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KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI.

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Vous voyez, ce soir était un peu l’achèvement de quelque chooose. Vous vous rappelez, leur première nuit ensemble ? La même nuit où Diamantika avait attaché Cody à son lit pour se venger et l’avait tartiné de rouge à lèvres, tout en bloquant sa tête entre ses cuisses parce que môsieuuur ne se montrait pas très collaborateur ? Et ben cette même nuit, ils avaient failli faire youpitralalalaboumboum dans la douche. Mais il ne l’avait pas fait because Bleeker jouait au mec qui résiste – ce qu’il est, ça s’vooooit je croiiiis – et depuis ils tentaient et re-tentaient la douche mais en vain ! Ils étaient toujours dérangés par un pouvoir mystique, ou bien par les tenanciers chelou d’un hôtel chelou. Aujourd’hui, il n’y avait qu’eux. Et les parents/beaux-parents dans la pièce d’à côté mais oseeeeefffff il y a bien longtemps qu’ils avaient dit adieu à un semblant d’intimité. Du coup, sous la douche, Cody termina de retirer cette robe moche vite fait bien fait. « Mes bébééés, alors les jumeaux, la forme à ce que je vois ? » fit-il en s'adressant bien évidemment aux boobs de sa petite amie. Ranaf de cette dernière, il n'avait d'yeux que pour ses seins enfin libérés de l'emprise de la robe machiavélique. Bon non OK, la robe n’était pas si moche, mais elle comprimait Cody et Cody, sans compter qu’ils venaient de perdre quelques précieuses minutes sur leur temps d’eau chaude. Hého, on est au fin fond du Canada, y a pas open bar d’eau chaude par ici, fuuuuck. Du coup, il n’était plus question de perdre de temps et, ça, les amoureux l’avaient compris. Diamantika escalada Cody comme un babouin sur son tronc d’arbre. Après elle l’appelle Codybabouin mais bonjouuuuur Diamantimacaque ! À peine eut-elle posé ses lèvres à l’orée de sa peau qu’il frémissait déjà à s’en décrocher la mâchoire. Sa bouche pulpeuse trouva refuge contre sa tempe alors qu’elle tamponnait d’une marque violacée sa nuque en fusion. Sympaaaa, ça risquait de passer bien inaperçu au sein de la petite famille, çaaaa. Il apposa le dos de sa femme contre la paroi vitrée de la douche, la traitant sans ménagement. Non mais il avait envie d’elle il avait envie d’elle quooooi. Le jet d’eau tentait de s’insinuer entre leurs deux silhouettes mais impossible, il était bloqué dans sa course par leurs torses serrés et unis par les liens sacrés du mariage entre leurs deux corps, vulnérables et assoiffés d’amour. D’amour brut, d’amour pur, tout ce que Cody avait à offrir à sa belle. « Non … On a perdu trois minutes parce que t’es lente et que t’as mis une robe impossible à retirer. Donc 37. Merci Kovache. Comment tu veux que je gère en 37 minutes ? » grogna-t-il entre deux baisers transmettant toute la fièvre qui étouffait son système nerveux, qui l’affolait, qui le faisait réagir à chaque fois que Diamantika bougeait – ne serait-ce que – le petit doigt. Ils étaient dans le grand bain. Ils avaient passé leur soirée dans le pédiluve de la piscine, maintenant il était temps qu’ils sautent dans la piscine olympique – ça rappelle des souvenirs heeeinnng. Et puis en plongeant son visage dans le creux du cou de Dia, la ventilant d’un souffle coupé et haletant, il amena Codynosaure à grimper l’échelle qui menait au plongeon pour sauter dans la piscine de la graaaande villa de Kovagin. D’abord le petit. Il tomba. Puis le moyen. Il plongea. Puis le grand. Il sombra. Mais cette fois-ci, un râle sourd s’échappa de la bouche de Cody qu’il tenta de dissimuler contre la mâchoire de Dia. Il serra – si c’était possible encore – Kovache contre lui en imposant sa main contre sa colonne vertébrale, et retrouvait ses lèvres brûlantes alors que ses reins se faisaient la malle contre son bassin. De son autre main hasardeuse, il perdit ses doigts dans le carré de Diamantika, s’insinuant entre ses mèches dégoulinantes d’eau brûlante.  Dire qu’il était prêt pour la priver de ça pendant deux semaines. L’est fou ce mec-là.
