Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Flashforward)"Uhm, Patrick, Alphonse, Hubert...EUGÈNE ?!" (feat Finn) - Page 4
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(Flashforward)"Uhm, Patrick, Alphonse, Hubert...EUGÈNE ?!" (feat Finn)

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J'étais...littéralement sous le choc, oui, voilà, et c'était pour cette raison que je n'avais rien trouvé d'autre à dire à part que j'avais envie de vomir. Mais pas à cause de ce qu'il venait de me révéler, mais surtout parce que tous mes vagues souvenirs de cette nuit là revenaient peu à peu. Et j'avais tout fait pour oublier ce cauchemar. Mais maintenant que je savais qui avait été mon sauveur ce soir-là, je me sentais...redevable envers lui mais surtout plus que reconnaissante. J'étais vivante grâce à lui et je ne savais pas ce qui l'avait poussé à me sauver alors que je représentais rien pour lui à l'époque.

Et je comprenais maintenant pourquoi il s'était trouvé sur mon chemin lorsque j'avais quitté l'hôpital, je me rendais compte qu'il me désirait, et surtout qu'il était plus que sérieux lorsqu'il m'avouait que j'étais importante à ses yeux. J'étais troublée, mais je n'allais pas non plus lui sauter au cou, je n'étais même pas capable de tenir sur mes jambes à l'heure actuelle. Mais je sentais que je rougissais, que j'étais même flattée qu'il m'avoue tout ce qu'il avait sur la conscience.

Finalement, je lui adressais enfin un sourire timide et tentais de répondre à tout ce qu'il venait de me dire.

"Je... je ne dirais pas que je me sens mal à l'aise, au contraire. Je suis même flattée, intimidée aussi, mais je ne sais même pas quoi en penser. Je suis clairement troublée, jamais je n'aurais pu penser qu'un jour je rencontrerais enfin mon sauveur de ce soir-là."

Je buvais à mon tour un verre d'eau, parce que j'avais la gorge sèche et serrée .

"Et maintenant ? Qu'attends-tu de moi ? Et moi, qu'est ce que je dois faire ? " Je ne savais plus où me mettre, je ne savais plus quoi faire ou ne pas faire pour le coup, mais finalement je me levais pour le rejoindre. Et ensuite, je le serrais dans mes bras, parce que après tout j'étais vivante grâce à lui. Puis je lui murmurais à l'oreille un doux "Merci de m'avoir sauvée la vie..."
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Un sourire vint enfin se dessiner sur les lèvres de la jeune femme avant qu'elle ne le serre dans ses bras pour lui murmurer un remerciement qui fit vibrer Finn de la tête aux pieds. Ils se séparèrent et afin de se redonner contenance, le professeur reprit sa fourchette et contint ses tremblements en recommençant à manger.
Sa conscience décida de bloquer toutes ses pensées politiquement incorrectes afin qu'il ne dise pas exactement tout ce qu'il avait sur le cœur. Certaines choses devaient restées tout au fond d'un esprit jusqu'à ce que la personne concernée soit prête à encaisser. Clairement, May n'était pas prête à encaisser quoi que ce soit d'autre après ça.

« Rien du tout, admit Finn quand elle lui proposa salaire. Juste accepter de me donner de tes nouvelles de temps à autre. Je t'ai retrouvée, je sais que tu vas bien, c'est tout ce qui compte. »

Il lui passa de lui transmettre le bonheur qu'il ressentait à avoir désormais une image nette de son visage à laquelle penser lorsqu'il se levait et lorsqu'il se couchait et qu'il n'avait alors que pour seule compagnie une main fidèle mais terriblement lassante.
Ils étaient à table, nom de dieu.

« Te dire que je n'ai pas envie de plus serait un mensonge. Je te laisserai faire tes choix. » ajouta-t-il simplement.

