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NOW LET ME HOLD YOUR HAND ❋ JOADYKANDRO

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C’était quand même dingue de paniquer autant pour un piment qui ne passait pas, dingue de ne pas beugler comme un con comme il l’aurait fait, dingue de ne pas juste avoir couru à la salle de bain pour remplir une bassine d’eau et la lui balancer à la figure pour éteindre le feu sur sa langue. En temps normal, aux câlins et aux cuillerées de glace se serait substitué un fou rire. Mais pas cette fois, au contraire, le brunet se montra incroyablement compatissant avec elle, à la serrer dans ses bras pour s’assurer que ça allait bien. Franchement, lui-même ne se reconnaissait pas. Au moins, ça prouvait qu’il n’était pas juste le président Lowell premier sur les conneries en tout genre. Et ouaiiiis, en vrai il avait ce côté gros nounours qu’il ne sortait qu’à de rares occasions. Diamantika assura qu’elle ne pleura pas, mais zut de flûte de crotte de chien, il les voyait ses larmes, fallait pas le prendre pour un aveugle. Si ses yeux étaient un personnage de la bible, ils s’appelleraient Noé et sa femme sur leur arche en plein déluge. Ou peut-être pas Noé, laissez-moi consulter Wikipédia … Parmi toutes les espèces que ce paysan a emporté sur son arche, n’y avait-il pas un couple de vaches ? Et un babouin ? OH LA LA LA. La vache a copulé avec le babouin dans la soute, donnant naissance à un petit vachouin, premier d’une longue lignée de vachouin. En France, il y a eu l’ère des Capétiens, des Mérovingiens, préparez-vous now à l’ère des Kovachouins MOUAHAHAHA. Tremblez, trembleeeez. Enfin, pour le moment, c’est Dia qui tremblait dans ses bras, ce moment fut long et court à la fois, c’est que Bleeker aurait pu rester encore long temps comme ça. Mais bien vite, il fut basculé sur le côté par Diamantika qui désirait lui faire subir le même châtiment. « NON ! » lâcha-t-il fermement en se débattant, en tournant la tête sur le côté pour éviter tout contact avec ce piment … Mais quand elle le cracha, il ne se laissa pas prier et dévora à son tour ses lèvres. Sa bouffée d’oxygène. Il se shootait à l’air qu’elle expirait, à son souffle saccadé, à son haleine qu’elle perdait. Ses cheveux, sulfureux, s’introduisaient dans ses pectoraux tel un millier d’infimes aiguilles, à la fois avec la douceur et la frustration d’un baiser au coin des lèvres ; beaucoup mais pas assez à la fois. Sans parler de son corps qui ondulait, se cambrait, si proche du sien, de son corps qui réclamait le sien, qui ne voulait faire qu’un, qui ne réclamait qu’à l’aimer le temps d’une nuit. A défaut de Cody de pouvoir lui promettre la vie. Impuissant, il étira son cou, enfonçant sa tête dans l’oreiller tout mou – et c’est bien le seul – tandis qu’elle avait fait de son torse un plateau repas. L’alternance du chaud et du froid, du feu et de la glace, de la chaleur et de la frustration, ce cocktail molotov de sensation le saisissait à une vitesse fulgurante. Dans sa tête, montait montait montait. Et son corps, lui, ne demandait qu’à rattraper son retard. « Laisse-moi t’aime… » Lapsus révélateur. Cody se mordilla la lèvre, avala sa salive, si durement que sa pomme d’Adam marqua un ralenti semblable à un Cartoon. « …Te faire l’amour. Laisse-moi te faire l’amour. Une bonne fois pour toute. » Qu’ils se libèrent enfin. Qu’ils se délivrent de ce désir qui atteignait l’apothéose une bonne fois pour toute.
