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KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI.

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Il fallait bien que ce jour-là arrive … J’veux dire … Dans Harry Potter, on se doutait bien qu’un jour ou l’autre, Voldemort réapparaîtrait. Dans Twilight, on se doutait que Bella se ferait mordre. Dans New Girl, on se doutait que Nick et Jess finirait ensemble. Dans le monde fabuleux des célébrités, on se doutait bien qu’un jour Miley Cyrus finirait par faire du porno sur scène – enfin pas tout le monde, pas Chérine, c’est ça d’habiter à l’autre bout du monde aussiiii. Dans Kung-Fu Panda, on se doutait bien que Po le Panda deviendrait le Guerrier Dragon. Dans Teen Wolf, on se doutait bien que … Ouais non, celui-là je le retire. Dans Teen Wolf, on se doute de rien parce qu’on ne comprend RIEN, cette série est trop chelouuu. Bref, tout ça pour dire qu’en sortant avec Diamantika, Cody se doutait bien qu’un jour il devrait la présenter à sa mère et à sa fille. Ce jour était enfin arrivé et c’est un Cody étrangement à l’aise qu’on retrouva dans un petit chalet familiale près de Lake Louise. Bien que les Bleeker soient originaires de Toronto, ils disposaient d’un petit havre de paix plus à l’Ouest du pays, à une petite centaine de kilomètres de la station de ski où les étudiants de Harvard séjournaient. Sa maman avait décidé de prendre elle aussi quelques jours de repos – traduction ; son plan-cul favori venait de la plaquer pour de bon et elle était en mode ’fuck la vie j’suis un yéti’ – avec la petite Jess. Comme ça, même pendant la classe de neige, Cody aurait l’occasion de profiter de sa vie.
Ce soir n’était donc pas seulement le soir où Diamantika rencontrerait madame B. ; c’était également LE fameux dîner auquel le père Kovache tenait particulièrement. Cody aurait donc la chance – ou pas – de partager un repas avec ses beaux-parents. Pour l’occasion, il n’avait pas sorti son 31, se contentant d’un jean et d’un pull chaud puisqu’ils étaient seulement là pour passer un bon moment. Ils étaient tous invités à passer la soirée – et la nuit – dans le chalet Bleeker. D’ailleurs, à ce propos, la maman du Lowell mit un point d’honneur ; « Toi et Kovache (elle n’a jamais su prononcer le prénom de Diamantika donc il lui avait donné son surnom, pour que ce soit plus simple) dormirez dans ta chambre dans le grenier avec Jess. Moi je prends ma chambre. Et les parents de Kovache dormiront dans une tente au fond du jardin. » Cody grimaça, la voix emplie de pragmatisme ; « Maman, il fait -10 dehors. » À son tour de grimacer, ne comprenant pas bien où voulait en venir son fils. « Et alors ? Miguelito m’a largué, est-ce que je passe mon temps à me plaindre, hein ? » Cody eut le temps de caler un petit ; « Oui. » Avant qu’elle ne continue son blabla ; « NON ! Alors je pense qu’ils peuvent très bien planter une tente dans le jardin pour la nuit. Avec quatre sacs de couchage chacun, ça sera nickel. Oh et puis tu sais quoi ? Qu’ils la prennent ma chambre ! Ah c’est beau, je suis chez moi et je suis virée de mon propre chez moi à cause de mon fils ! C’est la MEIL-LEURE. » Et elle partit dans la cuisine pour préparer le plateau à fromage puisque, ce soir, ils mangeaient RACLETTTEUUUUUUH. Pendant ce temps, Cody agrémenta le feu de cheminée de quelques bûches supplémentaires avant de s’asseoir sur le tapis devant la cheminée aux côtés de sa fille qui jouait avec un puzzle en bois. Elle était toute jolie, coiffée de ses boucles brunes et habillée d’une petite robe bleue de princesse. Elle aussi, ce soir, rencontrait pour la première fois Diamantika. Si Cody n’était pas habitué à présenter des filles à sa mère, il n’était encore moins habitué à en présenter à son enfant. « Elle t’a encore privé de son corps la Kovache ?! » s’écria-t-il depuis la cuisine. Cody, à son tour, beugla ; « Ouais maman ! » Elle apparut dans le salon, armé d’une cuillère en bois ; « Elle va en entendre parler, la seule qui punit mon fils, c’est moi. » Ouuuuh, mama Bleeker qui gère la vie sexuelle de son fils, c’est quelque chose.
Un quart d’heure plus tard, on frappa à la porte. Nul doute, les Kovalevski se trouvaient derrière. Il embrassa le front de sa fille et se leva pour aller ouvrir aux invités. Bip bip bippppp les envahisseurs sont arrivés sur terreeee, prenez garde Bleekeeeeeerrrrrrrrrrrrrr. « Bonsoir tout le monde ! » lâcha-t-il avec un grand sourire avant de déposer rapidement ses lèvres sur celles de Dia, de serrer la main du papa Kova et d’embrasser sur les deux joues la maman Kova. « Entrez, entrez, il fait meilleur ! » Il se décala sur la droite, les laissant s’engouffrer dans le petit chalet.
