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KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI.

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Mais mais maaaaiiiis d’où viennent ces flashs ? Est-ce que je suis moooortttt ? Ah nooon, c’est seulement mon reflet dans le miroir, je suis éblouissaaaaant ! Pensa Bleeker au premier abord. Puis, il comprit qu’il était juste mitraillé par la mère de sa petite amie et, donc, il prit sa pause de beau gosse au deuxième tirage, avec la duckface et le remonté de mèche à la Leonardo DiCaprio, sauf que Cody n’avait pas de mèche. C’est un peu comme un Titanic sans océan. Quoique sans océan, il n’aurait pas coulé. Il n’aurait même pas quitté le quai alors bon, Jack Dawson ne serait pas mort en plein océan Arctique à cause de Rose qui n’était pas foutue de bouger son gros cul pour lui laisser une place sur sa planche de bois. Non mais please quoi. Ouais ça me révolte, j’voulais que ce soit Jack Dawson qui survive et qu’il me fasse des gosses. D’ailleurs, si j’suis née un quatorze avril et que le Titanic a coulé un quatorze avril, ce n’est pas pour rien.  Une coïncidence ? J’n’y crois pas. Le destin ? Absolument. Bref, avant que je m’énerve sur Titanic, j’vais finir ce rp. Cody laissa les femmes de sa vie faire le bonhomme de neige alors qu’il restait les fesses dans la neige. Mmmh, quelle bonne sensation de glaçon entre ses fesses, charmant charmant charmant. Il ne faisait pas gaffe aux parents qui discutaient à côté. En vérité, il se sentait comme un enfant au parc avec ses copains, à faire les cons dans le bac à sable pendant que les mamans papotaient sur le banc. C’était exactement comme ça. Bon, par contre, le petit Cody qu’il était aurait aimé que sa maman réagisse quand les méchantes filles l’attaquèrent. Et vas-y que je te fous du fond de teint sur le visage saveur congélateur, et vas-y que je transforme Codynosaure en surgelé Picard (c’est une marque de surgelé, je sais pas si ça se vend chez toi donc je précise KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 3 1656754111). Putain. Cody se releva et se mit à courir dans tous les sens pour réchauffer ses castagnettes qui grelottaient. Il avait les cloches de Noël dans le slip là. Puis, il revint à sa place et, pendant que les parents regardaient ailleurs et que les filles jouaient aux apprenties sculptrices, Cody se débarrassa du sac de carottes et creusa un trou profond dans la neige qu’il recouvrit aussitôt. Avec les flocons qui continuaient de tomber, impossible de déceler l’endroit où il avait mis le paquet. Sauf qu’il conserva une carotte qu’il mit … Oui, vous savez très bien où il l’a misssssss. DANS SON CALECON. Ça ferait un beau titre de film pour adulte ; Cody, ou l’homme aux deux pénis. Wow, une star de cinéma, qui l’eut cru ! Célébrité à Hot-lywood. Quand les demoiselles eurent fini leur bonhomme de neige – un nain, apparemment – elles réclamèrent la carotte. Le brunet se pencha en arrière et se tint en enfonçant ses mains en arrière. Il s’adressa à Diamantika ; « Viens me la chercher, ma carotte. » Et là, il donna un coup de bassin comme pour lui signifier l’emplacement exact du légume. Puis, avant qu’elle ne lui saute dessus et le viole dans la neige devant toute la famille, il se leva et partit en courant à l’autre bout du jardin. Il fallait savoir que le chalet avait beau être riquiqui, le jardin, lui, était un vrai champ. En plus, la progression dans la neige s’avérait compliquée et la course-poursuite était donc lancée. « Alors Diamantik-âne, je pensais que tu la voulais vraiment cette carotte ! » s’écria-t-il pour la narguer.
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Toi plus moi, plus eux, plus tous ceux qui le veulent plus lui, plus elle et tous ceux qui sont seuls, allez, venez et entrez dans la danse allez, venez et laissez faire l'insouciance. A deux, à mille, je sais qu'on est capable, tout est possible, tout est réalisable. On peut s'enfuir bien plus haut que nos rêves, on peut partir bien plus loin que la grève. Oh toi plus moi, plus eux, plus tous ceux qui le veulent... KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI. - Page 3 1116103942 Ouai, il se fait tard et j'écoute du Grégoire, pas de ma faute. Le lowell ne devait certainement pas connaître cette chanson puisqu'il restait alone sur la neige et nous laissait nous débrouiller toutes seules alors que je sais qu'à trois tout est possible, tout est réalisableuhhhh... Okey Ma gueule. Bref, tout était parfait, nos parents discutaient entre eux en faisant leurs bonhommes de neiges, d'ailleurs, celui de ma mère aura une tête ovale ou peut-être même longue, elle n'est pas douée la pauvre, pas du tout. Celui de mon père, il était géant, normal quoi, il le faisait à son image. Celui de madame B, on dirait un bonhomme de neige pour Halloween, à son image idem et manque plus que le couteau. Puis le nôtre à Jess et moi était troppppp mignonnnnn, on l'avait fait à l'image de Jess quoi. Manquait plus que la carotte pour clôturer le tout, sauf que le sachet avait disparu et je soupçonnais mon mari d'avoir utilisé ces carottes comme des pop-corns en nous regardant bosser pendant que lui était assis tranquille. Je vais le surnommer à force, "Mr