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Joyeux Noël - OLIRREN.

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Par les étoiles, que l'on me plâtre cette foutue jambe ! À ton tour, tu ris, venant par la suite sceller tes lèvres aux siennes pour un bref mais tant souhaité baiser. Tu secoues la tête en rompant le baiser, plongeant tes yeux amoureux dans les siens, étincelants. On l'invite à nous rejoindre ? L'infirmière? Vraiment? Pour la taquiner un peu, tu te passes la langue sur les lèvres, signe que c'est une idée qui te paraît fort alléchante et plutôt invitante. Attention Warren, la jalousie maladive de ta jolie copine va refaire surface, si tu continues. Mais ça t'amuse, aujourd'hui, "Deux belles blondes rien que pour le blessé? Il va devenir complètement fou...", souffles-tu contre ses lèvres, avant de l'embrasser de nouveau. Mais rapidement, ton sourire disparaît pour t'obliger à fermer les yeux et... à te concentrer bien fort, en vain. Et bien.. je n'ai qu'à bouger doucement, comme ça.. et, ô miracle, tout semble encore fonctionner. Putain, elle est vilaine. C'pas croyable, elle arrive à t'torturer dans des moments auxquels tu n't'attends même pas. Toujours. Tu as bien beau mettre toute ta concentration dans le bas de ton ventre, pour le retenir de pointer le bout de son nez et pourtant... rien ne fonctionne. Car Olive a trop de pouvoir sur toi. C'est malsain. Tu resserres ton étreinte sur ses hanches, la forçant ainsi à arrêter dans son mouvement douloureusement injuste. Puis, d'une voix encore plus rauque et faible que tout à l'heure : "Ne me torture pas plus, Livette.. C'est injuste.." Tu la regardes alors avec des yeux tout tristes, pour l'inciter peut-être à ne pas continuer ce bon et pourtant triste traitement... "J'ai que mes mains pour m'occuper de toi, moi.." Tu ajoutes alors, dans un semi-sourire : "Et puis j'peux même pas me défendre."
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Deux belles blondes rien que pour le blessé? Il va devenir complètement fou... T'aurais pu crever de jalousie et renoncer bien vite à cette hypothèse, mais tu décides néanmoins de rentrer dans son jeu. Après tout, c'est toi qui avait ouvert le bal en supposant inviter l'infirmière. Une plus belle que l'autre, évidemment. Ne t'ai-je jamais dit que j'étais spécialisée en psychiatrie ? souffles-tu tandis qu'il venait capturer tes lèvres à son tour. Il n'en était rien, tu t'y connaissais pas plus en psychiatrie qu'en mécanique, mais c'était assez fun. Ce p'tit jeu de rôle en fait était fun, avec Warren. Ne me torture pas plus, Livette.. C'est injuste. Il avait renforcé la pression sur tes hanches pour que tu arrêtes de te trémousser de la sorte, te regardant avec des yeux.. implorants. J'ai que mes mains pour m'occuper de toi, moi.. Et puis j'peux même pas me défendre. Tu claques de la langues trois fois, fermant les yeux. T'étais franchement déçue, pour le coup. Tu manques cruellement d’imagination alors.. ronronnes-tu en attrapant ses mains, les accompagnant sur la délicieuse remontée de ton corps avant de les passer par dessus la tête de Warren. Et puis, c'est pas ce que son corps disait qu'il n'avait que les mains pour s'occuper de toi...