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Non attendezzzzzzz il n'existe qu'un seul babouin à Harvard et c'est CODY ein et Dia ne s'est pas accrochée à lui comme un babouin, mais plutôt comme un Koala voilà. Ou si vous voulez, comme un baby Kangourou, mais pas un babouin. « Mes bébééés, alors les jumeaux, la forme à ce que je vois ? » Celui-là alors, il ne perd rien pour attendre. Vous voyez, quand il s'agit de lui montrer ses jumeaux, il devient plus doux avec eux, il montre à quel point il les aime quoi, mais quand on est en public, il n'hésite pas à les critiquer en prônant à qui veut l'entendre que je devrais me refaire la poitrine. TCHEUHHHH !. Bref, ouai ils allaient bien ses jumeaux, même qu'ils sont bien gonflés d'excitation. Et en laissant une marque sur sa nuque, j'avais complètement oublié qu'on avait la compagnie de nos parents. Faut dire que quand je m'abandonnais à ses bras, j'oubliais tout autour de moi. Pas grave au pire, il n'aura qu'à dire que c'est un colosse moustique qui lui a sucé le sang comme pas possible, un moustique vampireeeee. Ou alors, il n'aura qu'à le cacher avec un petit pansement et inventer encore une excuse de sa longueeeeeeeeeeeee liste. Il me plaqua soudaine contre la paroi vitrée de la douche et s'abandonna à son tour dans mes bras pour de fougueuses tortures , prenant tout de même la peine de répondre à ma petite remarque. « Non ... On a perdu trois minutes parce que t'es lente et que t'as mis une robe impossible à retirer. Donc 37. Merci Kovache. Comment tu veux que je gère en 37 minutes ? » Je retire mes lèvres pour pouvoir échapper un rire avant de rétorquer. « T'es un babouin, tu sautes bien assez vite d'arbre en arbre, alors saute moi vite aussi ! » Et c'est en terminant ma phrase que je me suis rendu compte qu'elle était trop weirdddddddddd, même si je n'ai pas forcément pensé à "saute moi", mais plutôt à saute comme si je suis un arbre vous voyez ?. Rho et puis zut on s'en ficheeee. Dans la vie, faut jamais avoir peur de dire ce que l'on pense, soyez naturel et sortez tout ce qui vous passe par la tête, peu importe si on vous juge. Mon chéri me transmit toute sa fièvre et résultat, je faisais 45 de fièvre sur le point de mourir quoi. Encore plus lorsqu'il fusionna Codynosaure à Kovagin. Là, le thermomètre il a viré au rouge et a éclaté POUF ! Comme ça. Je ne sentais plus mes membres, tellement l'excitation était à son comble, tellement, que je bouillonnais comme les laves d'un volcan. Ahhhhhhhhh faire l'amour, c'est le remède contre le froid. Seul mon souffle rauque, désordonné, résonnait dans la salle de bain, car je ne pouvais pas me permettre de gémir à haute voix et attirer l'attention sur nous. Il ne fallait pas non plus qu'on réveille la petite Jess. Néanmoins, mon cher mari décida de s'imprégner de mes lèvres brûlantes chose que je laissais faire parce que ça me permettait de pouvoir gémir en silence contre ses lèvres et en même temps les dévorer langoureusement. Et comme je voulais le rendre ultra fou, mais pas trop quand même parce qu'il ne faut pas qu'il se mette à crier non plus... Je posais mes mains sur ses épaules m'appuyant pour pouvoir moi aussi bouger mon bassin au rythme de nos mouvements d'aller et venir à l'unissons. Sans aucun doute que nous décidions d'augmenter la cadence alors que je perdis tous mes sens en sentant ses courbes claquer contre ma peau. Et lorsque je sentis qu'un gémissement souhaitait s'échapper de mes lèvres, je les écrasais rapidement contre celles de mon mari pour pouvoir les étouffer. C'est dingue ce qui me rendait dingue au pays des dingues, ce dingue. No comment.



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Euuuh … Saute-moi … Quoi ? Diamantika prenait Cody pour un bâton sauteur ? Pour une balle rebondissante ? Pour un Hippo Glouton ? Suffit de tirer sur sa queue pour qu’il ouvre la bouche ? Le brunet ne put s’empêcher de fondre en larmes quand Dia se rendit compte elle-même qu’elle venait de dire un truc juste archi chelou quoi. Elle tira une tronche tellement épique que les éclats de rire du Lowell résonnèrent dans toute la pièce close, alors qu’il posa systématiquement son front contre son épaule pour se calmer. Ce n’était pas le moment de rire ce n’était pas le moment ce n’était pas le moment … Oh putain. C’est bon, il était partiiii. Il se redressa pour river ses yeux dans ceux de Diamantika et tenir un discours à peu près sérieux et cohérents, en prenant évidemment en compte le fait qu’ils étaient nus comme des vers, agrippés comme des koalas, chauds comme des poulets rôtis, excités comme des hyènes … Un zoo à eux tout seuuuls ! Ils auraient dû faire la comédie musicale ’Le Roi Lion’ à Broadway pour gigoter leurs popotins au rythme de ’L’histoire de la vieeeee’, surtout qu’on savait maintenant très bien que Diamantika comme Cody savaient magistralement bien bouger leur arrière-train. Tout ça pour dire que Cody tenta d’en placer une, entre deux ventilateurs buccaux – manière poétique (ou pas d’ailleurs) de dire qu’il était essoufflé ; « Oui ben pour te sauter, encore faut-il que tu t’accroches à ma grosse branche ! » Et làààà … BIMMMM, il eut honte de sa phrase sitôt qu’elle sortit … Oh putain non, il ne venait pas de dire ça quand mêmeeeeee. Même si Youporn ils ne disaient pas ça – il faut dire aussi que les dialogues des acteurs se constituaient essentiellement de ’mmmmh’, ’han’ et phrases inaudibles à base ’fuck’, ’suck’ et d’œuf à la coque. Le dernier j’suis pas trop trop sûre et Cody non plus, on n’est pas doués niveau traduction de films pornos soooorry. Et puis les mouvements de