alaiz". Toujours à l'aise quoi. « Viens me la chercher, ma carotte. » Dit-il en se levant et en donnant un coup de bassin pour me signaler l'emplacement du légume. NON !!!!. J'écarquillais les yeux en le regardant surprise. Il l'a pas mise dans son caleçon si ?. En fait, ça ne m'étonnait pas qu'il le fasse, ce qui me surprenait, c'était qu'il le fasse devant tout le monde et même sa fille. « Alors Diamantik-âne, je pensais que tu la voulais vraiment cette carotte ! » Dit-il en se mettant à courir. Oh god, il me provoquait pitingggggggg. « Jess, reste à côté du bonhomme, surveille le bien d'accord ? Je vais chercher la carotte. Ne t'inquiète pas ma chérie, ton bonhomme aura un zi...nez !. » Et avant que je ne finisse par dire n'importe quoi, troublée par l'entre-jambe de mon mari, je me suis mise à courir vers Cody. Okey, le chalet était petit et mignon, mais c'était tout autre chose le jardin, plutôt grand. Finalement, je réussis à rattraper Bleeker le plaquant directement contre un mur du chalet, je plonge ma main dans son pantalon, tâtent l'endroit. Oupss, là je touchais Codynosaure. Comment je sais ? Parce que c'était tout chaud et que je venais de sentir un frisson du bout des doigts, s'échapper du corps de mon chéri. « Dia ?. » Dixit ma madré qui nous avait suivi pour pouvoir nous prendre en photo, mais elle fut carrément choquée de la scène qu'elle voyait sous ses yeux. La main de sa fille dans le pantalon de son beau-fils. « Non attends maman ce n'est pas ce que tu crois, regarde !. » Ma main toucha enfin la carotte que je fis rapidement sortir pour montrer à ma mère. « Cody l'avait caché dans son caleçon pour pas qu'on termine notre bonhomme de neige Jess et moi, donc je suis venue la récupérer tu vois ?. » Madame K. souffla un bon coup avant de s'en aller vite fait bien fait en faisant semblant de n'avoir rien vu du tout. Heureusement que c'était elle et non mon père, gad !. Je tourne la tête vers mon bien-aimé et plaque mes mains contre le mur emprisonnant sa tête. Je passe une jambe entre son entre-jambe et me colle sensuellement à lui. « Après ton troisième téton, c'est un deuxième zizi que tu réclames ? Chéri t'es parfait comme-ça, Codynosaure me suffit amplement n'essaie pas de lui trouver un jumeau et... Calme tes hormones d'homme en chaleur !. » Et là, j'approche mes lèvres des siennes sans pour autant l'embrasser, je fais semblant à plusieurs reprises de vouloir le kisser, mais quand il tend les lèvres, je recule doucement, j'effleure juste les siennes en laissant nos souffles se mélanger quelques instants avant de lui donner un coup de nez sur le sien et de me mettre à courir toute suite après. Je le laissais reprendre ses esprits, car il est fort possible que là, Codynosaure soit encore réveillé.



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Lalalalalalalalaaaaaa j’ai une carotte dans le pantalon et je cours dans la neige lalalalalaalalaaaaa ! Voilà comment on vivait sa vie au pays de Cody. D’ailleurs, au pays de Cody, comme dans tous les pays on s’amuse, on pleure, on rit, il y a des méchants et des gentils. Oui je chante Candy dans mon RP mais Dia elle chantait bien Grégoire alors je pense que j’ai le droit à mon petit intermède musical également. Non ? Donc Cody vivait sa vie pendant que Diamantika vivait sa vinaigrette. Finalement, elle le rattrapa et le plaqua contre le chalet, ce qui fit grimacer le brunet qui, malgré son gros manteau d’hiver, avait les os fragiles. C’est qu’il ne mangeait pas assez de yaourt le Bleeker ! Rhaaaa, il était temps qu’il la traie, sa vache. Non j’rigooooule, trololololol, il n’allait pas traire Dia, ce serait un peu weird. Puis vue la taille de ses seins, il pourrait à peine remplir un verre-à-shot quoi. Sad life. Et puis direct elle le coinça, direct elle entama les fouilles archéologiques dans la terrifiante jungle de son caleçon – pas très branché épilation le Bleeker – pour récupérer la carotte. La carotte orange, pour le nez du bonhomme de neige, pas la fabuleuse corne magique de Cody la licorne. Au même moment, la mère de Diamantika arriva avec son Reflex, prenant en flag’ une nouvelle fois sa fille. AHAHAHAHAHAHAHA, c’était bien que les Kovache voient ENFIN le vrai visage de leur perle rare. Madame Kovache était peut-être journaliste et faisait les infos à la télé, et bien mini Kovache faisait la nympho dans la chambre weeesssh, maintenant tout le monde le savait enfiiiin. « AU VIOOOOOLLLL. » s’écria-t-il pour que la mère Kovache vienne le sortir de là mais plutôt crier au feu au milieu d’une foule de pyromane quoi. Rien à foutreuuuuuh. Elle partit et laissa Cody livré à la merci d’une petite amie en chaleur – bien qu’elle prétendait que ce soit lui muni d’une armée d’hormones en chasse. Elle l’embrassait sans l’embrasser, elle le caressait sans le caresser, en fait, elle le saouuuulaiiiit. Et comme Bleeker était aussi radioactif qu’un réacteur nucléaire, j’peux vous assurer que là, sa fusée il l’aurait bien envoyé dans les étoiles. « Calme les tiennes, d’hormones … » glissa-t-il en serrant les dents alors qu’elle s’en alla. Elle n’a pas arrêté de le tripoter touuuute la soirée mais c’est lui qui doit se calmer ? Tssssk. Comment elle allait faire pendant ces deux