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À en croire ces paroles, qui était très dur pour moi, je l'avais déçu et même énervé. Ce qu'il pensait de moi me faisait mal, mais au moins cela m'avait ouvert les yeux. Voilà ce qu'il pensait de moi.
- Arrête un peu tes conneries ! Je ne te vois pas non plus comme une machine à sous ambulante ! Tu crois que je ne le sais pas ça que c'est dur de gagner son argent ?! Tu pense vraiment que je ne le sais pas ça ?! Tu me prends vraiment pour une idiote.
Je marquais une pause et lui répondis par la suite.
- De toute façon tu a raison ! c'est moi la fautive, la bornée qui ne veux rien comprendre ! C'est vrai que tu peux exactement savoir ce que ça fait que d'être dans cette situation. Crois moi ça ne me fait pas plaisir d'être dans un moment pareil mais je refuse de devoir demander de l'argent à qui que ce soit ! Et ne vient pas me dire que je suis une idiote ou encore que c'est à cause de ma fierté, parce que tu n'en sais rien du tout ! Tu ne sais strictement rien de moi ! Et tu n'as pas le droit de me juger ainsi !
Il fallait que tout ça s'arrête, que je sorte.
- Tu sais quoi, je ne préfère même pas continuer cette conversation avec toi ! Et oui une nouvelle facette de moi que tu ne connaissais pas : Je suis lâche !
Je pris ma veste et sortie. Je n'en pouvais plus, je ne voulais plus entendre ces reproches. Je sais, c'est lamentable de ma part de partir comme ça, j'avais fuis, lâchement. Mais à quoi bon rester si c'était pour s'engueuler et se prendre plein de reproche dans la figure. Le vent glacial de l'hiver me foutait le visage, mais je m'en fichais. Je courrais vers une direction inconnu, il fallait que je me défoule, que je hurle, que je sorte toute cette colère, et cette rancœur que j'avais en moi. Quand je fus arrivé à l'endroit que je cherchais, un petit parc désert, je m'arrêtais net. Mais aucun son ne sortie de ma voix. Et à la place, des gouttes d'eau salés me tombait sur la joue. Je m'en voulais de pleurer pour si peu, pour une histoire débile d'argent. Mais voilà, j'étais faible tout simplement. Je jetais violemment ma veste que je tenais en mains par colère et pris mon visage dans mes mains. Je me sentais pathétique.
- Arrête un peu tes conneries ! Je ne te vois pas non plus comme une machine à sous ambulante ! Tu crois que je ne le sais pas ça que c'est dur de gagner son argent ?! Tu pense vraiment que je ne le sais pas ça ?! Tu me prends vraiment pour une idiote.
Je marquais une pause et lui répondis par la suite.
- De toute façon tu a raison ! c'est moi la fautive, la bornée qui ne veux rien comprendre ! C'est vrai que tu peux exactement savoir ce que ça fait que d'être dans cette situation. Crois moi ça ne me fait pas plaisir d'être dans un moment pareil mais je refuse de devoir demander de l'argent à qui que ce soit ! Et ne vient pas me dire que je suis une idiote ou encore que c'est à cause de ma fierté, parce que tu n'en sais rien du tout ! Tu ne sais strictement rien de moi ! Et tu n'as pas le droit de me juger ainsi !
Il fallait que tout ça s'arrête, que je sorte.
- Tu sais quoi, je ne préfère même pas continuer cette conversation avec toi ! Et oui une nouvelle facette de moi que tu ne connaissais pas : Je suis lâche !
Je pris ma veste et sortie. Je n'en pouvais plus, je ne voulais plus entendre ces reproches. Je sais, c'est lamentable de ma part de partir comme ça, j'avais fuis, lâchement. Mais à quoi bon rester si c'était pour s'engueuler et se prendre plein de reproche dans la figure. Le vent glacial de l'hiver me foutait le visage, mais je m'en fichais. Je courrais vers une direction inconnu, il fallait que je me défoule, que je hurle, que je sorte toute cette colère, et cette rancœur que j'avais en moi. Quand je fus arrivé à l'endroit que je cherchais, un petit parc désert, je m'arrêtais net. Mais aucun son ne sortie de ma voix. Et à la place, des gouttes d'eau salés me tombait sur la joue. Je m'en voulais de pleurer pour si peu, pour une histoire débile d'argent. Mais voilà, j'étais faible tout simplement. Je jetais violemment ma veste que je tenais en mains par colère et pris mon visage dans mes mains. Je me sentais pathétique.
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