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Joyeux Noël - OLIRREN.

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J'vous rappelle si y'a quoi que ce soit, merci. Enfin, il allait sortir de là, celui qui croyait avoir tout permis et qui semblait tout savoir quoi faire, alors que quoi? Tu ne pouvais rien faire. Rien du tout. Et ça t'enrageait à un point tel... que tu en étais rouge de colère. Non, noir de colère. Et là, tout bougon, tu sursautes presque en entendant Olive. C'est à son tour, de rager, c'est à son tour, de crier. De crier contre toi ; tu l'mérites, mais tu le nies intérieurement. A qui la faute si t'es là Warren ? Qui a voulu épater la nana la plus impassible qu'il te soit donné de rencontrer ? Et puis pourquoi ? Pourquoi t'as essayé d'te lever ? T'aurais pas pu m'appeller plutôt ? Merde, Warren ! Tu m'énerves, parce que j'ai eu peur ! Peur que tu t'recasses un truc en tombant, pauvre imbécile ! J'veux que t'arrête de t'donner tant d'mal pour moi Cooper ! Compris ? Elle n'y est pas allée de main morte, ta belle blonde. Alors, tu optes pour quoi, Cooper? Le calme plat, ou tu vas continuer à être enragé contre toi et contre tout l'monde? "Ok, c'est bon, Olive! C'est bon, j'ai compris. J'suis là, par ma faute. J'vais arrêter d'essayer d'impressionner la plus belle fille qu'il m'ait été de rencontrer. J'vais arrêter d'essayer de la faire sourire rien que parce que j'aime la voir sourire. Je vais arrêter de vouloir épater son coeur pour qu'il soit mien encore longtemps. J'ai compris, ça! J'arrête!" Tu baisses les yeux, mais tu n'as pas terminé sur ta lancée : "J't'ai pas appellée, car c'est toi qui est allée t'asseoir à des mètres de moi pour me bouder. Si j't'avais demandé de venir m'aider, ou de revenir me voir, t'aurais fait à ta tête et tu serais probablement restée assise sur tes fesses sur cette chaise pour me narguer. Maintenant..." Tu termines alors ton sacré discours en soupirant fortement, expirant, inspirant, puis expirant une dernière fois : "Maintenant, viens ici que j't'embrasse."
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Après avoir tout lâché, se fut au tour de Warren de balancer c'qu'il avait sur le coeur. T'avais presque l'impression de passer pour la méchante, mais ça tu le savais déjà. Ton coeur, lui, il battait vite. T'avais beau nier, tu aimais quand il te parlait ainsi, ton coeur aimait en tout cas, il en était fou. Tout ton corps était fou de Warren, de toute façon, t'avais fini par l'accepter. Maintenant, viens ici que j't'embrasse. Tu attends une seconde, puis deux, trois. C'est le coeur battant à la chamade et les yeux pétillants d'amour que tu t'avances près du lit, calmée. Tu n'as pas besoin de m'épater, tu le fais à longueur de journée. Tu n'as pas besoin de me faire sourire, je souris déjà quand j'suis avec toi. Tu n'as pas besoin d'essayer de garder mon coeur, il t'appartient Warren. J'suis à toi, pour toujours ! Et sans lui laisser le temps de répondre, tu écrases tes lèvres contre les siennes. Tu l'aimes, à un point de non retour.
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Tu n'as pas besoin de m'épater, tu le fais à longueur de journée. Tu n'as pas besoin de me faire sourire, je souris déjà quand j'suis avec toi. Tu n'as pas besoin d'essayer de garder mon coeur, il t'appartient Warren. J'suis à toi, pour toujours ! Tu essaies de le retenir, de l'empêcher de pointer le bout de son nez à celui-là aussi, mais tu ne peux empêcher le sourire naissant qui se dessine sur tes lèvres à ses paroles. C'est si facile de t'enrager, et pourtant elle a le don pour te calmer, cette fille. Elle a le don pour tout. Toujours. Et c'est elle qui vient t'embrasser. Tu soulèves ton bras non meurtri à cause de ta main, pour l'entourer au niveau des hanches et la reposer contre toi, de sorte à goûter et à apprécier un peu plus le baiser. Le temps d'un moment, tu le romps, de sorte à lui dire : "C'est si plaisant d'te résister, mais encore mieux de te succomber..." Et tu rattrapes ses lèvres, pour un bon baiser, un long baiser, un délicieux baiser... "J'ai un cadeau pour toi. Mais il est à l'hôtel... Celui-là, j'suis certain qu'il va t'plaire." Oh, t'en étais certain. Et il t'plaisait à toi aussi.