semaines sans Codynosaure ? Ben oui, parce que Bleeker l’avait privé de son corps au moment-même où elle l’avait privé de son corps. Après cinq minutes à se rafraichir les idées – et autre chose – assis dans la neige contre le chalet, Cody revint vers les deux familles avec un grand sourire. Les bonhommes de neige étaient tous terminés, à la seule exception qu’il n’y en avait qu’un qui avait une carotte dans le nez. « Alors Cody, comme ça on met les carottes dans son pantalon ? » pouffa sa mère en mettant sa main devant sa bouche, comme le smiley (chuckle) sur Skype. « Non, non … Enfin il en reste une mais celle-là je la garde pour moi. D’ailleurs j’vous déconseille à tous de prendre votre douche après moi toute à l’heure. » lâcha-t-il tout naturellement devant sa mère et les parents de Diamantika. Puis, il revint vers la femme de sa vie – Jess, puisqu’il avait littéralement viré Kovache de sa vie à tout jamais et qu’il avait décidé de l’ignorer jusqu’à nouvel ordre – et la prit dans ses bras avant de le faire tomber dans la neige. Et puis Kiki le Yorkshire courut jusqu’à eux et sauta sur Jess pour lui lécher le visage. Cody tenta de défendre sa fille en faisant tomber un bloc de neige sur la tête du chien et ça fonctionna. A la place, il courut en cercle autour d’eux le nez en l’air, tentant d’attraper dans sa bouche les flocons qui tombaient. Jess suivit. Et Cody resta assis au milieu en train de regarder le spectacle, toujours en snobant sa petite amie, ça va de soi. Ouais il faisait du boudin, parfaitement. Et plus il l'ignorera, plus elle aura envie de lui, et plus il pourra lui dire 'noooon tu n'auras pas mon coooooorrrrrrps'. Un classique. Oui, c'était tordu dans la tête de Bleeker, je reconnais que des fois, moi-même j'm'y perds.
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« AU VIOOOOOLLLL. » Aoutchhhhhhhhhhh ça faisait mal à mes pauvres oreilles non didiouuuuu, Cody gueulait comme une guenon. Mais il aura beau crier, personne ne pourra lui tirer d'affaire, à part si sa maman se ramène avec un couteau et qu'elle me menace, là oui, je pourrais rendre les armes en laissant son fiston s'échapper. Mes yeux répondirent à ma place et c'était un grand NON. Et Dia ne serait pas Dia si elle ne chauffait pas son homme pour le provoquer, il faut toujours chauffer son homme les filles, conseil de Dia. « Calme les tiennes, d'hormones ... » Euuuuuuuuuuuu nah ! Les miennes sont toujours en ébullitions quand je le vois et je l'assumais donc non, je n'allais pas me calmer parce que moi, je savais garder mon contrôle devant les autres. Lui, il bandait sur-le-champ. De plus, la carotte qu'il avait mis dans son pantalon, c'était purement pour que je vienne la chercher et que j'y mette la main, mais seulement monsieur Bleeker n'assumera jamais ça parce que monsieur Bleeker n'assumait pas qu'il était ultra pervers. Moi, je ne faisais qu'assouvir ses désirs, il voulait que je vienne chercher cette carotte et bien c'est fait. Monsieur pas content et BIEN TANT PIS !. Je retournais donc vers Jess et je coupais la carotte en deux conservant celui avec le bout pointu. Posant mon index sur le milieu du visage du bonhomme, je faisais un petit trou en donnant ensuite la carotte à Jess. « Vas-y ma chérie, tu peux lui mettre son nez. » La petite se saisit du légume et la plaça au milieu comme prévu. Voilà, maintenant c'était parfait et terminée. Elle sauta d'ailleurs dans mes bras tout heureuse en me faisant un câlin. Trop mignonneeee. Son père revint enfin de sa petite hibernation à implorer maître yoga pour dé-bander Codynosaure surement, mais contre tout attente, il attrapa sa fille et joua un peu plus loin avec elle, sans m'accorder aucun regard ni même m'inviter. Euhhhhhhhh, il me snobait là ?. Monsieur pas content alors ? Pourtant, monsieur connaissait bien sa petite-amie. Je vous jure les hommes, ils décident quand ils sont contents et quand ils ne le sont pas. Je me redresse avec la ferme intention de m'incruster, mais lorsque je fis un pas, je stoppais sur-le-champ. C'était un piège si si, il faisait tout ça pour quelque chose, il avait un truc pas nette derrière la tête, c'est Cody quoi. Ce qui veut dire que je ferais mieux de ne pas tomber dans son immense piège qui se voyait inscrit en haut de crâne comme une auréole. Ça disait : ALERTE DIA ! ALERTE DIA ! ALERTE DIA ! avec un marqueur bien rougeeeee et des cornes de diable sur son front. Je ravale difficilement ma salive et finalement, je retourne vers mes parents. La mère de Cody venait de perdre la tête de son bonhomme de neige, ohhh la pauvre, que c'était comme ça qu'elle tuait ses victimes gad. Je m'approche rapidement d'elle et m'accroupis. « Attendez, je vais vous aider, à deux ça ira plus vite. » Dis-je en l'aidant à former une grosse boule. Je ne sais pas si c'était l'effet bonhomme de neige, mais la mère de Cody me regardait d'un regard plus tendre. Alors, elle savait avoir ce genre de regard aussi ? Moi qui croyais qu'elle ne regardait que façon serial killer avec son couteau là. Et lorsqu'enfin on le termina, les vieux décidèrent de rentrer, ouaich ils sont vieux et le froid ça commence à passer moins chez eux. Mon cher mari qui avait décidé de m'ignorer ce soir, jouait encore avec