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Une autre partie de moi (feat. Maxym)

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Maxym & Ricardo
Une autre partie de moi
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Cela faisait déjà plusieurs semaines que l'idée de retourner au Brésil trottait dans la tête de Ricardo. Au départ, il ne savait pas si ça allait être définitif. Il savait que son beau-père pourrait lui trouver un travail une fois sur place. Cependant, beaucoup trop de choses le retenaient à Cambridge. S'il ne restait pas pour les cours, il y avait toujours les fêtes, les Mathers, ses amis ou encore les enfants de l'hôpital. Arrivé au Brésil, le jeune homme avait rejoint la villa de son beau-père. Sa belle-famille l'avait d'ailleurs accueilli au grand complet. Le brunet s'était toujours très bien entendu avec eux et il ne les avait pas vu depuis l'enterrement de sa mère il y a plus d'un an. Ricardo sentait qu'il avait besoin de prendre l'air, de sortir un peu de son train-train quotidien à Harvard. Après plusieurs jours ici, Ric commençait déjà à ressentir un certain manque. Il était très bien ici, mais il lui manquait quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Le brunet écrivit une lettre à destination de Cambridge. Il prit également un billet d'avion en direction du Brésil pour la semaine prochaine qu'il mit dans l'enveloppe avec la lettre. Sur cette dernière, il n'avait pas écrit grand chose. Simplement ces quelques mots : "Rejoins-moi, j'ai besoin de te voir. Ricardo". Il ne savait pas vraiment quoi mettre d'autre pour l'inciter à venir ici. Il aurait pu écrire un roman, mais ça n'aurait servit à rien, autant lui parler de vive voix. Finalement, le jeune homme posta sa lettre à destination de la maison de Maxym, en écrivant bien sûr son nom pour éviter que l'une de ses colocs ne l'ouvre à sa place. Il s'entendait bien avec Torrey, mais avec Leyna ce n'était plus trop ça depuis quelques temps. Il rentra alors chez son beau-père, se demandant si la belle brune allait le rejoindre. Il en doutait, mais il n'allait pas arrêter d'espérer durant ces quelques jours qui le séparait de l'arrivée de l'avion.
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Ils lui avaient dit de ne pas sortir, et elle était sortie, évidemment. Maxym changerait ses bandages elle-même, c'est rien. Rien n'est grave désormais. Devant ses billes il y avait eu des morts, des blessés, dans ses oreilles des cris, et son odorat semblait ne sentir que la poudre et le sang. Leyna et Torrey avaient joué aux infirmières avec un certain plaisir, pour une fois que la New-Yorkaise se retrouvait en position de faiblesse. Et puis, quelques jours avant qu'elle ne doive décoller pour Jersey avec les bleus, elle avait reçu une lettre de Ric avec un billet d'avion. Hum. Rien que pour l'audace, elle irait. Puis car elle n'en pouvait plus d'ici. Ils géraient bien les drames ensemble, ce n'en était qu'un de plus. Alors, elle avait échangé le billet pour en prendre un plus proche, qui partirait le lendemain. Ne sachant combien de temps elle resterait, Demoiselle avait embarqué la moitié de ses fringues, et s'était éclipsée au petit matin. Juste un mot pour ses colocs. Une fois arrivée devant la villa, Max marque une pause. Pas sûre que ça soit une bonne idée. Oh et puis, elle s'avance, frappant quelques coups sur la porte. Autant vivre ce qu'il y a à vivre, c'est c'que vous rappelle les drames.  
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Les jours passent et Ric se sent de plus en plus mal. On aurait pu penser de lui qu'il fuyait la réalité en venant ici, mais son voyage était tout de même prévu depuis quelques temps. D'ailleurs, s'il n'y avait pas eu cette manifestation à la Mather House, Ric n'aurait même pas été dans cette bibliothèque le jour de la prise d'otages. Cette journée où de nombreuses personnes avaient été blessées et où d'autres avaient connu la mort. C'était le cas d'Avalon, qui était une proche amie de Ricardo il n'y a pas si longtemps que ça. Sa confidente, pour tout vous dire. Mais quel confident indigne, lorsque l'on ne voit pas le mal-être chez une personne. Il aurait pu l'aider, il aurait pu empêcher tout ça. Quelque part, il se sentait responsable de sa mort, et par la même occasion du viol d'Apple et des blessures de Maxym, de Poppy et de tous les autres. C'était dur à vivre et il en cauchemardait souvent. C'était l'heure de manger, mais le brésilien n'avalait pas grand chose ces derniers temps. Devant son assiette encore quasi pleine, il entendit frapper à la porte. Levant les yeux vers son beau-père comme pour le questionner s'il attendait de la visite, il dû faire face au même regard interrogateur. Finalement, le brunet se leva de table pour aller ouvrir la porte. "Max..?" Choqué, c'était le mot. On était quel jour ? Elle n'était pas censée arriver aujourd'hui. Pire que ça, dans la tête de Ric, elle n'était même pas censée venir du tout.
