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Il n'est pas partageur pour un sous, au plus grand bonheur de son Olive. On peut pas vraiment appeler ça de l'égoïsme. Si tu ne peux savoir ce qu'elle ressent face à ton petit jeu, bien que tu aies une doute, alors là, toi tu es contraint par l'effet qu'elle te fait, elle. Elle le sent certainement, mais tu n'en est pas gêné, puisqu'il n'y a que pour elle, qu'avec elle que tu te sens aussi bien. "C'est qu'il profite, c'est qu'il sait apprécie, tu vois?", dis-tu au même moment que tes langue termine son chemin sur sa poitrine que tu as envie de dévoiler, rien que pour admirer. Mais ce serait dangereux, de jouer à ce jeu ici. J'imagine. Tu téléphones. Ton sourire s'agrandit, au plus grand malheur de ta belle. Oh, c'que t'es vilain... Tu tends la main pour attraper le téléphone, mais tes yeux, lorsqu'ils voient disparaître ce même portable dans le décolleté de ton Olive, deviennent ronds comme des billes, envieux, curieux, étonnés. Tu te délectes presque de ton idée à laquelle tu penses. Et si tu allais chercher toi-même? "Qu'est-ce que tu peux être maladroite, parfois.." Si on vous comparait, tu étais bien le pire, mais... l'avait-elle fait exprès? Aucune idée. "Je vais devoir aller le chercher..", dis-tu d'une voix que tu ne reconnais pas, pleine d'envie, rauque et froide par le besoin de la sentir près de toi. Tes mains encore utilisables se glissent sur les hanches de ta belle, pour se glisser lentement sous son chandail. Tu remontes lentement, doucement le tissu, de sorte à ce qu'il remonte sur son ventre. Tu aperçois son nombril, puis comme un enfant qui découvre quelque chose, tu remontes toujours un peu plus, impatient de l'admirer encore une fois dans ses habits... naturels. C'est peu après que tu remontes le chandail, découvrant son soutien-gorge, tant affriolant, où est niché le portable, d'ailleurs. Tu ne te gênes pas pour laisser aller ta main, qui prends dans sa main un sein qui, tu en es certain, ne demande que ça, de se faire toucher. Tu le palpes doucement, poussant un petit gémissement de désir, sans plus. Tu niches de nouveau ta tête dans sa poitrine, pour attraper le portable avec tes dents, le sauvant ainsi de la chute. Il était au chaud, le chanceux... "Je l'ai!", dis-tu d'un sourire nerveux, alors que de ton front dégoûtent quelques larmes de sueur, tellement tu te retiens, tellement tu es retenu, en fait. "J'te prends.. quoi?" Fallait que tu calmes tes ardeurs, Warren. Vraiment.
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