Y a Jorden qui m'a invité à fêter nouvel an avec lui enfin, à l'accompagner à la soirée. Je crois que j'aurais pu refuser et que la plupart de mes potes aurait voulu que je refuse mais, j'ai dit oui. Parce que c'est Jorden, que je peux pas lui dire non et que j'ai promis de faire un effort, de laisser le temps passait et de voir ce que ça donne. C'est pas une soirée qui va me foutre dans la merde quand même si ? Non aller, on se lance. Et comme c'est le dernier jour de l'an 2014, on s'habille bien. On fait oublie rien, maquillage, coiffage, manucure, talons hauts et une putain de robe. Il manque plus que de l'alcool, de la bonne musique et la soirée est parfaite. Pour ça, il suffit de descendre dans le hall de l'hôtel et c'est ce que je fais. Jorden est déjà là et il a de la chance, je suis de bonne humeur. J'arrive derrière lui comme si de rien était et murmure à son oreille : Hey c'est que t'es plutôt pas mal toi. T'es célibataire ? Finalement, je souris, dépose un baiser sur sa joue et me tiens face à lui.
Elle a bien changée en quatre ou cinq ans je sais même plus depuis combien de temps je l'a connais mais ça e fait que un mois que je la trouve vraiment féminine, comme toutes ses confrères, et je sais que ça l'a fait flipper, elle qui les critiquait tant, maintenant elle est pareil qu'elles, et en y pensant ç chaque fois je ris intérieurement. On étaient là, on avaient rejoint tout le monde et on se complimentaient sur nos tenues C'est vrai, j'aime trop ta bouille. je souriais et là je l'entendais un peu de se foutre des autres, elle commençait déjà Arrête, commence pas s'te plait. ça e soulait quand elle faisait ça Met ta langue de pute de coté ce soir tu veux ? lui demandais-je avant de l'embrasser.
J’suis trop faible les gars, vraiment trop faible ! Qu’elle idée d’avoir meilleurs amis une team de cabot sérieux. Entre Camille, Heidi et Noéllye.. J’peux te dire que j’ai été presque forcée de rejoindre la maison des roses à la rentrée. J’aurais du leur foutre des baffes et aller chez les mathers, comme convenue depuis longtemps dans ma tête. J’ai l’impression de prendre une année sabbatique de confrérie là ! Enfin bon ca sera bientôt fini je l’espère ! J’commence déjà à me marrer de la gueule des autres et monsieur rabat ma propre joie me dit de ne pas commencer. Vas y c’est le dernier jour de cette année tu veux pas me laisser un dernier plaisir en m’laissant être une conasse ? Puis de toute façons si j’le fait pas à voix haute, j’le ferais toute seule comme une grande dans ma tête. Il m’a embrassé, un peu me dire de la fermer vraiment j’suppose. Comme je disais.. J’suis trop faible ! Oké, j’me taaais ! J’me suis mise en face de lui en reprenant les bords de sa veste de costard pour bien refaire le plie de celle ci. Maniaque jusqu’au bout de tissus. Bon évites de sniffer ou fumer je ne sais quelle substances illicites fortement agréable ce soir, s’teuplait. Après j’vais vouloir faire pareil et ca va partir en couille pour moi ! J’suis égoïste c’est ça, j’lui demande de rien prendre parce que sinon j’vais avoir envie d’en prendre et y faut pas. Et puis si j’bois trop, j’te conseille de me surveiller parce que j’suis violable quand j’suis bourrée. N’importe qui pourrait m’embarquer que j’capterais même pas sérieux.
