faire les yeux doux, il sait. Mais là, il ne peut pas tricher. On ne peut pas mentir sur ses sentiments. En tout cas, lui n'y arrive pas. Il vient de jeter les armes devant Maxym, lui révélant qu'il était prêt à abandonner toutes les femmes de sa vie pour elle. Puisque si elle n'a pas l'air de s'en rendre compte, lui il sait qu'elle en vaut le coup. Plus les jours passent, moins il se sent bien loin d'elle. "T'es sûr ?" Il ne quitte pas son regard, ne pouvant de toute façon se résigner à regarder ailleurs.  "Je veux pas que.. tu regrettes. On est pas de ces cons qui se casent, on aime notre liberté". Il sourit légèrement. Pas un sourire parce qu'il est heureux d'entendre ces paroles. Mais un sourire pour la rassurer. "Tu as tord.." Il est à la fois serein et mort de trouille, c'est assez étrange. "Je fais justement ça pour ne pas avoir de regret. Moi je pense qu'on est tous les deux assez cons pour se caser". Il plonge son regard dans le sien, intensément, quitte à s'y perdre. "Ma liberté ? A quoi bon ? Ça fait vingt-trois ans que je suis libre, et je ne me suis jamais senti aussi heureux que lorsque je suis avec toi". Qu'est ce qu'il s'en fou lui, des autres nanas ? Ça va bien un moment.  Mais le regard que porte Maxym sur lui vaut bien plus que celui de toutes les autres filles du monde réunis. Il tient à la rassurer, puisque les autres ne risquent vraiment pas d'être un problème pour lui, il en est persuadé. "T'imagines la pression, va falloir que je compense toutes ces filles". Le brunet arqua un sourcil. Elle ne pouvait décidément pas s'empêcher de remettre cela sur le tapis. "Je veux que tu arrêtes de penser à ça. T'as rien du tout à compenser. C'est pas une compétition. Et si c'en était une, t'es déclarée gagnante depuis bien longtemps". Parce que la demoiselle avait réussit à toucher son cœur. Et ça, c'est vraiment pas donner à tout le monde. "Je plaisante. C'est juste que.. Je veux que tu sois sûr. On joue pas là Ricardo. Moi je joue pas". Il lâche les mains de la jeune femme pour venir les placer des deux côtés de sa tête.  "Je n'ai jamais été aussi sérieux de toute ma vie.." Il rapproche son visage du sien pour venir l'embrasser à nouveau. Si ses paroles ne suffisent pas à la convaincre, peut-être que la sincérité de son baiser arrivera à lui faire gagner sa confiance.
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Délicieux moment de malaise. Excitant et flippant à la fois. Tout est tellement sérieux pour les fonceurs qu'ils sont. Si quelqu'un leur plait, ils se servent. Pas de minauderie, de promesses non tenues. Là, c'est tellement différent de la route habituelle. C'est plus vallonnée, plus dangereux, mais tellement plus agréable. "Tu as tord.. Je fais justement ça pour ne pas avoir de regret. Moi je pense qu'on est tous les deux assez cons pour se caser" Ca lui a traversé l'esprit, ces derniers temps. Peut-être qu'il était temps de gouter à la vraie vie, après avoir connu tout le superficiel qu'elle peut leur servir. Rester après la nuit. Se connaître par cœur, toussa. Et avec lui, c'est ce qu'elle a toujours vu, ça ne pouvait pas être qu'un mec de passage. Tout ou rien. C'était rien jusqu'à maintenant, ça sera tout après, peut-être. Elle voulait qu'il ne voit qu'elle, qu'elle prenne tout l'espace de son paysage. « J'ai peur de tout faire foirer. Je sais pas faire ça.. » Qu'elle doute encore un peu, sa nature prenant le dessus. Peur de le décevoir. "Ma liberté ? A quoi bon ? Ça fait vingt-trois ans que je suis libre, et je ne me suis jamais senti aussi heureux que lorsque je suis avec toi".Parce que la liberté, c'est ce qu'elle clame. Qu'elle n'est attachée à personne, qu'elle est libre de faire tout et surtout n'importe quoi. Et pourtant, elle se retrouve ici, en sachant bien que ce voyage n'était pas anodin. Y a le cœur qui bat lourdement, son corps légèrement défaillant. Ric soulève les inquiétudes et les balayes une à une. Elle ose aborder le sujet qui les divise, lui