Piquant dans les légumes à l'aide de sa fourchette, Finn put enfin les mâcher pour profiter de leur goût et les avaler sans qu'ils ne lui écorchent la gorge comme des galets coupants. Quelque chose se détendit dans ses entrailles et les battements de son cœur prirent un autre rythme : celui de l'excitation. Il se sentit enfin redevenir lui-même. Non pas que rien n'avait eu lieu, mais il avançait dans une direction nouvelle qui lui éviterait à l'avenir de se cacher pour prendre des nouvelles de celle qu'il désirait.
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Je ne savais pas si je devais être gênée ou bien être contente de savoir que je comptais pour quelqu'un qui était pour le moment encore qu'un inconnu... parce que finalement je ne connaissais pas grand chose sur lui, mais peut-être qu'avec le temps j'aurais l'occasion d'en savoir plus sur lui. Lorsque je mis fin à notre étreinte je me sentais...bizarre, c'était bizarre de savoir que je lui plaisais, je ne dis pas qu'il est moche, loin de là, il était même très attirant, mais avec toutes mes histoires d'amour qui prenaient fin beaucoup trop rapidement, je me sentais incapable d'aimer quelqu'un de nouveau.

Je reposais mes fesses sur la chaise en face de la sienne et terminais mon assiette, parce que après tout je n'avais rien dans le ventre depuis quelques jours. Le plat était délicieux et j'en avais des étoiles dans les yeux tellement j'étais émue de manger quelque chose d'aussi bon.

"C'est super bon, tu cuisines super bien." Mais sa seconde révélation me fit piquer un fard, je me laissais trop facilement troubler, mais c'est à cause de ses yeux bleus magnifiques aussi, c'pas juste de me dire ça avec une aussi belle gueule.

"Tu veux me faire rougir c'est ça ? Eh bien voilà, c'est fait. Mais sinon...je te donnerais de mes nouvelles tous les jours, et je pourrais même te faire découvrir mes endroits préférés de la ville. Qu'en penses-tu ? "
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Finn ne saurait jamais réellement ni pourquoi mais la situation se détendit. Peut-être parce qu'il avait préféré être sincère tout en adoucissant la situation. May fit preuve d'une grande maturité en reprenant rapidement contenance, comprenant que dévoiler ce genre de secret ne constituait pas la chose la plus facile. Finn lui fut extrêmement reconnaissant de changer de sujet, même pour basculer sur quelque chose qui à côté paraissait terriblement banal.

« La cuisine est une affaire de chimie ; pour faire des neurosciences il faut être doué en chimie. Donc forcément c'est un peu un prolongement naturel de ce que je sais déjà faire. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme comme dit un petit proverbe scientifique. »

Il lui adressa un clin d'oeil mais n'alla pas plus loin. Parler des neurosciences pouvait le tenir accroché des heures, et si en plus cela lui permettait de s'arracher du sujet délicat de leur rencontre c'était tout bénef. Mais May étudiait l'Art, ne s'intéressant certainement pas aux sciences et il ne voulait pas l'embêter avec ses considérations de chercheur.
May lui assura qu'elle lui donnerait régulièrement des remarques et l'emmènerait peut-être même visiter certains endroits de la ville.

« Avec grand plaisir, bien sûr ! Je ne suis là que depuis six mois donc je ne connais pas encore tout à fait les environs, tu comprends. Je sais...aller au boulot et en revenir sans GPS maintenant ! Mais pour le reste j'aurais besoin de quelques tuyaux. »

Terminant son assiette, il attendit patiemment que May finisse la sienne.

« Toutes les filières ont les mêmes congés ? Comment ça se passe ? On pourrait peut-être s'organiser une sortie un de ses quatre si tu n'a pas trop de travail. »
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Il était...passionné par la matière qu'il enseignait, et quand il en parlait, lui aussi avait des étoiles plein les yeux, ça lui donnait un petit côté mignon même, mais je me retenais bien de le lui dire. Généralement les hommes n'aiment pas qu'on leur disent qu'on les trouve mignon, ils préfèrent plus les termes virils et compagnie. Je souriais et l'écoutais tout en terminant mon assiette, et je fus même amusée lorsqu'il disait savoir aller au boulot sans avoir besoin de son GPS. Ce prof était plutôt marrant, attendrissant, et finalement passer du temps avec lui me faisait le plus grand bien.

