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KOVACHE ₪ MON BEAU-PÈRE ET MOI.

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On voit la valeur de l’argent chez les Kovalevski. Seriously, Papa Kova pensait sincèrement que Cody pouvait se permettre de payer une année scolaire à 25 000 dollars pour paresser et ne pas suivre ses cours ? Oh pitié. Toutes ses économies passaient là-dedans et toutes les économies de sa mère sans parler de la maigre bourse d’études qu’il touchait. Certes, il avait foiré sa première année, il avait sûrement très mal calculé les efforts nécessaires pour toucher du bout des doigts ce diplôme. Mais personne n’est plus motivé qu’il ne l’est pour ses études, ça c’est clair. Enfin, trêve de blablas avec le papa, c’est pas qu’il n’était pas intéressant mais Bleeker avait faim et il était temps de passer à table. Seulement, des interférences apparurent sur l’écran radar et il trouva une Diamantika totalement déboussolée dans le salon. Youhouuu Diaaaaa, le Sud c’est là, le Nord c’est là, ton homme est là. Ce dernier, inquiet, prétexta vouloir libérer Kiki – aka le Yorkshire mais apparemment personne ne l’avait pigé – et attrapa la main de sa petite amie pour s’éclipser à l’étage, là où ils pourraient faire un bilan de ce premier contact avec la famille. Cody, lui, était plutôt satisfait. Il n’avait pas spécialement eu le droit à un interrogatoire piège, ça allait, il s’en était bien sorti, non ? Mais Diamantika était aussi blanche que le fromage de chèvre qu’ils boufferaient en raclette et pour une pseudo Africaine, ça n’était pas narmooooollll. En plus, elle puait la peur et le souffre à des kilomètres. Wesh, depuis que Cody était en couple, le Docteur Love l’avait équipé d’un sixième sens archi développé qui empêchait Kovache de lui cacher quoique ce soit. Et là, surpriiiiseeeee, elle demanda si madame B. avait déjà tué quelqu’un. « T’es folle ! » Et bizarrement, ça ne le choqua pas plus que ça d’apprendre qu’elle avait menacé sa petite amie avec un couteau. ‘fin, quand même, va falloir qu’elle atténue ses excès de colère. Il l’enlaça et la lova dans ses bras. Il souligna de haut en bas la courbe de son dos telle une fine pellicule de pluie s’écoulant sur le chapiteau d’un parapluie. « Ecoute, j’veux pas la défendre, parce qu’on n’a pas à menacer la copine de son fils avec un couteau juste parce qu’on a peur qu’elle lui brise le cœur. » Se rendant compte que, par cette phrase, il cautionnait un tant soit peu les actes de barbaries de sa madre, il se reprit après un silence d’une courte grimace ; « OK, on menace personne avec un couteau et pour aucune raison mais … ça doit être dur pour une mère de récupérer son fils au fond du trou et … T’en fais pas, tu peux me quitter demain, elle ne te fera rien. Elle s’est entraînée à la sorcellerie quand Joan s’est tirée, au vaudouisme et nunchaku,  et tu vois bien qu’elle est encore vivante la Lindley. Elle ne sortira pas les armes quand tu me briseras le cœur, ne t’inquiète pas. C'est jamais rien de plus que des mots. » Notez l’utilisation pas innocente du ’quand’ et pas du ’si’. Cody avait beau croire en la pureté et l’authenticité des sentiments de Diamantika à son égard, on ne lui enlèvera cependant pas de la tête qu’ils n’étaient que deux feuilles de papier. Ils pouvaient résister face aux vents les plus violents, ils pouvaient se plier, se déplier, se replier, se tenir l’un contre l’autre pour être plus forts, mais un tout petit rien pouvait les déchirer. Et il est impossible de recoller une feuille que l’on a déchiré (sauf si cette feuille est sur Paint et qu’on dessine des zboubs dessus, dans ce cas, nan, ça ne se déchire po).
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Codybabouin, belle-maman et moi

Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







Faire bonne impression DONE, sourire DONE, empêcher mon père de rentrer dans de lourdes discussions DONE, rencontrer la fille de Cody DONE, faire sourire la fille de Cody DONE, rencontrer belle-maman DONE, parler en tête-à-tête avec belle-maman ALERTE ROUGE !. Je venais de passer cinq minutes de calvaires en compagnie de la mère de mon homme, elle m'avait carrément traumatisé en brandissant son couteau sur ma gorge. Je veux bien comprendre qu'elle s'inquiète pour son fils et qu'elle ne supporte plus de le voir souffrir, mais tout de même, en menaçant carrément avec un couteau ?. God, heureusement que mon chéri n'était que la moitié de ce qu'elle était. Je sens que je ne vais pas aimer faire des sorties entre filles avec ma belle-mère, va falloir que je trimballe Cody ou ma mère à chaque fois qu'elle me proposera de sortir, car sait-on jamais si un jour elle me traîne de force chez un chirurgien pour me refaire les seins. Mes pauvres jumeaux Bleeker, ils ne vont pas être contant d'avoir des implants dans leurs petits nids. Ils passeront des nuits blanches à s'étouffer avec ça et c'est ce que mon mari voulait ? Il voulait que ses bébés souffrent d'implants mammaires ein ? C'est pire qu'un cancer ou bien, ça risque un cancer. Nop, tant que maman est là, maman ne fera jamais subir ça à ses jumeaux, NEVER !. D'après Marie, on peut s'auto Boobser, alors je m'auto boobserais tous les soirs pour qu'ils grossissent encore et encore, jusqu'à atteindre les 90D, COMME MONSIEUR AIME. Bref, nous étions en haut des escaliers et je cherchais refuge dans les bras de mon bien-aimé. Puis, comme je l'avais prédit -à croire que je suis devin, ouaich faudra payer