Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJoyeux Noël - OLIRREN. - Page 4
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


Joyeux Noël - OLIRREN.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il n'est pas partageur pour un sous, au plus grand bonheur de son Olive. On peut pas vraiment appeler ça de l'égoïsme. Si tu ne peux savoir ce qu'elle ressent face à ton petit jeu, bien que tu aies une doute, alors là, toi tu es contraint par l'effet qu'elle te fait, elle. Elle le sent certainement, mais tu n'en est pas gêné, puisqu'il n'y a que pour elle, qu'avec elle que tu te sens aussi bien. "C'est qu'il profite, c'est qu'il sait apprécie, tu vois?", dis-tu au même moment que tes langue termine son chemin sur sa poitrine que tu as envie de dévoiler, rien que pour admirer. Mais ce serait dangereux, de jouer à ce jeu ici. J'imagine. Tu téléphones. Ton sourire s'agrandit, au plus grand malheur de ta belle. Oh, c'que t'es vilain... Tu tends la main pour attraper le téléphone, mais tes yeux, lorsqu'ils voient disparaître ce même portable dans le décolleté de ton Olive, deviennent ronds comme des billes, envieux, curieux, étonnés. Tu te délectes presque de ton idée à laquelle tu penses. Et si tu allais chercher toi-même? "Qu'est-ce que tu peux être maladroite, parfois.." Si on vous comparait, tu étais bien le pire, mais... l'avait-elle fait exprès? Aucune idée. "Je vais devoir aller le chercher..", dis-tu d'une voix que tu ne reconnais pas, pleine d'envie, rauque et froide par le besoin de la sentir près de toi. Tes mains encore utilisables se glissent sur les hanches de ta belle, pour se glisser lentement sous son chandail. Tu remontes lentement, doucement le tissu, de sorte à ce qu'il remonte sur son ventre. Tu aperçois son nombril, puis comme un enfant qui découvre quelque chose, tu remontes toujours un peu plus, impatient de l'admirer encore une fois dans ses habits... naturels. C'est peu après que tu remontes le chandail, découvrant son soutien-gorge, tant affriolant, où est niché le portable, d'ailleurs. Tu ne te gênes pas pour laisser aller ta main, qui prends dans sa main un sein qui, tu en es certain, ne demande que ça, de se faire toucher. Tu le palpes doucement, poussant un petit gémissement de désir, sans plus. Tu niches de nouveau ta tête dans sa poitrine, pour attraper le portable avec tes dents, le sauvant ainsi de la chute. Il était au chaud, le chanceux... "Je l'ai!", dis-tu d'un sourire nerveux, alors que de ton front dégoûtent quelques larmes de sueur, tellement tu te retiens, tellement tu es retenu, en fait. "J'te prends.. quoi?" Fallait que tu calmes tes ardeurs, Warren. Vraiment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Qu'est-ce que tu peux être maladroite, parfois.. Si tu n'avais pas cette lueur d'excitation dans le regard, on pourrait effectivement croire que tu avais été maladroite. Mais le téléphone n'était pas tombé là, par hasard. Tu ne perdais jamais - ou presque - le contrôle des choses, tout était toujours calculé. Toujours. Je vais devoir aller le chercher.. Cette passion dans sa voix, elle te rendait toute chose. Vraiment toute chose. Comme si c'était une corvée Cooper. Tu te délectes des minutes qui suivent. Son contact sur ta peau brûlante t'émoustille, toute entière. De ta tête, jusque là. Le tissus de ton top qui remonte sur ton petit ventre maintenant dénudé, le regard de Warren désireux de te dévorer, ses mains qui te touchent, qui te caressent, qui s'emparent de toi, de ta poitrine, de tes seins. Tu donnerais n'importe quoi pour que ses mains de bougent pas d'un centimètre, qu'elles restent là, toujours. Je l'ai! dit-il triomphant après avoir attrapé le portable avec ses dents. So sexy. Il se retenait, t'en étais sûre. C'est pas comme si sa jambe en plâtre l'empêchait de faire c'qu'il voulait faire. T'aurais mis ta main à couper qu'il t'aurais déjà mise à nue pour s'occuper de toi comme une véritable petite princesse. La petite princesse que tu étais à ses yeux. J'te prends.. quoi? On avait l'impression qu'il venait de courir le marathon de new york, sans déconner. Tu glisses tes longs doigts sur sa joue l'attirant contre le tient pour l'embrasser. Des nems de légumes et des nouilles, s'il te plait. Alors qu'il compose le numéro, tu commences à frotter doucement ton bassin contre le sien, laissant malencontreusement glisser une main.. là. Wow, t'étais toujours impressionnée par la taille de cette bosse sous le tissus. T'étais bien décidée à le faire galérer pour cette commande.