Les mots de trop - [ with Henri ] TERMINE

Il me répondit que les disputes étaient quelque chose de normal, qui risquait malgré tout d'arrivée. Comme il le disait, il ne fallait juste pas que cela aille trop loin. Cela ne mettait encore jamais arrivée de rompre, même une amitié après une dispute. Il faut dire que je les évitaient comme la peste. Même si des fois on ne peux les éviter, j'étais quelqu'un qui primais la paix, et détestait la violence.

- Je sais, et d'un coter ce n'est pas une mauvaise chose que de savoir que c'est un sujet tabous pour nous. Mais si je peux l'éviter, je le ferais.

Le voir en rire un peu me fit sourire. Pourtant il y à quelques heures c'était très loin d'être le cas. Maintenant, je savais que je ferais tout pour éviter de me retrouvais dans cette situation. Cela avait été assez pénible comme ça. Il me demanda alors ou était la limite à ne pas franchir, sachant que le sujet de l'argent risquer de lui poser problème. Il avait raison de me poser cette question.

- Et bien déjà c'est bien que tu pose la question. Que tu veuilles m'inviter au restaurant d'accord, et pour les cadeaux je comprends que tu es envie de me faire plaisir. Mais je ne veux pas que tu dépense tout ton argent pour moi. Tu sais, toutes ces choses pour moi ne sont pas vraiment utiles. La seule chose qui soit vraiment importante c'est que tu sois auprès, le reste m'importe peu.

Je lui souriais tendrement m'installant auprès de lui. J'étais une fille assez simple, je n'avais pas besoin de cadeau en guise de démonstration des sentiments, mais je savais que ça faisait toujours plaisir d'en avoir. Certaine fille en abuser, et je trouvais ça honteux, je n'aimais pas à pensée qu'un homme devait toujours tout payer pour sa bien aimée, même si pour certain, comme Henri c'était une chose conventionnelle et de tout à fait normal. Mais à présent que je le savais, j'arrivais beaucoup mieux à le comprendre.

- Et puis moi aussi je risque de te faire des cadeaux !

Quand elle me dit qu'elle éviterait les sujets fâcheux, je lui répondis directement:

- Moi je te préviens, je n'aime pas les non-dits ou alors la technique de l'autruche. Un jour où l'autre on explose et ça n'a rien de bon. Il faut savoir se dire les choses sans blesser l'autre et faire des concessions. J'en ferai pour l'argent.

Ce que je disais était dur pour moi, car j'avais toujours connu l'argent et c'est vrai qu'Eléo est la première personne que je rencontre et avec qui je me lie autant, qui n'est pas le même statut que moi. C'était nouveau, il fallait que je m'adapte. Mais je la ferai toujours passer avant, c'était certain. Elle me confirma cette pensée avec sa deuxième réponse, puis vint s'allonger contre moi. Mon bras était derrière sa nuque, ma main sur ses côtes. On était bien là, mais si l'on ne faisait rien, j'allais sûrement m'endormir, c'était évident. Je ne tenais pas longtemps -à ne rien faire-. Sa dernière phrase me fit rire et j'enchaînais immédiatement :

- Tu oublies que tu m'as déjà fait un cadeau ! Regarde !

Je me levais alors du lit pour avancer vers le pauvre bonzaï de mon colocataire où j'avais accroché sa boule de noël, offert à notre premier rendez-vous. Elle était là, magnifique et je la montrais, tel un animateur télé voulant vendre un objet d'une rareté immense. Je souris alors et passa ma main dans mes cheveux.

- Je t'avais dit que je l'accrocherai au sapin de noël de mes parents, mais d'ici là, elle règne en maître ici. D'ailleurs, je pars bientôt, je n'ai pas eu l'occasion de trop te le dire, j'pars dans trois jours.