haut en bas et de bas en haut s’enchaînaient, la cadence s’accélérait, c’était l’apocalypse dans le bas-ventre de Diamantika. Premier ciel. Si on tournait un film dans cette salle de bain, ce serait sans conteste le magistral Twister. Cody et Dia défiaient les tempêtes, voguaient à contre-courant. Leurs corps s’embrasaient sous l’effet de la foudre, et ce n’était pas juste un coup. C’était constant. Elle tombait, tombait, tombait. Sans répit. Son masque à oxygène s’appelait Kovache et dès lors qu’il sentait qu’il était prêt à geindre, à lâcher des gémissements plaintifs, il se raccrochait à elle. Là, ils étaient dans le cœur de la tornade, ils s’envolaient, s’envolaient, s’envolaient. Deuxième ciel. Les jambes de Diamantika autour de son bassin agissaient comme des chaînes et le retenaient. Ses lèvres épousaient les siennes à la perfection, jusqu’à ce qu’il la mordille presque jusqu’au sang quand elle imposa à son tour sa cadence. Et là, ce fut un jeu de rapport de force entre le jour et la nuit, le chaud et le froid. Les clapotis de son bassin contre le sien se firent redondants et allaient toujours plus vite, toujours plus forts. Troisième ciel. Il s’emparait vainement de sa bouche, s’acharnant, abandonnant avant de dévorer sa mâchoire alors que ses coups de reins jouaient à l’arc-en-ciel et devinrent encore plus vif que le bleu, le rouge et le jaune. Heureusement que cette paroi vitrée les retenait, sinon Cody aurait téléporté sa vache à l’autre bout de la pièce, voire à l’autre bout du monde. Mais pour le moment, c’est au ciel qu’ils montaient. Aux ciels. Quatrième ciel. Cinquième ciel. Sixième ciel …
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Je vous promets que je n'ai pas voulu dire saute-moi dans le genre, je vais te sauter ce soir ma poule, allez déshabille toi et fait pas de caquette s'il te plait. Non je vous jureee. Mais ce qui était certain, c'était qu'avec la tronche que je tirais en me rendant compte de ma phrase, mon homme éclata de rire, il essaya de se calmer contre mon épaule, mais en vain, il finit par exploser de rire et moi je posais rapidement une main sur ses lèvres pour essayer de le faire taire. « Chutttt, chuuttt, tu vas réveiller ta fille. » Tentais-je de murmurer en terminant moi aussi par rire. Surtout lorsqu'il rétorqua « Oui ben pour te sauter, encore faut-il que tu t'accroches à ma grosse branche ! » Tel mari, telle femme. C'était à mon tour d'exploser de rire, bien que moi-même, je me suis mise une main sur la bouche pour m'empêcher de continuer. Franchement, il n'y avait pas un pour rattraper l'autre. Ces deux-là s'étaient vraiment trouvés. Cody commença à accélérer la cadence tandis que je me joins à ses mouvements. Mon cher et tendre dévora mes lèvres jusqu'au sang, passant par ma mâchoire qu'il embrassait avec fougue et terminant par me serrer très fort contre lui. Nos corps l'un contre l'autre, je sentais nos respirations se joindre. Mon coeur battait à tout rompre comme s'il ne cessait de s'accélérer. Nos nez se caressaient, nos fronts s'unissaient, nos regards s'entre-croisaient. Je sentais son souffle, aussi rapide que le mien. Je le tenais comme un prisonnier, il me tenait comme une esclave. Nos langues s'épousèrent avec passion, la sienne était tellement délicieuse. Quand il accélérait ses mouvements, j'en faisais de même. D'ailleurs, cela me procurait un plaisir sans égal qui se découvrait par des frissons traversant mon dos comme des ondes électromagnétiques envoyées à mon esprit. Et c'est ensemble que nous affrontions une tornade, un tsunami, un tremblement de terre, oui je sentais le sol se dérober sous nos pieds tellement il me rendait dingue. Tantôt je l'embrassais, tantôt je gémissais toujours en silence, se traduisant par des souffles chauds et rapides. Plus il accélérait, plus je sentais ma respiration se bloquer. J'allais craquer, c'était trop pour moi. Mon corps ne m'écoutait plus et je gémissais de plus en plus en me mettant même à mordre sa lobe d'oreille, les ongles plantés dans ses épaules sans pour autant lui faire mal. Il m'emmena au septième ciel...Non attendez, au huitième, neuvième, dixième, onzième...oh goddd sa fusait et ça montait encore et encore, on ne semblait plus vouloir s'arrêter, on allait atteindre l'espace à cette allure. Mon coeur partait dans une course folle, mes mains lâchèrent ses épaules pour passer sur son torse, dans ses cheveux et derrière sa nuque... Mon corps était en feu et c'était tout bonnement impossible de l'éteindre et puis... Ce qui arriva, arriva, nous nous sommes libéréééés, délivrééssss KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 1116103942 atteignant l'espace dans une magnifique fusée de sensations fortes et délicieuses. J'étais encore crispée et tendue contre le corps de mon bien-aimé essayant de reprendre mon souffle. « J'crois qu'on vient... de dépasser le septième ciel là... C'était cool... de visiter l'espace. » Dis-je toute souriante en essayant de reprendre mes esprits et en descendant du corps de Cody. J'attrapais néanmoins le shampoing et son éponge et fixais Codynosaure toujours au garde à vous. « T'as vu ? T'avais pas besoin de ça. » Dis-je en montrant le shampoing. Je verse un peu sur l'épongette et je plaque une main sur sa fesse pour le faire pivoter afin qu'il me donne son dos. Puis, je commençais ainsi à le frotter et à shampooiner ses cheveux. Cependant, un peu de shampoing se renversa au sol et je commençais à patiner, enfin à glisser. J'éclatais de rire en m'accrochant à mon homme, car me connaissant, je risquais de me casser quelque chose tellement j'avais la bougeotte.