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Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







Une voiture noire s'arrêta devant un petit chalet familiale près de Lake Louise. Trois personnes en descendirent. La première était une femme portant un haut veston noir et une jupe serré noir arrivant jusqu'aux genoux et petits talons assortit, la seconde était un géant au crâne chauve, engoncé dans un costume noir donnant l'air sévère. Diamantika avait d'ailleurs hérité des longues jambes de son père. Et la troisième était moi, vêtue d'une élégante robe courte, noir au col roulé, d'un manteau en drape de laine vert dentelle noir fourrure ruban, mais sans le chapeau évidemment et aux jambes, des bottines noir lui arrivant aux genoux. La famille Kovalevski -enfin il manque Alexander et Walter- se dirigèrent vers l'entrée du chalet en laissant Dia sonner à la porte. « Mama, j'ai le traqueeeee, mon cœur bat trop vite ! » Chose que je n'aurais pas dû dire parce que ma mère plongea aussitôt dans mes bras pour me serrer hyper fort en guise de réconfort. Elle arrivait même à m'étouffer. « J'arrive plus à respirer, nonnnnn, Papa aide moiiiiii !. » Un appel au secours à mon père, mais ce dernier ne bougea pas d'un pouce. « Avant que nous quittions le Canada, j'aimerais un dîner en famille avec Walter et Alexander, tu les préviendras d'accord ?. » Je ne sais pas ce qui arrivait à mon père, mais c'est temps-ci j'avais l'impression qu'il ne voulait absolument plus nous quitter les gars et moi, je crois que ça date depuis leur dernière visite pour le pseudo mariage. Je pense que nous les manquons grave et d'ailleurs, c'est tout à fait réciproque. Ils vivent à Johannesburg et nous à Cambridge ça fait pas mal d'écarts vous voyez ?. Quoi qu'il en soit, ma mère me lâche enfin et je me repositionne première devant la porte. J'avais le traque et je sais, j'avais dit que j'étais capable de faire face, mais je fais beaucoup moins la maligne une fois devant le fait accomplit. Je ferme et ouvre nerveusement mes poignets plusieurs fois, n'arrivant pas à me calmer. Et puis, la porte s'ouvre en laissant le visage de mon amour apparaître. Ouffff. Il me déposa un rapide baiser avant de serrer la main de mon père et de bisouter les joues de ma mère. Étonnement, ma madré lui offre son plus beau sourire, je crois qu'elle est sous le charme de Bleeker depuis l'église, pas étonnant en même temps, telle mère, telle fille ein. Mon père lui, c'était plutôt un « Bonsoir. » aussi froid que l'hiver. Je le grimaçais, style "PAPA T'AVAIS PROMIS D'ÊTRE GENTIL OH !" et il me renvoya la grimace style "C'EST BON NE FAIT PAS CETTE TÊTE, J'ESSAIE !". Ouaip, mon père et moi, nous parlons le langage des yeux ou des grimaces. Pendant que mes parents regagnent le salon, j'arrête quelques instants Cody en lui attrapant la main. « C'pas possible, j'ai le traque, j'ai peur, j'ai le cœur qui bat, rassure-moiiiiiii ! » Suppliais-je presque en lui faisant les yeux de chien battu. J'espérais vraiment que tout se passe bien ou sinon, je disparais en claquant des doigts, style Sangokou et sa clique. Ou alors, je fais le serment d'oublier la parole jusqu'à ce que le dîner se termine. « Tu viens ma chérie ? Il y a une jolie petite princesse ici !. » M'interpella ma mère, elle savait que j'adorais les gosses.



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Si la famille de Diamantika était des Pokemon, ils seraient des oiseaux légendaires, ceux de la première version. Le père, sans conteste, Artikodin. Cet oiseau de glace pouvait, seulement en ouvrant son bec, plonger tout Kanto dans un hiver éternel. La mère, Sulfura. Contrairement à son mari, son simple sourire embaumait toute la pièce d’une chaleur réconfortante. La fille, Elector. Son tempérament électrique et sa manie de partir au quart de tour la rendait particulièrement imprévisible. Cody oublia donc la froideur de papa Kova grâce au sourire de mama Kova. Il tendit le bras pour montrer le salon sur-décoré de tableaux et de bibelots anciens afin que les parents s’y rendent et laisse Cody en tête-à-tête deux secondes avec Diamantika. Cette dernière lui broya immédiatement chacun de ses doigts pour en faire des saucisses knacki qu’elle pourrai aisément tremper dans un Ketchup pour l’apéro. OUUUUILLE. « ça va alleeeeer, ne te laisse pas … Perturber pas ma mère. Elle est un peu désorientée en ce moment, fais pas gaffe à ce qu’elle dit. » Il passa un bras autour de son cou pour l’attirer contre lui et embrassa son front quand, au même moment, mama Kova annonça qu’il y avait une princesse dans le salon. AHAHAHAAH, c’est certainement pas Madame B. qu’elle venait de croiser, ahahaah. Bleeker prit la main de Diamantika et la guida jusqu’au salon où Jess jouait sur le tapis. Il se pencha pour la prendre dans ses bras et lui murmura ; « Allez, amour de ma vie, il est temps que tout le monde voit le trésor des Bleeker. » Ouais, il n’y avait qu’à sa fille qu’il disait des tucs pareils, sorryyy Dia. Il entoura ses jambes fines de son bras droit pour qu’elle fasse face aux invités. Il pointa du doigt successivement les parents de Diamantika et Diamantika elle-même. « Alors voilà Papy, Mamie et Dia. » Jess sourit et répétait après Cody lorsqu’il prononça ’Papy’ et ’Mamie’ mais pour ’Dia’, gros beuuuuggggg. C’est qu’elle commençait tout juste à parler et à former des phrases à peu près cohérentes. Dia, ce n’était pas un son qu’elle maîtrisait à la perfection, dont la tronche qu’elle tira et les moues qui s’enchaînèrent quand elle comprit qu’elle ne pourrait pas dire son prénom. Cody pencha donc la tête vers Jess et lui souffla quelques choses à l’oreille et, derechef, la petite fille ria aux éclats en poussant la bouche de son père de ses petites mains. Par la suite, elle tendit graaaaannnnd les bras vers Dia en s’écriant ; « VACHE ! » Et Cody riait également de son côté, s’imaginant Dia réduite au prénom ’vache’ aux yeux de sa fille. Mais bon, c’était de la faute de ses parents aussi, ils n’auraient pas pu lui donner un prénom un peu plus portable ? Et sinon, Bleeker s’impatientait. Elle foutait quoi sa mère ? Il supposait qu’elle était partie se changer en entendant les invités arriver mais … Elle mettait du temps. Et ça, ça n’annonçait rien de bon.