Dans trois jours, c'était le début des vacances, alors je n'avais prévu aucune raison de rester. Bien évidemment, je ne voyais plus mon départ de la même façon maintenant qu'elle et moi avions parlé, mais ma famille me manquait trop pour que je reste ici fêter les fêtes. J'avançais vers le lit et je tendis ma main vers l'adolescente pour la faire se lever, j'ajoutais alors :

- On va faire un tour dans le parc de l'école?

Et, une fois Eléonora debout, main dans la main, je l'attirais contre moi en souriant doucement. Collé l'un à l'autre, sa tête arrivait au bas de ma nuque. Je lui souris tendrement avant de relever son visage vers moi à l'aide d'un de mes doigts et vins déposer mes lèvres tendrement sur les siennes. J'en avais envie depuis longtemps et au moins là, elle ne s'y attendait pas.

Henri n'était pas du genre à éviter les sujets qui fâche comme moi. Au moins je savais que s'il avait quelque chose à me reprocher, il me le dirait, j'étais donc en quelque sorte avertie. Par la suite, il me montrait la boule de Noël que je lui avais offerte, qui à présent décorer un bonsaï en attendant d'être sur le sapin de Noël de ces parents. Je fus agréablement surprise de voir qu'il l'avait gardé, et l'avait même laissé bien en vue.

- Tu n'oublieras pas de m'envoyer une photo !

Il m'avouait par la suite qu'il partait dans trois jours rejoindre sa famille à New York. Cela me rendit un peu triste parce que je savais que par la suite nous n'aurions plus l'occasion de nous voir beaucoup puisque je partais ensuite au Canada et que lui restait avec sa famille pour les fêtes de fin d'année. Mais d'un coter, cela nous permettait justement de profiter un maximum des trois jours qu'ils nous restaient.

- Ça me laisse trois jours pour profiter de ta présence alors. Lui répondis-je pensive, à ce que l'on pourrait faire ensemble.

Puis il me proposait d'aller faire un tour dans le parc de l'école. J'en venais tout juste, mais l'idée de me promener dans un parc à ces coter était beaucoup plus sympathique que la scène précédente. Il me tendit la main, que je pris sans hésiter, et m'attira contre lui. Il releva mon visage, me souriant tendrement. J'aimais ce regard tendre qu'il posait à chaque fois sur moi. Et sans que je ne m'en rende vraiment compte, il déposa ses lèvres sur les miennes. Il était doux, et simple, à son image, et je répondis au baiser, d'abord timidement puis par la suite plus passionnément, passant mes bras autour de son coup. Après quelque instant qui parurent bien courte, je mis fin au baiser, les joues rosie par ce baiser.

- On ferait peut-être bien d'y aller, il va bientôt faire nuit.

Je lui pris la main, l'entraînent avec moi dehors, en direction du petit parc fleuri de l'université.

Eléonora me rappela de lui envoyer une photo de sa boule de noël sur le sapin familial des Williams, bien évidemment. Je souris à nouveau quand elle me dit qu'elle comptait bien profiter de nos trois derniers jours ensemble. Elle n'était pas du genre à pleurer ni à penser au négatif et ça, c'était quelque chose qui me plaisait. Beaucoup même ! Puis, quand je me décidais enfin à l'embrasser pour la première fois, elle me répondit. Timidement au début, comme moi et puis avec un peu plus de fougue par la suite ce qui me surprit mais ne me déplu pas. On se décida enfin à quitter la confrérie pour aller dans le parc adjacant au campus. Je récupérais ma veste au passage et on arriva très vite dehors, il faisait plus froid que tout à l'heure, en même temps, il était aussi plus tard. J'enfilais mon manteau et on se mit à marcher dans les allées du parc. Il y avait quelques étudiants, mais pas beaucoup de monde au final.

Lentement, j'approchais ma main de la sienne, jouant avec ses doigts, mais je me rendis vite compte qu'ils étaient gelés, alors je pris sa main dans la mienne pour entrelacer nos doigts ensemble.

- Tu me dis si tu as trop froid, d'accord?