Je sais qu'elle aime critiquer, se moquer des autres mais pour ce soir fallait vraiment qu'elle évite, elle était pas toute seule, enfin elle pouvait le faire mais pas partager tout ça à haute voix quoi. Même pas. lui dis-je avant de l'embrasser, elle avait compris que je lui laissais pas le choix, et elle résistait pas, elle acceptait de pas faire sa connasse ce soir, parfait mais c'était une condition que je lui donnais, à son tour de m'en donner une, réajustant les bords de mon costard, elle ne voulait pas que je fume ou sniffe de drogues, sinon elle aussi allait en prendre et vu comme noël c'est passé, je préfère accepter D'accord, pour une fois je vais dire non à la drogue, enfin tu peux m'autoriser un seul pétard dans la soirée bébé ? je la regardais comme avec les yeux du chat dans shrek, je déposais même mes lèvres dans sa nuque avant de lui susurrer à l'oreille S'teu plait. juste un, c'est pas la mort, tout dépend de comment je le charge, la dose que je met.
Non j’te jure. J’fais la dure mais au final il suffit juste de me faire les yeux doux et bam t’as tout ce que tu veux de moi. Et puis j’suis sur que même j’pourrais me vendre pour un bueno sérieux. Tu veux m’avoir dans la poche, tu me donnes un bueno, tu m’fais des bisous et j’suis ton chien. Je m’attriste moi même ! Bon j’exagère un peu quand même. J’donne mon corps pour deux bueno ! En tout cas y’en a qui a bien compris comment je fonctionne. J’lui demande de rien prendre ce soir, pour le bien de tous, surtout de moi même au final et il essaye de négocier encore. J’allais lui dire non puis au final il a mit son plan de sadique à exécutions en venant déposer un baiser le long de mon cou. J’lai tapé, des p’tites tapes sur le torses parce qu’il me fait chier. T’es qu’un enculé de toute façons. J’suis manipulée ! J’ai souris pour finalement lui dire ok pour ce qu’il demande. J’ai pointé mon index vers lui en prenant un air de mère en colère. Mais fait gaffe. J’te choppe déchiré j’te jure que j’te prive de mon p’tit cul pendant un mois. Baaam. Sadisme.
J'étais trop fort, le talent à l'état pur, elle pouvait pas me résister, je savais comment elle marchait, ce savait ce qui la foutait hors d'elle et ce qui la faisait craquer en moins de deux. Elle ne voulait pas que je fume ou que je sniffe de la drogue ce soir, particulièrement pour elle qui risque de me suivre dans ce délire, et on a pas envie de retrouver ce qui s'est passé à noël mais j'arrive à négocier un pétard en usant de sadisme avec des yeux doux, une voix craquante et des lèvres dans la nuque, elle n'a pas résister et son sourire à la fin m'a fait comprendre que c'était ok Non t'es amoureuse. lui dis-je souriant mais je ne faisais pas le malin face à la menace qu'elle m'avait lancée en me pointant du doigt, si elle me trouvait défoncé, pas de cul pendant un mois, mon dieu l'horreur. D'accord. j'allais gérer le dosage puis c'est pas comme si ça se voyait rien qu'à ma gueule que j'étais défoncé, enfin là je l'étais pas hein.
Toi avec ta jambe dans l'plâtre, tu sais pas si tu aurais dû te présenter à ce réveillon du jour de l'an organisé à l'hôtel. Tu voulais pas rester cloué encore plus longtemps au lit, d'un côté ; tu voulais sortir un peu d'ton truc. Mais de l'autre, ton orgueil faisait en sorte que bah.. tu voulais pas qu'on t'voit dans cet état. Dur dur. Finalement, tu t'habillas difficilement d'un costard, chic, élégant, qui t'allait comme un gant. Tu voulais passer un moment seul au bar en attendant Olive. Elle t'rejoindrait probablement, ou peut-être avait-elle autre chose? Enfin bref, tu lui laissas un texto pour lui dire où tu t'trouverais si elle te cherchait, et c'est en béquilles, pour ne pas mettre trop de pression sur ta jambe en compote, que tu te rendis à la réception. Déjà quelques personnes s'y trouvaient, mais tu n'en tins pas vraiment compte. Tu voulais être seul, pour aucune raison plausible. "Du rhum, s'teplaît.", demandas-tu au serveur. Du fort, ouais.