pour me consulter han han- Cody s'exclama suite à ma question. « T’es folle ! » I swear ! Je ne suis pas folle, c'est une légitime question quand on vient de se faire menacer avec un couteau et un regard de serial killer exactement comme dans les films d'horreur. La maman du lowell pourrait même y trouver un bon rôle, elle pourrait jouer à la perfection la femme de Scream. Cependant, mon homme m'enlaça en me caressant le dos. Je plaque l'une de mes tempes contre son torse en entourant sa taille de mes bras. « Ecoute, j'veux pas la défendre, parce qu'on n'a pas à menacer la copine de son fils avec un couteau juste parce qu'on a peur qu'elle lui brise le cœur. » Je l'écoutais parler en le serrant tout contre moi, c'est fou ce que je suis bien dans ses bras, il m'apaise en un rien de temps. Je pourrais même oublier tout, tout ce qui venait de se passer rien qu'en étant entourée de ses bras réconfortants. « OK, on menace personne avec un couteau et pour aucune raison mais ... ça doit être dur pour une mère de récupérer son fils au fond du trou et ... T'en fais pas, tu peux me quitter demain, elle ne te fera rien. Elle s'est entraînée à la sorcellerie quand Joan s'est tirée, au vaudouisme et nunchaku, et tu vois bien qu'elle est encore vivante la Lindley. Elle ne sortira pas les armes quand tu me briseras le cœur, ne t'inquiète pas. C'est jamais rien de plus que des mots. » Ça doit être dur, même que c'est dur, mais goddddd, pas un couteau et fort heureusement que je suis une Kovalevski ou simplement Dia et que je ne suis pas du genre à m'enfuir, car une autre n'aurait carrément plus donné signe de vie après ce dîner. L'entendant prétexter que lorsque je le quitterais je n'aurais rien à craindre, je recule la tête en grimaçant. Je pose mon index sur ses lèvres pour ne plus entendre de sottises pareilles. « Quand je te briserais le cœur ? Parce que tu crois que tu vas te débarrasser aussi facilement de moi ein...ein...ein. » Dis-je en plaquant ma poitrine contre son torse, me collant complètement à lui tandis que je m'étire quelque peut pour pouvoir épouser tendrement ses lèvres d'un baiser doux et remplis d'amour. « Malgré le traumatise que je viens de subir, j'ai quand même réussi à lui répondre que si l'un de nous devra quitter l'autre, ce ne sera pas moi ! Donc jamais je ne te briserais le coeur. Je... » glisse mes lèvres jusqu'à sa joue gauche où je dépose un baiser. « Suis.... » Glissant maintenant vers son front. « Folle.... » Puis sur sa seconde joue. « De.... » Et enfin, toujours dans un murmure je viens poser un baiser sur le bout de son nez. « Toi.... » Reculant la tête, je lui offre mon plus beau sourire, les yeux tout brillants d'étoiles et non de peur. C'est comme ça à chaque fois que je regarde mon mari. « Cody Bleeker.... » Et sans plus attendre, je re-kidnappe ses lèvres en faisant le plein de carburant pour la suite des événements tout en espérant vraiment que nous ayons passé le plus difficile. L'embrassant avec passion et amour, ce baiser était chargé de magie, un baiser magique, oui. C'est alors qu'un sourire naquit sur mes lèvres pendant que je murmurais ces quelques mots. « Et puis, n'oublie pas que je suis ta femme, une Bleeker et que j'ai fait un serment qui me tient à cœur. » Écrasant ses mots contre ses lèvres, je repris le baiser là où je l'avais laissé. Le serment que j'avais fait et bien, je comptais le chérir. Cette bague à mon doigt était tellement précieuse. Et je m'étonne encore que personne n'ait posé de question quant à la signification de ce bijou et dans ce doigt.



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Par ses mots et avec un zeste de maladresse hasardeuse, Cody tentait de se montrer un tantinet rassurant envers Diamantika qui psychotait carrément à l’idée de se voir égorger en pleine nuit pas sa belle-mère en djellaba. C’est peut-être pour ça, d’ailleurs, qu’elle avait troqué ses robes de cocktails de grosse bonnasse aux gros seins pour un vêtement informe et qu’elle ne mettrait qu’une fois. Au moins, avec ça, les tâches de sang seraient vite épongées et puis un peu de rouge sur le violet, ça ferait styler. Bon, ça ne plairait pas trop à Cody qui prônait le Lowell Power mais qu’importe. OMGGGGG, il venait de mettre le doigt sur le plus gros complot terroriste de toute l’histoire de la famille Bleeker ! Le plus gros avant la disparition de Papa Bleeker et après le mystère du dernier rouleau de PQ vidé / pas remplacé. D’ailleurs, pour celui-là, on soupçonne encore et toujours Kiki pour cette offense. Revenons à nos amoureux. Cody avoua que lorsque Dia lui briserait le cœur, elle n’aurait pas à craindre de réprimandes de la part de madame B. Sa technique, c’était de descendre le plus possible les copines de Cody pendant qu’il était en dépression pour les discréditer complètement aux yeux de son fils afin qu’il les oublie plus facilement. Tout simplement. Mais Diamantika ne se laissa pas distancer et réfuta catégoriquement qu’il pense ainsi qu’elle lui briserait son petit cœur guimauve. « Ouuuh, et j’ai promis à ton père que je ne te briserais pas le cœur. On est dans la merdeee, comment on fera quand tu ne supporteras plus mes blagues sur les poussins et mes pieds qui puent, et moi quand je serais blasé de tes cheveux gras après l’amour et de tes cadeaux de Noël moisis ? On ne pourra même pas se séparer. So saaaaaaddddd. » Ils purgeaient la peine à perpétuité, assignés à vie dans la prison de leurs cœurs battants. Elle l’embrassa si