Je lui souris. Je me sentais bien, je n'avais envie de rien d'autre.

- Tu pars de quand à quand déjà pour le Canada? Et d'ailleurs, j'ai une bonne amie à moi qui y va, elle s'appelle Abby. Si jamais tu la croises, n'hésites pas à aller la voir.

Je disais ça car Eléo' m'avait dit qu'elle ne connaîtrait personne à ce voyage, du coup, si jamais elle tombait sur elle, ça pourrait être cool. Bon, Abby et moi, on avait une relation de gosse de riche assez spéciale et je ne pense pas qu'Eléo aimerait beaucoup, mais bon. C'était une fille bien.

- Et du coup, tu as posé tes vacances avec le boulot? Et pour ta voiture, tu ne m'as pas dit mais sans entrer dans les détails, c'est un peu grave ou beaucoup grave? Si on a le droit d'en parler bien sûr ! Taquinais-je alors, un grand sourire aux lèvres.

Henri s'inquiétait de savoir si j'avais froid, il avait pris ma mains et avait entrelacé ses doigts aux miens. Sa main était beaucoup plus chaude que la mienne, j'avais toujours eu une mauvaise circulation du sang et de ce faite, mes mains pouvait vite devenir très froide.

- Ça va, ne t'en fais pas, ta main me réchauffe déjà. Lui répondis-je afin de le rassurer.

J'avais l'habitude du froid, dans mon pays, le maximum que l'on pouvait avoir en été, étais de 20c°. Les hivers était rude, à présent j'étais habituée. Il me demanda par la suite quand je partais pour le Canada, et m'informa qu'une de ses amie, une certaine Abby y serait aussi.

- C'est du 20 décembre, et le retour ce fait le 5 Janvier il me semble. Et merci pour l'info', je ne sais pas à quoi elle ressemble mais, promis si j'entends son nom j'irai la voir ! [pause] Et toi, quand est-ce que tu revient ?

Je trouvais attendrissent de sa part qu'il se soucis autant de moi. Ce départ au Canada était une chance pour moi de faire de nouvel rencontre, car malgré ces trois ans à Harvard, je n'avais pas réellement fait beaucoup de connaissance. C'était le premier voyage auquel je participais, et cela me rendait un peu anxieuse car je ne voulais pas que ce soit un échec.

Henri me demanda ensuite si j'avais posée des jours de congé, et sur l'état de ma voiture, si on avait le droit d'en parler. Maintenant que j'avais un plan de secours et que nous avions mis les choses au clair, je pouvais bien lui en parler sans pour autant que cela parte en vrille.

- J'ai posé deux semaines de vacances. Et pour ce qui est de la voiture, je suis allée voir le garagiste en début d'après midi. En gros c'est la courroie et le moteur qui ont lâché, mais je n'en sais pas plus que ça. Il m'a donné un constat, mais moi et la mécanique ça fait deux.

Je souris à chacune de ses réponses puis, répondis bien entendu quand elle me retourna la question pour les vacances :

- Je ne sais pas encore quand est-ce que je rentre, on reprend les cours le 5, donc je pense rentrer le week-end avant la rentrée.

Ensuite, lorsqu'elle me parla de la voiture, je fronçais légèrement les sourcils. Je ne manquais pas de lui répondre alors franchement :

- Tu voudras que je jette un oeil aux papiers? Histoire que ça soit plus clair, je m'y connais un peu.

Je commençais à me dire qu'Eléo était une proie parfaite pour ce genre de bidouillerie, arnaque. Les commercants ou spécialistes aimaient beaucoup les jeunes filles car pour eux, elles étaient ignorantes et ils pouvaient donc en profiter pour rajouter des dommages qui n'avaient probablement, pas lieu d'être. Je préférai être sûr qu'elle ne se fasse pas avoir. Après tout, si ça s'trouve, il la prenait juste pour une poule aux oeufs d'or et sa voiture n'avait rien de méchant?