sa fille et comme je ne voulais pas les déranger ein, je me lève en tapotant mon manteau et en m'agrippant au bras de ma mama pour entrer à l'intérieur. Madame B. alla chercher des marshmallows qu'elle avait piqué dans des bois pour qu'on puisse les chauffer grâce au feu de la cheminée. J'enlevais rapidement mes gants me saisissant d'un bois en m'installant sur le tapis devant la cheminée pour pouvoir chauffer mon marshmallow et je dois avouer que ça faisait du bien de se réchauffer un peu. « Chérie ? Qu'avait voulu insinuer ton petit-ami tout à l'heure en disant qu'on ne devait pas se doucher après lui ?. » Oupss, j'espérais vraiment que mon père n'est rien capté, mais il semblait vouloir plutôt se rassurer. « Ça voulait dire qu'il ne faudra pas que tu touches au savon, car il va se.... enfin t'vois papa, je n'ai pas besoin de t'faire un dessin. » Je regardais les flammes danser contre mon marshmallow tandis que madame B reprit. « Malheureusement, il n'y a plus de savon, j'ai oublié d'en acheter, il faudra donc vous doucher avec mon shampoing anti-pelliculaire. » Mon père arqua un sourcil et ma mère fut étonnée. Leurs têtes signifiaient en quelque sorte, "Euhhh non merci, de toute façon, nous nous sommes douchés avant de venir".



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Cody faisait du beau boudin blanc comme la neige à Diamantika. Elle s’improvisait chef d’orchestre et faisait chanter ’aller plus hauuuut’ de Tina Arena au Codynosaure et donc, il en avait marre. Merde. Son corps n’est pas une marchandise, son corps n’est pas un vulgaire jouet ! Elle a cru que son zizi était une manette de PS4 ? Qu’elle pouvait triturer le joystick sans qu’il ne réagisse ? Certes, Cody a un pénis. Mais il a aussi un cœur. Et son cœur se fissurait petit à petit en milliers de particules. Et vas-y recoller ça après, heeeeing. Du coup, Cody restait avec sa fille, Jess, qui, jamais ne lui ferait de mal. A part quand elle lui envoya une boule de neige au travers de la figure mais comme elle se mit à rire en s’excusant et en lui faisant un groooos câlin, il oublia sur le champ toute la souffrance que son nez avait enduré. Oui, Cody a un pénis, un cœur, mais aussi un nez. Et, parfois, son nez souffrait lui aussi. Mais t’façon, Diamantika s’en foutait, Diamantika était partie. Il n’y avait plus que Cody et Jess, eux seuls contre le reste du mondeeee ! Ils jouèrent encore un peu, quelques minutes, puis rentrèrent à leur tour. Toute la famille était attroupée devant le feu de cheminée en train de manger des marshmallow. Le président Lowell surprit un bout de la conversation, notamment quand sa mère évoqua qu’il n’y avait plus de savon, seulement du shampoing antipelliculaire. Cette annonce le fit sourire banane et il se pencha par-dessus sa maman en l’embrassant sur la joue, entourant son cou avec son bras. « De l’antipelliculaire ? C’est encore mieux ! » Chez les Bleeker, ils n’étaient pas branchés effusion d’amour, d’où la grimace que tira sa mère. En fait, Cody cherchait juste à provoquer Dia en mettant des caisses, en lui faisant bien comprendre qu’il allait la kiffer, sa douche. « Je vais mettre Jess au lit, elle est crevée. Tu dis bonne nuit à tout le monde ? » Sur ce, elle s’empressa d’embrasser sur les deux joues chaque personne présente autour de la cheminée. Ils montèrent ensemble dans la chambre qu’elle partageait également avec son père et Dia. Un petit matelas avait été installé pour elle dans un coin avec toutes ses affaires. Après avoir discuté un petit peu avec elle et une fois qu’il fut assuré qu’elle soit tombée dans un profond sommeil, Cody redescendit avec une serviette sur l’épaule. Il annonça à tout le monde, la voix chantante ; « Je vais prendre ma douche ! » Et il alla dans la salle de bain. Seulement, il ressortit quelques secondes après, à tâtons, passant devant le salon discrètement. En fait, Diamantika avait super bien choisi sa place autour de la cheminée car de là où elle était, elle était la seule à apercevoir Cody. Ce dernier en profita bien puisqu’il déboutonna leeeeentement sa chemise en adoptant une danse assez suave, des mouvements lents, comme s’il dansait une rumba totally alone. De dos, il fit glisser sa chemise le long de ses épaules en les agitant style danse du pharaon trop seksyyyy ou pas d’ailleurs. Non mais Cody qui fait un striptease, c’était juste à mourir de rire en fait. Puis, une fois qu’il eut retiré sa chemise, il l’agita dans les airs en chantant dans sa tête ’et on fait tourner les servieeeetteeeeeuuuuuuh’ avant de la balancer par terre, au pied du sapin de Noël. OUUUUUPSSSSSS. Bon, maintenant, tout en se lançant dans l’exercice acrobatique de la danse du ventre, il détacha sa ceinture et la fit glisser lentement le long de sa taille … Avant de la retirer rapidement, comme un fouet ! Sauf que la ceinture ne claqua pas seulement dans les airs ; elle percuta un vase qui, sous le choc, se fracassa à terre. Direct, Cody partit en courant dans la salle de bain, s’attendant évidemment à ce que touuuut le monde débarque en se questionnant sur comment ce vase a pu tomber. Il espérait tout de même qu’il ne se soit pas fait remarquer. Quoique, il n’était plus à une situation honteuse près ce soir, hein.  