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Ses ongles se plantaient dans sa chair et, dans un élan sûrement un peu masochisme, tout ce que Cody aurait aimé c'est que sa petite amie s'appelle Wolverine. Il voulait la sentir jusqu'à avoir ses empreintes à jamais gravées dans son derme, son épiderme, sa chair, ses muscles, ses os. Il voulait que Dia ne soit pas juste un tatouage sur un poignet. Il voulait que Diamantika soit marquée en lui et, qu'à sa mort, lors de son autopsie, les médecins légistes découpent chacun de ses organes et déclarent avec assurance ; ’Cody Bleeker était l'homme d'une dénommée Diamantika Kovalevski’. Entre eux, c'était un déchaînement entre deux êtres qui se frictionnaient l'un contre l'autre dans une ribambelle de gémissements et de souffles difficilement dissimulables. Et Cody étreignait Dia de telle sorte qu'elle demeure immobile contre lui pendant qu'il l'assénait et la noyait de toute la soif qui le consumait. Ses lèvres plongées dans son cou épongeaient toute l'eau qui coulait depuis le jet, et bien qu'elle était brûlante, ce n'était rien par rapport au désir qui le tiraillait et qui explosait tous les thermomètres possibles et imaginables. Celsius, Fahrenheit, ils n'avaient plus de secret pour les amoureux. Ce fut comme si l'espace d'un instant, leurs corps s'embrasaient sous un ciel de cristal. Ils ne répondaient plus d'eux-mêmes, inutile de demander à Cody Bleeker s'il était un Cody Bleeker. Il ne trouverait nulle réponse. La seule certitude qu'il avait à ce moment où des décharges électriques circulaient à tout berzingue dans son organisme, c'est qu'il était l'homme de Diamantika Kovalevski. Et ça lui convenait. Ça lui suffisait. Il voulait être cet homme pour toujours et à jamais. Pourtant, le Cody Bleeker qu’on connaît bien l'aurait blâmé, saoulé, rappelé que l'amour c'est nul, que t'auras le coeur brisé, que tu te reprendras une dépression au travers de la tronche, que ta bière redeviendra ta meilleure amie pour la vie. Mais il s'en foutait. Son corps et surtout son coeur avaient décidé pour lui ; tu seras l'homme de Diamantika Kovalevski aussi longtemps que je battrais dans ta poitrine. Sa tête n'avait plus qu'à suivre, pas le choix. Il l'embrassa une dernière fois, une fois, deux fois, et comme dirait Chérine, ‘je m'en irais courir dans le paradis blaaaaanc’ KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 1116103942 Mais je continue à dire que cette chanson est encore plus dégueulasse que "libérée délivrée" dans ce contexte, m'enfin Briony arrêtera peut-être de dire qu'on massacre La Reine des Neiges au moins. Il était une bouteille sous pression qu'on ouvrait enfin après l'avoir agité dans tous les sens, et des spasmes le libérèrent et diffusèrent en Dia tout l'amour qu'il avait pour elle. Quelques minutes de répit, Cody se mit à rire quand Dia avoua qu'ils avaient été envoyés dans l'espace là. En orbite même ! Avait envie d'ajouter le Lowell mais ça faisait un peu cochon parce que même si y a ‘or’, Dia a les idées tellement mal placées qu'elle n'aurait retenu que le ‘bite’. « La prochaine fois, on s'envoie dans une autre galaxie. » L'espace c'bien, la voie lactée c'sympa, mais voyager dans une galaxie lointaine pour en taper cinq à Mettre Yoga, c'est quand même mieuuuux. Bref, trêve de blablas (du moins avec Cody), Diamantika s'adressa à Codynosaure. Bon, comme Cody parlait avec ses boobs il ne critiqua pas, mais quand même. « Laisse-le tranquille, il aurait été très content avec Monsieur Shampoing aussi. » C'est vraaaaiiii, regardez-le, il faisait le beau comme s'il en voulait encooooreee. Kovache mit une main à Cody et il se retourna pour se laisser décrasser par sa belle. Et puis, il la sentit s'agripper à ses poignées d'amour parce que cette quiche glissait. Il pouffa de rire avant de décréter ; « Je dépose un brevet ; la douche assise. » Sur ce, il posa ses fesses à terre et s'adosser contre la vitre, la tête juste en dessous du jet d'eau. Il tendit la main vers Dia et lui chuchota, la voix suave et emplie de malice ; « Viens ... » C'est pas qu'il était fatigué, mais il était pris de vertige, il avait besoin de reprendre tranquillement ses esprits.