On marchait toujours dans le parc, quand on se décida à s'asseoir sur un banc, face à la vue magnifique de cet endroit. Il y avait pas mal d'arbre, des feuilles mortes au sol, des tas entiers de feuilles et puis ce vent à la fois frais, violent mais tendre. L'ambiance au mois de décembre quoi, particulière et chaleureuse à la fois. Le paradoxe.

Henri me répondit qu’il pensait rentrer avant qu’on ne reprenne les cours, donc à peu près en même temps que moi. Il avait beaucoup de chance de pouvoir passer les fêtes de fin d’année avec sa famille, je l’enviais beaucoup. La mienne me manquait énormément mais dans tout les cas, je n’aurais pas pu me payer un billet d’avion avec le constat que je venais de recevoir du garagiste. J’avais eu de la chance qu’il n’y ai pas de frais pour ce voyage au Canada.
Il me demanda par la suite s’il pouvait jeter un œil au constat que m’avait donné le garagiste, car il s’y connaissait lui-même un peu.

- Oui, il est dans ma commode, peut être que tu seras un peu plus m’éclairer.

Le garagiste avait essayé de m’expliquais à la va vite ce qui n’aller pas sur ma voiture, mais en vain, il avait vite perdu patience. Ce n’était pas le même homme que nous avions eu lors du dépannage, lui avait l’air beaucoup plus macho et froid, pas vraiment très appréciable.
La nuit commençait à tomber, et nous avions eu le droit à un magnifique couché de soleil. Le cadre était magnifique, entouré de ces fleurs à présent à demi-clos. Je m’étais approcher d’un petit enclos ou plusieurs type de fleur avait été planté, dont des camélias. C’était mes fleurs préférait, surtout les roses. À présent elle était un peu fanée mais elle restait tout de même magnifique.

- Ce jardin est vraiment magnifique ! Ce sont des élèves qui l’entretiennent ?

Jusqu'ici je n'avais pas vraiment fait attention au parc, il n'y avait que aujourd'hui ou je m'y était rendu , alors qu'il ce trouvait près de la Cabot House. Si c'était des élèves qui l'avait entretenu , cela pourrait être intéressent, j'aimais beaucoup la nature, dans mon pays , elle été même très présente. Une autre partie de mon pays qui me manquait énormément. L'Amérique n'était pas un pays aussi verdoyant que celui d'où je venais.

Le soleil se coucha sur le parc et ses multiples fleurs. Je ne savais absolument pas si c'était les élèves qui l'entretenaient ou bien une équipe spéciale engagée par l'établissement, ce qui me semblerait plus logique d'ailleurs.

- J'pense que ça doit être des gens payés pour ça. Lui répondis-je alors dans un sourire.

Dite comme ça, ma phrase faisait très petit bourge. Je n'en loupais pas une moi en ce moment ! Bref, il commençait à présent à faire sombre et nettement plus froid, ce qui n'était pas vraiment le top. De plus, je commençais à avoir faim. J'avais de toute façon, toujours faim.

- Tu veux faire quoi? Demandais-je alors à la jeune femme.

Je ne savais pas si elle voulait rentrer et rester seule, ou passer la soirée avec moi, dîner au restaurant ou squatter la cuisine de l'une de nos confréries pour se faire à manger. C'est vrai qu'ici, nous n'avions aucune intimité. On partageait tout, avec tout le monde et je m'étais déjà rendu compte avec mon ex, à quel point c'était chiant de vivre sur le campus et d'avoir une petite amie. D'ailleurs, en repensant à elle, je me demandais bien comment elle réagirait si elle apprenait pour moi et Eléo. M'enfin, je n'avais presque plus de nouvelle d'elle mais je savais qu'elle était toujours avec le gars pour qui elle m'avait quittée, donc tout devait bien aller pour elle et elle devait sûrement n'en avoir rien à fiche de moi. Normal. Et moi, aussi étrange que cela puisse paraître en vue de ce que je pensais il y a encore un mois, je l'oubliais, enfin. J'étais passé à autre chose, la preuve en était cette sublime jeune fille souriante à mes côtés. Je lui souris d'ailleurs, attendant sa réponse à ma question avec impatience.