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Une plus belle que l'autre, évidemment. Ne t'ai-je jamais dit que j'étais spécialisée en psychiatrie ? Tu vas te faire massacrer sur place, on te laissera pour mort dans ton lit d'hôpital, tu le sais déjà, mais ta langue te brûle... "C'est vrai que l'infirmière... wouhou, alooors.", dis-tu en sifflant, t'attendant à des reproches ou à une gifle, qui sait? Toi, tu sais. Mais tu redoutes. Avec Olive, on ne sait jamais à quoi s'attendre. Parfois, on pense à un truc, et c'est un tout autre truc qui s'produit. Car elle est imprévisible. C'est l'une des choses que tu aimes tant d'elle. Sans compter tout le reste... Tu manques cruellement d’imagination alors.. Non, c'est bien faux, ça. Tu débordes d'imagination, tu es plus sage qu'elle, c'est tout... Tu laisses remonter tes bras, tes mains, tu la laisses tout faire, de toute façon. Que pourrais-tu seulement lui refuser? Tu en profites pour glisser tes lèvres le long de sa nuque : ça, tu peux encore le faire. "Tu sauras que je suis très imaginatif.. Mais tu sais, je doute que le personnel apprécie de trouver leur patient soumis et agressé par une belle demoiselle comme toi... Ils devront me traiter pour, tu sais... ça.", dis-tu en orientant ton regard vers le bas de ton ventre, sous son corps de déesse à elle.
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C'est vrai que l'infirmière... wouhou, alooors. Tu roules des yeux, amusée ô combien il essayait de te rendre jalouse. Ma parole que ça aurait pu marcher si tu n'étais pas entrer dans ce drôle de personnage. Laisse moi te dire que tes goûts sont pas top. J'suis sûre qu'elle est plate comme une planche à pain et qu'elle à les yeux qui louchent ! grognes-tu gentiment en mimant tes dires. T'avais l'air mignonne comme ça tient, les yeux tout louchant. Et puis, il s'était plein de n'pas pouvoir s'occuper de toi comme il se devait, qu'il n'avait que ses mains. Tut, tut, tut. Avec un peu d'imagination et beaucoup d'envie, on pouvait faire des choses folles, là, comme ça. Tu sauras que je suis très imaginatif.. Mais tu sais, je doute que le personnel apprécie de trouver leur patient soumis et agressé par une belle demoiselle comme toi... Ils devront me traiter pour, tu sais... ça. Putain, t'étais frustrée d'un coup qu'il te sorte tout ça. Comme s'il n'avait pas envie, alors que ça en disait bien le contraire. Puis ses mains pressées contre tes hanches, aussi. Tu sais quoi ? T'as raison. clames-tu haut et fort avant de poser tes lèvres sur la joue du garçon. Je doute que le personnel apprécie tout ça. Et hop, avant même qu'il puisse dire quoi que ce soit, tu t'échappes de son emprise pour retrouver le sol de la chambre. Tu prends quand même soin de déboutonner les deux premiers boutons de ton chemisier pour qu'il voit quand même ce à quoi il venait de renoncer. Et puis, le patient à besoin de repos, c'est ce que le médecin à dis.. dis-tu sur un ton très malicieux. T'étais cruelle, quand tu t'y mettais.