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Bah ouai, bah ouai, Cody m'avait carrément ignoré en ne m'accordant même plus d'attention, alors pour moi, c'était simple, il préparait un mauvais coup en espérant se venger, car surement qu'il n'avait pas aimé que je le chauffe. Pfff, non mais il doit être fier d'avoir une femme qui sache parfaitement l'exciter plutôt que devoir consulter un psy de couple pour savoir pourquoi mon mari ne bandait pas à mes provocations. Il peut s'estimer heureux de ne pas avoir à étaler de tels problèmes à un inconnu, alors au lieu de profiter ou de me rendre l'appareil, monsieur préférait bouder dans son coin. Néanmoins, je préférais suivre les vieux à l'intérieur et me tenir au chaud devant la cheminée en répondant aux questions interminables de nos parents. Finalement, Cody et sa fille se ramenèrent tandis que ce dernier entoura sa mère et confirma ses dires. « De l'antipelliculaire ? C'est encore mieux ! ». Euhhhhhh ? Il ne comptait pas se doucher avec ce shampoing, si ? Ahhhhhhh mais ouaiiiii, Cody avait des pellicules partout dans ses cheveux, même autour de Codynosaure, car ouai, il avait une grosse touffe de poils à cet endroit. Une fois dans le fameux bus, il y a même un poil qui s'était calé sur ma langue enfin, je vais vous épargner les détails, mais voilà, depuis je préfère n'utiliser que mes mains. Bref, bref passons, passons ein. Donc, je savais que le lowell insistait pour me faire passer un message du genre. "Ouai Dia, je vais la savourer ma douche, je vais danser et remuer mon popotin contre la vitre youhouuuuuuuu ce sera amusant". Quant à moi, je le virais en ne lui accordant aucun regard, il y a juste que je tendis les oreilles au garde à vous comme le ferait un chat en entendant son prénom ou peu importe. Ouai, j'écoutais sans parler, sans bouger, jouant l'inintéressante alors qu'au fond, je voulais aller dans cette douche et bouger mon popotin avec lui... god !. Mon cher mari accompagna sa fille dans sa chambre après que cette dernière nous laissa des bisous et des câlins de bonne nuit. Quelques longues minutes plutard, pendant que mes parents et madame B discutaient, un truc attira mon attention. Non pas un truc. Un homme, mon mien en train de faire un striptease ? WTF ? J'avais plutôt l'impression qu'il faisait la danse des pingouins, nondidiouuuuuuuu. Cependant, putain qu'il était sexy en déboutonnant sa chemise.... Alalalalala, j'étais partagé entre exploser de rire et me mordre la lèvre. Laisser voir mon excitation ou rire, laisser voir mon excitation ou rire, excitation ou rire, excitation ou rire. Ça cogitait dans ma tête pitinggggggggggggg, il me rendait folle ce mec ce n'est pas possible. Je tentais de le regarder du coin de l’œil pour ne pas éveiller les soupçons, mais monsieur enleva son pantalon et je ne sais comment, la ceinture de ce dernier cassa un vase. Et il disparut. « C'est Casper le fantôme !!!!. » Criais-je dans toute la pièce pour que mon homme puisse s'enfuir sans que quelqu'un ne remarque. Mon père me regarda bizarrement. « Chérie ça va ? Ne reste pas trop près de la cheminée, je crois que le feu est en train de cramer ton cerveau !. » NO COMMENT !. Je fusillais mon père du regard alors que les deux femmes étaient en train de ramasser les verres en rigolant sur moi. Merci papa !. « Ouiiii t'as raison papa ! Je vais me rincer un peu le visage histoire de me rafraichir !. » Aussitôt dit, aussitôt je cours jusqu'à la salle de bain. Oui oui, vous l'aurez compris, ce n'était qu'une excuse pour rejoindre mon bien-aimé. Arrivant devant la porte, je tapote doucement en tournant le poignet et surpriseeeeee, mon petit-ami avait oublié de verrouiller. Du coup, j'entre et je referme rapidement. « Comment t'as pu m'cacher tes talents de stripteaseur ?. » Je restais néanmoins adossé contre la porte, ne voulant pas tomber dans son piège, même si c'était déjà fait puisque je me trouvais là où il voulait que je sois, dans la douche. C'était son but non ? Il voulait me chauffer, il avait réussi et là j'étais chaude comme la braise. Mais, je me contrôlais, parce que je savais qu'il allait se venger. « Par contre, ça ne te réussira pas vraiment dans le monde du show business, car s'il faut que tu casses tout sur ton passage, tu risques de t'faire virer plus vite que prévu !. » Et quand bien même, si l'envie lui prenait de devenir stripteaseur, je le castrerais comme Prince mon chat, parce que voilà, son corps est à moi, son cœur est à moi, son âme est à moi, ses lèvres sont à moi, il est TOUT à moi, donc pas touche ! Je mordsssssssssss.