la rassurant dans l'instant : "Je veux que tu arrêtes de penser à ça. T'as rien du tout à compenser. C'est pas une compétition. Et si c'en était une, t'es déclarée gagnante depuis bien longtemps". Elle oscille la tête, comme une gamine qui dit oui. Elle entend, tout ça. Il lui faudra peut-être un peu de temps pour l'admettre, mais elle y croit déjà. "Je n'ai jamais été aussi sérieux de toute ma vie.." Ses lèvres accueillent un sourire qui se veut conquit à la cause, puis un baiser qui lui arrache un frisson. Elle se laisse faire, l'hystérique devenu docile. Ouais, elle pourrait faire ça toute la journée, sans s'en lasser. Parce que leurs corps auraient dû se croiser depuis un moment déjà. Passant la barrière de ses lèvres de sa langue, la fougueuse ne se satisfait guère d'une embrassade, puis colle brièvement sa bouche contre la sienne, pour s'écarter ensuite, son regard solidement implanté dans celui masculin. « Si tu sais dans quoi tu t'embarques... » Faut pas être idiot, ça va pas être tout rose. Mais ça vaut le coup. « D'accord, on a qu'à le faire. Soyons cons ensemble. » Sa voix est un peu fébrile, mais Max ne doute pas un instant. C'est juste la sincérité de l'acceptation, l'angoisse de l'engagement. Elle dit oui, c'est tout.  « J'ai finalement réussis à savoir pourquoi j'étais là. » Qu'elle reprend avec taquinerie, se rapprochant à nouveau de lui pour poser ses mains sur ses épaules, se délectant de la vue qu'elle avait. « On va vraiment faire ça ? Personne ne va parier un dollar sur nous. » Ouais, pas un. Elle s'en fout, remarque. Et lui sûrement aussi. C'est tellement bizarre de dire nous. Mais elle pourrait s'y habituer vite.
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Son cœur battait si fort qu'il en avait limite mal au thorax. Maxym est la seule à lui faire cet effet, devait-il vraiment passer à côté ? C'est vrai que Ricardo, c'est pas un mec qu'on prend souvent au sérieux. Pour la plupart des gens, c'est le Mather aimé de tous, qui passe son temps à faire la fête et à butiner de femme en femme comme une abeille le ferait de fleur en fleur. La notion de couple est loin d'être familière pour le brésilien. C'est un terme qui fait peur mais qui est tellement attirant. La question était de savoir s'il valait mieux tenter le coup au risque d'être déçu et malheureux, ou directement malheureux sans avoir tenter le coup. Le brunet est un sportif, tout comme la jeune femme. Ils ont des tempéraments de gagnants et aucune chance de laisser la peur les envahir. "J'ai peur de tout faire foirer. Je sais pas faire ça.." Ricardo semblait passer ces dernières minutes à la rassurer. Il répondait à chacun de ses questionnements, répondant également aux siens indirectement. Maxym est une femme qui aime être libre, et même si c'est lui qui a l'étiquette du queutard, il avait également très peur qu'elle ne se laisse berner par d'autres yeux que les siens. "On apprendra ensemble.." Oui, parce que dans cet exercice, il est également loin d'être le meilleur. Sa relation avec Aaliyah était un exemple parfait de foirage complet de relation. Mais avec Maxym, tout est différent. Toutes ces choses compliquées ont l'air de devenir tellement plus faciles. Il l'embrasse. Les paroles étaient bien belles, mais ne valaient rien sans l'accompagnement des gestes. La belle brune prolonge son baiser, dépassant la barrière de leurs lèvres pour venir trouver sa langue. Ricardo presse ses mains sur son dos, la serrant contre son corps, mêlant sa langue à la sienne pour une danse effrénée. Finalement, le baiser est interrompu, et la jeune femme reprend la parole. "Si tu sais dans quoi tu t'embarques... D'accord, on a qu'à le faire. Soyons cons ensemble". Un sourire gagne automatiquement les lèvres du brésilien. Son cœur devient tout de suite plus apaisé, bien qu'il continue de battre à une vitesse affreusement anormale. On lui enlève un poids. On lui enlève des semaines de doute et surtout de frustration. "J'ai