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Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







DE-GUEUX, mais ouai, je broyais les doigts de mon homme parce que j'avais peur, même si la chaleur de cette maison émanait du positive, mais quelque chose me disait que j'allais très vite me noyer dans ma panique et j'étais en train d'y couler justement. Aller quoi ! Reprends toi Dia, t'es une Kovalevski merdouillleee !. Lève la tête haute et sourit jusqu'aux oreilles. Main dans celle de Cody, je lui demandais de me rassurer. Tant qu'il était là, je n'avais aucun soucis à me faire n'est-ce pas ?. Enfin non, Cody c'est Cody quoi, il allait encore enfoncer le clou. « ça va alleeeeer, ne te laisse pas ... Perturber pas ma mère. Elle est un peu désorientée en ce moment, fais pas gaffe à ce qu'elle dit. » ET C'EST SENSÉ ME RASSURER ÇA ?. Fais pas gaffe à ce qu'elle dit ? Alors elle était de mauvaise humeur c'est ce qu'il voulait insinuer là ? Je ne sais pas pourquoi, mais là, je commençais à trembler. Bravo Bleeker ! T'as réussi à me foutre encore plus de pression. J'avais envie de lui dire "Pas grave on peut repasser un autre jour, où au retour à Cambridge, Cioooooooooo" Mais il me guida rapidement jusqu'au salon où il prit sa fille dans ses bras. « Allez, amour de ma vie, il est temps que tout le monde voit le trésor des Bleeker. » AH ! PRIS EN FLAGRANT ! Soooooo comme ça, il savait dire tout naturellement des mots doux à sa fille ein ein ein. Anyway, c'était trop mignonnn de le voir en papa poule. Je me glisse un peu sur le côté afin de pouvoir voir le visage de Jess. OWWWW JE FONDS !. N'empêche que jusqu'à maintenant, je ne connaissais pas le prénom de la mère de ce petit bout de choux. « Alors voilà Papy, Mamie et Dia. » Présenta-t-il à sa fille, mais visiblement, elle avait du mal à prononcer Dia. Oh vas-y JESS tu peux y arriver DIA, D-I-A !. Non, c'était mort et on dirait que ça la frustrait un peu, normal. Du coup, en bon papa qu'il était, Cody pencha ses lèvres contre l'oreille de sa fille pour lui murmurer quelque chose. J'espérais qu'il soit en train de lui répéter plusieurs fois le mot pour qu'elle puisse le dire, mais.... Jess s'écria soudainement « VACHE ! » en m'ouvrant grand les bras. Je déglutis. Voilà donc les intentions de mon mari, me faire appeler VACHE par sa fille. Un sourire forcé aux lèvres, je m'approche d'eux et discrètement, je lui pince sa hanche gauche. Bien fait pour lui !. Puis, je prends Jess dans mes bras et m'asseois sur un fauteuil. « Et tu sais ce que j'ai pour la plus mignonne des petites princesses ? » Je regarde ma mère en lui faisant signe de me passer le cadeau. Mon père ne savait pas que ce cadeau était pour la petite, ni ce qu'il contenait, j'avais seulement avoué à ma mère que mon mec avait déjà une fille et je pensais qu'elle le dirait à mon père, ouaich, je laissais toujours ma madré faire le salle boulot. « A parce que vous avez déjà une fille ? Vous êtes divorcés ou bien vous êtes du genre à oublier de vous protéger ?. » OH PUTAIN !. « Papa ! » M'exclamais-je en grognant. Mon père était l'homme le plus têtu que je connaisse, pas qu'il détestait Cody, mais il avait une sévère façon de s'entretenir avec les hommes qui entraient dans ma vie. Pas étonnant après si un jour Cody me quitte ne pouvant plus supporter son beau-père. Discrètement, ma mère pinça à son tour mon père avant de rétorquer aussi vite. « C'est une très jolie petite fille que vous avez là Cody, comment s'appelle-t-elle ?. » Merciiiiiii Mamaaaa je t'aimeeee. Attrapant le cadeau, je le déposais au sol, il était quand même un peu grand, murmurant un... « Joyeux Noël petite princesse ! » La petite s'empressa d'ouvrir son cadeau découvrant ainsi Une table de dessin et coloriage "Spécial Disney" avec 10 mètres de feuille coloriage intégré à la table ainsi que des feutres et crayons. Et rien qu'à voir le grand sourire de Jess en découvrant son cadeau, je ne peux m'empêcher de sourire à mon tour, oubliant ma peur, mon traque et tout le tralala.



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Pour détendre l’atmosphère, Cody emmena Diamantika voir la petite Jess. Il savait qu’elle attendait ce jour depuis qu’elle avait su qu’il avait une fille. Elle était totalement accro aux enfants et le jeune homme s’disait qu’il était temps qu’il la lui présente au cas où l’Eliot commençait à sentir monter l’instinct maternel et qu’elle réclame un gosse à son petit ami. Enfin ça ne risquait pas d’arriver avant au moins trois semaines (1 semaine de privation corporelle de Diamantika + 2 semaines de privation Codynosaurielle de Cody). L’abstinence, la meilleure des contraceptions heeeeeeeeinnnng. Jess peinait à prononcer le prénom de Diamantika, ce qui semblait profondément la gêner. Elle voulait vraiment, son visage et sa bouche se déformaient, ses yeux suppliaient ses cordes vocales de se montrer un minimum tolérante et lâcher ces trois foutues lettres. Donnez-moi un D, donnez-moi un I, donnez-moi un A, donnez-moi DIAAAAA ! Euuh non attends, on ne donne pas Dia, Dia est propriété Bleekerienne now. C’est là que, de tout son cœur, Jess cria un ’vacheeeee’ plein pleiiiin d’amour à l’égard de Kovache. Ohhh, Jess adorait les vaches donc c’était tout ce qu’il y avait de plus affectueux, voyooooons. Le président Lowell laissa les filles entre elle pendant que papounet Kovache, avenant, s’adressa à lui avec un cynisme sans égal. Mais Cody ne se laissa pas distancer, ignorant même l’interjection de sa petite amie. Naturellement, il répliqua ; « Non, en fait on se protégeait bien, mais vous savez, elle est passée entre les mailles du filet ! à croire qu’elle était un signe du destin. » Il faisait confiance à Maggie ; la dernière chose qu’elle aurait souhaité dans sa vie c’est faire naître un bébé Bleeker. Donc oui, Jess était un accident mais elle faisait  partie du 0,000000000001% de risque de tomber enceinte en prenant à la fois la pilule et une capote. Cody, des étoiles plein les yeux, regardèrent les femmes offrir une table à dessin à Jess. C’est bien qu’elles y aient pensé, vraiment. Et puis la maman semblait n’avoir aucun a priori vis-à-vis de Cody, au moins. « Elle