Et il me posait la fameuse question, si un jour on pouvait s'organiser une sortie rien que tous les deux, mais me demandait aussi si j'avais du temps à lui accorder. Pour moi, ça ressemblait énormément à un rencard, mais... ce serait peut-être un bon moyen pour tout oublier, pour oublier mon passé douloureux et ma rupture toute aussi douloureuse. Je fis semblant de réfléchir, me mordant la lèvre inférieure même, sans vraiment y faire attention, puis relevais mes yeux en amande vers le jeune prof. "Eh bien... comme j'ai quitté l'hôpital un peu plus tôt que prévu, j'ai encore quatre jours de libre pour l'instant. Donc je suis disponible dès maintenant si jamais tu veux qu'on bouge un peu d'ici et qu'on profite encore du soleil qui ne va pas tarder à moins se montrer... Mais peut-être pas maintenant, mais par exemple demain. Enfin si tu es d'accord."

Oui, ça avait tout d'un futur rencard. Et j'aimais ça.
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Se redressant, Finn secoua la tête avec un sourire.

« Tu es tombée dans les pommes il y a à peine deux heures, je ne vais pas te proposer de sortir maintenant. Tu as peut-être envie de retourner chez toi ? »

Il saisit l'assiette de May pour la poser sur la sienne et regroupa les couverts avant de saisir la poêle d'une autre main et de disparaître dans la cuisine. Le regard lumineux que les yeux en amande de May lui lancèrent le fit fondre instantanément. Ses jambes flageolèrent légèrement tandis qu'il évitait de justesse de faire tout tomber pour alerter la jeune femme. La dernière fois qu'il avait ressenti cette curieuse sensation comparable à l'ivresse, il allait coucher avec un amant, quelques mois auparavant.
Mais il n'allait pas coucher avec May aujourd'hui. Dommage.

Lorsqu'il avait quitté Lydia il avait ressenti le pincement au coeur de faire un trait sur une relation qui avait mis dix ans à se construire. Fabriquer une relation était comme construire une cathédrale. Il fallait l'édifier pierre par pierre puis l’entretenir, et ça prenait des années, parce quand on allait mal, on posait les pierres selon un équilibre fragile et on finissait par foirer. On appelait ça une dispute. Si les fondations n'étaient pas stables dès le départ et qu'on poursuivait la construction malgré tout, les failles demeuraient des années durant pour s'ouvrir brutalement dix ans plus tard, alors que parfois les couples étaient mariés, avec des enfants.
Finn tressaillit ; mieux valait y aller doucement avec May.

Plongeant la tête dans le frigidaire, il en ressortit le reste d'un gâteau qu'il avait acheté à une pâtisserie qu'il venait de découvrir. Il avait une sale tête mais il en restait pour deux. Saisissant un couteau et deux assiettes à dessert, le professeur repartit dans le salon.

« Tenez, dit-il en servant la jeune femme. J'ai découvert cette boulangerie à côté de chez moi l'autre jour et j'ai acheté un ambassadeur pour goûter. Une pâtisserie française ; c'est super bon. Vous en voulez ? »
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Retourner chez moi, dans ce grand appartement qui était censé être habité par Owen et moi, premier pincement au coeur, je n'étais pas prête à y vivre toute seule, pas après toute la nouvelle décoration que j'y avais fait, pas après tout ces efforts fournis pour rien. Deuxième pincement au coeur. Je relevais mes yeux vers Finn, il avait les yeux d'un bleu si parfait que ça me troublait. Les mêmes yeux bleu que Owen. Troisième pincement au coeur. Je faisais non de la tête, mais gardant un sourire triste aux lèvres "Je serais incapable de rentrer chez moi et incapable de garder le moral dans un appartement beaucoup trop grand pour moi. J'étais censée y habiter avec mon ex-fiancé, et pour l'instant c'est trop douloureux. Je crois que je vais reprendre mon ancienne chambre dans ma confrérie."
Dernier pincement au coeur, parce que c'était aussi là bas que j'avais passé ma saint valentin avec Owen, donc peu importe où je remettais les pieds, je repenserais trop souvent à Owen. Et ça allait me pourrir la vie, surtout que notre date de mariage arrivait à grands pas.