tendrement que l’espace d’un instant, Cody voulut se téléporter dans la chambre d’à côté et annihiler tout le Canada pour qu’ils ne soient plus que les derniers survivants sur Terre. Et Jess aussi. Qu’ils colleraient devant la Reine des Neiges pendant que Cody mettrait sa carotte dans la boule de neige de Diamantika. Mais bon, la carotte est coriace et la boule de neige est fondante, donc faudra qu’il la rentre et qu’il la sorte, qu’il la re-rentre et qu’il la re-sorte. Enfin je ne vais pas vous refaire un dessin sur Paint non plus. L’étreinte prit fin et Cody demeura immobile, la bouche entrouverte, les lèvres saillantes d’un désir profond, les paupières closes, reprenant sûrement – mais cruellement – ses esprits. Gosh. Il tendit le bras et actionna la poignée pour libérer Kiki qui dévala comme une furie les escaliers pour aller dans le salon. Il lui attrapa la main. « Allez, on y retourne ? » Pfpfpfpfpf, il aurait aimé rester dans ce couloir sombre encore quelques minutes … Mais ils savaient l’un comme l’autre que c’était impossible. Puis, alors qu’ils s’approchaient de l’escalier, Cody s’arrêta deux secondes et plaqua Diamantika contre le mur. « Attends, j’ai pas dit bonsoir à mes bébés toute à l’heure. » Fucking col roulé. Il posa délicatement ses mains sur les jumeaux Bleeker, sans se soucier une seule seconde de la tronche que devait tirer sa petite amie. « Vous allez bien ? Oh, maman est méchante, vous enfermez comme ça … Ne vous inquiétez pas, Papa va vous libérer délivrer toute à l’heure, vous pourrez enfin courir dans mes mains comme des elfes libres ! Sauf qu’au lieu de vous donner un vêtement comme Dobby dans Harry Potter, j’vous enlèverais vos vêtements. » Sur ce, il posa ses lèvres sur Cody puis sur Cody, à travers la robe de Diamantika. Il reprit la main de sa belle et soupira ; « Aaaaaah, que je les aime nos jumeaux Bleeker. » Et lààààà ? PA-TA-TRA. Un plat se brisa à terre et c’est en descendant les premières marches de l’escalier que Cody vit sa mère en train de ramasser les débris. Elle leva la tête vers les deux tourtereaux et, bégayante et inquiète, marmonna ; « Excusez-moi, j-je… Kiki est descendu, j’voulais voir où vous étiez et … » Elle renifla et demanda finalement ; « Dia, tu es vraiment enceinte ? De jumeaux ? Non, non, non … »
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« Ouuuh, et j'ai promis à ton père que je ne te briserais pas le cœur. On est dans la merdeee, comment on fera quand tu ne supporteras plus mes blagues sur les poussins et mes pieds qui puent, et moi quand je serais blasé de tes cheveux gras après l'amour et de tes cadeaux de Noël moisis ? On ne pourra même pas se séparer. So saaaaaaddddd. » Oh god j'espérais que tout ce soit bien passé pour en arriver à des promesses sur l'état de mon cœur. Et si mon père avait menacé Cody de lui couper le zizi pour de vrai ?. Non ! Pas possible, parce qu'il avait dit qu'il essayerait de faire un effort et je suis certaine que même si c'était difficile, il tiendrai quand même sa promesse. Mais je vous jure, Cody et sa manie de rendre les choses hyper dégueux. De plus, c'était l'homme le plus pessimiste que je connaisse. Bleeker c'est bon lâche l'affaire, t'as Dia maintenant, au revoir les brisages de cœurs, bonjours le ressoudage de cœur. Je m'élance un peu plus pour lui déposer un baiser sur le front avant de plonger mes iris dans les siennes. « Chéri ! C'est simple, je vais devoir supporter tes gros pieds qui puent et toi, tu vas devoir supporter mes cadeaux de Noël moisis et je t'arrête toute suite, mes cheveux ne sont pas gras en mode mouillés, au contraire, c'est sexy. T'es pas là pour voir les bouches qui bavent lorsque je sors de la piscine les cheveux mouillés !. » Ça va les chevilles Dia ? Oui oui ça va parfaitement. 'fin, mon homme libéra son Kiki, hum, pas son kiki version zizi ein, gad vous avez compris quoi. Donc mon chéri libéra son kiki qui passa à toute vitesse pour aller rejoindre le salon et faire câlin à ma mère (non ce n'est pas weird arrêtez) et m'attrapa la main en déclarant. « Allez, on y retourne ? » Nonnnnnnnnnnnnn, je veux trop pas y retourner, je veux rester là encore avec lui, même que je veux plus qu'on y retourne, je veux qu'on entre dans sa chambre et qu'on y reste en laissant les vieux se débrouiller, nous on était jeune et on devait profiter you knowwwwwww. Ouai, j'avais dit à Cody que je le privais de mon corps, mais c'est atroce. Je suis faible, je n'arrive même pas à le punir pitingggggggggggg. « Attends, j'ai pas dit bonsoir à mes bébés toute à l'heure. » Il me re-plaqua contre le mur de la première marche d'escalier tandis qu'il fixa les jumeaux avant de déposer ses mains sur eux. « Vous allez bien ? Oh, maman est méchante, vous enfermez comme ça ... Ne vous inquiétez pas, Papa va vous libérer délivrer toute à l'heure, vous pourrez enfin courir dans mes mains comme des elfes libres ! Sauf qu'au lieu de vous donner un vêtement comme Dobby dans Harry Potter, j'vous enlèverais vos vêtements. » Sans vraiment me contrôler, j'éclatais de rire en l'écoutant parler à mes seins. Si nos parents nous voyaient, je crois qu'ils nous feront rapidement visiter un psychiatre. « N'écoutez pas papa, il a fait une vilaine chose, vous savez quoi ? Il a osé admirer le décolleté d'une autre que maman, alors il faut le punir pas vrai mes chéris ?. Mais je suis faible, parce qu'il me rend dingue à chaque fois qu'il me touche ! Alors, on va le pardonner pour cette fois d'accord ?. En