s’appelle Jess et … » Mais au même moment, Cody entendit les pas lourds de sa mère qui descendait les escaliers en bois du chalet. OH SECOUUUURS tous aux abris, Godzilla débarqueeee. « Excusez-moi, je reviens. » Il voulait juste présenter la situation à sa môman pour pas qu’elle ne fasse de gaffe. Et là, en arrivant dans le couloir, il découvrit sa mère habillée d’une djellaba violette. Horrifié, il rétorqua ; « Mais qu’est-ce que tu fous ?! Pourquoi tu portes ça ?! » À elle de répondre en affublant ses lèvres pulpeuses d’un gloss rose pâle tout en fixant son reflet à travers le petit miroir accroché au mur. « Ben quoi ? Tu m’as dit qu’ils venaient d’Afrique donc j’ai sorti un costume traditionnel bien de chez eux ! » - « Du Sud maman ! D’Afrique du SUD ! Ils ne portent pas ça là-bas ! » - « Quoi ? On ne s’habille pas pareil au Sud ? Tu vas me dire qu’au Nord on porte des djellabas et au Sud grève de djellabas ? J’comprends mieux tes notes en géo à l’école, mon chéri. » Et elle lui pinça la joue avant de s’en aller en direction du salon. Sa mère ne comprenait rien, vraiment rien. Elle débarqua au salon les bras graaaaands ouverts et serra dans ses bras papa Kova puis maman Kova en s’écriant ; « Oh ma chérie, c’est que tu es belle comme un cul dis donc ! » Silence. « Oui, je sais qu’on dit ’belle comme un cœur’ mais j’ai vu plus souvent des culs que des cœurs hein, et j'en ai vu des beaux, vous voyez ce que je veux dire n’est-ce pas ? » Là, elle donna un coup de coude au père de Diamantika, cherchant sûrement un complice chez lui. En vain. « Laissez tomber. » Et elle revint à la mère de Diamantika ; « Mon fils a beaucoup de goût dis donc. » Et là, Cody se racla la gorge en tentant de montrer le plus discrètement possible la charmante demoiselle assise sur le fauteuil, l’air de dire ’c’est celle-là ma petite amie’. Désolée mais pas calmée pour autant, madame B. s’exclama de nouveau ; « OOOOOH JE SUIS DESOLEE ! Je vous ai pris pour la fiancée de mon bébé ! Oooooh, c’est que vous vous ressemblez comme des sœurs. » L’art et la manière de transformer une vacherie en compliment. Du coup, elle prit les mains de Diamantika et la tira pour qu’elle se lève. Elle la serra dans ses bras et reprenant ; « Tu es belle comme un cul mon adorable Di… » Micro-pause, le temps de regarder la paume de sa main sur laquelle elle avait gravé au marqueur le prénom de l’Eliot ; « Mon adorable Diamantika, un vrai petit Diamaaaaaant dis donc ! » Puis elle l'embrassa sur ses deux joues, les marquant bien de son gloss gluant. Ahhhh, tant d’amour dans ces présentations. Ça va, finalement Cody s’attendait à pire …
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Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







D'ACCORD, "vache" sortant de la bouche de Jess c'était mignon et c'est bien pour cela que je ne m'y attardais pas. Mais quand même, si Kovache ou même vache devient populaire et qu'on ne m'appelle que comme ça et bien je sortirais ma tronçonneuse du placard et je découperais Cody en petites rondelles. Bon, il faut dire que son Codinosaure était devenu quand même populaire. Gaaaaad, espérons que je ne subisse pas le même sort. Et alors que je ne m'y attendais pas du tout, parce que mon père avait promis de faire un effort, il balança un truc déplacé à mon petit-ami en m'ayant regardé style, DIA TU TE PROTÈGES TOI HEIN ! et moi je lui répondais OUI PAPA T'INQUIÈTE !. Langage des yeux, langage des yeux n'oubliez pas. Dia et son père arrivaient à se comprendre sans se parler d'où parfois, vous allez voir des grimaces en tout genre donc wallaaa. « Non, en fait on se protégeait bien, mais vous savez, elle est passée entre les mailles du filet ! à croire qu'elle était un signe du destin. » Rétorqua mon mari sans gêne, ni crainte. BIEN DIT ! Je zieute mon père qui roulait des yeux en regardant ailleurs. OUAI PAPA T'AS VU, CEY UN HOMME UN VRAI ET IL TE TIENT TÊTE !. GO GO BLEEKER ! GO GO NUMÉRO 26 ! GO GO MY MAN ! Ouichh j'suis une Bleeker now, donc c'est mon devoir d'encourager mon mari. N'empêche que voilà, je suis heureuse que Cody ne se laisse pas avoir par le ton sévère de mon père en lui tenant plutôt tête. Ma mère sauva le coup et demanda à mon homme le prénom de sa vieee. Oupsss, j'avais oublié de le dire, hum. Le lowell présenta donc sa fille et s'excusa un instant, moi, je profitais pour fusiller mon père du regard en murmurant doucement. « Papa stop, temps mort, t'avais promis !. Mama dis lui d'arrêter !. » Et au même moment, HITLER débarqua, 'fin la mère de Cody quoi. Pitinggggggggggg c'est quoi cette bombe là ?. Cody est bien son fils z'êtes sûre ?. God on dirait sa soeur. « Oh ma chérie, c'est que tu es belle comme ma cul dis donc ! » I'M CHOCKED. « Oui, je sais qu'on dit 'belle comme un coeur' mais j'ai vu plus souvent des culs que des coeurs hein, et j'en ai vu des beaux, vous voyez ce que je veux dire n'est-ce pas ? » DOUBLE CHOC. J'écarquille les yeux en regardant Cody. Mes parents étaient tout aussi choqués que moi d'ailleurs, même que là, ils devaient se demander si c'était une martienne. « Mon fils a beaucoup de goût dis donc. » Oh my god ! Elle venait de prendre ma mère pour sa belle-fille !. Est-ce que mama Bleeker devait elle aussi faire un tour chez Afflelou ? C'est de famille on dirait. Je regardais mon chéri faire un signe à sa mère et pour l'aider, je lève timidement ma main genre EH OH C'EST MOI TA BELLE FILLE !. Cette dernière s'excusa rapidement en m'attrapant la main histoire que je puisse me lever et qu'elle puisse me prendre dans ses bras. « Tu es belle comme un cul mon adorable Di... Mon adorable Diamantika, un vrai petit Diamaaaaaant dis donc ! » Et elle écrasa ses lèvres gluantes de gloss partout sur mes joues. Je laissais faire en riant, mais là, j'aurais la joue toute collante. Nondidiouuuuuu. « Merci... Je suis heureuse de vous rencontrer enfin, Cody me parle souvent de vous, mais il a hormis de me dire que vous étiez si jeune, sincèrement, on penserait que vous êtes sa soeur et non sa mère. » Dis-je d'un sourire sincère, franchement, c'est-une bombe cette femme. « J'adore votre couette et votre djellabas. » Ta gueule Dia, elle s'en fout