Je regardais Finn se lever, emportant avec lui les couverts sales revenant ensuite avec le dessert, mais là, avec le coeur serré, j'étais incapable d'avaler quoi que ce soit d'autre. "Je... vais devoir refuser, je n'ai plus faim, je suis désolée." Je me sentais coupable, pas bien, j'avais trop mal au coeur et j'avais l'impression que ma poitrine était compressée, au point d'avoir du mal à respirer correctement.
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« Et tu es dans laquelle ? Par curiosité. »

Il ne s'intéressait pas à la lutte des confréries et donnait cours indifféremment à ses amphis bondés sans changer de discours ou de notation selon ses élèves. Il n'avait suivi aucune étude à Harvard et s'en réjouissait car son caractère n'aurait pu lui permettre d'entretenir un esprit de compétition décent sans foutre ses études en l'air. Il conservait un Cv conséquent même sans la ligne « Harvard » au niveau des études. Se contenter de l'enseignement lui suffisait largement.

La jeune femme évoqua une nouvelle fois son fiancé et Finn fronça les sourcils. Cet homme avait du peupler toute sa vie pour que le moindre mot le lui rappelle leur relation. Le professeur s'assit à table à côté de la jeune femme et entama sa propre part de gâteau.

« Comme tu veux , je le laisse là au cas où tu changerais d'avis. Ecoutez, je sais que c'est difficile mais arrête de penser à cet homme. Va de l'avant, fais ta vie. Tu tournes en rond là et tu te fais du mal pour rien ! »

Finn oubliait peut-être que sa jeunesse ne lui permettait pas d'avoir le recul nécessaire pour recommencer si rapidement une vie « normale ». Il préféra se justifier avant de subir les foudres de la jeune femme du genre la répartie adolescente du ''Tu sais pas ce que c'est tu peux pas comprendre alors laisse-moi me suicider tranquille.''

« J'ai eu un grand amour moi aussi. Nous sommes restés dix ans ensemble. Nous étions fiancés et nous prévoyions de nous marier. Lorsque ma conjointe me l'a réellement proposé, tout en me confiant le souhait d'agrandir la famille. Je n'ai pas pu m'engager et nous nous sommes séparés avant de faire les dégâts. Quel est le pire ? De se retrouver soudainement seul parce qu'on n'a pas eu les couilles d'assumer les choses quand elles se sont présentées ? Ou d'avoir couché avec celle qui était sensée être la femme de ma vie en voyant ton visage à la place du sien ? »

Il enfourna une cuiller de crème dans sa bouche avant de poursuivre, de la chantilly au bord des lèvres.

« On a tous nos problèmes May. Et ça ne nous empêche pas d'avancer. Ce n'est pas facile mais il faut croire à un futur meilleur et surtout s'en donner les moyens. Reprends ta chambre à l'université, gagne ton indépendance et refais quelque chose avec une autre personne qui saura t'aimer réellement. »
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"Je suis à la Eliot House." répondis-je machinalement alors que je n'avais pas vraiment envie de parler de ça. Il fallait que j'arrête de me plaindre de ma rupture, ça n'était pas comme si Owen et moi avions été ensemble pendant plus d'une année, et c'était loin d'être le cas. On était sortis ensemble seulement pendant quelques mois mais c'était devenu rapidement sérieux entre lui et moi.
Et Finn commença à me faire la morale, je pouvais tout accepter de la part de mes proches, je pouvais encaisser la froideur de Phoenix, mais accepter une leçon de morale venant d'un prof que je connaissais seulement depuis quelques heures, c'était juste impossible. C'était trop me demander, alors je sentais que j'allais m'énerver. Mais j'n'eus pas le temps de répliquer, non, parce que la suite de ses révélations me fit piquer un fard. Je ne m'attendais pas à ça, pas au fait qu'il voyait mon visage alors qu'il faisait l'amour à sa femme, du coup j'eus un bug complet, mais pire que lorsqu'il m'avoua que c'était lui qui m'avait sauvée.