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« La prochaine fois, on s'envoie dans une autre galaxie. » La Galaxie c'était encore mieux. Mais là pour l'heure, on avait gravi l'Everest pour arriver ensemble dans l'espace, chaque chose à son temps et j'en avais encore le sourire aux lèvres, le coeur qui battait la chamade et ma respiration reprenait doucement un rythme normal. Je déposais un délicat baiser dans la nuque du jeune homme, au même endroit où je lui avais laissé une marque quelques temps auparavant en secouant positivement de la tête comme pour approuver ses dires. Puis, j'ai pris soins de lui confier quelque chose en fixant Codynosaure, mais tellement m'chéri avait même les oreilles perverses, il croyait que je parlais à son bijou de famille, or c'était juste pour lui montrer de qui je parlais. Je vous jure, c'est un pervers né. Je suis certaine qu'en sortant du ventre de sa mère, il avait la main sur son zizi, comme s'il savait plutard que ce zizi allait devenir son jouet favoris. Oh god, je dis n'importe quoi sorry. « Laisse-le tranquille, il aurait été très content avec Monsieur Shampoing aussi. » Nietttt, rien n'est plus important pour Codynosaure que Kovagin, rien ne pouvait le mettre au garde à vous en une seule seconde que le corps de Dia, alors non, c'était de purs mensonges, il n'aurait pas été content avec Mr Shampoing, il aurait été obligé de faire avec, nuance. Shampouinant et frottant mon homme, je finis par glisser petit à petit a cause du liquide moussant, mais fort heureusement, je me suis bien agrippé à Hulk. Hulk qui s'était mis à rire de mon état. « Je dépose un brevet ; la douche assise. Viens... » Dit-il s'étant assit au sol en m'invitant à le rejoindre. Sans perdre de temps, je le rejoignis en m'agenouillant entre son entre-jambe et en lui frottant la tête. Je me suis mise à rire parce qu'on croirait que Cody avait un gros tas de neige sur la tête. Mettant une main contre mes lèvres pour étouffer mes rires, de la mousse logea le bout de mon nez. « T'es mignon avec du shampoing sur la tête. Reste comme çaaaaaa !. » Finalement, j'éclate de rire en rapprochant sa tête sous le jet d'eau pour le rincer. « Dia ? Tu te douches ?. Je dépose ton sac devant la porte parce que ton père et moi allons nous coucher. Madame Bleeker également. » Je posais rapidement un doigt les lèvres de Cody. « Ok mama ! Bonne nuit !. » Criant doucement. Une fois ma mère partie, je regarde mon bien-aimé avec un sourire. « Il est temps de sortir !. » Dis-je en me levant et en sortant de sous la douche pour aller ouvrir doucement la porte et m'emparer vite fait de mon sac. Attrapant la serviette, je m'essuie rapidement m'habillant ensuite de mon pyjama. Cody fit de même et c'est ensemble que nous regagnons le salon ou un épisode de New Girl passait à la télé. « Oh tiens, ils passent des épisodes de New Girl ! Attends, je vais nous faire du pop-corn caramélisé spécial Dia, t'auras jamais mangé de meilleurs !. » Mes pop-corns caramélisés ou salés sont les meilleurs de toute façon. Je laisse mon homme s'installer sur le fauteuil pendant que moi je me mets au travail. Et quelques minutes plutard, je verse les pop-corns bien dorés dans un gros bol en lavant ce que j'ai sali parce que ouai, je n'avais pas envie que Madame Bleeker me réveille avec un couteau sous la gorge. Anyway, je me saisis du bol en rejoignant mon homme et en sautant sur le fauteuil tout en me calant dans ses bras, dos contre sa côte et le contenu sur mes cuisses. « Rhooo, mais pourquoi je n'arrive jamais à retenir le prénom du copain de Nick là, Smi... Sérieusement, il a prénom aussi déluré que lui. » Affirmais-je en éclatant de rire. Mais le plus con du con reste Nick. « Si un jour Nick se casse une jambe, toi tu pourras facilement être son remplaçant, parce que god, t'es aussi boulet que lui !. » Concluais-je en lui tirant la langue, c'était un compliment ein, parce que je l'aime comme il est mon petit boulet de la life. D'ailleurs, je lui volais un rapide baiser avant de m'attaquer au pop-corn en zieutant la série.



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Cody aimait ces instants où il oubliait carrément qu’il avait presque vingt-six ans, qu’il avait une fille, un job, qu’il gérait une confrérie, qu’il avait tout un tas de responsabilités … Ouais, il s’en foutait. Parce qu’il était avec Diamantika. Parce que tantôt il prenait son pied, tantôt il riait, tantôt il pleurait. Pas de demi-mesure avec cette fille. Elle le rendait totalement bipolaire et fuck, il adorait ça. Et là, alors qu’elle se foutait de sa gueule parce qu’il avait une coupe afro avec le shampoing. Du coup, il imita les vieux rappeurs des ghettos et lâcha en rythme ; « Yo-yo-yo, c’est Cody Bi. si-si la fami … oh non je sais pas rapper juste après l’orgasme. Toque-moi dans cinq minutes. » conclut-il en agitant sa main dans le vide, signe qu’il fallait passer à autre chose. Il se tut quand une voix parvint de derrière la porte jusqu’à leurs oreilles ; la mère de Diamantika qui déposait son sac d’affaire juste devant la salle de bain. So sweeeeeetttt. Mais Cody était déçu, il aurait aimé voir Kovache galérer pour atteindre son sac et tout, avec les parents dans le salon. MOUAHAHAH. Tant pis, il lui fera le coup demain matin. En plus de ça, elle lui indiqua qu’il était temps pour eux de sortir. Bien malgré lui, Cody acquiesça d’un signe de tête et termina de se rincer grâce aux quelques minutes d’eau chaude qui leur restait. Puis, il sortit, enfila un caleçon et un t-shirt propres – du moins, à l’odeur – avant de rejoindre sa petite amie dans le salon. « Ah, tu connais ? Je suis faaaaaaan de Nick Miller. Si un jour j’ai un fils, je veux qu’il s’appelle comme ça. Nickmiller. Pas Nick. Pas Miller. Nickmiller. A la limite, j’autorise le tiret. Nick-Miller Bleeker. C’est classe, non ? » Oh puis Diamantika n’y connaissait rien en bébé de toute façon, donc son avis en terme de prénoms comptait peu. Il s’installa dans le canapé pendant que Dia prépara la bouffe – normal. Légèrement avachi, il appuyait sa tête contre son coude sur l’accoudoir. Après quelques minutes de solitude, la brunette revint pour lui remplir le ventre. « Et c’est la fille qui s’appelle Diamantika qui se permet de critiquer le nom Schmidt. » pouffa-t-il de rire. « Nick pécho Jess. Je ne pourrais jamais le jouer. Ce serait trop weird. » Il attrapa un pop-corn qu’il mit à moitié dans sa bouche, avant de se pencher sur elle pour la nourrir telle une maman oiseau. C’était juste un prétexte pour l’embrasser tendrement – et attirer l’attention sur lui parce qu’il n’aimait pas trop beaucoup comment elle matait Nick. Merde. C’est SON Nick à luiiiii fuck fuck fuck. Et c’était sa Dia. D’ailleurs, en parlant de sa Dia, il immisça en toute innocente une main sous le haut de pyjama de Dia pour retrouver chaleureusement Cody 1. Désolé Cody 2, Cody n’avait qu’une main. Mais ça ne passa pas inaperçu aux yeux de Kiki qui, jaloux comme un phoque, s’empressa de sauter sur le canapé et d’écraser son maître de tout son poids. « Dis-lui que t’es la seule chienne dans ma vie. » murmura-t-il à Dia en embrassant son crâne à travers son cuir chevelu. Toute en finesse. Un grand poète ce Cody Bleeker.