finalement réussis à savoir pourquoi j'étais là". Le brunet hocha la tête avec un sourire. Au fond, elle savait pourquoi elle était là depuis le début, ils devaient tous les deux en avoir bien conscience. Elle se rapproche de lui, pose ses mains sur ses épaules. "On va vraiment faire ça ? Personne ne va parier un dollar sur nous". Il rit légèrement. Elle a probablement raison. Cette relation va faire jaser, c'est évident. Un Mather et une Eliot qui se mettent en couple.. Mais en plus ce Mather et cette Eliot.. Dans la tête des autres, cette relation serait peut-être vouée à l'échec, mais cela fait bien longtemps que Ricardo ne fait plus attention à ce que les autres pensent de lui. "Ils auraient tord. Moi je vais parier. Je suis sûr de devenir millionnaire comme ça". Parce que lui, il y croit. D'ailleurs, ça lui semble être une évidence maintenant. Maxym est loin d'être une fille qui va passer dans sa vie sans laisser de trace. Elle va la marquer, au fer rouge.
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Pas le plus facile. De se lancer, d'accepter de se mettre en danger. Maxym n'a pas l'habitude de se préserver, sauf en la matière. Les mecs qu'on jette avec les draps, c'est plus facile. Moins contraignant. Y a pas d'efforts à faire, de pression à avoir sur le fait que les sentiments soient toujours partagés. Et c'est pas grave s'il y a de la déception. Là, tout prend des proportions qui au final, peuvent aboutir sur de la douleur. J'parle pas d'une balle qui atterrit dans une épaule, j'parle de pire. Un truc qui laisse plus de cicatrices, des cicatrices qui se rouvrent constamment. Et se lancer là-dedans avec Ric, c'est augmenter les risques. De toute façon, elle fait jamais les choses à moitié. Et si c'est pas lui, c'est personne. Ils s'étaient dit qu'ils se laisseraient le temps. Doucement. Et Max n'avait pu que remarquer qu'elle ne supportait pas que d'autres mains que les siennes le frôlent. On la sait possessive, elle se découvre jalouse. Puis, c'est vrai, elle savait pourquoi elle venait ici. Ce qui allait se jouer. Si la demoiselle avait fait partit des passagers de ce vol, c'est qu'elle était prête pour cette nouveauté. "On apprendra ensemble.." C'est toujours plus simple quand on se lance, d'avoir quelqu'un au bout des doigts, prêt à vous rattraper. Dommage que la personne qui pourrait vous soutenir en cas d'échec, soit celle qui saute avec vous. Elle soupire un peu, soulagée d'un poids qui s'ôte. Excitée d'un futur qui s'annonce. Un futur qui ne réjouira pas tout le monde. Ils sont jugés individuellement, ils le seront d'autant plus ensemble. Qu'importe. Rien n'a l'air d'avoir d'importance désormais. "Ils auraient tord. Moi je vais parier. Je suis sûr de devenir millionnaire comme ça". Ric semble sûr de lui, et d'une façon inconsidérée, ça la rassure. Le jaugeant de son regard sombre, Max cède dans un sourire taquin. « J'espère.. J'veux bien sortir avec un mather, mais pas avec un pauvre. » Et se met à rire doucement, comme pour lui rappeler qu'elle plaisante. Evidemment. Y a pas moins Eliot sur ce point qu'elle. « On essaye, comme ça.. pas de regret. Puis soit dit entre nous, je supportais plus que des filles t'approches. » Confie-t-elle en se mordant la lèvre inférieure, n'aimant guère confesser qu'elle puisse se sentir en danger face à d'autres filles. Mais avec Ric, sa confiance était fragile. Il la rendait fébrile, de toutes les façons. Lâchant ses épaules, elle fait glisser ses bras sur ces dernières jusqu'à se retrouver contre lui, ses lèvres pas loin de celles masculines. « Voilà mes exigences de petite-amie en chef. » Chuchote-t-elle avec un sourire amusé. « Je veux que tu me dises ce qui a foiré avec Aaliyah.. et je veux aller à la plage... et je déteste les petits surnoms ridicules que se donnent les couples. » Voilà, elle déballe tout, sans vraiment de lien entre les idées. « Et je veux que tu m'embrasses encore. » Qu'elle finit par souffler, l'exigeante.