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comme si c'était une corvée Cooper. Loin de là. Très, très loin de là, même. Une corvée? Caresser Olive comme tu sais si bien le faire, aller récupérer ce portable qu'elle a fait tomber exprès dans un endroit qui t'plaît plus que tu ne veux bien le laisser entendre (car c'est d'une évidence, que sa poitrine te plaît.). Tes mains s'attardent à chaque parcelle de sa peau se trouvant sur leur chemin, Tu sais qu'elle aime, tu entends pertinemment sa respiration se faire un peu moins régulière. Tu commences à reconnaître les pulsations, les besoins, les signaux de son corps, lorsque tu fais ton vilain Warren. C'était tellement difficile pour toi, de ne pas pousser les choses plus loin. Certes, tu étais bloqué de tes jambes, une plus que l'autre, et ça te faisait plus que chier d'être dans cet état, surtout dans le moment actuel, mais ça ne t'empêchait pas de faire ce que tu avais en tête... Et plus encore. Mais tu te retenais. Un peu de pudeur, quand même. Qu'est-ce que tu aurais donné pour verrouiller la porte de ta chambre d'hôpital et avoir la paix, pour prolonger ce moment d'intimité essentiel à ta... guérison! (a) Olive, mais qu'est-ce que tu me fais, bordel? Quel hommes deviens-je, chaque fois que tu es près de moi? C'est ce que tu as envie de lui dire; c'est ce que tu penses, du moins. Elle t'embrasse, te ramenant un peu, juste un peu, à la réalité. Des nems de légumes et des nouilles, s'il te plait. Hein? Ah oui, c'est vrai, la commande. Tu prends donc son téléphone, le portant à ton oreille après avoir composé au préalable le numéro du restaurant chinois que t'as trouvé sur internet. Tu connais pas les environs, au Canada. Alors que la serveuse te réponds pour prendre ta commande, tu mets un moment avant de parvenir à parler. Ta voix est faible, rauque, tes yeux se fixent sur cette déesse qui bouge son bassin contre le tien. Tu fermes les yeux pour te concentrer, en vain. "Oui, eh... Ce sera.. des nems. Euh, des nems aux nouilles. Nah, aux légumes, avec des nouilles. Et... Du poulet général Tao pour moi... Du-de quoi? Ah, oui, à l'hôpital. Chambre 104. P'tain.. Oui, bonne journée." Elle t'déconcentre comme pas possible, ta Olive. TA Olive... "Olive, p'tain, c'était... pas drôle du tout. Arrête, tu m'rends fou!", dis-tu en mettant tes deux mains sur les globes fermes qui lui servent de fesse, pour l'arrêter, sans vraiment le vouloir. Ton mini-toi il apprécie, en tous les cas...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Oui, eh... Ce sera.. des nems. Euh, des nems aux nouilles. Nah, aux légumes, avec des nouilles. Et... Du poulet général Tao pour moi... Du-de quoi? Ah, oui, à l'hôpital. Chambre 104. P'tain.. Oui, bonne journée. Bonne soirée Warren, bonne soirée. Après qu'il ai raccroché le téléphone, tu n'avais qu'une seule envie : éclater d'un rire franc et communicatif. C'est ce que tu fis. Faut dire que tu n'y étais pas allée de main morte. Mais après ce qu'il t'avais fait, de la façon dont il t'avait tenté.. tu pouvais pas laisser passer ça comme ça. Et encore, tu te retenais. Tu pourrais faire bien pire, mais tu gardais ça pour une autre fois. Finalement, chacun en avais eu assez pour son grade. Olive, p'tain, c'était... pas drôle du tout. Arrête, tu m'rends fou! Et ses deux mains vinrent se loger sur tes fesses rebondies et musclées. Tu pouvais en être fières de celles là. J'ai trouvé ça très drôle, moi. Des nems aux nouilles, j'demande sérieusement à voir. Puis tu te relèves doucement et t'assois à côté de lui, laissant tes pieds pendouiller dans le vide. Dans combien d'temps ils arrivent ? demandes-tu avec une maigre et folle idée derrière la tête.