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Joyeux Noël - OLIRREN.

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Vivement que ce plâtre te soit retiré, alors. Tu espérais qu'il te soit retiré bien vite, pas seulement pour être capable de faire ce que vous alliez faire d'ici peu sans problèmes, mais surtout parce que tu espérais avoir pleine possession de tes membres. De tous tes membres, sans avoir à jurer par une canne ou des béquilles. Pour l'instant, tu n'y penses pas. Tu ne penses qu'au courbes de ta copine. Tu ne penses qu'à lui faire plaisir. Tu ne penses qu'à lui montrer que tu l'aimes - encore une fois. Un jour, elle le comprendrait, et tout son être le comprendrait. Elle n'aurait plus à avoir peur. Comment savais-tu qu'elle avait encore peur, ne serait-ce qu'un peu? Elle ne parvenait toujours pas à te dire ces trois petits mots que tu arrivais à lui dire depuis assez longtemps : Je t'aime, Warren. Tu ne croyais pas cela si difficile, mais tu savais c'que ça représentait, pour elle. Alors, tu souriais, tu soupirais, tu te tortillais sous ses caresses à elle, sous ses mains expertes. J'ai envie de toi Cooper. Maintenant. Elle te faisait tant de bien, et tu espérais que ce soit réciproque. De tes mains qui se glissent vers ses hanches, tu tentes du mieux possible de lui retirer son pantalon d'un coup de main agile vers ses jambes. Tu glisses tes doigts sur ses fesses un instant, tout sourire. Il ne vous reste que vos sous-vêtements. Tu viens l'embrasser dans le cou, ne pouvant pas descendre plus bas que ça avec ton visage. Tu te mords l'intérieur de la joue. Gaaaad, elle est craquante. "Moi aussi, Shark. Tu m'aides?", demandes-tu d'une voix rauque où l'on y voit clairement la tristesse, et la déception, l'impuissance. Tu es désolé, elle devrait le comprendre dans ton regard. Il faudrait qu'elle retire au moins sa culotte, et p'têtre même ton boxer. Putain tu t'sentais con, ça faisait perdre un peu de sensualité au moment.
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Ton pantalon glissa le long de tes jambes. Warren était doué pour ça, pour te retirer tes vêtements. Y-avait-il seulement une chose pour laquelle Warren n'était pas doué ? Surement pas. Peut-être te cerner, complètement. Mais cela semblait être une chose si impossible. T'étais tellement changeante comme fille, toi même tu le savais ça. Tu ne pourrais pas te supporter aussi longtemps si tu étais à sa place. Mais Warren le pouvait, et ça n'pouvait que te combler. Les gens savent-il à quelle point tu es folle de lui ? Tu pourrais faire n'importe quoi pour lui, aujourd'hui. Moi aussi, Shark. Tu m'aides? T'allais t'occuper de ça, oh oui tu allais t'en occuper. Tu glisses doucement les mains entre l'élastique de son boxer pour le faire descendre doucement le long de ses jambes, le long de son plâtre. Quant à ta culotte, tu la retires en essayant de faire ça le plus sensuellement possible, remontant doucement le long de son corps, collée tout contre lui. Ton corps et ta tête ne demandent plus qu'à t'adonner à Warren, à ne faire plus qu'un tous les deux. Tu glisses ton bassin contre le sien, attrapant ses mains pour les plaquer contre ton bassin. Putain, ça t'avais presque manqué.