parlant de ça, t'as plus intérêt à regarder dans le décolleté d'une autre, t'avais promis !. » A là suite de mes derniers mots, il posa ses lèvres sur chacun de mes seins pour un petit bisou sans faire de jaloux. « Aaaaaah, que je les aime nos jumeaux Bleeker. » MENTEUR VA ! Il n'arrête pas de les critiquer, mensonge, mensonge, mensonge !. D'ailleurs, j'allais répondre lorsqu'un plateau ce brisa et pas étonnant de voir maman Bleeker comme coupable. Elle s'excusa et contre tout attente, elle cria dans toute la pièce. « Dia, tu es vraiment enceinte ? De jumeaux ? Non, non, non ... » Elle alarma mes parents qui se ramenèrent en trombes. « Dia c'est vrai ! Tu es enceinte ! Depuis quand ! Des jumeaux ? Oh mon dieu ma chérie !. » Et là, mon père entra en contact avec moi par le langage des yeux et des grimaces forever. "DIA TU AVAIS DIT QUE TU TE PROTÉGEAIS !. TU ES INSOUCIANTES OU QUOI ! C'EST MA FAUTE, J'AURAI DÛ T'ENFERMER DANS UNE TOUR !. "PAPA NON, CE N'EST PAS CE QUE TU CROIS". Ouaichh, mon père se refaisait Raiponce dans sa tête, il avait beau paraître froid et sévère, mais personne ne sait à par moi, que mon père adorait regarder Raiponce et quelques Disneys. Il a toujours une âme d'enfant au fond. Soudainement, je me cachais derrière mon chéri en levant la tête par-dessus son épaule pour pouvoir les regarder. Mon dieu, ils avaient tous une tête à faire peur, une tête à surtout nous tuer si jamais on ne parlait pas. « OKEY ! » Criais-je en sortant de ma cachette. « Je vous présente Cody et Cody, les jumeaux Bleeker !. » Fis-je en pointant des doigts, mes deux seins. « C'est lui qui les a nommés !. Ce n'est pas de ma faute. » Regardant mon homme, je lui offre mon plus beau sourire. Je saute, tu sautes, je tombe, tu tombes n'est-ce pas chéri ? Pour le meilleur et le pire. « A table ! JE MEURS DE FAIM !. » Ni plus, ni moins, je descends les escaliers en courant jusque dans le salon où Jess s'était mise à courir derrière moi. Amusée par la situation, je courais autour de la table. « Allezzzz Jess attrape moi ma puce ! Courssss coursss plus viteeeee !. » Je fis semblant de ralentir un peu pour qu'elle réussisse à me rattraper.



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Jeanne d’Arc entendait des voix, Dean Winchester parle aux anges et aux démons, Chérine et Marie discutent avec leurs chats Prince et Gus (pas de jaloux, on parle de vous deux les garçons, enfin le garçon et le demi-garçon because il y en a un les boules de Noël sont descendues du sapin, n’est-ce pas petit Prince de Lu). C’est donc en toute logique que Diamantika et Cody se tapaient une conversation avec les seins de la demoiselle. Et Cody fut très heureux d’apprendre qu’il n’était finalement pas puni et qu’il aurait le droit à son tour de manège ce soir. Enfin, modérément. Trèèèèès modérément. Y aura Jess qui dormira dans la même chambre qu’eux, euuuuh, ils vont éviter les bêtises quuuuooooi. En plus, c’est sans compter sur madame B. qui apprit par inadvertance l’existence des jumeaux Bleeker, signant ainsi le début de l’apocalypse ! Comme deux enfants punis, Cody et Dia descendirent le reste de l’escalier et ça permit au Lowell de comprendre que c’était à lui de se démerder avec ça. Alors, entre la mère de Diamantika qui demandait des explications, le papa qui avait l’air d’avoir une poussière dans l’œil – à moins qu’il pratiquait le morse avec ses paupières, c’t’une théorie – et la mère de Cody qui mettait ses mains en croix et priait tous les dieux dont elle avait le numéro de portable pour que tout cela ne soit qu’une vulgaire farce, et ben le jeune homme était servi niveau spectacle. « Euuuuuh … Attendez … » tenta-t-il pour se faire remarquer mais en vain. Il voyait sa mère à deux doigts de la syncope. Une fois grand-mère, elle avait accepté, mais là, deux et trois en même temps … ? NON. Mais c’était chaud, Cody n’allait pas intervenir et crier qu’il parlait aux seins de sa copine ? ça faisait weiiiird ! Heureusement que Diamantika prit la main et présenta Cody et Cody aux parents. Putain. Et après elle partit en courant jouer avec Jess, genre débrouille-toi avec ça Cody. « Donc oui … Les jumeaux Bleeker sont ses … Seins. » jugea-t-il bon de répéter face à ces trois paires d’yeux qui le fixaient sans sourciller. « En fait, ce ne sont pas vraiment des jumeaux. Il y en a un qui est nettement plus gonflé que l’autre, sans parler de son grain de beauté … » Attendez, il décrivait vraiment la poitrine de sa copine devant le père et la mère de cette dernière ? Cody agita énergiquement sa tête de gauche à droite. Ressaisis-toi ducon, ressaisis-toiiiii ! « OH OUI PASSONS À TABLE ! MMMMMHHHH LE BON FROMAGE. » fit-il en allant jusqu’à sa chaise et s’installant à table, faisant bien grincer son siège sur le sol pour signaler à tout le monde qu’il était temps de changer de sujet. N’empêche que depuis toute à l’heure, aucune des ’adultes’ ne parlaient et c’était archi stressant pour Cody qui s’empressa de lâcher ; « Et mon pénis s’appelle Codynosaure et j’crois que maintenant vous savez TOUT ! On peut manger et faire comme si tout ça n’avait pas existé ?! » Vu le vive acquiescement de tête de la part de chacun des convives, ils étaient d’accord. « BIEN ! » s’écria le jeune homme en attrapant l’assiette de fromage. « Je serai quand même plus rassurée si elle faisait un test de gross… » - « Maman ! » s’indigna Cody en pointant sa fourchette vers elle. « L’affaire est close. MERCI. » MMMMH, Cody sexy quand il s’énerveeeeee.