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Et c’est là qu’on voyait que la Lowell House pouvait changer un homme. Cody maîtrisait – ou pas – l’art du striptease comme personne. Matez-moi ce déhanché à la Beyonce pendant qu’il déboutonnait sa chemise avec une adresse digne d’un alcoolique atteint de Parkinson. Observez ces courbes saillantes en U, son ventre qui rappelait la grâce et la finesse d’une assiette de purée avec le bribril au milieu représentant le petit puits dans lequel on mettait la sauce. Et bimmmm, il gérait le retiré de ceinture tel Indiana Jones en plein combat avec les méchants chasseurs de prime. Il n’y avait pas à dire, Cody Bleeker était un chippendales né ! Il s’était trouvé cette vocation après avoir danser Toxic en compagnie de Milena, Elizabeth et Mace, à la fête de la musique. Fête à laquelle Diamantika avait participé mais dont elle semblait n’avoir aucun souvenir de Bleeker sur scène, sympaaaaaaa. En même temps, elle pleurait sa rupture avec Jeremiah, so bad. Par contre, gros fail dans la chorégraphie pourtant archi travaillée ; il démolit un vase et put compter sur sa bien-aimée qui cria au fantôme pour attirer l’attention. Pour une fois qu’elle faisait un truc bien ce soir, celle-là. Cody se réfugia donc dans la salle de bain, toutefois pas peu fier de ce qu’il avait fait. Il embrassa son biceps, trop fier … Enfin l’emplacement normal d’un biceps chez un homme bien fait, sauf que chez Cody le biceps s’était perdu dans la graisse. Pas graaaveee. Puis, on tapa contre la porte et on entra. Heureusement, Bleeker avait encore son pantalon sur lui, ouvert mais tenant encore sur ses hanches larges. Enfin, ça vaaaa, ce n’était que Dia. « Je ne te les ai pas caché. T’as juste jamais su les voir en moi. » T’façon, Diamantika ne voyait pas plus loin que le bout de ses seins. Traduction ; elle ne voyait vraiment, mais alors vraiment vraiment vraiment, pas loin. Elle demeurait adossée contre la porte, comme farouche vis-à-vis de ce que le Lowell pourrait faire d’elle. Meuuuuuh rien, fait la Kovache. « Donc tu viens ici, tu me déranges pendant que je me prépare à prendre une douche épique ou un bain divin avec juste moi, Codynosaure et l’antipelliculaire, et en plus tu es blessante ? Tu veux quoi ? Tu cherches la merde, c’est ça ? » Et ben, si elle cherche les emmerdes, elle va les trouver weeeessssh ! Cody fit une micro-danse du ventre et fit glisser son pantalon le long de ses jambes avant de l’envoyer valser en donnant un coup de pied dans le vide. Puis, d’un pas décidé à la Robocop ou à la Terminator (mais sans les muscles, toujours, sorryyyyyy) il marcha jusqu’à Diamantika et l’embrassa … Pas. Il lui fit un genre de baiser de cinéma durant lequel l’acteur n’embrassait pas sa partenaire quoi, entrouvrant subtilement ses lèvres pour n’effleurer que celle de Diamantika. « Mmmmh, j’aime quand on s’embrasse comme ça, mon amour ! Ma vie ! Mon soleil ! Ma lune ! Mon papillon de lumière ! Sous les projecteurs ! » Oui, il se foutait de sa gueule. Ses doigts imprégnèrent fermement les joues de la belle pendant ce semblant d’étreinte, avant qu’il ne l’agrippe par la taille pour la soulever à hauteur du meuble de la salle de bain, l’intimant de s’asseoir dessus après avoir débarrasser d’un coup de bras théâtral tous les produits de beauté qui trônaient. Et là, il recommença ; baiser de cinéma en caressant la cuisse de Diamantika au travers de sa robe. « Et c’est quoi ton truc après ? Ah oui ! » Sur ce, il sauta sur lui-même pour lui faire dos et se mit à agiter ses fesses en mode Miley-Cyrus-qui-twerk-sur-scène contre ses jambes pour l’imiter comme l’autre jour à leur premier rencard. « Y a quoi ensuite ? Ah ouii ! Le pied ! » Et là, il se mit face à elle et tenta de lever sa jambe pour caresser la sienne avec ses orteils mais … Pffffff, Cody n’était pas super souple donc il abandonna bien vite. Finalement, il s’approcha de la porte et l’ouvrit en pouffant de rire. Néanmoins, il lança très sérieusement ; « Allez, fini de jouer, j’vais me laver et on se revoit toute à l’heure. » Et bam. Dans ta tronche Dia.