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Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







Avec Dia on ne s'ennuyait jamais, avec elle, une routine ne risquait pas de s'installer tout simplement parce que Diamantika était toujours pleine de surprises, toujours là à faire tourner son monde de différentes manières. Avec Cody c'était pareil, alors oui, ils voient peut-être le monde différemment, mais ils ne sont pas si différents que ça, même s'ils se complètent bien plus. « Yo-yo-yo, c'est Cody Bi. si-si la fami ... oh non je sais pas rapper juste après l'orgasme. Toque-moi dans cinq minutes. » Là moi j'étais sur le cul, mon homme qui essayait de faire du rap. Euhhhhhhhh ? C'est du rap ça ? Je pensais qu'il était en train de plouffer en fait, comme les gosses. J'éclate de rire en tendant mon pouce vers son visage et en le renversant aussitôt. « Nul ! Oublie le rap chéri. » Heureusement qu'un rappeur ne l'avait pas entendu, il lui aurait crié dessus en le traitant de rapsiste ! Okey inventons, car après tout, Marie dit bien sexesiste ein. Notre douche terminée, je laissais donc le lowell s'installer sur le fauteuil pendant que moi je me chargeais de faire le pop-corn afin de mater New Girl. « Ah, tu connais ? Je suis faaaaaaan de Nick Miller. Si un jour j'ai un fils, je veux qu'il s'appelle comme ça. Nickmiller. Pas Nick. Pas Miller. Nickmiller. A la limite, j'autorise le tiret. Nick-Miller Bleeker. C'est classe, non ? » Qui ne connaissait pas New Girl ?. Chérine. Ouai non elle connaissait, mais n'avait jamais regardé jusqu'à aujourd'hui, nuance. « Ummmm...mouais. Miller et Bleeker sa rime un peu. Le duo de boulet quoi. » Criais doucement depuis la cuisine. NickMiller ? Ça faisait trop zarbieeeeee non ?. Quoi qu'il en soit, après m'être installée confortablement contre lui, j'avais critiqué le prénom assez difficile à prononcer de ce gars-là. Et mon homme me vanna sur place. « Et c'est la fille qui s'appelle Diamantika qui se permet de critiquer le nom Schmidt. » Bah quoi ? Diamantika ce n'était pas difficile attendez, Diamant et vous rajouter juste ika comme Ikea à la fin et le tour est joué. « Je n'ai pas de prénom imprononçable et oubliable moi, il te suffit de penser au Diamant et à Ikea pour trouver rapidement. Diamant-ika, tellement fastoche. » Et le voilà qui pouffait de rire tandis que moi je ne pus m'empêcher de lui faire une petite tape à l'épaule. « Nick pécho Jess. Je ne pourrais jamais le jouer. Ce serait trop weird. » C'est vrai, surtout s'il l'embrasse, j'allais péter mon câble et traverser magiquement la télévision pour arracher les cheveux de Jess et la rendre chauve à vie. Graouuuuuuuu, jalouse la Dia. NORMAL c'est mon mien. « Ouai, non mais t'as raison, sauf si je casse le pied de Jess aussi et que je me propose comme remplaçante. Mais il faudra faire semblant de ne pas se connaître, sinon ils verront une arnaque quelque part. » Genre les héros ont soudainement une jambe cassée par le couple Bleeker quoi. Néanmoins, je suis certaine de bien jouer parce que le théâtre c'est ma passion, alors une fois que je monterai sur scène, ça sera comme si j'étais à la maison, this is my home ! Enfin non, Cody is my home. Ouai. Alors que je matais Nick parce que Nick était troppppppp mignonnnn, Nick était trop sexyyyyy, Nick était troppp parfaitement imparfait et idiot, Nick était identique à mon mari. A croire que son personnage existe dans la vraie vie sous le nom de Cody Bleeker. Sériously, trop parfaite coïncidence vous trouvez pas ?. Anyway, Cody pencha la tête avec un pop-corn entre les dents afin qu'il puisse me nourrir lui-même. Trop mignon. Je pose mes lèvres sur les siennes en accueillant le pop-corn dans ma bouche et à vrai dire, manger de la bouche de Bleeker était meilleure. Il profita pour m'embrasser en me donnant envie de chanter, "viens m'embrasser avant de t'endormir ce soir, viens m'embrasser... KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 1116103942" oui oui, je changeais les paroles parce que cette chanson était quand même triste, donc je préfère réinventer, mais tout en gardant le rythme m'voyez ?. Prolongeant son baiser en calant bien dans un coin de ma bouche, le pop-corn. Kiki monta sur le fauteuil pour sauter sur son maître, pendant que ce dernier fourra sa main dans mon haut pour aller caresser les jumeaux B. Dire qu'il passait son temps à les critiquer, il ne pouvait même plus s'en passer quelques minutes. Le lowell quitta soudainement mes lèvres alors qu'il balança un truc ultra.... « Dis-lui que t'es la seule chienne dans ma vie. » choquant. Je n'avais même plus de mots, gad. J'écarquille les yeux avant de lui tirer gentiment ses cheveux courts. « Je n'ai pas de queue aux dernières nouvelles, par contre toi t'en a une... Tu devrais plutôt dire à Kiki que t'es le seul chien de sa vie !. » Oh mon dieu, heureusement qu'ils ne sont pas en public. Quand pour eux c'est tout à fait normal, pour les autres, ce serait choquant de les attendre parler ainsi. « Et je suppose que ta main est en train d'examiner les jumeaux B pour voir s'ils prennent de la grosseur c'est ça ? Ou bien cherches-tu un peu de chaleur ?. » J'arquais un sourcil en mâchant finalement le pop-corn que m'avait donné mon mari, terminant par lui offrir un large sourire.