"Pardon ? Tu es en train de me dire que c'était à moi que tu pensais alors que tu étais avec elle ? Je sais pas si je dois trouver ça flatteur ou plutôt flippant..." Mais il enchaîna bien trop rapidement pour que je m'énerve plus que ça, et surtout la chantilly sur le bord de ses lèvres me fit sourire, c'était la situation clichée dans les films à l'eau de rose.

"C'est vrai qu'on a tous nos problèmes et moi j'en ai tellement eu ces deux dernières années que j'suis incapable de tout encaisser en un seul coup ! J'suis incapable de tourner la page aussi facilement, incapable de tomber de nouveau amoureuse de qui que ce soit et pourtant j'en crève d'envie, je crève d'envie de sauter sur le premier venu et d'oublier toutes mes déceptions amoureuse. Une baise bien sauvage, tiens, c'est de ça dont j'ai besoin !"

Bon okay peut-être que c'était exagéré, ou peut-être pas, et puis lui, là avec sa chantilly sur les lèvres, j'avais envie de passer ma langue dessus pour la lui retirer et oublier Owen en même temps.
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Lorsque May se lâcha, Finn compris qu'il avait fini par la pousser à bout ; à voir si elle-même comprenait que ça allait dans les deux sens. Elle le faisait se confier pour qu'elle se taise, elle le faisait opérer un self-control exceptionnel pour quelqu'un qui fonçait sans réfléchir et accédait à ses pulsions parce que YOLO bordel ; on n'avait qu'une vie. Se rendait-elle compte qu'elle le rendait fou ? Qu'il rêvait de lui demander de dormir ensemble ou même de la prendre, là, sur la table du salon, alors qu'ils se connaissaient à peine ?

S'il y avait bien une chose qu'il détestait, c'était les femmes qui se plaignaient. On avait tous nos problèmes, on avait tous vécu des choses difficiles qu'on ne pourrait jamais oublier, qui nous forgeaient et qui nous faisaient grandir trop vite. Mais il ne fallait pas rester dessus, au risque de s'enfoncer. Willow et Léandre lui traversèrent l'esprit. Lydia explosa une dernière fois dans ses souvenirs avant de se dissoudre immédiatement.
Le message de May était clair et il allait y répondre.

Finn essuya brutalement ses lèvres de la crème qui y avait élu domicile et saisit la jeune femme par les épaules avant de coller brutalement ses lèvres aux siennes. Son pantalon devint terriblement inconfortable. Quelque chose explosa dans sa poitrine et ses entrailles se tordirent dans tous les sens. Ses lèvres épousèrent parfaitement la bouche de la jeune femme. La tension accumulée durant toutes les années se combina au désir puissant qu'il ressentait pour la jeune femme si bien qu'il crut jouir sur place.

Ses mains glissèrent dans le dos de la jeune femme dans une étreinte plus tendre et moins précipitée, mais ses instincts le rattrapèrent rapidement. Il souleva la demoiselle, l'arrachant de sa chaise qui s'écrasa par terre avec un bruit sourd et la plaqua contre le mur de sorte qu'elle ne put s'en aller. Ses lèvres lâchèrent celles de la jeune femme tandis qu'il reprenait sa respiration.

« Ca fait huit ans que je t'attends. Il ne fallait pas me le dire deux fois. »
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