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Au fond, bien que tu apprécies chaque moment passé en la compagnie de ta fabuleuse copine, c'est de ceux-ci dont tu profitais le plus. Tu avais toujours été doué pour faire grimper les femmes au septième ciel, mais avec Olive, de la voir prendre son plaisir, t'en procurais également. Un jour, saurais-tu seulement l'impressionner sans qu'elle ne te rie au nez ou qu'elle ne paraisse dégoûtée? Saurais-tu trouver ce qui lui plaît vraiment assez pour qu'elle te sorte ces trois petits mots d'amour? Habilement et sans se faire attendre, Olive retire ton boxer. Tu soupires lorsqu'elle frôle ton mini-toi. Tu es toute chose, dans ces moments intimes avec elle. Tu te délectes du spectacle qu'elle t'offre lorsqu'elle retire sa propre culotte. Miam. Délicieux. À croquer. Littéralement. Ton excitation se fait ressentir, tu la sens te traverser tout le corps, et ce n'est dû qu'aux talents de ta copine. Rien qu'à elle. À qui ou quoi d'autre, de toute façon? Elle plaque presque férocement tes mains sur son bassin, que tu commences à masser du bout des doigts, frôlant ses côtes, descendant sur ses jambes, puis... Tu t'empares de ses lèvres, ainsi que de son corps, dans un coup de bassin puissant et quelque peu douleur, à cause de ta blessure à la jambe. Tu te sens tellement bien d'un coup. Tu respires son odeur, tu t'en délectes. Tu ne fais qu'un avec elle, tes lèvres se baladent de son épaule à sa nuque. C'est exquis, c'est parfait. Les bruits de pas qui vont et viennent à l'extérieur de ta chambre ne te dérangent plus, ne te gênent pas et ne te freinent pas non plus. Tu es dans ton monde, dans votre monde. Tu veux lui donner son plaisir, et prendre le tien ; tu le sens déjà monter, depuis tout à l'heure qu'tu te retiens, bordel!
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Vous ne faisiez plus qu'un. Cette simple phrase aurait pu suffire à elle même pour ce rp tout entier, vraiment. Votre corps à corps était parfait, malgré la jambe plâtrée de ton partenaire. Il n'avait rien perdu, il ne perdrait jamais rien. Warren était parfait et prenait soin de toi comme il le fallait. Ton plaisir monte, encore et encore, à mesure qu'il s'adonne à toi et que ses lèvres parsèment de baisers le court chemin entre tes épaules et ta nuque. Un frisson te parcours tout entier, c'que c'est agréable. Tu plaque ta poitrine contre celle de Warren, laissant échapper de doux sons, de doux gémissement de plaisir. Le plaisir qu'il te procurait, lui. Il monte encore, toujours, grandissant de secondes en secondes. Ses coups de bassins se font plus intenses.. T'es pas loin de ce truc qui t'fais toujours vibrer, vraiment pas loin. Et puis, c'est le coup de bassin qui te fait exploser. Tu t'abandonnes dans ses bras, grognant de plaisir contre son cou avant de venir capturer ses lèvres pour un énième baiser d'amour. Parce que oui, tu l'aimais Warren. C'est la première fois que j'fais l'amour dans un hôpital. Avec l'homme dont j'suis folle en plus. On peut dire que c'est un combo. souffles-tu contre son oreille avant de te lover contre lui.
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À l'instant, rien que d'être dans ses bras, rien que de te sentir complet en ne faisant qu'un avec elle, avec ton son être, te donnait l'impression d'être capable de déplacer des montagnes. De faire tourner la Terre dans l'autre sens, rien qu'en y pensant. Elle était ton soleil, lorsqu'il n'y avait que la lune. Tes coups de bassins lui donnaient ce plaisir que tu espérais tant lui donner. Si tu ne pouvais pas être romantique avec elle, alors au moins il y avait ça qui lui plaisait. Tu savais t'y prendre, avec ça, et tu savais comment lui donner ce sourire qu'elle arborait pendant l'acte. Un sourire concentré, les lèvres entrouvertes par le plaisir. Tu caressais ses courbes pour accentuer toutes les sensations, pour que vous puissiez partir dans un monde tout autre en même temps. Et ça ne tarda pas. Ton corps tout entier se cambra, et l'unisson des corps fut parfaite. Vos âmes ne se lâcheraient pas. Elle t'embrasse, tu caresses sa joue du dos de la main, venant ensuite embrasser son nez. Tu fermes les yeux, si bien, si confortable, si heureux. Si ta jambe était blessée, jamais ton coeur ne le serait, tant qu'elle serait là, elle. C'est la première fois que j'fais l'amour dans un hôpital. Avec l'homme dont j'suis folle en plus. On peut dire que c'est un combo. Tu te mets à rire. rabattant les couvertures sur vos deux corps nus. "C'était la première fois pour moi aussi." Avant d'ajouter, un peu tristounet : "J'suis vraiment désolé, mais ça m'a épuisé.. Avec les médicaments, un effort physique dans le genre, bien qu'agréable, ça tue mon énergie. Tu restes dormir ici." Ce n'était pas une question, c'était presque un ordre, tellement t'étais bien dans ses bras. Qu'elle reste ici, tu ne pourrais te sentir que mieux, maintenant.
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