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NOW LET ME HOLD YOUR HAND ❋ JOADYKANDRO

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Wooow, soit Cody se faisait des films à la chaine (et dans ce cas ce ne serait plus des films ce serait carrément la saga Star Wars avec le dernier volet en cours de tournage en prime), soit Dia était en train d’essayer de le convaincre de sortir avec elle. Elle a vraiment fumééééé, non mais Cody et Diamantika ensemble ? On aurait jamais vu un couple plus weird qu’eux. Direct, au bal de promo, ils décrocheraient le titre du couple le plus bizarre et ce, trois années de suite. Encore faudrait-il qu’ils puissent se supporter trois ans, s’pas gagner. Déjà, en une nuit, ils arrivaient à s’engueuler toutes les cinq minutes pour trois fois rien. Il préféra ne pas répondre, surtout qu’elle venait de paraphraser ce qu’il lui avait dit un jour, à savoir qu’elle était le genre de nana qu’on prenait entièrement ou pas du tout. Il trouvait ça beau, de dire ça, mais aujourd’hui, quand ça le concernait lui et pas son abruti d’ex, il s’interrogeait si oui ou non il n’aurait pas mieux fait de fermer sa belle petite bouche pulpeuse. « Mais j’ai compppppris, me gueule pas dessus, t’es amoureuse t’es A-M-O-U-R-E-U-S-E ! C’est jamais que dix points au Scrabble, à part si t’as la chance de tomber sur une case ’mot compte triple’. Dans ce cas, tu gagnes trente. Sauf que sur le chemin de la vie, il n’y a pas de cases bonus. » Cody Bleeker – 2014. Shakespeare, à côté, il avait écrit Les Sardines de Patrick Sébastien quoi. Sur ce, il eut la manie enfantine de remuer la tête dans le vide pour y extirper les mains moites de Dia. Grrrr, fallait qu’elle arrête de lui tripoter les joues comme çaaa, qu’elle tripote autre chose si elle veut, surtout que autre chose va un peu mieux maintenant. Mais bon, c’est pas le lieu ni le moment. Il la fixa dans les yeux, bombant fièrement le torse style ’je suis le roi de la jungle ahouhouhou’ quand elle tira sur les pans de sa veste au moment où elle le menaça de s’installer chez lui. « Si tu fais ça, tu n’auras pas affaire à Joan, mais à ma maman. Et crois-moi, t’as pas envie de l’avoir sur le dos. Quand je sortais avec Joan, elle a dressé Kiki – son caniche – pour qu’il aboie chaque fois qu’elle m’approchait sous ses yeux. Elle est capable de tout, même du pire. Donc essaye pas de t’incruster chez nous. » C’était un conseil d’ami. Ou d’amant. Ou d’amour. Non noooon d’ami. Hein, ils sont amis ? N’est-ce pas ? Cody s’apprêtait à partir, il sortit même les clefs du carrosse de sa veste quoi, paré pour quitter le hall, quand Kovache décida de le retenir encore quelque seconde. Alors euuuuh … WOW. Il resta scotché, avait littéralement la mâchoire décrochée, genre qu’est-ce qu’elle me faaaaaaiiiit. Dia suppmiait (non y a pas de fauuuute) presque Cody de se mettre en couple avec elle. C’était une première pour Cody, lui qui avait tendance à demander aux nanas de sortir avec lui (et les ¾ prenaient la fuite because Bleeker n’est pas tout à fait le prototype du prince charmant). Mais là, il sentait le cri du désespoir, la fusée de détresse, la femme à la mer qui levait les bras pour qu’on lui lance la bouée de sauvetage, la Rose Dawson qui, malgré ses articulations glacées, tentait impunément d’émettre un son, de lever un petit doigt pour que la vedette des garde-côtes vienne jusqu’à elle. « J’ai … Euh … Pas l’intention de m’épiler le torse. Jamais. Never. Ni le dos, ni les fesses, ni rien. Jackie a déjà essayé, ça s’est soldé par un échec et je te jure que j’ai saigné du téton. Je ne pensais pas que c’était possible. D’ailleurs, t’as pas dû faire gaffe, mais j’ai une petite excroissance sur le mamelon, c’est un troisième téton. Il m’arrive de porter le même caleçon deux jours de suite, une fois à l’endroit et une fois à l’envers, pour faire des économies de lessive. Je parle en dormant, paraît que j’ai quitté Joan au moins trois fois dans mon sommeil. J’ai appris à ma fille à dessiner les zboubs, du coup, il y en a  sur les murs un peu partout dans ma maison. Je mange mes frites avec du Nutella, je bois de la bière au petit dej’ et j’arrêterais jamais de mater le cul des nanas plus belles que toi. Ça m’embête de coucher avec une fille qui a autant de seins que moi. Mon ex, elle avait des obus. Alors tu vois, me retrouver avec tes balles de revolver me frustre un peu, m’enfin, je crois que je n’ai pas le choix. Et j’arrêterai jamais de te critiquer, une Kovache tu es, une Kovache tu resteras. J’arrêterai jamais de te faire chier.  Voilà. Avoue que tu pourrais rêver mieux comme mec. » lâcha-t-il d’une traite, avec une nonchalance déconcertante, en guise de réponse. Ça ne signifiait rien, il ne disait pas oui, il ne disait pas non, il faisait juste comprendre qu’il ne changerait pas. Il avait signé le traité des boulets à la vie, à la mort.
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« Mais j'ai compppppris, me gueule pas dessus, t'es amoureuse t'es A-M-O-U-R-E-U-S-E ! C'est jamais que dix points au Scrabble, à part si t'as la chance de tomber sur une case 'mot compte triple'. Dans ce cas, tu gagnes trente. Sauf que sur le chemin de la vie, il n'y a pas de cases bonus. » Sayez, voilà que monsieur me parlait maintenant de Scrabble. Et en plus, il secoua la tête pour essayer de chasser mes mains de sa joue, mais impossible. Soit vraiment il y avait plus rien à faire pour lui, soit il faisait exprès d'être aussi con pour ne pas y faire face. Je secouais la tête incapable de rajouter un mot de plus. Que pouvais-je dire d'autre en même temps ?. Mais lorsqu'il me parla de son lit et de Joan dans une même phrase, il réveilla rapidement ma jalousie, si bien que je le menaçais de m'incruster chez lui. « Si tu fais ça, tu n'auras pas affaire à Joan, mais à ma maman. Et crois-moi, t'as pas envie de l'avoir sur le dos. Quand je sortais avec Joan, elle a dressé Kiki - son caniche - pour qu'il aboie chaque fois qu'elle m'approchait sous ses yeux. Elle est capable de tout, même du pire. Donc essaye pas de t'incruster chez nous. » J'haussais les épaules en roulant des yeux. « Joan n'a pas su comment s'attirer les faveurs de maman Bleeker. Je suis sûre qu'avec mon jeu d'actrice, je réussirais là où Joan a échoué et Kiki finira par m'accueillir plutôt qu'aboyer sur moi !. » Je n'avais pas peur, ni de Kiki -weird comme nom de chien d'ailleurs- ni de la maman Bleeker. Et je suis même prête à prendre tous les risques possibles, quitte à me faire enfermer dans une salle de bain par maman Bleeker qui lâchera tout pleins de serpents venimeux sur moi. Je suis prête à TOUT. Même que là, après qu'une mouche m'ait piqué, je lui demandais à sortir avec moi, donc, à devenir mon petit-ami, mon mec, mon mien, ma priorité et là, il me devra fidélité pour de vrai. Mais