Il pensait que c’était des gens qui étaient payé pour s’occuper du parc. Dommage, un peu de jardinage ne m’aurai pas déplus. La nuit était enfin tombé, je ne savais pas vraiment quel heure il était, mais je pensais que se serais une bonne idée de lui proposer d’aller manger quelque part, mais je ne souhaiter pas non plus qu’il m’invite à nouveaux dans ce restaurant ou il avait du payer une fortune. Un simple restaurent de quartier me suffisait amplement.

- Hm ... on pourrait peut être en profiter pour aller manger dans un petit restaurant … ?

Je ne voulais pas que l’on parte une fois de plus dans un débat que l’on savait inutile. Je voulais simplement passer le reste de la soirée qu’il me restait en sa compagnie, puisque nous n’aurions pas l’occasion durant c’est vacance de fin d’année. Juste 3 jour, ou je voulais pouvoir profiter de sa présence. Il était vrai qu’avec les examens, nous avions eu peux d’occasion pour nous voir.

- Tu sais un petit restaurant de quartier, un peu plus intime ? À par si tu n’aime pas ça, je comprendrais !

Peut être était-il habitué à manger dans des restaurant chic, et qu’il n’avait jamais mangé dans un petit restaurant tout simple. Je trouvais cela beaucoup plus chaleureux et intime, mais au niveau gastronomique, pouvais comprendre qu’il n’ait pas vraiment confiance. On ce savait jamais vraiment ce que l’on avait dans l’assiette, il fallait trouver le bon, ce qui n’était pas commun avec le restaurant ou il m’avait emmené. Je n’étais pas forcement très à l’aise, mais s’il préférait, alors je pourrais faire peut être un effort.

Son idée me plaisait beaucoup ! J'aimais bien manger dans des endroits tout simple aussi, je bouffais mcdo et je commandais à Domino's malgré mon compte en banque bien fourni, il ne fallait pas commencer les clichés quand même ! Je lui souris chaleureusement en lui répondant :

- Ca me va, tu en connais un ou on entre dans le premier que l'on trouve?

Il ne devait pas y en avoir de bien loin. On était dans un quartier universitaire assez peuplé et actif. C'était aussi ce qui me plaisait bien ici. Même si c'était beaucoup plus calme qu'à NY. On se mit donc en route pour la sortie du campus afin de trouver un petit restaurant. Marchant côte à côte, je tenais toujours sa main entrelacée à la mienne. Le vent était frais. Après de longues minutes à pieds -à croire qu'en fait, ils n'étaient pas tout près ces enfoirés- on finit par arriver dans une rue très animée, avec presque tous les magasins et restaurants encore ouverts. Je regardais ma montre, il n'était même pas 20h. On arriva à la hauteur d'un petit restaurant chinois.

- On va bouffer du chien? Plaisantais-je alors en souriant.

On entra donc dans le restaurant, il n'y avait pas beaucoup de monde, une bande d'amis -de trois personnes-, un couple assez jeune et puis un vieux monsieur seul. On entra et on s'installa où l'on décida de s'installer -ce qui était plus sympa que de se faire asseoir par une hôtesse dans les restaurants chicos-. Je retirai ma veste, la déposant sur le dossier de ma chaise presque en plastique et je souris à Eléonora qui était devant moi. Le menu était entre deux pots de sauce, mais pour le moment, j'avais juste très soif. D'eau, mais je proposais néanmoins à la jeune femme en face de moi si autre chose l'intéressait, à deux, on pouvait boire, tout seul, c'était de l'alcoolisme !

- Petit apéro?

J'ignorais s'ils faisaient de tout ou juste des alcools asiatiques, on allait se gaver de chien et le diluer avec du saké !