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« NON ! » Cria-t-il en se débattant et en essayent d'éviter le piment. Évidemment que non, je ne comptais pas lui faire subir le même sort que ma bouche. Évidemment que non, je ne voulais pas lui faire de mal parce que je savais à quel point le piment était fort et dangereux, surtout lorsqu'on l'avale comme moi je l'ai fait. J'espère juste que je ne vais pas me chopper un ulcère. Mais ce qui est étonnant, c'est l'effet miraculeux qu'à Cody sur moi, son câlin, ses bisous tout cela avait été comme un calmant pharmaceutique, si bien que j'en avais oublié le mal. C'était l'effet Bleeker en fait. Comme quoi, il savait parfois être sérieux, doux et attentionné contrairement à ce que l'on pouvait penser. Nous partagions un baiser fougueux, y mettant tout mon amour, tout ce tourbillon de sentiments à son égare, tout ce désir charnel, jusqu'à ce que je m'amuse avec la glace sur son torse. Les papillons de mon ventre se réveillaient à nouveau. Mon corps se cambrait, ondulait sur le sien faisant glisser le drap le long de mon dos. « Laisse-moi t'aime... » Je stoppais d'un coup en relevant la tête, je n'étais pas bien certaine d'avoir entendu, il venait bien de dire "laisse-moi t'aimer ?" Même s'il manquait le r à la fin, mais c'était tellement évident. Je rêve, non je ne rêve pas ! J'ai bien entendu. GROS LAPSUS HA !. « ...Te faire l'amour. Laisse-moi te faire l'amour. Une bonne fois pour toute. » Il tenta de se rattraper avec cette suite de phrase, mais moi j'avais déjà capté la première et là, j'avais le cœur qui battait à mille à l'heure, me disant finalement que rien n'était perdu, qu'il pourrait tomber amoureux de moi, que c'est même déjà fait. Je ne sais pas, j'étais partagé entre l'envie de lui demander de répéter cette phrase, ou l'envie de faire semblant de n'avoir rien entendu pour ne pas le faire fuir. Que faire ? Que choisir ?. Mon regard brillant soutenait le sien, tandis que je me mordillais la lèvre inférieure. « J'ai entendu... » Me contentais-je finalement de dire en lui faisant savoir que j'avais bel et bien capter son mot. Un sourire béa s'installait sur mon visage. « Et je patienterais pour l'entendre en entier la prochaine fois... » Et un sous-entendu de plus, un !. Je patienterais parce que je ne suis pas pressée et je ne voulais pas presser les choses, le laissant s'habituer à ma présence et à mes sentiments, tout en faisant tout mon possible pour qu'il soit à moi. Je sais que je vais devoir bosser dure pour avoir ce bel étalon, mais je ferais en sorte d'y arriver et j'y arriverais. « Alors, fais-moi l'amour une bonne fois pour toute... » Répétais-je après lui en plantant mes yeux remplis de malice dans les siens. Puis, je me penche vers son visage en remontant le drap contre nous. Nos lèvres se rencontrent à nouveau. Je goûte sa bouche de ma langue, très lentement, comme si c'était la première fois. Et à cet instant, Codynosaure rejoignis Kovagin pour fusionner et ne faire qu'un. J'étouffe de justesse un gémissement et je commence à onduler sensuellement sur son bassin dans des va-et-viens doux et torrides, parfois soupirant et haletant contre ses lèvres.