C’est dur d’être moi. On résiste à personne et encore moins à lui.. Parce que c’est lui putain. Il m’rend dingue avec ses lèvres dans mon cou là. J’peux pas lui dire non, après j’vais être frustrée t’sais. J’vais m’en vouloir et ca va me faire chier pendant toute la soirée alors autant accepter ce qu’il propose. Il demande pas grand chose encore ca va. Vas t’faaaaire ! On ne joue pas d’une Skyler amoureuse, c’est mal ! Oui pauvre moi, j’suis sans défenses. Puis j’ai posé mes limites en parlant de le priver de cul pendant un mois. J’dis ca mais en vrai j’pourrais même pas tenir moi même alors.. Et puis refait moi un bisous là. J’ai dégagé mon cou là où il a posé son précédent baisé. Ca m’plait bien ! Vas y calme tes hormones Boyle. Ca va finir en plan fesses dans les chiottes. Ah au faite ! J’ai foutu les mains dans mon décolleté, genre normale pour en ressortir le pendentif qu’il ma offert à noël. Il est toujours avec moi tu vois ! Bon j’ai pas mis la gourmette que j’nous ai offert, parce que la avec a tenue ca aurait été laid.
Depuis un mois, je suis aux anges avec c'te fille, vraiment elle me comble partout et je me plais à avoir ce petit pouvoir sur elle, la faire céder en un instant parce que je sais simplement comment elle est et ce qu'il faut pour la faire craquer. Je suis le mal. dis-je faisant une grimace avant de lâcher un petit rire, elle acceptait que je fume un pétard, après tou tout je venais pas de demander la lune et elle si putain, me voir défoncer equivaut à ne plus faire l'amour pendant un mois, le truc suprême niveau sadisme pour moi comme pour elle en y pensant bien. Et t'enlève les un mois d’abstinence ? dis-je en souriant déposant mes lèvres de nouveau dans sa nuque, elle foutait sa main dans son décolleté pour en sortir le pendentif qu ej lui ai offert pour noël Heureux de savoir que tu le quittes plus. ma main se posait sur sa joue, mes deux à vrai dire et je l'embrassais tendrement.
Le mal ouais. Satan le gars ! Ou plutôt juste le gars dont ouais, j’suis amoureuse. Ca m’fait une peine ! Tu vois toi qui aime ma faiblesse tu dois tellement m’adorer maintenant que j’suis amoureuse. Certain pourrait trouver ca con je crois. De s’attacher à lui, juste en vue de son passé. Mais voilà j’suis la meuf qui le fait quand même. Il peut bien dire que je vis sur le jugement des autres. Finalement tout ce que je fais depuis le début de notre relation, c’est aller contre l’avis général. Déjà parce que les gens se disaient que j’étais lesbienne, jamais j’irais tester le sexe masculin et maintenant ? J’suis limite accroc à ca. Les gens disaient que c’était qu’un gros connard qui pensait que au cul et finalement je vis déjà chez lui et j’ai un putain de pendentif qu’il ma offert à noël avec nos initiales et notre date de mise en couple dessus, qui se trouve dans mes boobs. J’suis juste un peu perdue quoi. J’lui ai demandé de redéposer un baisé dans ma nuque et c’est ce qu’il vient de faire me laissant légèrement frissonner. Si t’es sage. J’lui ai souris quand il m’a parlé d’enlever les un mois d’abstinence. J’ai sorti le pendentif de mon décolleté, toute fière de moi. Il venu de nouveau poser ses lèvres contre les miennes histoire de m’emmener sur un p’tit nuage pendant les quelques instants de son baisé. Au final c’est toi qui aura tout mon rouge à lèvre sur les lèvres quoi ! J’ai remis le pendentif dans mes seins, bien caché. Tu m’payes un verre ? J’ai souaaf. Puis c’est l’excuse pour déjà entamer la soirée comme il se doit aussi.