c'était sans compter sur le long discours que s'apprêtait à balancer le cher babouin. « J’ai … Euh … Pas l’intention de m’épiler le torse. Jamais. Never. Ni le dos, ni les fesses, ni rien. Jackie a déjà essayé, ça s’est soldé par un échec et je te jure que j’ai saigné du téton. Je ne pensais pas que c’était possible. D’ailleurs, t’as pas dû faire gaffe, mais j’ai une petite excroissance sur le mamelon, c’est un troisième téton. Il m’arrive de porter le même caleçon deux jours de suite, une fois à l’endroit et une fois à l’envers, pour faire des économies de lessive. Je parle en dormant, paraît que j’ai quitté Joan au moins trois fois dans mon sommeil. J’ai appris à ma fille à dessiner les zboubs, du coup, il y en a  sur les murs un peu partout dans ma maison. Je mange mes frites avec du Nutella, je bois de la bière au petit dej’ et j’arrêterais jamais de mater le cul des nanas plus belles que toi. Ça m’embête de coucher avec une fille qui a autant de seins que moi. Mon ex, elle avait des obus. Alors tu vois, me retrouver avec tes balles de revolver me frustre un peu, m’enfin, je crois que je n’ai pas le choix. Et j’arrêterai jamais de te critiquer, une Kovache tu es, une Kovache tu resteras. J’arrêterai jamais de te faire chier.  Voilà. Avoue que tu pourrais rêver mieux comme mec. » EUHHHHHHHH, un babouin qui parle autant ça existe ?. J'crois pas non !. Il se décrivait comme le pire des petits-amis et c'est vraiment le pire des petits-amis, mais vous savez quoi ? Je m'en F-I-C-H-E, je suis déjà tombé sous son charme...unique et....bizarre et....unique en fait. Trop tard pour qu'il pense pouvoir me faire fuir. Soooooo, un large sourire s'étendit sur mes lèvres, un sourire béa, car s'il avait autant de défauts, vaudrait mieux pas parler des miens. « T'as fini avec ce loonnnnnnnnnngggggggggg discours GROS TAS de poils ?. C'est oui ou c'est non ?. » Parce que moi je voulais une vraie réponse et pas l'histoire de sa vie. C'est l'histoire de la vie le cycle éternel qu'un enfant béni, rend immortel NOW LET ME HOLD YOUR HAND ❋ JOADYKANDRO - Page 4 1116103942. Celle-ci, j'aurais tout le temps d'apprendre au fur et à mesure, rien ne presse. Je lâche sa veste, glissant mon pouce et mon index sous son menton. « Oui ou non !. » J'approchais ma bouche de la sienne, mais je ne l'embrassais pas, frottant simplement nos lèvres l'un contre l'autre avec douceur et tendresse. « Oui ou...non, oui ou...non. » murmurais-je entre quelques souffles et comme pour l'obliger à me répondre, je lâche son menton, baisse la tête. « J'ai compris... tu n'veux pas d'une fille comme moi... j'ai aucune chance...je mérite que ton lit et pas ton coeur... te fatigue pas j'ai compris Bleeker... » Simulant un faux soupir et un faux haussement d'épaules, je me retourne et emprunte le chemin de la sortie, faisant mine de partir et de le laisser. J'espère que cette fois-ci, mon jeu d'actrice marchera. Là, je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, mais en même temps, mon cœur battait à une vitesse incroyable. Il devait me rattraper, Cody ne pouvait pas vivre sans sa Dia et vis versa. Cody et Dia séparés, c'est plus rien, c'est un cœur divisé, une casserole sans son couvercle, une piscine sans eau, un corps sans tête, un jour sans soleil, une nuit sans lune, une Bonnie sans son Clyde, une vie sans espoir. Il avait besoin d'elle et elle avait besoin de lui, c'était vital.