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Laisse moi te dire que tes goûts sont pas top. J'suis sûre qu'elle est plate comme une planche à pain et qu'elle à les yeux qui louchent ! Pour tout dire vrai, l'infirmière était réellement jolie, et elle s'occupait de toi comme un vrai ange, mais elle n'était rien à côté d'Olive. Bon, tu n'avais d'yeux que pour elle, c'est vrai, mais tu savais tout de même apprécier la beauté féminine comme il se devait. Tu es un homme et ce n'est pas pour rien. Tu as envie de te tortiller pour enlever cette sensation agréable et désagréable à la fois que te procure ton érection, juste au niveau du bas ventre de ta copine, mais tu ne peux pas vraiment. C'est assez difficile, dans ton état. Tu sais quoi ? T'as raison. Tu fronces les sourcils, la fixant alors qu'elle se mouve encore un peu, pour ensuite... Oh non. Je doute que le personnel apprécie tout ça. Elle s'retrouve debout, à côté du lit. Tu maugrées contre toi-même, mais tu te forces à ne rien dire ; ton orgueil en prendrait un coup. Ton self-control aussi... Tu la regardes défaire deux boutons de son chemisier, et tu fermes les yeux en grognant bien fort, fâché, insatisfait de la situation. Et puis, le patient à besoin de repos, c'est ce que le médecin à dis.. Tu secoues la tête de gauche à droite, sans rouvrir les yeux. Mais en fait, tu succomberais bien, là. Tu l'attraperais par la main, en l'attirant avec le peu de forces que tu as à toi, pour qu'elle retourne dans la position dans laquelle elle t'a poussé à l'excitation et dans laquelle elle t'a laissée tomber. Mais non, ça c'était que dans ta tête. Tu rouvres les yeux, haussant difficilement les épaules. "C'est vrai que... j'ai besoin de repos." Tu souris, avant d'ajouter, sans oublier d'y mettre tout le malice dont tu étais capable, toi aussi : "Oh et puis... y'avait pas que mes mains. Y'a ma bouche aussi, qui aurait pu prendre soin d'toi, mais... Puisque j'ai besoin de repos et que tu comprends ça... J'imagine que je ne pourrai pas l'utiliser, non plus." Tu réussis enfin à te trémousser le bassin un peu, tout fier, bien que ça te fasse souffrir; autant ta condition que ça. Elle voulait jouer? Allons jouons (a)
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C'est vrai que... j'ai besoin de repos. Evidemment qu'il en avait besoin, il avait fait une chute géantissime et s'était mine de rien bien égratiné. Un choc pareil, on pète pas la forme après. Mais merde, c'est lui qui t'avais poussé à devenir comme ça, folle d'un désir que tu ne contrôlais plus. C'est lui qu'avait parlé d'excitation et tout l'bazarre. Et maintenant quoi ? Bein rien. Rien du tout. Non vraiment, c'était assez frustrant. T'étais frustrée, bien que tu ne veuilles pas le montrer. Oh et puis... y'avait pas que mes mains. Y'a ma bouche aussi, qui aurait pu prendre soin d'toi, mais... Puisque j'ai besoin de repos et que tu comprends ça... J'imagine que je ne pourrai pas l'utiliser, non plus. Enfoiré, salop, connard. T'avais envie d'lui balancer la petite cruche d'eau en plastique à la gueule, où qu'il s'étouffe avec un doliprane. Un excès de colère, encore un. Putain, pourtant tu ne prenais plus ses foutus pillules. J't'avais dit qu'avec un peu d'imagination ça viendrait, comme quoi j'suis pas toujours de mauvais conseil. Mais j't'en pris, garde ta bouche pour ton infirmière, j'passe mon tour. J'irais trouver du réconfort auprès d'un valide, t'fais pas de soucis pour moi. lâches-tu avant d'attraper un bouquin publicitaire et de te laisser tomber dans le fauteuil pour commencer à la bouquiner sans vraiment faire attention aux publicités qu'il contenait.