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Rah, elle se moque de toi. Et y'a de quoi faire, tu n'avais pas pu te contrôler. On aurait dit un puceau qui se fait caresser pour la première fois, quoi, et qui a peur d'être pris sur le fait. Ton corps se détend lorsqu'elle te lâche. Un peu de répit, ça te fait un peu de bien, tout de même. Elle aurait pas pu prendre une pause pendant que t'étais au téléphone, plutôt? Bien sûr que non, c'était tout planifié, son truc. Tu ne peux retenir un sourire qui s'pointe en plein milieu de ton visage, tu soupires, feignant l'exaspération la plus totale. J'ai trouvé ça très drôle, moi. Des nems aux nouilles, j'demande sérieusement à voir. Tu lui fais la grimace, lâchant alors ses fesses, pour s'asseoir à côté de toi, plutôt que de se mouver sur toi. Tu la laisses donc faire. Dans combien d'temps ils arrivent ? Question tout à fait normal, et tu ne vois là aucun problème à lui répondre. Eh bah quoi, tu n'savais pas qu'elle avait une idée derrière la tête, hein. Tu réfléchis, à savoir si tu avais bien compris, car t'étais un peu...perturbé et dans les nuages, à ce moment là. "Dans trente à quarante-cinq minutes, elle m'a dit. Ils sont un peu surchargés, j'crois." Tu hausses les épaules. La morphine et la présence d'Olive te faisaient maintenant complètement oublier la douleur, tu n'en avais même plus conscience. "Si t'as faim tout d'suite, j'sais qu'il y a des petits trucs à la cafétéria de l'hôpital, sur l'étage. C'est pas le top de la gastronomie, mais ça peut faire l'affaire."
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dans trente à quarante-cinq minutes, elle m'a dit. Ils sont un peu surchargés, j'crois. Parfait. Tu attrapes un morceau de papier sur une table et fini par dégotter un stylo quelque part dans tout ce bazar. Tu griffonnes quelques mots et rebouche fièrement le stylo. Si t'as faim tout d'suite, j'sais qu'il y a des petits trucs à la cafétéria de l'hôpital, sur l'étage. C'est pas le top de la gastronomie, mais ça peut faire l'affaire. Oh non t'avais pas plus faim que ça. Du moins, tu avais largement le temps d'attendre que le chinois arrive. Trente à quarante-cinq minutes c'est parfait, mon amour. dis-tu avec un sourire amusé sur le coin des lèvres avant d'aller vers la porte, l'ouvrir et faire un trou dans la feuille pour la laisser passer sur la poignée côté couleur. On pouvait lire sur le papier les mots "ne pas déranger, merci". Ouaip, ici c'est toi qui faisait la loi. Qu'une infirmière ose venir vous déranger, elle allait voir de quel bois tu te chauffais. Tu refermes la porte et t'adosses contre celle-ci, un sourire plus que coquin sur les lèvres. On a trente à quarante cinq minutes, Cooper. souffles-tu en déboutonnant les boutons de ton chemisier un par un, très lentement. Trop lentement. Il te tuerait pour ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Trente à quarante-cinq minutes c'est parfait, mon amour. Tu fronces les sourcils, ne comprenant pas trop où elle cherche à en venir. Mais en te repassant les mots en tête, un frisson te parcours le corps tout entier. Un frisson de pur bonheur aux mots "mon amour". Qu'est-ce que c'est plaisant d'entendre ça, sortant d'sa bouche. Elle s'lève du lit pour aller écrire un truc sur un papier, puis elle sort. Quoi? Non! Elle ne t'as même pas dit aurevoir. Mais en fait, tu aurais dû te douter qu'elle avait une idée bien nette derrière la tête. Une idée coquine, car elle rentre de nouveau, s'adosse contre la porte, puis commence à déboutonner vraiment très lentement sa chemise. Putain, elle t'as fait ce coup tout à l'heure. On a trente à quarante cinq minutes, Cooper. Tes yeux brillent d'excitation et de pur bonheur, tu raffoles de cette fille, tu l'aimes d'un amour fou. Putain, et ça s'concrétise chaque fois que tu la vois, quoi. Tu la manges des yeux... "Viens ici, que j'te dévore toute entière, et pas que des yeux.." C'est un supplice de la voir faire ça loin de toi. Trente à quarante-cinq minutes? C'bien assez pour vos petits jeux. T'attendais de voir c'qu'elle ferait, mais secrètement, tu la suppliais presque de venir te rejoindre. Là, tout de suite. T'avais vraiment envie d'elle, depuis tout à l'heure, même si tu t'retenais. Tu te demandais toujours c'qu'elle avait bien pu écrire sur ce papier, et c'qu'elle avait pu en faire...