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Mmmh a priori, Diamantika semblait prête à affronter la tornade Bleeker qui se composait de cumulus par le fils, de cumulonimbus par la mère, de stradivarius par la fille, de poissonpanéfindus par le chien. Enfin boooooon, même si ça plaisait à Cody qu’une fille soit prête à affronter la tempête pour lui, il ne se laissait pas attendrir. Non parce que monsieuuur est un mâleeee et en plus, il ne se voit juste pas du tout en couple avec Dia. ‘fin Cody et Dia quoi, même pas en rêve. D’ailleurs, il s’empressa de faire la liste de ses plus gros défauts (pour les filles qu’il avait côtoyées, parce que honnêtement il ne voyait pas le problème quant au fait de retourner son caleçon pour le porter deux jours de suite) histoire de s’assurer qu’elle connaissait le phénomène, qu’elle savait parfaitement ce qu’elle désirait, qu’elle n’ignorait pas ce qu’impliquait être la petite amie de Cody Bleeker, qu’elle ne vienne pas lui faire un procès après et crier à l’arnaque, au scandale ! Bon, à sa réponse, il en conclut qu’elle n’avait retenu que l’histoire de l’épilation et que ça ne la dérangeait pas de coucher avec un yéti. Ben çaaaaa vaaaa, on trouve un arrangement !  Mais ce n’était pas pour autant que Cody acceptait de sortir avec elle. En fait, c’était juste trop weird, il n’arrivait pas à se projeter avec elle ailleurs que dans un lit, un bus, sur une couverture, sous une étoile ou sur un oreille, au fond d’un train ou dans un vieux grenier, je veux découvrir ton visage où l’amoooouuuur est nééééé on va s’aimer ! Pardoooooon, instant Gilbert Montagné, on varie, toute à l’heure c’était Patrick et maintenant Gillou. Si tu me lis heiiiiin ! Ah non, c’est vrai, t’es aveugle mon coco :( Bweeeeef. « C’est, euuuh … » Leurs lèvres s’effleurèrent, laissant sur ses nymphes une empreinte invisible, tout juste détectable, indélébile, une sensation d’un bien-être infini, d’une plume doit qui chatouillait voluptueusement les courbes de sa bouche. Et elle se retira. Il resta abasourdi, les yeux en boules de pétanque – que dis-je – en boule de bowling, en montgolfière même ! « Embrasse-moi ! » s’exclama-t-il avant qu’elle ne pique son far, genre tu m’aimes paaaaas, j’te mérite paaaas, j’vais me marier à mon chat et me tailler les veines avec une enveloppe en écoutant du Keen’V. Cody comprit qu’elle jouait la comédie, il avait un diplôme en Diamantikattitude donc c’est booon, il maîtrisait. Mais ça ne changeait rien qu’il se doutait qu’elle ferait la gueule si jamais il lui disait non. Or, il ne voulait pas dire oui. « Laisse-moi t’essayer ! » gueula-t-il de nouveau, le ton suffisamment ferme pour la contraindre de se retourner. Une fois fait, il s’avança vers elle d’un pas décidé et précisa le fond de sa pensée ; « En cours d’économie, on étudie les nouvelles formes d’investissement. Ça consiste à offrir un service à une entreprise en échange d’une redevance. A terme, ça aide à déterminer si on a envie – ou pas – d’investir dans l’entreprise. Je veux que tu sois ma nouvelle forme d’investissement. » Sooooo romantic. Il attrapa ses mains, mêlant ses doigts aux siens avant de river ses prunelles dans les siennes. Sérieusement, quoique le sourire un peu provocateur, il termina ; « Je t’essaye. Une semaine. On voit si ça marche et, si ça marche, on parlera de couple. Deal ? » Ils font des paris pour déterminer lequel tombera amoureux avant l’autre, ils s’essayent avant de se mettre en couple … Coka quuuuuoi.