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Tu étais de retour sur ce lit, agrippée par le beau Warren. Est-ce que tu te rendais compte à quel point ce gars était formidable et combien des centaines de filles te jalousaient ? Probablement. D'ailleurs, t'avais cette nouvelle peur, celle qu'une nana ne te l'arrache, lui capture son coeur comme tu avais si bien su le faire. T'avais peur qu'il parte pour une fille plus.. stable ? C'est si plaisant d'te résister, mais encore mieux de te succomber... Tu repenses à ses nombreuses fois où il te résistait. Dans tous les domaines, il te résistait. Il était différent : tu disais blanc, il disait noir et mine de rien, c'est ce qui fait que vous ne vous êtes plus vraiment lâché. Puis y'a eu cette phase creuse : un mois sans vous voir. C'était trop, pas vrai ? T'avais réalisé quelle vide il laissait en toi lorsqu'il n'était pas là et admettre que tu étais amoureuse t'avais fait fuir, lors de la fête de l'automne. Bref, quelques mois plus tard, vous étiez là, tous les deux fous l'un de l'autre, dans cette foutue chambre d'hôpital. Te succombant. Alors succombes moi autant qu'il te plaira Cooper ! dis-tu avant de te laisser entrainer par ses lèvres, sa langue, ce baiser fougueux, passionnant, amoureux. J'ai un cadeau pour toi. Mais il est à l'hôtel... Celui-là, j'suis certain qu'il va t'plaire. Tu te love contre son cou et glisse tes mains dans ses cheveux. Ce que vous étiez serrés sur ce ridicule lit d'hôpital. On verra ça quand tu seras sortie d'là. C'était pas la peine, c'qui comptait pour moi c'est d'être avec toi.
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Alors succombes moi autant qu’il te plaira Cooper ! Tu lui succombes à chaque seconde de ton existence, le comprendra-t-elle seulement un jour, ça aussi? Tu souris à la simple pensée que tu puisses lui appartenir tout entier, que tu as fait d’elle tienne, et que le monde n’était que plus beau encore maintenant que vos cœurs ne faisaient plus qu’un. Si tu lui avais résisté tout à l’heure, c’est seulement parce que tu redoutais d’être surpris par un médecin ou une infirmière, quoi. Et si cela n’était pas arrivé? Eh bien ça aurait été génial, mais malgré l’adrénaline et l’excitation du moment, tu ne voulais qu’il n’y ait vraiment qu’elle et toi, pour profiter pleinement du moment. ”Tu sais c’que je te ferais si j’pouvais, là?”, lui demandes-tu dans un murmure quelque peu coquin et plein d’idées derrière, alors que tu l’embrasses pour une énième fois. C’qu’elle est belle, dans tes bras. L’avais-tu remarqué, avant? Tu lui dis alors que tu as un cadeau pour elle, un cadeau de Noël, bien évidemment, mais qu’il n’est pas avec toi actuellement. Normal. Tu n’avais tout d’même pas prévu de passer les Fêtes à l’hôpital, alors il était resté à l’hôpital. T’pourrais toujours téléphoner à ton coloc de chambre pour qu’il te l’apporte, non? On verra ça quand tu seras sortie d’là. C’était pas la peine, c’qui comptait pour moi c’est d’être avec toi. ‘’ Évidemment, tu souris à ces belles paroles qui sortent de la bouche de ton amoureuse. Ça te réchauffe le cœur, ça te fait oublier un peu mieux ou vous êtes, là. ”Mon plus beau cadeau d’Noël c’est qu’tu sois amoureuse de moi. C’est d’te voir tous les jours. C’est ce sourire que j’ai grâce à toi. Mais tout d’même, j’voulais t’offrir un truc. Tu sais que j’pense à toi, alors comment j’aurais pu faire autrement?”