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’Laisse-moi t’aimer’ ? Il est sérieux, lui ? Laisse-moi t’aimer. Genre, comme s’il était question d’amour pour Cody, et comme s’il était question qu’il demande une quelconque autorisation à Diamantika. On aura tout vu, moi j’vous dis. Elle jubilait, s’disant sûrement que si elle avait perdu le pari, il n’empêchait pas qu’elle rejoindrait bientôt Cody sur la ligne d’arrivée. Qu’il n’était que dans une fable où le lièvre et la tortue couraient à la même allure, seulement que le lièvre prenait deux-trois raccourcis pour donner l’impression à la tortue de mener la course. Mais ce n’était pas le cas, Cody était plus fort, bien plus fort que ça. Il ignorait ses sentiments à l’égard de Dia, en réalité. Il ne savait pas trop ce qu’il ressentait, il n’avait pas totalement oublié Danae et la douleur était encore vive, présente, palpable. Elle enflammait son cœur chaque fois qu’on prononçait son prénom, chaque fois qu’il passait devant la salle de bal de Harvard, cet endroit qui lui remémorait leur premier baiser. Ça faisait mal. Et Diamantika avait beaucoup d’enfance sur leur à laquelle le train avait prévu de partir. Elle réservait des billets pour Keen’V sans avoir la certitude que le concert aurait bien lieu. Elle vivait dans l’espoir. Alors OK, un intello de l’académie des conneries sortit peut-être un jour une bêtise du style ’l’espoir fait vivre’, mais il oubliait de préciser dans les effets secondaires que l’espoir fait souffrir, l’espoir frustre, l’espoir fait mourir. Un point c’est tout. « Perds pas ton temps … » soupira-t-il, un sourire sincèrement désolé. Il tenait à elle, beaucoup, vraiment beaucoup. Tellement qu’il ne pouvait pas se permettre de la faire souffrir. Elle l’embrassa avec tellement de tendresse, avec tellement de pudeur, que Cody oublia l’espace d’un instant qu’il avait 25 ans, qu’il était marié, le cœur brisé, un enfant à charge et une mère à gérer. L’espace d’un instant, il avait quinze ans, il voyait le loup pour la toute première fois, la toutoute première fois et ça, dans les bras de Diamantika. Ils s’unirent tellement naturellement que ce fut une petite douleur au niveau de Codynosaure qui rappela à Cody que sayéééé, le spectacle avait commencé. En première période, on présentait les personnages. Diamantika Kovalevski et Cody Bleeker. Eux, seuls, contre le reste du monde. Ils affrontaient torrents, tempêtes, douleur testiculaire (ça arrive même au meilleur d’entre nous …) avec un héroïsme unique. Cody, légèrement en retrait, laissait Diamantika mener la danse. Il se contentait de passer son bras autour de cou pour s’assurer qu’elle ne s’éloignerait pas, qu’elle ne partirait pas, qu’elle ne l’abandonnerait pas. Sa respiration s’accélérait, entrecoupée par des gémissements un peu plus aigus puisque, mine de rien, Codynosaure avait besoin d’un peu de pratique avant de se remettre en selle. Même Jappeloup, avant une compétition, doit marcher au pas puis trottiner un peu avant de partir au grand galop et exploser tous les scores. Il remonta ses bras dans son dos, s’imprégnant du rythme qu’elle imposait, jouant avec ses lèvres, les effleurant sans les embrasser, inspirant l’air qu’elle expirait, expirant l’air qu’elle inspirait. Les à-coups berçaient ses seins contre son torse, décuplant un plaisir féroce, voire agressive, qui lui arrachait le cœur, transperçait l’âme par des vagues de bonheur ingérables. Il était un bateau dans la tourmente. L’adrénaline prenait le dessus sur tout, sur la peur, sur les doutes. D’une main fébrile, il parcourut son corps, ses seins, ses hanches, ses bras, le creux de son coude, puis ses cuisses, le creux de ses cuisses, caressant son duvet qui se redressait frénétiquement chaque fois que les doigts de Cody épousaient sa peau. Il cherchait chaleur et réconfort, un point d’ancrage pour lui rappeler qu’il ne devait pas perdre pied. La respiration se fit râle, les gémissements se firent grognements, la douleur se fit plaisir, l’attirance se fit amour. Et ça, c’était le problème. Pour la première fois depuis qu’ils entretenaient ce genre de relation, l’excitation prenait une place tellement secondaire que c’en était déconcertant. Surtout si on prenait en compte le plaisir qui montait à une vitesse fulgurante, incomparable aux fois d’avant. Du haut de gamme.