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Maxym & Ricardo
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Après tout, l'amour n'était-il pas le sentiment après lequel courent tous les individus ? Le brunet avait toujours fuit ce sentiment, pensant qu'il était synonyme de malheur. Certes, il avait vécu des moments très heureux avec Ruby, mais la séparation fut insoutenable. Accepter de laisser rentrer quelqu'un dans son cœur, c'est ouvrir une porte sans jamais vraiment la refermer. On se sait pas ce qu'il peut se passer. Si cette personne va réussir à refermer cette porte de l'intérieur et vous rendre heureux jusqu'à la fin de votre vie. Ou si elle va ressortir en claquant la porte, faisant s'écrouler votre cœur en petits morceaux. Ricardo avait confiance en cette histoire. Il ne savait pas pourquoi, il le sentait tout simplement. Il est encore trop tôt pour parler d'amour, mais les sentiments sont bien là. La jeune femme lui fait tourner la tête. Le brésilien pense à elle en allant se coucher et en se réveillant le matin. Elle est devenu une véritable obsession pour lui. Alors il a continué ses jeux de séductions, se disant que ça allait l'aider à l'oublier. En vain. Maxym hante ses pensées à chaque instant et pourtant il lui a promis qu'ils prendraient leur temps. C'est fini maintenant. Ils ont assez attendu. Ricardo n'en peut plus, il n'a plus envie de passer ses journées loin d'elle. Le brunet rêve de son visage, de ses yeux qui le troublent et de ses lèvres qu'il veut embrasser. Aujourd'hui, tout ceci est à sa portée. Et rien que pour ça, il peut aisément dire qu'il est le plus heureux des hommes à l'heure actuelle. "J'espère.. J'veux bien sortir avec un mather, mais pas avec un pauvre". Il sourit légèrement, le rire de la jeune femme venant accentuer son ton ironique sur le sujet. Elle ne devait pas avoir oublié d'où venait le jeune homme après tout. Si elle était née avec une cuillère en argent dans la bouche, c'était loin d'être son cas. "On essaye, comme ça.. pas de regret. Puis soit dit entre nous, je supportais plus que des filles t'approches". Le sourire sur le visage de Ricardo s’intensifie, content de cette révélation. "Crois moi, j'étais malade dès qu'un mec venait dans ta direction.." Le brunet est d'un naturel plutôt jaloux et possessif. Il ne l'est pas à l’extrême, mais il a du mal à accorder sa confiance. Et s'il arrive à faire confiance à sa partenaire, il ne sera jamais serein face aux intentions des mecs de son entourage. Elle passe ses bras autour de son cou, rapprochant ainsi leurs deux corps. Bon sang, ce qu'il aimait ce contact avec elle. Ça le faisait frémir, rien que de la sentir tout contre lui. "Voilà mes exigences de petite-amie en chef". Petite-amie. Ce que c'était bizarre à entendre, mais loin d'être déplaisant. "Je veux que tu me dises ce qui a foiré avec Aaliyah.. et je veux aller à la plage... et je déteste les petits surnoms ridicules que se donnent les couples". Il arqua un sourcil, ne s'attendant pas à ce qu'elle lui parle de son ex, surtout maintenant. "Je n'étais pas assez attaché à elle. Ça servait à rien de continuer". Il n'avait pas vraiment envie de s'étendre sur le sujet. Son histoire avec la Cabot, c'était du passé. Maxym représentait son présent et son avenir. Il sourit par la suite. "Oh, tu ne veux pas que je t'appelle mon cœur, mon ange ou mon amour ?" Il ria légèrement. Il n'avait pas vraiment l'habitude de donner ce genre de surnoms de toute façon. "Et je veux que tu m'embrasses encore". Alors pour ça par contre, il pouvait s'arranger. Rapprochant son visage du sien, il mit fin aux quelques centimètres séparant leurs lèvres. L'embrassant, il remonta ses mains le long de son dos tout en passant la barrière de ses lèvres pour venir titiller sa langue, rendant le baiser plus passionné.