de ce que tu penses de tout ça. Je passe une mèche de cheveux derrière mon oreille. Finalement, ce n'était peut-être pas une Hilter bis comme je le pensais. Anyway, mes parents se présentèrent et vis versa pour la mère de Cody etc... « J'peux vous aider à la cuisine si vous en avez b'soin. » Demandais-je en souriant. Oui oui faut faire bonne impression. Good, good Dia, tu te débrouilles plutôt bien. Mon père reposa ses yeux sur mon homme. « Alors jeune homme, vous travaillez ? Avez-vous des ambitions ? Parlez-moi un peu de vous ! C'est quoi pour vous la vie ?. » « Chéri !. » rétorqua aussi vite ma mère. MERDOUILLE ! Ça c'était la question piège de mon père, c'est à cette question qu'il jugera le mental de Cody, à cette question qu'il clôturera si oui ou non Cody est parfait pour moi. Je ne pensais pas qu'il la poserait si vite, en fait si, mon père allait toujours droit au but. ALERTE !. « ALERTE !.....alerte...alerte.... Alerte à Malibuuuuuuuuuu !. » Regardant mon homme style NE DIS PAS DE BÊTISES PLEASEEEE, je pointais la télé de mon index parce que fort heureusement, je venais de voir la publicité de la série Alerte à Malibu. Sauvée. « J'adore trop cette série ! J'suis étonnée qu'il la passe encore à la télé. » Cody ne dit pas de bêtiseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees pitiéééééééé, pas sur cette question. Passe le test, passe le test, passe le test !



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Maman Bleeker débarqua donc et fit touuuut son cirque au moment des salutations, embrassant tout le monde avec son gloss dégueulasse, les serrant dans ses bras, balançant des compliments à la pelle, se trompant littéralement de personne entre la mère Kova et la fille, parlant de cul avec papa Kova … NARMOL. Non mais vous voyez Cody Bleeker ? Il provenait – au moins à moitié – de ce monstre. Enfin ce monstre … Non, lui il l’adorait sa môman, mais il comprenait parfaitement qu’on la trouve insupportable. D’ailleurs, wooow Dia la meuf comment elle lui jetait des fleuuuuurs ! Cody, près des deux femmes qui serraient l’une contre l’autre dans les bras, glissa à leurs oreilles ; « Bande de lèche-cul. » de telle sorte que maman et papa Kova ne l’entendent pas. Tssssk non mais n’importeeee quoiiiiii Diamantika n’était pas radine sur les éloges putain. « Je vais te donner mon secret mon Diamant … Sperme de mouton ! » s’écria-t-elle làààà, comme çaaa, en plein milieu du salon. Bon appétit tout le monde ! « J’ai rien trouvé de plus efficace pour avoir cette peau si raffermie et aucune ride. Bientôt, je passerais entre les mains du docteur Ricardo pour remonter mes fossettes. J’ai hâte, mais hââââââteeeee ! Tu n’as jamais songé à te gonfler les seins ? On pourrait faire ça ensemble, comme de vieilles copines ! » Et elle donna une petite tape amicale dans le dos de Diamantika, ne lui laissant pas le temps de réagir avant d’ajouter ; « Oui, viens avec moi, je dois sortir la charcuterie du frigo pour la raclette. Allons faire ça entre femmes, il faut qu’on discute toi et moi. » Cody se mordilla la lèvre. Il n’était ni surpris ni choqué par les discours tenus par sa mère. Il la connaissait comme ça, imperturbable, impitoyable. Elle n’était pas Instagram, elle n’avait aucun filtre. Elle le pensait, elle le sortait. Une vraie Bleeker. Mais il se mettait à la place des Kovache qui n’étaient sûrement pas habitués à si peu de retenue. Puis, le père de Diamantika s’adressa à lui en lui demandait s’il avait des ambitions dans la vie. Cody arqua un sourcil. « Ah ouais, vous demandez ça comme ça, vous ? » Mama K. s’excita et Diamantika se transforma en alarme de voiture et cria ’aleeeeerrrrrte’ dans toute la pièce avant de prétendre parler de la pub à la télé.

« Kov…Dia ! On y va ? J’ai envie de te montrer un truc dans la cuisine … » Elle prit donc sa bru par la main et l’entraîna dans la cuisine, là où elle la plaqua contre le mur derrière la porte et la menaça d’un couteau à pain sous la gorge. Du blanc du blanc de ses yeux, elle la fixa, les dents serrées à s’en faire exploser le botox. D’une traite, elle lui susurra de manière claire, concise et surtout rapide le discours qui suivit ; « Tu vas bien m’écouter ma jolie. Maggie était une connasse, elle a traîné mon fils dans la boue et je me suis jurée que ça n’arriverait plus jamais. Joan était une connasse, elle a quitté mon fils comme une merde et c’est un homme dépressif et malheureux que j’ai récupéré à la petite cuillère. Ne sois pas la troisième connasse dans sa vie, ou je te jure que … » Elle enfonça la pointe dans le menton de Diamantika, cependant pas assez pour laisser couler la moindre goutte de sang. Puis, elle recula d’un pas et posa le couteau sur le plan de travail. Comme atteinte d’une schizophrénie comportementale, elle dégaina son plus grand sourire Colgate en corrigeant, pour que Dia se détente ; « Ohhhh, ne t’en fais pas Diamantika, je plaisantais voyons ! » Puis, sitôt dit, elle reprit le couteau et le pointa vers Dia ; « MAIS JE T’AI À L’ŒIL. » Sur ce, elle reposa son arme blanche et tendit un plateau à l’Eliot ; « Je suis bête, l’assiette était déjà prête ! Tu veux bien la poser sur la table de la salle à manger ma chérie ? »

Pendant ce temps-là, Cody discutait avec les parents Kovache, toujours le regard figé sur sa petite fille qui jouait avec son cadeau de Noël. Elle dessinait des soleils, des poneys, des nuages, THE artist de la famille quoi. Enfin, Cody répondit à la question du père Kova ; « J’ai un job de comptable dans la start-up d’une amie, oui. C’est pas grand-chose mais ça aide à arrondir les fins de mois. Comme vous voyez, c’est assez modeste ici. » Il ne voulait pas dégainer la carte de l’enfant pauvre, élevé par sa mère, jeune père et tout ce qui s’en suit. « J’vais pas faire des projets pour la vie alors que je ne sais même pas comment se passera demain et … » Diamantika et madame B. revinrent dans la pièce et Cody fit un grand sourire en voyant que sa petite amie et sa maman s’entendaient bien. Aaaah, les préludes d’une belle amitié entre ces deux-là. « Vous voulez qu’on vous aide ? » En fait, il souhaitait surtout esquiver les nouvelles questions de son beau-père.