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J't'avais dit qu'avec un peu d'imagination ça viendrait, comme quoi j'suis pas toujours de mauvais conseil. Mais j't'en pris, garde ta bouche pour ton infirmière, j'passe mon tour. J'irais trouver du réconfort auprès d'un valide, t'fais pas de soucis pour moi. Tu l'avais cherché, et tu aurais dû savoir que ça se terminerait probablement ainsi. Ça se terminait toujours de la sorte. Pourquoi? Parce qu'elle t'aime? Parce qu'elle veut pas t'perdre? T'en sais rien, mais tu n'aimes pas la voir dans cet état, encore moins lorsqu'elle se tourne en colère contre toi. Elle va s'asseoir au loin - pas trop quand même -, à distance de ton lit inconfortable, ouvrant une revue au hasard. "Trouver du réconfort auprès d'un valide", c'est bien ce qu'elle avait dit, et là... c'est toi qui bougonne de jalousie. Cette fois, c'est toi qui fait ta tête de cochon, c'est toi qui supporterait pas de la voir aux bras d'un mec, quel qu'il soit. Alors, pour aller voir Olive pour aucune raison valable - juste que tu ne supportes jamais cette distance et ces disputes entre vous - tu prends ton courage à deux mains, le peu de forces que tu as, et tu tentes d'oublier la douleur que ça va t'causer, lorsque tu te lèves le haut du corps, pour ensuite te tourner à moitié sur le lit, les jambes dans le vide. Mais puisque t'es con comme ça, beh... en t'aidant de tes bras encore valides mais tout de même fragiles à cause de l'effet morphine et autres drogues pour t'aider à guérir et à diminuer la douleur, tu t'pousses un peu trop fort et au lieu de te retrouver sur tes deux jambes, tu t'retrouves par terre, à renifler la poussière au sol. Tu pousses un grognement en essayant d'te relever, en vain. Tu es pris au piège au sol, parce que t'en as fait encore qu'à ta tête. "Putain d'merde." Et puisque ça t'frustre, ce genre d'impuissance, tu prends ton poing pour donner un puissant coup sur le sol, juste à côté d'ton visage, c'qui t'arrache une grimace de douleur. Tu as les jointures rouges, maintenant. Bravo champion.
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Arg, t'en avais marre de tes sautes d'humeur. T'avais remis tout ça sur le dos des pilules que tu prenais pour te calmer, mais même sans t'arrivais à te prendre la tête pour rien. Finalement, le problème il venait bien de toi. Pas de ces foutus pilules, juste de toi. Faut dire que tu n'étais pas aidée non plus, où alors c'était toi qui prenait les choses trop à coeur. Tu soupires derrières tes publicités te demandant si un jour t'arrêterais de gaspiller n'importe quel plaisir par une saute d'humeur. Putain d'merde. Un grognement, puis un coup qui martèle le sol. Tu fermes le journal publicitaire et lèves les yeux. Warren, étendu sur le sol, la tête bouffant la poussière. Tes yeux se remplissent de colère. Pas contre lui, mais contre toi, contre ton caractère de merde. Tu n'aurais pas pris la mouche aussi facilement, il n'aurait pas chercher à se lever pour faire tu n'sais quoi. De toute façon, si tu n'étais pas aussi différente, rien de tout cela ne serait arrivé, vous n'seriez même pas dans cet hôpital. Espèce d'idiot ! Pourquoi t'as essayé d'te lever ? grognes-tu en lâchant le journal pour presque courir à ses côtés. Non mais putain, vous avez vu son gabarit à côté du tient ? T'étais incapable de le soulever.. même avec la meilleure volonté du monde. Tu te relèves et presse ton poing contre le bouton d'appel aux infirmiers, espérant qu'ils viennent t'aider. T'es con Cooper ! Imagine que.. que.. Tu cherches tes mots, agacée, mais alors que tu t'apprêtes à reprendre, un infirmier entre dans la salle. C'était le même bonhomme que tout à l'heure, celui que tu avais pris pour le médecin. Il aida Warren à se relever et le reposa dans son lit avant de se tourner vers toi. Qu'est-ce qu'il s'est passé Madame Cooper ?[color] Tu fermes les yeux, les bras croisés contre ta poitrine, avant de les rouvrir fous de rage sur Warren qui aurait pu s'recasser un truc en chutant. Shark. Mademoiselle Shark. Il a juste.. voulu aller au cabinet seul. C'était manifestement une mauvaise idée ! crâches-tu en insistant sur les derniers morts.