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Monsieur indiscret man n'a pas pu s'empêcher de vouloir toucher les jumeaux Bleeker et voilà qu'il avait attiré l'attention sur nous. Résultat, tout le monde débarque en s'excitant sur une possible grossesse. Et avant que sa parte en couille, j'ai finalement lâché la bombe et prôné la vérité. Même qu'en disant que c'était lui le coupable, c'était vrai. Puis, je me cassais comme une fleur innocente dans le salon afin de jouer avec Jess. Cette petite m'avait déjà adopté et c'était bien parce que j'adorais trop les gosses. Pendant que je courrais avec elle, Cody se démerdait tout seul comme un grand pour une fois que c'est lui qui parle. Néanmoins, je pouvais voir le visage décomposé de mes parents et celui de la mère de Cody. Oh non, qu'est-ce qu'il racontait ?. J'espérais qu'il n'était pas en train de leur faire une leçon d'SVT aka décrire mon corps sans oublier de détails. Nonnnnnnnnn tout sauf ça, ce qui expliquerait bien les têtes de morts qu'avaient mes parents. Finalement, ils se ramenèrent tous autour de la table tandis que les Kova's me fusillèrent du regard et pas seulement mon père ce coup-ci. Je pris place en face de mon chéri alors que ce dernier s'était senti obligé de balancer... « Et mon pénis s'appelle Codynosaure et j'crois que maintenant vous savez TOUT ! On peut manger et faire comme si tout ça n'avait pas existé ?! » OH NON ! J'ai failli recracher mon verre d'eau je vous jure. Mon père écarquilla les yeux et ma mère elle, ne bronchait plus un mot. Elle commençait bien à cerner cette famille de fifou. Maintenant, plus personne ne parlait et je crois qu'il est temps de tout balancer, comme ça, on sera tranquille et on pourra vivre pleinement la suite de notre histoire sachant que nos parents sauront absolument tous. « Et mon vagin se nomme Ko... » Ah putain non, je ne pouvais pas dire que mon vagin s'appelait Kovagin, mon père en serait furieux que j'utilise son nom de famille pour nommer mon vagin et soyons honnêtes, c'était un peu irrespectueux pour lui. « Kokoriko !. » Ouaip, le vagin de Dia et bah il couac couac tous les matins ou bien caquette en fait. « Et ce n'est pas tout... Nous sommes mariés par le pouvoir de l'amour. » Dis-je en montrant la bague de fiançailles à mon doigt. « Rassurez-vous, on a pas signé sur de papiers, il n'y avait ni prête, ni invités, absolument rien. On l'a fait à l'église en compagnie des bancs vides, des statuettes, des lumières et de nos serments. Voilà. Cody a une bague invisible, mais parce que ce n'était pas prévu, un jour je lui en mettrais une pour de vrai. Ce qui veut dire que techniquement, je suis une Bleeker. » Je zieute mama B avec un sourire. « Et votre belle-fille ! » Je plaque mes paumes l'une contre l'autre en mode prière. « Amen !. » On peut commencer à manger maintenant. Les adultes en sont choqués, même la mère de mon bien-aimé avait une mine beaucoup plus sérieuse. Mais en fin de compte, ils terminèrent par encaisser tout ça et de toute façon, ce n'était pas un vrai mariage pour eux, mais pour nous si. Du coup, pendant le dîner on discutait tous peinards, oubliant tous les petits incidents. On rigolait et même qu'ils avaient décidé qu'après le repas, on ferait des bonhommes de neiges. Oh non ! Cody allait utiliser la carotte pour faire un zizi plutôt qu'un nez, ça craint. Enfin bref, moi j'avais terminé mon assiette quelques minutes plutard et pendant que mon mari mangeait, j'enlevais rapidement une bottine en glissant mon pied sur l'une de ses jambes sous son jean. Je caressais plusieurs fois avant de faire sortir mon pied et de la glisser lentement le long de sa jambe sur son jean cette fois. Cody était en train de devenir rougeeeeeee et très gêné. Je plonge mon regard dans le sien en me mordillant la lèvre et en lui faisant les yeux doux histoire de l'exciter encore plus. Je monte toujours encore et encore vers Codynosaure. Sans me rendre compte que Jess assistait à toute la scène sous la table et ça l'amusait en plus. Tellement qu'elle cria. « VACHE ! ZIZI DE PAPA HAHAHAHAHA !!!!. » Je sursautais en retirant toute suite ma jambe que je cognais d'ailleurs contre la table. « Ouilleeee ça fait mal !. » Dis-je en caressant immédiatement mon genou. « Non non continuez, il y avait un moustique dans ma botte !. » Genreeeeeeeeeee, comme s'ils allaient gober ça. Anyway, je remets ma bottine en remarquant le bleu que j'allais avoir plutard sur le genou. Ma mère qui est assise à côté de moi, me donna un petit coup de coude discret avant de me murmurer. « Soit plus discrète Dia, pas devant ton père s'il te plait. » Ouai parce que papa était jaloux, il ne veut pas qu'on touche à sa fille, à sa prunelle. NORMOL.