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Codybabouin, belle-maman et moi

Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







« Bande de lèche-cul. » Rétorqua mon cher mari lorsque sa mère et moi étions en train de nous complimenter. TA GUEULE CODY ON NE T'A PAS SONNÉ TOI !. Je le fusillais d'ailleurs du regard. Viens pas mettre ton grain de sel dans nos affaires de femmes hein !. « Je vais te donner mon secret mon Diamant ... Sperme de mouton ! » Je pointais mes yeux sur Cody style "Elle n'est pas sérieuse là ?" Du sperme de mouton !? Mon dieu. Mes parents haussèrent leurs sourcils tandis que ma mère avala sa salive de travers et toussota. « Ça va, ça va ne vous inquiétez pas. » Dit-elle en reprenant ses esprits tandis que je reposais mon regard sur ma belle-maman pour écouter la suite de sa passionnante histoire sur le sperme de mouton. « J'ai rien trouvé de plus efficace pour avoir cette peau si raffermie et aucune ride. Bientôt, je passerais entre les mains du docteur Ricardo pour remonter mes fossettes. J'ai hâte, mais hââââââteeeee ! Tu n'as jamais songé à te gonfler les seins ? On pourrait faire ça ensemble, comme de vieilles copines ! » EUHHHHHH ??? CODY ! Je suis certaine qu'il a gonflé la tête de sa madré contre ma petite poitrine, il n'arrête jamais d'en parler. Grrrrrrr. Je voulais lui répondre, mais la Bleeker ne m'en laissa pas le temps. « Oui, viens avec moi, je dois sortir la charcuterie du frigo pour la raclette. Allons faire ça entre femmes, il faut qu'on discute toi et moi. » Au secourssssssss, là, je tremble comme une feuille et j'ai peur, j'ai peur de ce qui peut se passer dans cette cuisine, mais je suis contente déjà qu'elle accepte mon aide et ne me vanne pas. Au moment où j'allais partir, mon père posa une question, THE question et je fusse obligée de me rendre ridicule pour que mon mari comprenne mon sous-entendu. « Kov…Dia ! On y va ? J’ai envie de te montrer un truc dans la cuisine … » Et à cet instant, je regarde mon mec avec les yeux tout plein d'amour, je lui disais à quel point je l'aime au cas où je ne sors pas vivante de cette cuisine. JE T'AIME CODY. Puis, une fois à l'intérieur, belle-maman me plaqua contre le mur derrière la porte me menaçant d'un couteau sous la gorge. MAIS WTF ?. J'ouvre de gros yeux autant surprise par ce comportement. Je retire ce que j'ai dit, c'est HITLER, C'EST HITLER ! MA BELLE-MÈRE EST HITLER !. Au secoursssssssssssss. « Tu vas bien m'écouter ma jolie. Maggie était une connasse, elle a traîné mon fils dans la boue et je me suis jurée que ça n'arriverait plus jamais. Joan était une connasse, elle a quitté mon fils comme une merde et c'est un homme dépressif et malheureux que j'ai récupéré à la petite cuillère. Ne sois pas la troisième connasse dans sa vie, ou je te jure que ... » On my god comment elle parle des exs de son fils. Pitingggggggggggggg c'est une famille de cinglééééééé ma parole !. Joan je sais qui s'est, mais Maggie non et je crois qu'elle doit être la mère de Jess. Elle pointa le bout du couteau sur mon menton en ayant bien cru qu'elle allait me faire couler du sang. Mais dieu soit loué, elle me libéra en déposant le couteau sur le plan de travail. « Ohhhh, ne t'en fais pas Diamantika, je plaisantais voyons ! » ELLE PLAISANTAIT ? Mais pas du touttttttttttt, ça se voyait qu'elle ne plaisantait pas non de dieu !. J'ai le coeur qui bat à mille à l'heure tellement j'ai peur. Madame B reprit le couteau me visant avec. « MAIS JE T'AI À L'ŒIL. » Je grimaçais en me demandant si j'allais vraiment rester vivante en sortant avec son fils. Je veux dire, elle est vraiment capable de me faire la peau, ce n'est pas possible. « Je suis bête, l'assiette était déjà prête ! Tu veux bien la poser sur la table de la salle à manger ma chérie ? » Divaguant dans mes pensées effrayantes, j'ai mis un temps à répondre, attrapant l'assiette qu'elle me tendait. Mais, je me devais quand même de rajouter. « Si un jour quelqu'un doit quitter l'autre, ce ne sera pas moi rassurez-vous, j'aime vraiment votre fils, je n'ai jamais aimé quelqu'un à ce point et mon cœur me dit que c'est le bon, qu'il est fait pour moi et que je suis faite pour lui. Oui madame Bleeker, je suis folle amoureuse de votre fils et c'est avec lui que je voudrais fonder une famille. » Et je ferais mieux de me taire et de ne plus parler avant qu'elle vise le milieu de mon visage avec son couteau. HITLER ! Ma mère nous rejoignis au même moment. MAMAN JE T'AIME. « Puis-je vous aider à mettre la table ?. » Demanda-t-elle à la mère de mon homme. Pendant ce temps, les hommes discutaient entre eux. Cody semblait rester sérieux et sincère dans ses propos. « On ne sait pas ce que demain nous réserve, c'est vrai, mais cela ne nous empêche pas d'être ambitieux aussi et ce, peu importe si demain est court, tant qu'on a encore un souffle on peut se permettre de voir loin, même si cela n'est que pour un bref moment. » La conception de mon père est que même si la vie est courte, elle ne nous empêche pas de vouloir préparer un futur. Moi, j'ai toujours été du même avis que Cody, mais en écoutant chaque fois mon père, je me disais que c'était parce que je n'avais pas encore d'enfant et que je comprendrais que lorsque j'en aurais un. Car quand t'as un enfant, tu espères tout un avenir pour lui, tu désires lui offrir une vie presque parfaite parce que soyons honnêtes, la perfection n'existe pas. « Ceci dit, même si vous marquez un point, car contrairement à vous, un autre m'aurait sorti le paradis d'un "futur" qu'il n'y pense même pas juste pour vouloir m'épater et m'avoir dans la poche, mais ça ne m'empêchera pas de vous prévenir que si vous agissez en parfait salaud avec ma fille, vous entendrez parler de moi ! Parce qu'elle n'a jamais été aussi sûre d'elle, et aussi amoureuse. Alors je vous conseille d'en prendre bien soin sinon... » Ils furent interrompus par les femmes qui apportèrent le dîner sur la table et Dia avait le visage complètement décomposé. On aurait dit qu'elle venait de voir un monstre. Oui c'est cela, je venais de perdre au moins dix kilos ce soir.