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Codybabouin, belle-maman et moi

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Comment tu dénigres ma pauvre petite, bien sûre qu'elle est tout le temps serviable pff !. Donc ouai, Dia venait de faire diversion pour permettre à son homme de ne pas se taper la honte devant tout le monde. Ensuite, je pris soin d'inventer une excuse pour pouvoir m'éclipser et rejoindre mon homme histoire d'avoir un petit tête-à-tête, ouaich on profitait comme on pouvait pour avoir un petit moment câlin vous voyez, mais depuis genre quelques minutes, il me boudait comme un bouda. Okey je sors. Une fois dans la salle de bain, je me cale contre le dossier de la porte tandis que mon homme avait encore son pantalon à moitié. Je ne sais pas pour lui, mais moi je pouvais l'aider à le retirer s'il le voulait. « Je ne te les ai pas caché. T'as juste jamais su les voir en moi. ». Un évènement comme celui-là je n'aurais jamais raté ! Attendez, Cody qui fait un striptease ce n'était certainement pas moi qui aurait été aveugle. « Comment t'voulais que je le vois ? Toi qui es si lent comme une tortue au déshabillage, normal que là, ça me surprend. Faudra que tu fasses du striptease à chaque fois qu'on fera l'amour. Comme ça, en deux temps trois mouvements t'es déjà à poil !. » Néanmoins, je tenais quand même à relever le seul hic qui fera que Cody ne pourra jamais percer dans ce domaine. « Donc tu viens ici, tu me déranges pendant que je me prépare à prendre une douche épique ou un bain divin avec juste moi, Codynosaure et l'antipelliculaire, et en plus tu es blessante ? Tu veux quoi ? Tu cherches la merde, c'est ça ? » Quel genre d'homme dirait à sa petite amie en face to face, qu'il va utiliser la masturbation plutôt que son corps ?. Il n'y avait que Cody pour faire un truc pareil. Du coup, je secoue ma tête en posant une main sur mon front prêt à ressortir, mais il m'empêcha de faire ne serait-ce qu'un pas de plus en retirant son pantalon et en s'approchant de moi. Il imita mon geste de t'aleurs, c'est-à-dire qu'il fit semblant de m'embrasser, entrouvrant ses lèvres juste pour effleurer les miennes. Okey, j'ai faim maintenant, je veux ses lèvres. « Mmmmh, j'aime quand on s'embrasse comme ça, mon amour ! Ma vie ! Mon soleil ! Ma lune ! Mon papillon de lumière ! Sous les projecteurs ! » Et voilà qu'il se foutait de ma gueule. Vilaine vengeance, mais bon je l'ai bien mérité, j'aurais dû m'abstenir de le chauffer moi qui voulais juste le réchauffer à cause du froid, c'est comme ça qu'il me remercie. :siffle: Il fit un semblant d'étreinte avant de me porter par la taille et de me déposer sur un meuble. WOW ! C'était quoi çaaaaaaaaaa ?. Mon cœur démarra au quart de tour et je pouvais entendre les battements jusqu'à mon oreille. BOUM BOUM BOUM. Ça cogne, ça cogneeeee trèssss fortttt. Monsieur entreprit ensuite de me caresser les cuisses au travers de ma robe tandis que mon sang bouillonnait et mon corps était lui-même en ébullition. « Et c'est quoi ton truc après ? Ah oui ! » Il tourna sur lui-même pour imiter mon geste de la dernière fois en bougeant son popotin. Le mec ne se rendait même pas compte qu'il bandait et que Codynosaure venait de grandir. Je posais une main contre mes lèvres le regardant faire son numéro en me retenant d'exploser de rire. « Y a quoi ensuite ? Ah ouii ! Le pied ! » Il s'improvisait imitateur ce soir ou quoi ?. Bah oui, il y a des choses que Cody ne peut pas faire, il n'était pas aussi souple que sa femme, NORMOL quoi. Et pour terminer en beauté, il se dirigea vers la porte qu'il ouvrit. « Allez, fini de jouer, j'vais me laver et on se revoit toute à l'heure. » Pas drôle du tout. Mais bon, on va faire avec ein. Je descends du meuble en m'approchant de lui et sans vraiment lui laisser le temps de voir la chose venir, je m'élance et pose mes lèvres contre les siennes, faisant en sorte de le plaquer contre le mur d'en face, l'embrassant avec toute l'envie qu'une femme pouvait offrir. Je plaque ses mains contre le mur au-dessus de sa tête entrelaçant nos doigts que je serrais assez fort pour finalement lâcher la pression et faire glisser mes mains le long de ses bras jusqu'à son coude. Mes lèvres quittèrent les siennes pour déposer un bref baiser dans son cou avant de reculer. « C'bon, à l'avenir je m'abstiendrais de te chauffer. Mais revanche ou pas, tu ne pourras jamais empêcher Codynosaure de réagir à chaque fois que tu m'touches. » Pointant son bijou de famille du doigt, j'esquisse un large sourire. « Bonne douche amour de ma vie !. » Concluais-je avant de sortir et de le laisser enfin prendre cette douche. Il n'avait même pas besoin de Mr savon ou autre pour brandir son bijou, il réagissait tout seul en compagnie de Dia.