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Et ben voiiiiilààààà, le moment n’était pas encore assez gênant comme ça, il fallut que Diamantika rajoute une couche en annonçant que sa zézette s’appelait Kovagin. Oh putaaain. Cody faisait appel à tous les dieux païens pour qu’on l’achève maintenant, tout de suite, peu importe par quel moyen, tant que ce soit rapide et direct. Vous croyez que s’il plonge sa main dans la plaque pour faire fondre le fromage, il mourra en combien de temps ? Souffrira-t-il ? Non parce que Dia parlait à présent de leur – faux – mariage et là, ça commençait à faire beaucoup de révélation pour madame B. qui agonisait intérieurement mais qui tentait de garder un sourire impeccable. Pour le public, évidemment. Elle n’était pas du genre à se décomposer en public, ça faisait partie de la paradoxale pudeur Bleeker. Vous voyez, elle n’avait aucun souci à parler des seins de sa belle-fille ou du zizi de son fils, mais là, parler enfant, mariage et sentiments, elle n’y arrivait pas. C’était au-dessus de ses forces. Les Bleeker avaient leur petit jardin secret et tout ce qui concernait émotion et sentiment en faisait partie. Le repas suivit son cours, les discussions s’enchaînaient, l’ambiance n’était finalement pas si mal. Cody engouffra une bonne grosse fourchette de pomme de terre recouverte d’une couette de fromage et d’un morceau de charcuterie bien luisant quand, d’un coup, il sentit une présence sur son tibia nu. Et là, ce fut LE moment glamour du repas quand Bleeker recracha tout ce qu’il avait en bouche dans son assiette. Sa mère, à côté, soupira et grimaça ; « Chéri … » Sourire gêné. A l’aide de son couteau et de sa fourchette, il tenta de rattraper le poisson et il remit de nouveau tout en bouche … Sauf que cette fois, le pied de Diamantika – oui, il avait compris que ce n’était pas Kiki qui lui faisait des fouilles – s’aventura un peu beaucoup trop près de Codynosaure. Et vous savez à quel point les hormones de Cody rentrent en ébullition dès que sa petite amie le touchait. Du coup, de nouveau il recracha la même part de raclette et sa mère, de nouveau, soupira alors qu’elle était en pleine discussion avec le père de Dia ; « Tu ne peux pas manger proprement ? » Et elle lui tendit une serviette, serviette que le brunet glissa systématiquement sur ses cuisses pour dissimuler une excroissance douteuse. Et ça aurait pu en rester là, Cody aurait pu attendre simplement que les choses se passent et continuer de prétendre que s’il était rouge, c’était à cause de la chaleur dans la pièce. Il aurait pu … Mais c’était sans compter sur Jess qui cria à qui voulait que Vache jouait avec le zizi de papa sous la table heeeeiiiiiin, et tout le raffut qui suivit cette annonce. Cody, au bord de la crise de nerf, plongea son visage dans ses mains et essaya de se faire le plus petit possible. Histoire de changer de sujet, la mère Bleeker demanda à son fils ; « Bon, chéri, comme tout le monde a fini de manger, tu peux aller chercher le plateau de dessert dans la cuisine ? » Et là, le brunet réagit au quart de tour en criant un ; « NON ! » C’est pas qu’il était en colère ou qu’il ne voulait pas, c’est qu’il ne pouvait pas. Il fallait qu’il reste assis et qu’il … Attende. Face aux regards désemparés de toute l’assistance, il reprit son couteau, sa fourchette et une pomme de terre qu’il coupa en petits morceaux. « J’ai pas fini de manger moi … » Diversion de merdeeeee. Madame B. comprit parfaitement ce qui se passait et s’adressa donc à Diamantika avec une voix mielleuse ; « Dia d’amour, quand tu auras fini de masturber mon fils contre son gré sous la table, pourras-tu aller chercher les desserts dans la cuisine s’il te plaît ? » Ben ouais, pourquoi n’y aurait-il que son bébé mal à l’aise, hein ? Autant que tout le monde sache que Dia était une garce wessssh. « Ma…tu…bé… » répéta la petite Jess en mangeant un bout de pain, riant à chaque syllabe. La maman de Cody se pencha sur sa petite fille et lui souffla doucement ; « Non Jess, on ne dit pas ça. Tiens, tu nous chantes la Reine des Neiges ? Elle a une très jolie voix, sachez-le. » Et là, de sa petite voix et les yeux scintillants de milliers d’étoiles, elle se mit à fredonner cette chanson ; « Je voudrais un bonhomme de neigeeee … »
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Codybabouin, belle-maman et moi

Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







Je ne serais pas Dia si durant ce repas de Noël je restais la seule à être gêné, toute rouge et dans l'embarras. Il faut que je partage tout avec mon mari n'est-ce pas ? Donc voilà, c'est pourquoi je partageais ma gêne en jouant à caresser sa jambe sous la table et ce dernier recracha sa nourriture. BERRRRRRKKK. Mais j'éclatais de rire parce que ça m'amusait de le voir dans cet état. Remontant encore plus haut vers Codynosaure, il recracha une seconde nourriture. Décidément, le lowell s'acharnait sur sa pauvre assiette. Puis ce fut autour de Jess d'entrer en action dévoilant mon plan. Je fusse quand même gênée si bien que j'inventais l'histoire de moustique dans la botte, histoire que personne n'a gobé en passant. « Bon, chéri, comme tout le monde a fini de manger, tu peux aller chercher le plateau de dessert dans la cuisine ? » Demanda ma belle-mère à son fils. Ce dernier semblait paniquer sur le coup et il balança en criant un peu. « NON ! J'ai pas fini de manger moi ... » Pourtant si, il avait fini bien que là, il fit exprès de se resservir. Alors, je penchais doucement la tête sous la table afin de fixer l'entre-jambes de mon homme et devinez quoi ? Il y avait une grosse bosse. IL BANDAIT !. Je me retiens d'éclater de rire tant l'envie me prenait soudain. Je redresse ma tête et fixe mon homme avec un large sourire. « Dia d'amour, quand tu auras fini de masturber mon fils contre son gré sous la table, pourras-tu aller chercher les desserts