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Tu sais c’que je te ferais si j’pouvais, là? Quel aguicheur ! Il était détestable au plus haut point quand il commençait à te donner de telles envie. Ton coeur s'emballe, il le sait très bien en plus. Je l'ignore et ne préfère même pas l'imaginer, Monsieur Cooper. murmures-tu à ton tour avant de lui capturer ses lèvres inlassablement. Pouvait-on se lasser, ne serait-ce qu'un instant, de Jay Warren Cooper tout entier ? Difficile à croire. Mon plus beau cadeau d’Noël c’est qu’tu sois amoureuse de moi. C’est d’te voir tous les jours. C’est ce sourire que j’ai grâce à toi. Mais tout d’même, j’voulais t’offrir un truc. Tu sais que j’pense à toi, alors comment j’aurais pu faire autrement? Y'a quelques semaines, tu l'aurais giflé pour avoir dit quelque chose d'aussi.. niais ! Là, tu avais le regard attendri. Le coeur aussi. Warren faisait l'effet sur ton coeur qu'un feu faisait sur un chamallow. Il attendrissait. Il t'attendrissait, juste toi. Alors j'arrête de me plaindre et j'ai hâte de voir ce que le père-noël m'a apporté cette année. Tu plonges ta tête contre son cou. Je t'aime. Olive Bambi Shark aime Jay Warren Cooper, plus qu'elle n'aurait pu l'imaginer un jour. souffles-tu chaudement tout contre lui avant d'être attiré par le tic-tac de l'horloge collé au mur. OH ! Il était déjà si tard ? C'est que vous n'aviez pas vu le temps passé sur ces skis, même dans cette salle d'attente.. Tout avait été si long ? Il est l'heure de dîner ! T'as faim ? Tu veux que j'nous commande un truc ? demandes-tu précipitamment, comme si, tout à coup, ta vie en dépendait.
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Je l'ignore et ne préfère même pas l'imaginer, Monsieur Cooper. C'est elle maintenant, la pauvre fille de l'histoire? Celle qui se retient de ne pas succomber pour une raison qu'elle seule semble connaître. Tes lèvres sont capturées par les siennes. Tu respires par le nez alors que tes doigts parcourent sa joue. C'est électrisant, comme chaque fois. Alors j'arrête de me plaindre et j'ai hâte de voir ce que le père-noël m'a apporté cette année. Un sacré Père-Noël, faut savoir. Un père Noël avec quelques idées derrière la tête, d'ailleurs. Cette idée te fait sourire. La fera-t-elle sourire, elle aussi? Tu t'en délectes déjà, un peu trop même, rien que de l'imaginer avec ce cadeau dont toi seul connait l'identité. "Il a été trèeees chouette. C'est moi qui t'le dit." Tes doigts se glissent dans la crinière de ta belle blonde pour savourer un peu plus ce moment. Je t'aime. Olive Bambi Shark aime Jay Warren Cooper, plus qu'elle n'aurait pu l'imaginer un jour. Tu fermes les yeux, croyant rêver rien que d'entendre ces paroles que jamais même en Ohio tu aurais seulement pu espérer avoir la chance d'entendre. Mais que devient-elle donc à tes yeux? Toujours la même, et pourtant si différente.. "Le Cooper il aime sa Shark à n'en plus voir clair, lui aussi." Tu embrasses le dessus de sa tête, tout heureux, le coeur battant. Elle était toute posée sur toi, sa tête dans ton cou; il est clair qu'elle le sentait battre à tout rompre. Jusqu'à ce que tu la sentes sursauter. Putain, il battait si fort que ça? Il est l'heure de dîner ! T'as faim ? Tu veux que j'nous commande un truc ? Tu suis son regard vers l'horloge, haussant les épaules, affichant sans même t'en rendre compte un regard mystérieux, un sourire coquin, alors que tu te trémousses sous elle et qu'tu murmures d'une voix silencieuse : "J'peux commander une Olive pour le dîner? J'ai clairement envie d'en goûter une, de la savourer..!" Quel jeu de mot idiot et peu subtil. En fait, tu ne cherchais pas là à être subtil, donc tant pis, hein. L'une de tes mains se glisses le long de son corps qui s'trouve sur le tien, tu serres gentiment l'une de ses fesses, puis maintenant qu'elle a relevé la tête, tu cales la tienne dans le creux de sa poitrine, juste un peu plus en haut, où elle a déboutonné deux boutons un instant plus tôt rien que pour te provoquer, et où tu déposes quelques baisers fiévreux. Et n'était-ce pas de l'imagination, là?
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Le Cooper il aime sa Shark à n'en plus voir clair, lui aussi. C'était ça le bonheur alors. Aimer, et être aimée. On avait eu beau te l'expliquer des centaines de fois, il n'y a que maintenant que tu le comprenais. Aimer n'était pas si désagréable que ça. On s'habituait même à cet affreux pincement dans le coeur en présence de l'être aimé. Warren. Tu n'te lasserais sans doute plus jamais non plus des battements de son coeur. Son coeur qui bat pour toi, uniquement pour toi. Tu le savais, même si parfois tu peinais à y croire. Puis tout s'acellera lorsque tu vit l'horloge accrochée au mur. Le dîner, celui que vous auriez du passer au restaurant au calme tout les deux. La bouffe des hôpitaux n'était pas la meilleure, bien loin même, mais il fallait quand même manger. J'peux commander une Olive pour le dîner? J'ai clairement envie d'en goûter une, de la savourer..! Oh, facile. Ses mains glissent le long de ton corps, empoignent tes fesses et tandis qu'il laisse sa tête plonger et découvrir ton décolleté tu pousses un petit gémissement. Non vraiment, tu n't'attendais pas à ça après la réticence qu'il avait employé précédemment. Ils sont en rupture de stock. Un certain monsieur Cooper à tout réclamé pour sa chambre, il n'en reste pas une miette. Parrait même qu'il est entrain de dévorer la dernière, en ce moment même. souffles-tu sous ses baisers qui te brûlaient délicieusement la peau. Oh, Warren.