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Cody twerkait donc contre sa petite amie, sur l’air (dans sa tête) de ’shake shake shake, shake shake shake, shake your booootyyyyy shake you boooottttyyyy oh shake shake shake’ et nonnnn ce n’est pas l’hymne au ship Sharon/Jake ça n’a rien à faire dans mon RP donc TG. Après toute cette petite mise en scène, Cody quémanda sa dulcinée de dégager le plancher – enfin le carrelage because ils sont dans une salle de bain – plus vite que ça, qu’elle bouge ses fesses seksy loin de lui, qu’il puisse enfin se masturber en paix, sans être dérangé à tout bout de champ par une petite amie indigne de lui. Mais c’était sans compter sur Diamantika qui le plaqua contre le mur opposé, elle alla même jusqu’à bloquer ses dix doigts pour unir sa bouche contre la sienne. Cody se cambra, tout son torse convulsa au profit de cette étreinte qui mettait fin à une soirée de frustration. Et, paradoxalement, ça le frustra d’autant plus quand elle décida de partir. Ouais, parce que vous voyez, y a deux minutes, il s’en foutait qu’elle dégage. Il n’était pas en manque de ses lèvres, il n’était pas en manque de ses mains, il savait très bien qu’il se satisferait tout aussi bien qu’elle le ferait. Mais ’tends-lui la main, il te mord le bras’ ! Et Cody voulait le bras, la jambe, la tête, les seins, le corps entier ! à peine sa silhouette disparut derrière la porte, il se précipita contre celle-ci et attrapa le bras de Diamantika pour l’engouffrer de nouveau dans la pièce. Il retira son caleçon immédiatement. « Déshabille-toi. MAINTENANT. » Ouaip, monsieur donne des ordres, monsieur a chauuuuuudddd cacao chaud chaud chaud chocolat. Si tu me montres tes noix de cocos, moi je te montre mes ananaaas ! Et Cody montrait ses ananas làààà, donc STP, where is the noix of the coco ? Il se pencha dans la cabine de douche et commença à faire couler l’eau pour qu’elle chauffe et couvre de buée chaque paroi lisse de la salle de bain. Il regarda sa montre invisible et affirma ; « On a – approximativement – 20 minutes d’eau chaude si ma mère prend sa douche après nous … » Pour être sûr, il entrouvrit la porte et s’écria dans tout le chalet ; « MAMAN ! Tu te laves ce soir ou demain ? » - « Demain mon chou ! Pourquoi ? » - « Pour rien ! » Et il referma la porte qu’il verrouilla tout de suite après. « 40 minutes. » rectifia-t-il avec assurance et fermeté. Puis, il regarda Dia qui était encore habillée, se demandant ce qu’elle cherchait làààà. Elle avait envie de Codynosaure ou passsss ? Grrrrr. Comme le brunet n’avait aucune patience, il attrapa de nouveau sa petite amie par la taille, un bras dans son dos, l’autre contre ses fesses, et la porta jusqu’à sous la douche, touuuuute habillée. MOUAHAHAH. Le jet d’eau les trempa rapidement jusqu’aux os vers l’infini et au-delà, alors que Cody s’éprit des lèvres de la brunette pour une caresse fougueuse, sans retenue, lui mordillant, lui dévorant la commissure de ses lèvres en la collant contre la vitre. Ça faisait un bien fou de se lâcher mine de rien, à s’en demander à quoi ils jouaient depuis toute à l’heure.
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Plutôt contente de la situation, j'en profitais pour chercher plus loin. Je voulais qu'il se rende compte qu'il avait beau vouloir résister, il ne pouvait pas, que j'avais beau vouloir résister, je ne pouvais pas et même en sortant de cette douche, j'avais espéré qu'il vienne me rattraper afin de me ramener dans cette salle de bain où il me laissera le satisfaire plutôt que de se masturber, car on sait tous qu'avoir le corps de sa bien-aimé était sans doute mieux qu'avoir à utiliser un savon pour se libérer. Finalement, mes espoirs ont porté leurs fruits, puisque Cody revint me chercher avant que je ne prenne les escaliers pour rapidement m'attirer dans la salle de bain. God, ce que je ne m'y attendais pas, c'est quoi soit si franc. « Déshabille-toi. MAINTENANT. » Pitingggggg même en disant ça, il était sexy. « TOUTE SUITE !. » Répétais-je en m'activant et sursautant de surprise. J'avais réussi à retirer mon manteau vert, mais la robe noire c'était tout un problème, la fermeture était bloquée et j'étais en train de m'énerver sur elle pendant que Cody allumait l'eau et parlait à sa mère. Au départ, j'avais grimacé sur les 20 minutes, puis finalement, quand sa mère affirmait qu'elle ne se doucherait que demain, je fus plutôt heureuse. Mes parents s'étaient déjà lavés aussi donc personne ne viendra nous déranger. « 40 minutes. » Okey, là ça me paraissait mieux. Mais malheureusement, on allait devoir retirer quelques minutes rien que pour réussir à débloquer ma fermeture. Pff. Je ne porterais jamais plus cette robe lorsque je verrais mon homme. Soudainement, il s'approcha de moi et me porta pour remmener sous l'eau. NONNNNNNNNNNNN !! Pas avec ma robeuhhhhhhhhhh. Bon tant pis. Cody ne perdit pas de temps et me dévora les lèvres avec passion, attendez ? Nous allons faire l'amour pour la première fois sous la douche ? Einnnnn ? Le Canada sera symbolique à présent. Je quitte ses lèvres à contrecœur pour me plaquer moi-même contre la vitre afin de lui donner mon dos pour que de sa force d'Hulk, il glisse enfin la fermeture. Chose fait, je laisse tomber rapidement ma robe que je balance plus loin avec mon pied. Dégrafant ensuite mon soutif, je glisse ma petite culotte et tous deux ensembles je les envoie valser avec ma robe. Et rapidement, je grimpe sur mon homme en croisant mes jambes dans son dos et en m'emparant fougueusement de ses lèvres. L'un de mes bras vient se plaquer contre un côté de sa tête, alors que mes doigts agrippent ses cheveux courts. Mon autre main passe sous son bras et se cale sur l'une de ses fesses, le serrant tout contre moi. « 40 minutes...ein. » Concluais-je en perdant les pédales, en perdant tout contrôle. Haletante comme pas possible, mon souffle se mélangeait difficilement au sien sous l'emprise de nos corps si désireux de se posséder. Pour ça, je laissais mon homme s'en charger. Moi, je m'occupais du haut de son corps. D'ailleurs, la main sur sa fesse remonta assez sensuellement tâtant son ventre puis son torse, puis à nouveau son ventre et son bas ventre, puis ses tétons. Ma délicieuse bouche vira dans sa nuque et l'embrassa à plusieurs reprises avant de croquer doucement et langoureusement dedans, assez pour que ça laisse une trace violette, mais pas pour que ça fasse mal.



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