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« Perds pas ton temps ... » Il aura beau repousser ses vrais sentiments, moi, je ne comptais pas abandonner, pas tant qu'il ne m'aura pas chassé de sa vie en me certifiant que jamais, jamais il ne ressentira quelque chose pour moi, que jamais, jamais j'aurais son coeur. Et pour que j'arrête, pour que je m'éloigne, il devra me dire tout ça et seulement après je m'en irais pour de bon, le laissant faire sa vie comme il l'entendait. Mais pour l'instant non, non je ne pouvais pas me résigner à le laisser, à brûler le tout petit espoir qui m'animait. Je ne pouvais pas me résigner à toucher et à embrasser un autre que lui, je ne pouvais pas me résigner à me marier alors que je l'aime. Et à cet instant précis, je voulais qu'un miracle opère sur lui et qu'il tombe amoureux de moi, qu'il m'aime autant que je l'aime. Et même si miracle il n'y avait pas, je m'accrocherais jusqu'à la dernière petite lueur d'espoir. Je ne répondis que d'un sourire, lui montrant carrément que ce qu'il venait de dire était entré par une oreille et en était sorti par l'autre. Alors ouai, il pouvait me balancer tous les mots qu'il désirait dans le but de me faire fuir, mais ce ne sera jamais le cas. Il pouvait courir, je n'allais pas faire taire mes sentiments sous prétexte qu'il était aveugle ou peut-être même trop lâche pour me laisser entrer dans son cœur ou même de voir qu'il y avait plus que du sexe entre nous. Ce soir, je comptais lui prouver cela. C'est pourquoi, j'y allais tout en douceur, laissant mon cœur guider mon corps plutôt que le contraire. Nous nous sommes unis pour le meilleur et le pire, non enfin, pour le bonheur et le plaisir. Ce plaisir déferlant de minutes en minutes, luttant pour ne pas me laisser aller à l'orgasme trop rapidement, tant cette envie de lui est inexplicable et si débordante. J'ondulais toujours avec une telle sensualité, qu'enfin, je quittais ses lèvres pour prendre appuis sur son torse et accélérer mes va-et-viens sans être pour autant sauvage. Non, toujours avec amour, mais plus rapide simplement. Mes mains parcouraient lentement le sillon séparant son torse glissant jusqu'à son ventre pour ensuite remonter, caresser lentement ses pectoraux, ses épaules et glissant jusqu'à ses mains pour les plaquer de part et d'autre entre sa tête et entrelacer nos doigts que je serrais si fort. Mon regard brillait de convoitise pour les lèvres délicieusement sucrées. Plus les minutes s'écroulaient, plus on s'approchait du paradis. Soudainement, je quitte son corps et m'allonge à ses côtés pour un temps de répits avant de le laisser prendre les choses en mains. Il s'allongea sur moi, tandis que je croisais mes jambes au niveau de son fessier, glissant mes mains dans son dos pour à nouveau le serrer dans mes bras, allant titiller son oreille, lui mordre tendrement sa lobe, dessinant un trajet fiévreux dans son cou que je parsème de baisers brûlants. « Cody... » Murmurais-je au creux de son oreille sans but précis, juste histoire de le faire frémir sous l'intensité de ma voix en prononçant son prénom, alors que nos corps perlaient de sueur, s'imprégnant chacun de l'odeur de l'autre.
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Si Diamantika était une boussole, Cody serait le Nord. Qu’importe la position, qu’importe la direction, elle désignerait Cody, Cody, Cody, guidée par un magnétisme dont seule la nature connaissait le secret. Si Cody était un aimant, Diamantika serait une belle armure en fer, indestructible, inoxydable, résistant à toute épreuve qui lui serait imposée dans le Cody-Lanta, version Codyenne du Survivor français. Il ignorait d’où lui provenait cette faculté à ne pas renoncer, ce pouvoir qui faisait qu’elle ne se détournait jamais de l’objectif qu’elle s’était fixée, comme un phare guide les bateaux, malgré les vents, les râteaux à répétition que Cody avait pu lui foutre. Ben ouais, avec du recul, maintenant, il réalisait qu’il n’avait pas toujours été tendre avec le Diamantikeur. Il repensait aux multiples fois où il avait évoqué son amour pour Danae, où il avait cassé les délires de Dia quand elle montait l’hypothèse qu’ils pourraient tomber amoureux l’un de l’autre, ohlalala, elle avait dû s’en prendre plein la gueule. Mais au fond, c’était pour son bien. Eux deux, c’était voué à l’échec, ils n’avaient rien en commun. Avec Danae il n’avait