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Nullement au courant des frasques culinaires de sa môman, Cody demeura plongé dans une conversation très sérieuse avec son potentiel beau-père. Ce dernier évoquait l’avenir. L’avenir, l’avenir, Cody l’emmerdait, l’avenir. Peut-être que dans un monde où on est beau et riche, on a du temps à perdre en projetant de A à Z un futur qui n’arrivera peut-être jamais. Mais pas chez les Bleeker. On vit au jour le jour, déjà très contents d’être parvenus jusqu’au matin. « Je suis ambitieux. On ne rentre pas à Harvard sans être un minimum ambitieux. » Et ça non plus, il ne l’avait pas calculé. Il n’avait pas eu son diplôme au lycée en se disant que quelques années après, il étudierait peut-être à Harvard. Ça non plus, il ne l’avait pas projeté. Il l’avait décidé du jour au lendemain, sur un coup de tête. Il avait décidé qu’il bosserait 114 heures d’affilé pour passer les SAT’s, qu’il ferait tout pour décrocher une excellente bourse afin de payer son inscription. Il n’avait jamais rien projeté, si ce n’est que promettre bonheur et assurer sécurité à sa princesse Jess. « J’vais pas lui faire de mal. J’y tiens, à Dia. » D’ailleurs les femmes revinrent, prêtes à servir le dîner. Cody se leva et Jess aussi se leva, quittant sa table à dessin. Elle s’approcha du père de Diamantika et tira son pantalon pour attirer son attention. Avec un grand sourire et en silence, elle tendit une feuille de papier avec un magnifique dessin au feutre noir. Sa SPECIALITE. Merci papaaaaaaa ! Ce dernier, se rendant compte du croquis qu’elle offrait généreusement à son beau-père, s’empressa de lui arracher le papier des mains en s’écriant ; « OOOOHHHH LA JOLIE FLEUR JESS ! » À toute jambe, Cody se précipita jusqu’à la table à dessin où il empoigna un feutre rose pour arranger ce dessin parce que … non non nooooon. Déjà qu’il prenait Jess pour un résidu de capote, hors de question qu’il admire ses peintures de zboubs, surtout après que Cody ait passé la journée à recouvrir les murs de photo pour cacher les zizis qu’elle dessinait dessus en 'débordant du cadre'. « Mais elle n’est pas finie ta fleur ma puuuuuce, il manque les pétales, le cœur, la tige ! » Et donc, c’est fièrement qu’il retourna voir son futur beau-père avec le nouveau dessin. Pfiouuuu, il avait eu chaud. « ça m’embêtait que vous rentriez avec un dessin pas terminé. Il fera fureur dans votre salon ! » Non mais en vrai, Bleeker était super fier de lui quoiiii, trop talentueux le mec ! Il savait transformer un pénis en une magnifique petite fleur rose. Ahahah, on n’est pas Lowell pour rien hein ! Jess croisa les bras, boudeuse, en informant son père face à père Kovache. « Papou ! S’pas une fleur, c’est un … » Et là, une banane s’empara de sa bouche, elle posa ses petites mains sur cette dernière et le rose lui monta aux joues. « ZIZI !! » Et là, elle éclata de rire et courut dans le salon avant de se jeter dans le canapé, les fesses à l’air, la tête sous l’armée de coussins trônant dessus. Cody ria à son tour et la poursuivit, sautant à son tour sur le canapé. « Viens manger Jess. » - « Non. » - « Viens manger Jess. » - « Noooooooooon. » - « Viens mang… » Et là, il enfonça ses gros doigts dans son petit ventre, lui prodiguant des chatouilles qui la fit crier et se tordre dans tous les sens. « PAPOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUU ! » pleurait-elle de rire en tentant de donner des coups de pieds au visage de son père. « Ohhhh, Cody, arrête d’embêter ta fille veux-tu et venez manger. » Heureusement que Super-Maman débarqua heeeeiiiiiing ! Ils se levèrent tous les deux et vinrent à la table de la salle à manger. Cody s’approcha de la table avec un grand sourire, sourire qui s’évanouit progressivement au fur et à mesure que sa vision Afflelou lui indiqua clairement qu’un truc clochait chez Diamantika. Il posa sa main sur sa joue, croisa son regard, furtivement, avant de le détourner sur sa mère ; « Il est où Kiki ? » - « Ah, dans ma chambre, tu veux bien aller le sortir ? Le pauvre, rester enfermé quand on mange une raclette … » En fait, Cody s’en foutait pas mal de Kiki, mais ça lui faisait une excuse pour s’éclipser deux secondes avec sa petite amie. Il lui attrapa la main et l’entraîna en haut de l’escalier, dans le petit couloir qui menait aux chambres. Doucement, il lui caressa la joue et murmura, pour ne pas éveiller la curiosité des uns et surtout celle des autres ; « Tu vois, ça ne se déroule pas si mal. Allez, souris, on a passé le pire. » Et puis, il joignit ses lèvres aux siennes, ressentant le besoin fiévreux d’une douce étreinte pour se donner du courage et affronter la suite. Mais il ne sentit pas Diamantika spécialement réceptive, ce qui, littéralement, le gonfla. « Bon, qu’est-ce que t’as ? » demanda-t-il finalement en relâchant chacun de ses muscles et s’adossant au mur.