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On lui ouvre, et là, c'est le drame : « TOI ! JE VAIS TE TUER ! » Un bras en écharpe, l'autre qui se finit par une main qui agrippe le col du garçon. Elle avance, le fait reculer. Avec cet air de furie qu'elle aborde souvent quand la belle est en colère. Et se calme d'un coup, quand son regard croise celui d'un individu... de la famille de Ric elle suppose. Ok, super. Ses doigts remettent le col en place, comme le ferait une bonne femme attentionnée. Sourire de circonstance, de la politesse qu'on lui a enseigné. Jolie Eliot. « Hum.. Bonjour, désolée de l’intrusion. Bon appétit ! » Idiote. Mais on peut pas détester ses traits radieux. Son regard sévère se porte sur celui qu'elle est venue voir, et elle chuchote : « On pourrait.. discuter ailleurs ? » Frustrée d'avoir été coupé dans son élan théâtral. En même temps, elle savait pas qu'il l'invitait.. chez lui. Vraiment, chez lui. Avec sa famille et tout. Mais ça paraissait logique maintenant. Et son regard remarquait enfin que la demeure était magnifique.
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"TOI ! JE VAIS TE TUER !" Ricardo n'avait même pas eu le temps d'ouvrir la bouche que la jeune femme était déjà en train de le pousser à l'intérieur de la villa par le col, l'entraînant donc rapidement jusqu'à son beau-père qui s'était levé en entendant une furie rentrer chez lui. Ricardo ne s'attendait pas vraiment à cette réaction de la part de Maxym, surtout avec un seul bras valide. Elle en avait fait du chemin tout de même, pour venir le tuer. Avait-elle apprit que Ric avait été proche d'Avalon ? Il en doutait, surtout qu'il ne s'en était pas beaucoup vanté depuis cet épisode. En plus, voir le bras de Maxym retenu par cette écharpe lui mettait de sales images dans la tête. "Hum.. Bonjour, désolée de l’intrusion. Bon appétit !" Sauvé par le beau-père, pour le moment.. "On fera les présentations plus tard" dit simplement le brésilien à l'égard de son hôte. "On pourrait.. discuter ailleurs ?" Le brunet hocha la tête sans dire un mot, se contentant de marcher en direction d'un autre endroit de la maison. La salle de musique, pour être précis, où ils seraient à l'abri d'une oreille parfois un peu trop curieuse.
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Surement la furie aurait-elle dû se retenir quelques minutes de plus, juste le temps de vérifier que Ric était seul dans la pièce. Ca lui aurait évité de passer pour une cinglée auprès de la famille de ce dernier. Tant pis, elle aurait l'occasion de se rattraper après. Sauf si elle se fait mettre dehors, ça va de soit. Enfin, pour l'instant sa priorité était de discuter avec le brésilien, et de déballer ce qui lui pesait. Max se laisse guider donc, vers une pièce qui se révèle vite être une salle de musique vu son contenu. Une fois à l'intérieur, la demoiselle reprend : « Donc, on en était où ? » Le temps de retrouver ses esprits après cette déconvenue. « Ah oui ! JE VAIS TE TUER ! » Non, elle s'était pas calmée. Et elle le pousse littéralement contre un mur avec une certaine force. « D'où tu joues au héros au risque de te faire planter par un cinglé ? » On lui avait tout raconté, autour d'une bière avec Camille à la sortie de l'hôpital. Oui, c'était elle la blessée à cause de sa grande bouche, et c'était elle qui utilisait encore cette dernière. « Putain Ric ! T'aurais pu y rester ! » Heureusement que c'est insonorisé, moi j'vous le dis.
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Ricardo ne tarda pas à amener Maxym loin de la salle à manger. Il l'a connaissait et savait très bien qu'elle allait élever la voix à nouveau, dès qu'ils seraient seuls. Du coup, il avait choisi la pièce la plus insonorisée de la maison. Ça paraissait évident, son beau-père avait vite fait en sorte que le son des instruments ne quittent pas les quatre murs. "Donc, on en était où ?" lui demanda t-elle une fois qu'il eut fermé la porte. "Ah oui ! JE VAIS TE TUER !" Elle s'approcha rapidement de lui puis le poussa littéralement contre le mur. "D'où tu joues au héros au risque de te faire planter par un cinglé ? Putain Ric ! T'aurais pu y rester !" C'était une blague ? Franchement, elle avait regardé dans quel état elle se trouvait. La blessure de Ric était seulement morale, son physique n'avait pas une égratignure après tout. "Tu te fiches de moi ?" demanda t-il calmement, sans attendre de réponse à cette question bien évidemment. "Est-ce que c'est moi qui me suis pris une balle dans l'épaule ?" Il regardait le bras de la jeune femme avant de reposer son regard dans le sien. "J'ai fais ce que j'avais à faire. Il s'en prenait à Alex. Il a une copine, il a une gosse, je pouvais pas le laisser faire ça". Il plongea ses yeux bleus dans ceux de la belle brune. "Moi j'ai plus de famille. J'ai plus rien. J'avais rien à perdre". Et maintenant, cet enfoiré d'Alex était dans le coma. On pouvait dire qu'il avait géré sa défense le petit Ricardo. "Je devrais être à sa place" conclut-il calmement.