dans la cuisine s'il te plaît ? » J'écarquillais les yeux tandis que mes joues avaient pris rapidement une couleur rouge. Gad. Mon père tourna la tête vers moi. « DIA ! » Oh putain, il faut que je déguerpisse tout de suite avant de me faire réprimander par mon père devant tout le monde comme une gamine de cinq ans. « Toute suite !. » Fis-je à madam B en déposant ma serviette sur la table et en me levant pour aller dans la cuisine chercher ce plateau de dessert. Je me laisse quelques minutes de pauses histoire de digérer tout et je reviens au salon en posant le plateau sur la table. C'est à ce moment-là que Jess s'était mise à chanter. « Trop mignonneeeee, Jess tu chantes divinement bien !. » Elle pourrait même participer plutard à The Voice Kids, pas comme moi, je ne passerais même pas le premier tour god. Le repas suivit donc son cours, on passa tous au dessert et une fois tout le monde le ventre bien rempli, on se leva de table. J'aidais ma belle-mère à débarrasser et à faire la vaisselle pendant que mes parents remettaient leurs gants et manteau pour pouvoir sortir dehors. « Cody va équiper ta fille pour l'extérieur !. » Criais-je à mon homme. Jess n'allait tout de même pas sortir avec uniquement sa robe, il faisait froid dehors et elle allait faire un bonhomme de neige, puis c'était une enfant, donc elle pouvait très vite chopper une bronchite ou autre. « Merci pour ce repas, il était vraiment délicieux. » Je me devais de remercier ma belle-mère, car malgré tout, c'était un bon dîner. Je me suis bien régalée. Terminant d'aider à la cuisine, je retourne au salon afin d'enfiler mes gants également rejoignant mes parents dehors. J'attrapais un peu de neige dans les mains et l'étalais sur mes lèvres en y faisant le contour plusieurs fois de sorte à ce qu'elles deviennent très froides. Et dès que les Bleeker débarquèrent pour aller rejoindre mes parents un peu plus loin, j'attrapais la main de mon homme et l'attira rapidement à moi en déposant mes lèvres sur les siennes pour un baiser glacé. Baiser qui devient chaud au fur et à mesure du contacte de ses lèvres sur les miennes. Je fondais comme une glace d'ailleurs. Cependant, Jess accourra vers nous en criant son père et en venant nous chercher pour qu'on puisse enfin construire ces bonhommes de neiges.



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Cody avait envie de mouuuuuriiiiiir là maintenant tout de suuuuiiiteeeee, il se sentait à poil, totally naked face à sa mère et aux parents de Diamantika. Non seulement il connaissait le nom qu’il attribuait à Mr l’explorateur de tombeau – comme Indiana Jones et en plus ridé, quoique, aujourd’hui Harrison Ford c’est un papy – mais en plus voilà que Dia se mettait à le tripoter sous la table pendant un repas de famille. Help help heeeeeeeelllllppp, le drapeau rouge est de sortie, vite vite, aidez Cody à le ramasser, ça commence à se vooooooooiiiir. Bon, finalement, même sans se voir, ça s’est su dès lors que la mère Bleeker – pensant sûrement prendre la défense de son fils – annonça qu’il se faisait … Embêté … Par Kovache sous la table. A son tour, elle vira aussi rouge pivoine qu’un cul de babouin et Cody s’empressa de s’égosiller en la pointant du doigt ; « AHAHAHAH BIEN FAIT ! » Par contre, il attira l’attention de touuuuut le monde et s’empressa de s’enfoncer sur sa chaise en écoutant sa charmante petite fille qui chantait Frozen. Trop mi-gnon-ne.
Le repas terminé, les femmes débarrassèrent la table – narmol #interventiondemonsieurmacho – et Cody s’en alla faire caca. Mais non j’déconne Chérine, j’voulais voir ta tête en lisant ça, bien que techniquement je ne la vois pas mais c’est pas grave. En fait, il partit avec Jess dans sa chambre sous la directive de son adorable – ou pas – petite amie. Il l’aida à retirer sa robe et à enfiler un pantalon et un pull ainsi qu’une petite combinaison de ski qui la tiendra bien au chaud sous la neige. Ajoutons à cela des bottes, un bonnet en laine et des moufles assorties, voilà un petit ange tout bleu prêt à s’envoler parmi les flocons. Jess posa ses deux mains sur les joues dodues de son père et lui fit un bisou sur le nez en murmura ; « Gros-nez j’aime beaucoup Vache mais chut c’est un secret, je veux pas que mon papou il soit jaloux … » Et Cody s’esclaffa en posant son index sur ses lèvres, signe qu’il garderait le silence. Ils descendirent quatre à quatre les marches et rejoignirent tout le petit peuple à l’extérieur. Ils se rendirent tous dans le grand jardin derrière le chalet après avoir allumé les lampadaires qui parsemaient toute l’herbe sous son duvet blanc. Le dos légèrement voûté pour attraper les mains de Jess, Cody aidait sa fille à avancer sans trébucher dans la poudreuse. A peine eût-il approché les Kovache qu’il fut transporté par la tornade Diamantika à quelques mètres de là, où elle s’éprit de ses lèvres. Un vent de fraîcheur souffla sur sa bouche rosie. Puis, la tempête de sable et le grand volcan entra en éruption alors qu’ils s’embrassaient tendrement pendant quelques secondes. Du moins, jusqu’à ce que Jess accourt et lui agrippe la jambe. « Papouuuu, je voudrais un bonhomme de neige ! » Il attrapa sa princesse et la fit s’asseoir sur ses épaules. Elle tendit la main vers Diamantika et cria ; « Vache Vache viens viens ! » Et à son tour, Cody tendit le bras pour que sa petite amie l’attrape. Ils marchèrent serrés l’un contre l’autre, Bleeker attirant contre lui Dia, un bras entourant ses épaules. Une fois sur une surface bien plane, Cody déposa la princesse au sol. « Bon allez hop les filles, vous faites le bonhomme et moi je regarde. Plus vite que çaaaaa ! » Il s’assit tranquille pépère dans la neige à côté du paquet de carotte que sa mère avait ramené. « C’est mou tout ça dites-moi, on y sera encore demain matin si vous ne vous bougez pas un peu. » Wesh, Cody était coach en construction de bonhomme de neige quoi.