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On a qu'à les laisser là, dans leur précieux petit écrin. Après tout, ils méritent. C'n'est pas à eux, les inconscients, les brûleurs de vie, qu'on confierait quelque-chose d'aussi précieux qu'un sentiment. De peur qu'ils le brisent, qu'ils en jouent, ou qu'ils l'oublient pour des préoccupations plus éphémères. Et si pour une fois, on leur laissait le bénéfice du doute ? Et s'ils échouent, ils en payeront le prix. Le prix d'avoir essayé, et d'avoir échoué. C'est le temps du bonheur sans tumulte. Maxym le sait, c'est le plus simple là. Mais c'est le bon moment. Peut-être aurait-elle hésité plus longuement il y a quelques mois, mais l'horreur d'Harvard n'avait fait que lui rappeler qu'il faut vivre les choses selon son instinct, oublier le peu de raison qui la dicte. Même si personne comprend. Son instinct lui avait dit de venir ici, et d'accepter ce qu'on lui offrait. D'accepter aussi ce qu'elle ressentait, même si cela signifiait avancer à l'avenir sur un fil. Le fil devenait passerelle confortable quand elle était contre lui. "Crois moi, j'étais malade dès qu'un mec venait dans ta direction.." Dans ses joues se creusent des cédilles, sourire sur les lèvres. Ca lui plaisir, qu'on veuille l'avoir pour soit. Ils semblaient identiques sur ce point, ce qui annonçait quelques rebondissements. Pourtant, Max ne manquait pas de confiance en elle. Seulement, Ric avait connu pas mal de filles, et la comparaison était facile. Il y avait toujours plus jolie, plus distrayante, plus intéressante. Même l’orgueilleuse qu'elle est le sait. Déjà, paraît qu'on doit pas parler des exs. L'Eliot a du louper cette page du recueil des sujets à ne pas aborder avec son .. copain. Ouais, c'est bizarre. Preuve qu'elle sait pas comment ça marche. "Je n'étais pas assez attaché à elle. Ça servait à rien de continuer" Cette réponse la rassure, d'un côté. Ca montrait qu'il était capable d'arrêter les choses si les sentiments n'étaient pas là. « Je veux que tu fasses la même chose si ça arrive. Et moi aussi. » Glisse-t-elle rapidement, comme un moyen de clôturer la conversation. Ne plus jamais en parler, mais que ce soit dit. Pour ne pas être des idiots qui restent ensemble par habitude, ou par peur de blesser. "Oh, tu ne veux pas que je t'appelle mon cœur, mon ange ou mon amour ?" McAllister grimace d’écœurement. « Le seul surnom que j'accepte, c'est 'mon petit canari des îles'. » Qu'elle ironise avec un léger rire, obtenant ensuite la suite de ses exigences. Elle presse son corps contre le sien, se laissant délicieusement griser par le moment. A dire vrai, plus elle est proche de lui, mieux elle se sent. Parfaitement à sa place. Pourtant, elle se recule enfin, soulignant ses lèvres d'un sourire en rouvrant ses billes brunes, l'une de ses mains sur son torse. « Et maintenant, tu m'emmènes où ? » Tête sur le côté, moue mutine de gamine. Oui, elle se fait balader. Mais elle voulait découvrir tout ici. Et elle était de toute façon condamnée à le suivre, pauvre américaine perdue. Son index arpentait le col de son tee-shirt, et elle reprenait avec nonchalance : « Puis à l'occas, tu me diras quand même où je dors pendant mon séjour, et combien de temps je suis censée rester. » Genre, elle va squatter près de son beau-père ? Parce que ouais, la meuf débarque, mais elle sait rien de tout ceci. Si ce n'est qu'elle est plus célibataire. Info principale, vous me direz.
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