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"Tu te fiches de moi ? Est-ce que c'est moi qui me suis pris une balle dans l'épaule ?" Max ne se laisse pas démonter, restant stoïque face à cette réalité flagrante. « On s'est fait tirer comme des pigeons, moi ou une autre c'était pareil. » Qu'elle justifie juste, à demi-mots. Après tout, Charlie était tombé juste pour avoir voulu la défendre. Ils étaient plusieurs à avoir servit de cibles sans aucune raison légitime. Même ceux qui se taisaient. "J'ai fais ce que j'avais à faire. Il s'en prenait à Alex. Il a une copine, il a une gosse, je pouvais pas le laisser faire ça" C'est quoi ces conneries ? Une vie de mec rangé vaut plus que celle d'un autre ? « J'en ai rien à foutre. » Y a aucune explication valable pour la demoiselle. Elle s'entête, et ne retient que le fait que Ricardo aurait pu y rester. "Moi j'ai plus de famille. J'ai plus rien. J'avais rien à perdre. Je devrais être à sa place" Ouais, il aurait pas dû dire ça. Elle le gifla dans un réflexe, sans même une seconde de réflexion. « Redit plus jamais ça. » Qu'elle articule de sa mâchoire serrée, le fixant de ses yeux colériques. « T'as plus rien ? Et moi je compte pas là-dedans ? » Il a pensé une seconde aux personnes qu'il laisse derrière ? Comme Max, qu'il aurait brisé pour un acte de bravoure idiot.
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"On s'est fait tirer comme des pigeons, moi ou une autre c'était pareil". C'est vrai que Avalon avait quand même fait fort. Certes ils avaient tous les quatre tirés sur de pauvres innocents, mais la jeune femme avait été celle qui avait apparemment fait le plus de dégâts. En plus de Maxym, elle avait également blessée la meilleure amie de Ric, Poppy. Le brésilien ne pouvait pas s'empêcher de se dire qu'il aurait pu empêcher cela et que s'il avait parlé à Avalon avant toute cette histoire, il aurait pu lui faire entendre raison. S'il avait été présent dans le McDo cette journée, il aurait peut-être pu changé le cours des choses. Puisqu'il savait que, même dans un état second, Avalon n'aurait jamais tiré sur lui. "J'en ai rien à foutre" lui dit-elle avant d’enchaîner par une baffe. Elle y avait mit du cœur, et ça se sentait que la belle Eliot passait pas mal de temps à la salle. "Redit plus jamais ça. T'as plus rien ? Et moi je compte pas là-dedans ?" Il la regarda de nouveau, hochant la tête. "Bien sûr que si.. Et je t'assure que je n'ai fais que penser à toi durant ces heures.." Il prit doucement la main de la belle brune, celle avec laquelle elle l'avait giflé. "Mais je pouvais pas le laisser s'en prendre à lui. Il avait pas le droit de lui tirer dessus devant sa propre fille.." Son regard se posa sur l'épaule de Maxym avant qu'il ne baisse les yeux. "Si tu savais comme je m'en veux.." S'il n'était pas intervenu, peut-être qu'il n'aurait pas tiré sur Alex. S'il avait parlé à Avalon, Maxym ne serait surement pas dans cet état face à lui.
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La violence ne résout rien, blabla. Peut-être, mais ça permet d'évacuer le surplus d'énervement. Ses doigts avaient volé contre la joue masculine avec entrain, s ans se modérer. Et désormais ces mêmes doigts s'apaisaient contre ceux de Ric. « Si t'avais pensé à moi, tu saurais que t'avais quelque-chose à perdre. » Oui, elle a toujours quelque-chose à redire. Et lui a agit comme un idiot, elle maintient. Si vraiment il avait eu une pensée pour elle, il aurait imaginé les conséquences avant de physiquement s'opposer à un tueur. « C'est.. la police qui aurait du faire ça. Pas toi. T'as a risquer ta vie pour personne. » Il n'y a aucune vie plus importante qu'une autre, et surtout pas une qui surpasse celle du brésilien. Il semblait bloqué sur le fait que rien ne le retenait sur le campus, comme s'il n'existait plus, comme si son absence n'aurait marqué aucun esprit. Suivant le regard de son hôte, Max effleure le bandage de son épaule, dont la douleur n'était plus si vive que dans les premiers jours. Ses doigts s'entrelacent à ceux du garçon, et ses billes marrons cherchent son regard. « De quoi ? T'aurais rien pu empêcher Ric.. » Ni lui ni personne. Elle n'avait vu qu'Avalon, mais personne n'avait pu la toucher, ni entamer un quelconque dialogue. Elle était juste là pour le sang.
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