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Viens ici, que j'te dévore toute entière, et pas que des yeux.. Tu n'te le ferais pas dire cinquante fois. Tu déboutonnes le dernier bouton de ta chemisette avant de la laisser tomber derrière la porte et te diriger vers le lit. Tu te mets à califourchon sur Warren, l'homme de ta vie, et commence à glisser tes mains sous son tee-shirt. Je crois que tout ça m'excite un peu trop pour repartir d'ici ce soir sans rien faire. murmures-tu avant de capturer sauvagement ses lèvres. Putain, en fait tu avais envie de lui depuis le début hein. Ton coeur battait à cent à l'heure et chacun de tes battements résonnait pour Warren, c'était tout l'amour que tu lui portais. Et personne ne devrait nous déranger. Logiquement. dis-tu avant de plonger l'une de tes mains droits vers son mini lui, sous son short.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je crois que tout ça m'excite un peu trop pour repartir d'ici ce soir sans rien faire. Tu te tortilles déjà dans ton lit, impatient qu'elle vienne te retrouver. Tu savais c'qu'elle te réservait, sans savoir ce qu'elle te ferait. Mais à coup sûr, ce serait plaisant. Vraiment plaisant. T'espérais bien qu'elle reste, maintenant qu'elle n'était plus qu'en soutif. Elle est trop belle... Elle vient t'embrasser, ne te laissant même pas le temps de te laisser parler. C'que tu préférais, d'ailleurs. Tu attrapes ses hanches, la laissant caresser ta peau comme bon lui semble. Tu souffles contre sa peau à elle, ton souffle chaud et envieux. Et personne ne devrait nous déranger. Logiquement. Tu t'mets à rire, mais ton rire se transforme rapidement en un gémissement rauque, lorsque tu sens sa main juste . Ton mini-toi l'attendait depuis si longtemps... "Shark, si j'étais pas pris avec ce foutu plâtre, tu sais même pas c'que j'pourrais te faire. Tu préfères ne pas savoir.", dis-tu en te mordant la lèvre, puis en venant chercher la sienne pour la lui mordre, la glissant entre tes dents. "Ton corps.. Il est tellement parfait.", dis-tu pour lui faire comprendre à quel point tu la trouves belle. C'qui est vrai. Tu n'te retiens pas, tu glisses tes mains sur sa peau nue pour aller glisser tes mains à l'intérieur de son soutif, sans te gêner, pour caresser ces deux globes qui t'invitent depuis qu'elle y a échappé par "accident" son portable. "Je t'aime..", dis-tu au creux son oreille, dans un soupir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Shark, si j'étais pas pris avec ce foutu plâtre, tu sais même pas c'que j'pourrais te faire. Tu préfères ne pas savoir. Tout ce que tu savais, c'est que son plâtre s'arrêtait au niveau de sa cuisse et qu'il n'avait pas affecté son mini-lui, tu l'avais très bien senti, tout à l'heure. Pourtant, t'imaginais que trop bien ce qu'il pourrait te faire sans son plâtre. Mais pour une fois, c'est toi qui mènerait la danse. Vivement que ce plâtre te soit retiré, alors. grognes-tu doucement tandis qu'il te mordille la lèvre. Ton corps.. Il est tellement parfait. On te l'avais souvent dit, mais dans la bouche de Warren ces mots avaient un tout autre sens. Ils volaient droit vers ton coeur, le faisant battre un peu plus vite. Ils volaient droit vers ton ventre, te le tordant de plaisir. T'avais laisser glisser tes doigts plein sud, caressant du bout des doigts sont excitation. Lui, il s'occupait convenablement de ta poitrine, la caressant à pleine mains. Je t'aime.. Ses mots que tu avais tellement fuis auparavant faisaient l'effet d'une bombe dans ton coeur, laissant échapper un flot immense de papillons. Tu l'aimais aussi ton Warren, putain. Pourtant, t'arrivais pas à le lui dire en face, pas encore. J'ai envie de toi Cooper. Maintenant. souffles-tu en resserrant tes petits doigts autour de lui.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)