rien en commun non plus. On voit où ça les a mené. Il ne se sentait pas prêt, physiquement et psychologiquement. Pourtant, à sa manière de se perdre dans ses bras, avant tant de douceur et de volupté, à serrer dans sa main ses petits doigts, comme s’il refusait qu’elle daigne le lâcher, il avait l’impression de ne plus jamais pouvoir quitter cette île déserte sur laquelle il s’était échoué. Kovalevski, un petit goût de Paradis, oui oui. Elle se retira, ce fut donc à Cody de prendre les commandes. Demeurant quelques secondes immobile, le souffle court, il tourna la tête vers elle et, posant délicatement sa main sur sa joue, attira son visage pour se délecter de ses lèvres tremblotantes. Dans l’action, dans la passion, il se redressa pour venir s’allonger sur elle, l’enveloppant entièrement de son corps chaud et brûlant de désir pour elle. Kovache l’emprisonna dans le ciseau de ses jambes, dans le cadre de ses bras, dans le cercle de ses lèvres. Dia murmura son prénom au cœur de son oreille, suscitant un vif émoi chez Cody Bleeker. Il plaqua son front humide contre le sien et, les paupières closes, lui glissa, la voix suppliante ; « Ne les dis pas, j’t’en prie, ne les dis pas. » Il parlait bien sûr de ces fameux trois mots. « Ne les dis pas. » répéta-t-il en joignant ses lèvres aux siennes avec une frénésie indescriptible. Chaque fois que leurs lèvres se séparaient pour reprendre leur respiration, Cody les reprenait, l’empêchant ainsi de prononcer ces mots qu’il n’était pas prêt à entendre. De nouveau, ils reposèrent l’opération ’un et un ne font qu’un’, en quête de l’osmose la plus parfaite. Les mouvements s’accélérèrent, Cody passa chacune des vitesses en temps et en heure, sans jamais ne laisser l’occasion à Diamantika d’en placer une. Il ne décrochait littéralement pas de ses lèvres. Elles étaient comme scellées aux siennes, pour toujours et à jamais. Ayant apprécié ce contact précédemment, il attrapa de nouveau sa main, roulant ses doigts entre les siens, la plaquant contre l’oreiller au niveau de sa tête. Il étouffait ses râles dans d’infinis baisers mais la fin était proche et la sentence serait irrévocable ; Cody Bleeker, t’es en train de tomber amoureux de la Kovache.


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Je n'avais pas envie d'abandonner si près du but, car je sentais qu'un jour, voir même un jour plus proche que je le pensais, un Cody amoureux de moi, alors non, je ne pouvais pas abandonner si près de mon but. Et si je me trompe, tant pis, je veux me raccrocher à ce petit espoir jusqu'à ce qu'il me soit enlevé. Il aura beau se montrer con avec moi, je n'abandonnerais pas et mon regard si déterminé le lui prouvait. Après m'être retiré de lui pour une petite pause, un petit instant de répit où il kidnappa mes lèvres, je prolongeais avec amour, passion, posant une main sur sa joue. Mon but, étant de lui faire voir mon cœur, lui transmettre salivement, le virus de mon amour. Un virus qui malheureusement, ne possédait pas de vaccin. Je voulais qu'il soit entièrement à moi, alors vous croyez si bien que je n'aurais jamais créé de vaccin hein. Après notre échange passionné, il remonta à nouveau sur mon corps, me chevauchant, tandis que moi, mes jambes avaient pris place au niveau de ses fesses pour une meilleure façon de le garder prisonnier de mon corps et de mon cœur. Il plaqua soudainement son front contre le mien, mélangeant ses gouttes de sueurs aux miennes et dans un doux murmure... « Ne les dis pas, j't'en prie, ne les dis pas. » Ais-je seulement le droit de les dire maintenant ?. « Ne les dis pas. » répéta-t-il presque suppliant. « Je... » Mais il ne me laissa pas le temps de lui répondre, enchaînant baisers sur baisers, m'empêchant de respirer ou du moins, qu'à peine alors. « Je t... » Je ne comptais pas lui dire ces fameux mots, mais plutôt autre chose, malheureusement, il ne m'en laissa plus le choix en ne formant plus qu'un de nouveau. Et cette fois-ci, il accéléra les mouvements. Avec lui, j'avais envie de prendre mon temps, de savourer chaque minute de plaisir, de caresses, de baisers. C'était ce qu'on appelle, l'amour. Je rendais mes caresses plus pressantes, palpant ce corps si parfait. Je ressentais un plaisir croissant, fallait avouer que ce petit ange démoniaque avait de la ressource et un outil tout à fait adapté à me faire prendre mon pied. Il glissa ses mains jusqu'aux