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OHLALALALALALAAAAAAAA Cody était désolé – ou pas d’ailleurs – mais Schmidt, c’est quand même bien plus prononçable que Diamantika. Ou que Diamantikea, parce qu’apparemment elle s’appelait comme ça now. Charmant comme prénom. Non seulement cette nana à un nom russe, des origines sud-africaines, mais maintenant elle avait un prénom suédois. Et béééé, on n’arrête pas le progrès hein. Et bientôt, elle aurait une poitrine made in USA – ou made in Morocco,  c’est moins cher. D’ailleurs, Cody ne put retenir une plaisanterie ; « T’es un meuble IKEA en fait ? On t’achète en kilt et après on te monte et on te démonte ? Pratiiiique ! Dommage qu’on ne m’a pas fourni le plan qui va avec, il est où le plan d’ailleurs ? » fit-il en lui levant le bras et en le rabaissant, en jetant un coup d’œil dans le col de son pyjama puis dans ses cheveux, avec la grâce et l’élégance d’une maman babouin qui cherche les poux à son bébé babouin. « Merde, ça veut dire que je ne te comprendrais jamais. » s’avoua-t-il, vaincu par la technologie suédoise. Fallait qu’il la renvoie d’urgence au SAV IKEA. Enfin pas now pas tout de suite quoi, il avait encore envie de la démonter. OUI OUI, avec Cody Bleeker, on nageait au summum du romantisme. « T’es une violente … » grimaça-t-il après qu’elle ait exposé son envie de casser littéralement le pied de Jess. L’est folle celle-là. Puis, alors que Cody laissa sa main jouer à cache-cache sur la poitrine de Diamantika – en réalité, il cherchait toujours le plan IKEA – Kiki le toutou leur grimpa dessus, dérangeant le jeune homme qui voulait embrasser et tripoter sa petite amie en paix devant New Girl. Mais il semblerait que Madame B. ait oublié de récupérer son Yorkshire, so bad. Il écarquilla les yeux en écoutant Diamantika affirmer qu’elle n’avait pas de queue et donc, que c’était Cody le chien. En plus, elle fit le truc le plus débile du monde ; lui tirer les cheveux. Bon, Cody grimaça quand même, histoire de faire genre qu’elle avait réussi son coup, qu’il souffrait atrocement, qu’il fallait l’amputer de ses tifs et vite vite. Et que ça saute, quoi ! dirait Diamantika sur Cody. Machinalement, il baissa ses yeux vers Codynosaure avant d’affirmer, le sourire en coin et de l’assurance plein la voix ; « Si tu devais me comparer à un animal, ce serait plutôt à un Marsupilami, Kovache. Par souci de réalisme, niveau queue on y est presque, si tu vois ce que je veux dire. » Oh oui elle voyaaaaait. Cody remua sa jambe pour faire déguerpir Kiki qui alla baver au pied du canapé, après avoir grogné sur la table à dessin de Jess. Why ? We don’t know. Ce chien est con. « T’as tout compris, je te fais un examen mammaire, là. Et j’vérifie qu’il y a vraiment aucun traitement pour les faire passer en bonnet Cody voire en bonnet Diamantika. » Derek Shepherd était peut-être Docteur Mamour, mais Cody Bleeker était Docteur Mammaire. Il incita Diamantika à s’allonger sur le canapé et remonta son haut de pyjama jusqu’au-dessus de ses seins. Dix secondes d’analyse intenses, de regards menaçants envers les jumeaux, avant que Cody ne décrète finalement en remettant son haut normalement ; « Heure du décès : 23h56. Désolé, je n’ai rien pu faire. » Dépité, il s’allongea sur Diamantika en posant sa tête sur son ventre, pleurant – ou pas – la triste réalité ; pour avoir une copine à grosse poitrine, il devrait changer de copine. Or, il l’aimait bien sa Kovache. Terrible vie.

ET POUR INFO J'AVAIS ECRIT SEXISTE ! j'y peux rien si tu connais pas le mot donc tu lui inventes une orthographe qui n'existe pas KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 3861440630 KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 3861440630 KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 4 3861440630 MERCI !