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« Je suis ambitieux. On ne rentre pas à Harvard sans être un minimum ambitieux. » Cody venait de répondre à mon père, ce qui le fit sourire, car il venait tout seul de répondre à la question. Néanmoins, mon père ce permit de rajouter tout de même un petit détail. « Pourtant si. Il y a toujours des crétins dont les études n'intéressent guerre, mais vous m'envoyez ravi de savoir que vous ne faites pas partie de ces crétins. » Mon père a toujours été stricte concernant nos études qui devaient passer avant tout, c'est pourquoi, même si je me permettais des soirées de folies à Harvard, je ne perdais pas de vu mon objectif. Je trouvais toujours un temps pour m'amuser et un temps pour étudier. Je savais tout simplement faire la part des choses. « J'vais pas lui faire de mal. J'y tiens, à Dia. » Dixit mon homme sous un regard sincère. Mon père semblait le trouver correcte dans ses propos, le trouvant sincère pour le coup. « Okey, si vous avez saisi alors c'est bien !. » Il ne pouvait pas s'empêcher de se montrer froid, mais en fait, cela ne voulait pas dire qu'il détestait Cody, au contraire, il aime les hommes avec de la personnalité, qui savent garder la tête haute en se montrant assez franc sans jamais se défiler. Et là, on peut dire que mon chéri marquait des points. C'est le premier de mes petits-amis qui tenait tête à mon père, même si j'en ai pas eu beaucoup. Soudainement, Jess tira sur le pantalon de papa Kova pour lui montrer son dessin et là, il tira une tronche trop bizarroïde style HEIN ! MAIS ?. « OOOOHHHH LA JOLIE FLEUR JESS ! » Sur-enchéri le lowell pour sauver la situation. Mais mon père n'était pas dupe. « D'où vous voyez une fleur ?. » Dit-il en pensant toute suite à un pénis, parce que soyons honnêtes, dès qu'on regardait ce dessin, on voyait tout de suite ce que c'était. Et il ne comprenait pas comment un enfant puisse s'amuser à dessiner ça. Où était donc son père pour l'empêcher de le faire ?. Ah mais non, si le père est aussi cinglé, comment la fille arrivera à savoir ce qui est bien et ce qui est mal. Mon homme attrapa le dessin de sa fille pour aller la modifier un peu et quand il revient donner la feuille à papa Kova , ce dernier le toisa du regard. « ça m'embêtait que vous rentriez avec un dessin pas terminé. Il fera fureur dans votre salon ! » L'homme âgé attrapa la feuille et regarda le dessin de plus près en fixant froidement le lowell ensuite. « Accrochez un pénis rose dans mon salon ? Mais quel genre de père êtes-vous ?. » Mon père déposa la feuille à côté de lui en s'adossant au dossier du fauteuil, il en viendrait même à croire que Bleeker avait la gueule pour répondre, mais il n'en restait pas moins immature. La preuve avec sa fille. D'ailleurs, la petite Jess venait de confirmer que c'était bien un ZIZI, ce qui outra le Kovalevski, car au lieu de la gronder pour avoir dit ça à haute voix, Cody Bleeker se mettait à courir derrière elle pour la chatouiller. Lui aussi se disait qu'on était tombé dans une famille de cinglé. Mais de toute façon, il ne pouvait pas dire grand-chose puisque sa fille en était éperdument amoureuse. Pauvre papa Kova.... Après ce petit incident, la madré Bleeker invita tout le monde à table et moi, j'étais toujours autant choquée, c'était vraiment ma belle-mère ?. Nowayyyyyyy. Néanmoins, le beau fils demanda à sa mère où était Kiki ?. Moi, tout comme mes parents, les regardions avec surprise. D'abord un dessin de pénis, ensuite un membre de cette famille portant le prénom Kiki. Great, great. Mon père me fusilla du regard, mais j'étais bien trop choqué pour y répondre. Ne m'en rendant même pas compte, mon mari venait de m'attraper la main pour me tirer à l'écart du monde, plus précisément en haut des escaliers dans un petit couloir. « Tu vois, ça ne se déroule pas si mal. Allez, souris, on a passé le pire. » Ouaichh, on a passé le pire et moi je suis toujours autant choquée et décomposée par ma future belle-mère aka HITLER. Oui voilà, ce sera son surnom. Il déposa ses lèvres contre les miennes pour un tendre baiser, mais je n'étais clairement pas réceptive, ce qu'il comprit bien vite en quittant mes lèvres et en s'adossant au mur. « Bon, qu'est-ce que t'as ? » Il me sortait rapidement de mes pensées avec cette question. Je soupirais en m'adossant à mon tour contre le mur. « Hitler...enfin non ta mère, elle a déjà tué quelqu'un ?. » Et là, il va surement me prendre pour une folle à poser une question débile, mais je vous jure que sa mère avait le regard d'une serial killer. « Elle m'a menacé avec un couteau sur la gorge que j'avais intérêt à ne pas être la troisième conasse à briser ton cœur, sinon elle me... God, dis-moi qu'elle n'est pas capable de m'tuer et que ce n'est pas une serial killer ein ?!. » Dis-je en me positionnant face à mon mec et en posant mes mains sur son torse afin de me réfugier dans ses bras. « Je crois que j'viens d'être choquée à vie de belles-mères.... et des couteaux. » En y repensant, je caresse machinalement ma gorge en imaginant sa mère me la tailler avec son couteau. Mais bon, ça n'arrivera pas parce que j'aimais trop son fils pour le quitter et ce, même si j'avais une belle-mère aussi chélou, même pire que son fils. Je vais m'y faire j'en suis certaine....ou pas, bon sang !.



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