miennes, imitant mon geste de tout à l'heure en entrelaçant nos doigts, ne quittant dorénavant plus mes lèvres. J'haletais, me cambrais, sentais ma poitrine se durcir encore et mon ventre se tordre de l'impérieux désir. Une déferlante chaleur monta instantanément en moi, me consumant entière. Plus rien n'existait maintenant que nous et seulement nous. Mon rythme cardiaque trop rapide, ma poitrine se soulevant rapidement au rythme d'une respiration saccadée, mes jambes retombaient sur le lit, les gardant tout de même écartées de part et d'autre de ses hanches, je sentais le moment venir, la libération de nos corps, la porte du paradis et....Je quitte ses lèvres, me cambre et penche légèrement la tête en arrière en serrant plus fort ses doigts afin d'hurler un dernier plaisir ressentit. Le plaisir Charnel. Nous nous vidions à l'unisson. Je relâche la pression et pose mes mains contre ses joues humides. « Je te les ferais... entendre que lorsque tu seras prêt... à les entendre... » Murmurais-je contre son visage d'une voix cassée, d'une respiration saccadée. Puis, je pose mes lèvres pour un dernier petit baiser concluant ce moment si intense, si amoureux, que nous venions de passer. Sa tête logea contre mon cœur, je caresse ses cheveux en tentant de reprendre mon souffle, les yeux fermés.
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’Ne les dis pas Dyah, ne les dis pas’ s’évertuait à penser Cody, transmettant ces convictions par leurs lèvres en fusion qui se joignaient dans une multitude de baisers plaintifs. Il savait qu’elle était amoureuse de lui, inutile d’épiloguer, inutile de dire ’je t’aime Cody’, il le savait, ça crève les yeux mon dieu. Alors, leurs corps se serraient pour une danse endiablée, la salsa muy caliente du démon version Céline Dion en pleine BO du Titanic. Cody frémissait, il brûlait, son sang n’était que magma en fusion et bouillonnait dans ses vaisseaux sanguins, son cœur menaçait de bondir hors de sa poitrine, d’arracher son aorte et de plonger dans le pot de crème glacée pour cesser cette maltraitance. C’est un fait. Dès qu’il s’approchait de trop près de Diyàmentica, il maltraitait son cœur, son âme, son cerveau. Alors là, je ne vous dis pas quand il couchait avec elle où tout son organisme frôlait le shutdown, ses poumons démissionnaient, sa gorge se lançait dans un embargo, fermait ses frontières, refusant catégoriquement que Cody lâche de nouveau ses râles d’homme des cavernes en pleine danse du feu. Mais il n’y pouvait rien, ses grognements, ses gémissements, avaient la motivation d’un immigrant qui souhaitent rejoindre l’autre côté du détroit de Gibraltar. Qu’importe s’il risquait sa vie, il se disait que de l’autre côté, ce serait bien mieux qu’ici. Et plus ses muscles se serraient, plus Cody triturait les doigts de Cauvalaissequi. Effet miroir, son torse se cambrait violemment aux tressaillements de Dihya. Il n’était plus lui-même. Cet orgasme fut fulgurant, une envolée karmique vers le quatre-vingtième ciel, tout son esprit partit aussi vite que Codynosaure se déversa en elle. Il plaqua énergiquement son bassin contre le sien, le dernier va-et-viens, la dernière ligne droite, le lièvre terminait enfin sa course et savourait un ultime baiser pour noyer le cri qui l’anima par surprise. C’était quoi ça ? Il n’avait jamais vécu ça. Il était essoufflé, lessivé. Le souffle coupé, il resta proche de son visage et posa délicatement la main au sommet de son crâne, balayant une goutte de sueur de son pouce plein de fourmis. Ses joues étaient brûlantes, l’Eliot devait bien le sentir. « Je ne sais pas … Si … Je serais prêt … Un jour … » Défaitiste ? À peine. Maladroitement, il tenta de l’embrasser mais ce fut vain. Il caressait ses lèvres, seulement, si tremblantes chez chacun des partis, il abandonna cette idée et s’allongea sur elle. Sa tête reposa sur sa poitrine, bercé au rythme de son cœur qui jouait à ’toc toc toc qui est là ?’. Sauf que Cody ne répondait pas, Cody n’ouvrit pas la porte, il n’avait pas envie de lui parler à son cœur pour le moment. Il pouvait frapper, sonner, s’énerver, défoncer la porte à coups de bélier, Cody n’ouvrirait pas. Il palpait de ses mains brûlantes le ventre moite de Dyhiahmmheanttycquat, humide, imbibé de leurs fluides corporels à tous les  deux. C’était puissant. « J’aurais pas pu rêver d’une meilleure nuit de noces. » avoua Cody, à demi-mot.