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Codybabouin, belle-maman et moi

Feat. Les Bleeker et les Kovalevski







« AHAHAHAH BIEN FAIT ! » Cria mon homme en me pointant du doigt tout ça parce que je venais de virer au rouge. Heureusement que je me suis vite levée pour m'enfuir dans la cuisine parce que monsieur ne ratait jamais une occasion de m'afficher. Là pour le coup, je suis bien heureuse que toute l'attention soit portée sur lui et pas sur moi pour une fois. Qu'il se débrouilleeeeeeeeeeeetout tout seul le Bleeker. Enfin bref, le dîner se termina en chanson avec Jess qui nous revisitait Frozen aka la reine des neiges. Ce n'est pas pour vous cacher ein, mais étant une petite Disney dans l'âme et surtout fan, je ne ratais jamais une sortie de film, je crois que je tiens ça de mon père apparemment, puisque papounet adorait Raiponce et sa poêle. Même qu'une fois, il l'a même imité avec une poêle. Cependant, aussitôt terminée dans la cuisine avec madame B, j'allais rejoindre mes parents dehors les mains gantées. Je les laissais s'installer dans la neige les regardant se lover. Oh je vous jure l'amourrrrrr. Bah oui, moi aussi je veux lover sur la neige, il est où mon homme déjà ?. En parlant du loup. Les Bleeker allèrent rejoindre les Kovalevski, sauf que moi, je stoppais rapidement le babouin pour lui voler un baiser. Il faut dire que j'étais devenue accro à ses lèvres d'où me prenait l'envie de l'embrasser toutes les secondes, minutes, heures ouai bon c'est bon on a compris Dia. Nous étions en train de nous lover lorsque Jess nous interrompit pour réclamer son bonhomme de neige. Cette petite était tellement mignonne que je pourrais lui croquer les joues sérieusement. Sa mère était une bombe ou quoi ? Même si elle a quand même un peu des Bleeker aussi. Le papa attrapa sa fille pour l'installer sur ses épaules alors que cette dernière me tendit les mains. Je fusse assez attendrit par ce geste qui prouvait qu'elle m'avait adopté. Moi qui avais peur qu'elle m'envoie sur les roses. M'installant également dans les bras de mon chéri, j'enlaçais sa taille alors que nous marchions jusqu'à nos parents. A cet instant, ma mère sortit son appareil photo et immortalisa ce moment. Aller hop, une deuxième photo et là, je ne manquais pas de faire une grimace. Une fois près des adultes, la petite Jess s'agenouilla dans la neige afin de pouvoir commencer, mais c'était sans compter Cody qui jouait encore au flemmard. « Bon allez hop les filles, vous faites le bonhomme et moi je regarde. Plus vite que çaaaaa ! » Le mec trooooooooop galant je vous jure. Laisser deux demoiselles s'en charger gooooooood, c'était lui la femelle ouai. « Femmelette va ! » Balançais-je à monsieur grincheux assit dans la neige près du sachet de carottes. Anyway, la petite et moi commencions à construire ce bonhomme lorsque mon cher mari rajouta again. « C'est mou tout ça dites-moi, on y sera encore demain matin si vous ne vous bougez pas un peu. » Grrrrrrrrrr. Aaaaah c'est comme ça ein ?. Je penche mes lèvres à l'oreille de sa fille et lui murmure quelque chose. Elle me fit un grand sourire et secoua positivement de la tête. Ça veut dire ouiiiiiiii. Du coup, on formait des boules de neiges et on criait toutes les deux. « A l'attaqueeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!. » Et BAM ! On balançait les boules sur le visage de Cody en sautant sur lui jusqu'à ce qu'il tombe dans la neige. Sa fille grimpa sur lui en attrapant plusieurs petites paumes de neiges qu'elle éparpilla sur le visage de son père, quant à moi, je prenais une plus grosse paume et HOP ! Dans le pantalon de monsieur sur CODYNOSAURE MOUAHAHAHAHAHAHAHA !. Il va se geler le pauvre bijou de famille. « Allez viens Jess, on retourne terminer notre petit bonhomme. » Nous avons laissé Cody gigoter comme un gosse tandis que nous, nous terminions ce que nous avons commencé. D'ailleurs, nos parents discutaient entre eux. Tant mieux, discutez touuuuuteee la soirée si vous voulez hein, ne vous occupez pas de nous !. « Et voilààààààààà ! Manque plus qu'à mettre la carotte !. » On avait pas fait un grand bonhomme de neige parce que Jess le voulait bien petit, tout comme elle. J'enlève la fleur blanche qui se trouvait sur mon col roulé pour le mettre juste entre la tête et le corps pour que ça fasse une sorte de cravate stylé vous voyez. « J'espère que t'as pas mangé toutes les carottes mon lapin !?. » Terminais-je par demander à mon bien-aimé en arquant un sourcil parce que là, on ne voyait plus du tout le sachet de carottes.



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