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Espèce d'idiot ! Pourquoi t'as essayé d'te lever ? Tu maugrées encore contre toi-même, le nez au sol, les yeux fermés, alors que t'es incapable de faire quoi que ce soit depuis ce foutu accident. Quoi que ce soit par toi-même, tu veux dire. C'est impensable, pour Jay Warren Cooper, d'être impuissant, comme ça. Tu as envie de lui répondre ; parce que j'voulais venir te voir et m'excuser. Mais non, tu ne dis rien, trop concentré à enlever cette douleur de ton poing et de ta jambe qui te fait atrocement souffrir, même si ça ne paraissait pas trop, avant que tu décides de te jeter en bas d'ton lit. Tu sens d'abord les mains de ta copine sur toi, pour essayer de te relever, mais tu n'es pas un poids plume. Elle, si. Et elle est peut-être bien forte, mais elle n'y arrive pas et n'y serait pas arrivée. T'es con Cooper ! Imagine que.. que.. Et là, c'est la voix, et les mains d'un homme, que tu sens. Lui, il parvient à t'relever, et à te retourner sur ton foutu lit que tu aimerais bien quitter. Et si... tu te sauvais pas la fenêtre? Impensable, tu ne ferais même pas dix mètres. Tu n'arriverais même pas à l'atteindre, merde. Qu'est-ce qu'il s'est passé Madame Cooper ? T'as un genre de bonheur soudain en entendant "Madame Cooper". Mais comme chaque chose avec Olive, faut toujours que ça prenne fin, puisque ça ne lui plait pas, à elle. Visiblement... Shark. Mademoiselle Shark. Il a juste.. voulu aller au cabinet seul. C'était manifestement une mauvaise idée ! Shark. Pas Cooper. Shark, évidemment... Ça te met encore plus en colère, mais il n'y absolument aucune raison de l'être. Eh, Warren... Ça fait même pas 1 mois que vous êtes ensemble, arrête de penser à l'appeler Madame Cooper, même si ça sonne putain de bien. Tout t'énerve, là, dans l'moment présent. "Lâchez-moi!", dis-tu à l'homme qui t'a reposé sur le lit, en donnant un coup d'épaule qui le repousse un peu plus loin. Tu jettes un regard noir, quoique involontaire à Olive, et tu t'rabats sous tes couvertures, grognant intérieurement. "C'est bon, j'ai rien, hein! Quoique... J'suis pas dans un foutu hôpital le jour de Noël pour rien, non plus." Olive, putain, viens ici et embrasse-moi, as-tu envie de lui dire. T'en aurais d'besoin, là.
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Lâchez-moi! Vous étiez deux à être énervés, maintenant. Il grondait après le pauvre infirmier qui ne faisait rien d'autre que son travail. En prime, il eut le droit à un coup d'épaule qui le fit reculer d'un pas. En même temps, vu sa carrure, Warren l'aurait écrasé comme une ridicule petite fourmi. C'est bon, j'ai rien, hein! Quoique... J'suis pas dans un foutu hôpital le jour de Noël pour rien, non plus. Tu lèves les yeux au ciel tandis qu'il se glisse, tout ronchon, dans ses couvertures. Tu te tournes vers l'infirmier, lui offrant un semblant de sourire. J'vous rappelle si y'a quoi que ce soit, merci. Non non, tu lui ordonnais pas par là de sortir, pas du tout. N'hésitez pas.[/color] Puis il s'en alla, vous laissant seul tous les deux, à nouveau. A qui la faute si t'es là Warren ? Qui a voulu épater la nana la plus impassible qu'il te soit donné de rencontrer ? Et puis pourquoi ? Pourquoi t'as essayé d'te lever ? T'aurais pas pu m'appeller plutôt ? Merde, Warren ! Tu m'énerves, parce que j'ai eu peur ! Peur que tu t'recasses un truc en tombant, pauvre imbécile ! J'veux que t'arrête de t'donner tant d'mal pour moi Cooper ! Compris ? Tu criais presque. En fait, la pression que tu avais accumulée depuis l'accident redescendait bêtement. Extérioriser, ça faisait du bien. Vachement de bien. Tes yeux brillaient, tout humidifiés par les larmes que tu retenais. T'avais eu peur lors de sa chute, vraiment peur.
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