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Codybabouin, belle-maman et moi

Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







« T’es un meuble IKEA en fait ? On t’achète en kilt et après on te monte et on te démonte ? Pratiiiique ! Dommage qu’on ne m’a pas fourni le plan qui va avec, il est où le plan d’ailleurs ? » J'aurais mieux fait de me taire, le voilà maintenant qui cherchait ce fameux plan partout sur mon corps, même dans mes cheveux. « Tu ferais une bonne maman guenon t'sais !. » Dis-je en penchant légèrement la tête pour plonger mon regard dans le sien toute souriante et il faut avouer que j'adorais qu'on touche les cheveux, ça me relaxait, mais alors quand on les frottaient c'est genre trop bonnnn, c'est pour ça qu'avant d'aller chez le coiffeur, je ne me lavais pas les cheveux, parce que là-bas, j'étais servi. « Merde, ça veut dire que je ne te comprendrais jamais. » Laissant un rire m'échapper, je secouais positivement de la tête. « Si tu m'comprenais, t'aurais plus b'soin d'aller chez Ikea, or ce n'est pas ce qu'ils veulent pour pouvoir vendre encore et encore, t'vois chéri ? Ça s'appelle du business !. » Nah mais sérieusement, me voilà à me prendre pour un meuble Ikea qu'on monte et démonte quoi. Franchement je suis folle, mais folle de Cody ouaich. « T'es une violente ... » Répondit-il à mon envie de casser une jambe à Jess, bah quoi, en amour tout est permis n'est-ce pas ?. « Faut savoir être violente pour protéger son territoire, you know !. Que feras-tu si je décidais de me lancer dans une carrière d'actrice après mes études de théâtre ? T'sais que dans ce métier, il faut savoir prendre des risques non ?. Jake Johnson a surement une copine ou une femme dans la vraie vie et pourtant, il tourne des scènes weird dans son rôle d'acteur. Ce sera pareil pour moi si je devenais actrice, t'auras pas envie d'casser une jambe au premier qui touchera mes lèvres ou bien qui caressera mon corps ?. Bon, t'auras pas à le faire si je refuse des scènes weird et que je joue des diablesses plutôt que des Juliettes. » Ouai genre je jouerais toujours des méchantes parce que là, je m'amuserais grave à le faire, je sais déjà faire la bitch alors faire le diable en personne, ce sera un jeu d'enfant. En parlant de sa queue, mon chéri me sort ça, attention... « Si tu devais me comparer à un animal, ce serait plutôt à un Marsupilami, Kovache. Par souci de réalisme, niveau queue on y est presque, si tu vois ce que je veux dire. » Et là, j'explose de rire en me cachant le visage avec les mains. Ce mec je vous jure qu'il est con. Pitinggggg vous avez vu la queue du Marsupilami ?. Retirant mes mains et me calmant, je finis par rétorquer à mon tour. « Si t'étais un Marsupilami, ce ne serait pas un vagin qu'il te faudrait, mais un puits profond, très profondddddd pour que toute ta queue y entre t'vois ?. » Pitinggg comment c'était weird là !. J'éclate de rire assez contente que nos parents et Jess sommeillaient en ce moment même, car suivre cette conversation aurait été un sacré choc pour eux, même si Jess ne comprenait rien, mais elle aurait répété quelques mots et ça, NOWAY. Monsieur envoya kiki grogner au pied de la table de dessins de Jess pendant qu'il continuait à tâter mes seins, répondant enfin. « T'as tout compris, je te fais un examen mammaire, là. Et j'vérifie qu'il y a vraiment aucun traitement pour les faire passer en bonnet Cody voire en bonnet Diamantika. » Il m'incita à m'allonger sur le fauteuil tandis que moi je rétorquais aussi vite. « Euhhh quoi d'neuf docteur !? » Il ne me manquait plus que la carotte et je ferais une bonne Bugs Bunny vous ne trouvez pas ?. Bref, Bleeker remonta mon haut et examina mes seins puis regarda sa montre. « Heure du décès : 23h56. Désolé, je n'ai rien pu faire. » Dit-il rabaissant mon vêtement et en s'allongeant tout en logeant sa tête sur me ventre. L'une de mes mains se posa sur son crâne que je commençais à caresser tendrement en jouant avec ses cheveux. « Bien essayé, mais non, t'arriveras pas à me convaincre de me refaire les seins. Tu devras te contenter de cette poitrine ou de me larguer pour une poitrine plus grosse. » Bien qu'il n'avait pas intérêt à choisir la deuxième option sinon je le castrerai et comme ça, il ne pourra plus jamais aller voir ailleurs, quoi que, il pourra toujours aller se refaire faire le pénis. Okey je sors. « T'sais que je t'aime ? Je te l'ai déjà dit ?. » Concluais-je dans un semblant de provocation, mais surtout un large sourire aux lèvres, tout heureuse d'être amoureuse de l'homme le plus imparfait de la terre, mais qui a tellement plus à donner que n'importe quel homme. Celui qui n'a pas un Bleeker dans sa vie, c'est qu'il n'a rien compris à la vie et il ne goûtera jamais au vrai bonheur. Cody Bleeker est l'homme parfait sans l'être vraiment, voilà tout et je suis chanceuse de l'avoir aujourd'hui. Ouai, dommage pour celles qui n'ont pas su saisir leurs chances quand elles en avaient encore l'occasion. Maintenant, moi Diamantika, je fais le vœux de ne le laisser à aucune autre sous aucun prétexte. Cody est et restera à moi pour toujours et à jamais. Et s'il faut être violente, je le serais pour défendre mon territoire, mon mien.



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