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Tu y avais pensé. Avec le rejet douloureux d'Olive lorsque tu étais venu la retrouver dans sa chambre à la Mather, après un long voyage et de nombreux jours à déprimer son absence et sa fuite, tu avais réfléchi. Et si tu t'orientais vers une fille plus simple? Plus chaleureuse? Plus fleurs et chocolats? Plus vanille, quoi. Il n'y aurait pas tous ces doutes chaque fois que tu penses à lui offrir un cadeau ou à lui faire une scène digne de ce nom. Il n'y aurait pas ces espérances quant à ses réactions, parfois très inattendues. Mais ce n'était même pas envisageable. Cette blonde était parfaite, et bien qu'ça ne fasse même pas deux mois que vous êtes ensembles, tu sentais toute cette chimie inexplicable entre vous deux, et c'était du sérieux, à tes yeux. Et si tu pouvais passer ta vie à ses côtés? Tu n'hésiterais pas une seconde à accepter. Quel homme pourrait en être plus comblé que toi, après? Tu veux lui faire sentir que tu l'aimes et que c'est Noël, malgré que vous êtes tous deux dans une chambre d'hôpital. Quelle horreur. Ils sont en rupture de stock. Un certain monsieur Cooper à tout réclamé pour sa chambre, il n'en reste pas une miette. Parrait même qu'il est entrain de dévorer la dernière, en ce moment même. Son gémissement te prouve qu'elle apprécie le doux traitement que tu lui offres. Le revirement de situation semble inattendu, et pourtant elle apprécie. Et tu apprécies. Tant pis pour l'infirmière, ou bien le docteur. C'est le moindre de tes soucis. "C'qu'il est égoïste, ce Monsieur Cooper. Il garde tout pour lui...", dis-tu alors en t'enivrant de son odeur délicieuse. Son parfum de rêve te parvient au nez et tu fermes les yeux en appréciant cette magie. Ton nez glisse du creux de ses seins jusqu'à son menton, doucement, lentement, pour qu'elle sente bien le geste. Peut-être un peu plus sensuellement, tu répètes ce trajet, cette fois en glissant ta langue de long de sa peau si douce, déposant un baiser mielleux à l'arrivée. T'arrêtant alors, tu relèves la tête, te mordant la lèvre, plongeant ton regard amusé dans le sien. "On peut faire venir du chinois, jusqu'à l'hôpital, tu crois?" Oh c'qu'elle va te détester. Mais ça ne t'en amuses que plus encore. Ta main toujours sur ses fesses les malaxe doucement, bien subtilement, alors que tu la fixes longuement.
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C'qu'il est égoïste, ce Monsieur Cooper. Il garde tout pour lui... Tu ne demandais qu'à plus répondre de toi, te laisser tomber dans les bras de Warren, le laisser te faire n'importe quoi tant que ça l'enchantait. Il s’enivrait de toi, s’engouffrait dans ta poitrine avant d'y faire parcourir sa langue entre tes seins. C'était cruel, abominablement cruel mais tout autant délicieux. Les sens en éveil. C'était toujours différent lorsque Warren te touchait, comme si lui seul était compatible à ton désir, le vrai désir. Il n'est pas partageur pour un sous, au plus grand bonheur de son Olive. On peut pas vraiment appeler ça de l'égoïsme. soupires-tu, sentant déjà de drôles d'effet . Il t'embrasse le creux de la poitrine avant de relever la tête et planter ses yeux pétillant d'amusement dans les tiens, embrasés par le désir. On peut faire venir du chinois, jusqu'à l'hôpital, tu crois? Tu n'avais faim plus que de lui, de rien d'autre. Tu voulais sentir ses lèvres sur ton corps encore, et toujours. Putain, pourquoi avais-tu diable proposé de manger ? J'imagine. Tu téléphones. réponds-tu, tachant de refouler ton désir. Sa main, elle était toujours sur tes fesses. Tu savais qu'il ne se passerait rien, il le savait aussi, et pourtant il continuait de jouer et le pire.. c'est que t'aimais ça. Putain, ce que tu pouvais détester Warren. T'attrapas ton portable et.. oups, le fit tomber dans ton décolleté.
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