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Nous venions de sceller notre non couple sur cette rive d'astres, créant ainsi un souvenir impérissable que jamais ni lui ni moi ne parviendront à oublier. Nos deux corps nus, l'un contre l'autre illustrant ainsi pleinement le plaisir charnel que nous venions de partager. Je ne voulais que lui et je savais aussi qu'il n'y aurait plus jamais de place pour quelqu'un d'autre que lui dans mon coeur. « Je ne sais pas ... Si ... Je serais prêt ... Un jour ... » Tenta-t-il à son tour de murmurer. « Ce jour arrivera bien plus vite et il te surprendra Codybabouin !. » Lèvres contre lèvres, je scellais cette nouvelle promesse. Je ferais en sorte que ce jour arrive plus vite que prévu, qu'il en soit même étonné de le dire aussi facilement. Qu'il était tombé amoureux de moi. Il me demandera alors, de lui dire ces mots magiques. « J'aurais pas pu rêver d'une meilleure nuit de noces. » Souffla-t-il contre ma poitrine. Cette phrase me rappela son mariage avec Joan. Mais bien vite, je chassais mes pensées sinueuses de ma tête, guidées par mon obstination à ne pas vouloir gâcher ce merveilleux moment. Car lorsque nous étions à la mairie un peu plus tôt, j'avais compris que quoiqu'il arrive, bien ou mal perçu, mes sentiments ne changeront pas. Parce que c'était Cody, parce que c'était lui. Parce qu'il y a quelque chose de fort entre nous et jusqu'à preuve du contraire, nous n'aurions jamais fait l'amour de cette façon. Je lui levais la tête, passa ma main de son menton à sa joue, posant toute ma paume laissant mes doigts allant jouer derrière son oreille et à cet instant, je vis son regard. Pas un regard normal, pas un regard banal, le même regard que moi. Était-il possible qu'il soit tombé amoureux de moi ?. Mon dieu faite que oui. Faites qu'il m'aime. Mon regard passait de ses yeux à sa bouche, à son nez, son front, ses cheveux, son menton, ses joues, ses sourcils. Toutes ses parties du visage que je connaissais maintenant et que je pourrais décrire sans faille. Il valait tous les trésors du monde et ça, aucune fille n'a encore compris. Aucune fille à part moi, ironie du sort n'est-ce pas ?. « Et je suis heureuse d'être celle qui te la fait passer. » De nouveau un baiser tendre et amoureux avant d'inverser les positions. « Codynosaure va bien. Il est même au meilleur de sa forme !. » Dis-je en éclatant de rire avant de passer mes cheveux humides d'un côté et de poser ma tête sur son torse, près de son cœur où je dépose un tendre baiser. « Ainsi, sur les battements de ton cœur... je m'endors... » Ouaich, c'était mieux que "Ainsi, sur un baiser... je meurs." aka Roméo et Juliette. Les battements de son cœur sont semblables à une douce mélodie berçant mon âme afin de me plonger dans un doux sommeil. Je t'aime Cody Bleeker.
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