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Bah oui, bah oui, je suis prête à braver l'océan atlantique pour lui, le désert du Sahara, les piqûres de serpents, les morsures de kiki, un volcan en éruption, un bataillon d'animaux à ma poursuite, comme simba et Moufasa qui est venu le sauver, mais il perdit malheureusement la vie. Hum je m'égare. Le roi lion c'est passé depuis des lustresssss, mais faut quand même qu'un jour je regarde le 3, il parait que c'est drôle et que Timon et Pumba sont encore plus cons dedans. Oupss, je m'égare again, c'est surement l'heure pardon. Quand je veux quelque chose et bien je ferais tout pour l'obtenir, je veux CODY BLEEKER et je suis prête à tout pour l'avoir. Quitte à me faire des implants mammaires s'il me le demandait, sous prétexte que les seins de son ex sont des airbags comparé aux miens, pourtant, les miens sont juste de la bonne taille avec une couleur d'or en plus. 'Fin bref, je jouais sur des petits gestes tendres de provocations, tel que mes lèvres qui se frottaient aux siennes, certes avec envie de le manger, mais avant tout pour le pousser à bout. « Embrasse-moi ! » Et voilà, Cody était réceptif à chaque contact avec chaque partielle de ma peau et j'aimais ça, j'aimais ce petit pouvoir que j'avais sur lui, même s'il se montrait tout le temps borné. Pourquoi serais-je la seule à fondre ?. Si je fonds, alors monsieur doit fondre aussi. Pour continuer mon petit jeu, je me faisais passer pour la fille qui s'en allait le coeur totalement brisé et martelé et même s'il connaissait mon jeu, il savait que je continuerais à le faire, quitte à le bouder. A peine je fis quelques pas, qu'il gueula comme un gorille. « Laisse-moi t'essayer ! » Je m'arrêtais sur-le-champ comme téléguidé par sa voix. Et enfin mon bien-aimé me rejoignit, tant mieux, je trouvais déjà cette distance I-N-S-U-P-P-O-R-T-A-B-L-E. « En cours d'économie, on étudie les nouvelles formes d'investissement. Ça consiste à offrir un service à une entreprise en échange d'une redevance. A terme, ça aide à déterminer si on a envie - ou pas - d'investir dans l'entreprise. Je veux que tu sois ma nouvelle forme d'investissement. » Il m'attrapa une main et entrelaça nos doigts, doigts que je serrais également. « Je t'essaye. Une semaine. On voit si ça marche et, si ça marche, on parlera de couple. Deal ? » J'arquais un sourcil avant de répondre aussi sèchement que possible. « M'essayer ? Non mais tu m'as prise pour qui ?. » Tout ça, tous ces mots si secs et ce regard si froid pour en arriver à cette ultime et finale conclusion. « Deal !. » Rhalalalalalala Dia comment t'acceptes aussi rapidement ma pauvre. Il a suffi que monsieur Babouin parle pour que madame vache obéisse. JE L'AIMEUHHH. Ouai, mais ça, j'étais pas assez courageuse pour le lui dire comme ça, de vive voix. J'aurais trooooop honte. Oui oui, Dia avait aussi des points faibles. Je pose ma main de libre sur sa joue et de mon pousse, je dessine le contour de ses délicieuses lèvres. « Tu vas tomber amoureux de moi Bleeker, tu vas m'aimer et tu vas m'appartenir, parole de Diamantika Kovalevski, fille d'un ambassadeur et d'une journaliste ! » Osef du reste de la phrase, mais je voulais me donner un style vous m'voyez ?. Mon regard était devenu flamboyant, déterminée, perçant. Je voulais l'avoir et je l'aurais, parce que quand on veut, on peut. J'approche mon visage en faisant semblant de vouloir cueillir ses lèvres, mais non, je la lui mordillait doucement sans pour autant l'embrasser, because je voulais le provoquer, le faire LANGUIR. « On y va maintenant ? Parce que j'ai hâte de voir ton chez toi et de pouvoir.....tester Codynosaureeeeee !. » Bah ouaiii, il n'avait pas oublié notre dernière conversation par sms j'espère ?. Il m'avait dit que lorsqu'on aura une occasion, on allait tester Codynosaure et voir s'il était en bonne santé. Docteur Dia va s'occuper de luiiiiiiii.
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Puisqu’il ne voyait pas comment il pourrait former un couple avec l’affreuse Dia, Cody trouva une alternative. Bien sûr, il n’était pas convaincu qu’à terme, il choisisse de sortir officiellement avec l’Eliot, disons qu’il trouverait une alternative pour garder son plan-cul et tout. Il faut dire que maintenant qu’elle était amoureuse de lui, il pouvait la mener par le bout du nez, à moins que ce soit elle qui le mène par le bout du nez en refusant de l’embrasser, en l’embrassant puis non, puis oui, puis en fait non. Heureusement qu’elle n’était pas en train de passer son brevet de secouriste, il y aurait eu des morts. « Je t’ai prise pour ma future villa à Bora Bora. J’y vais en lune de miel et si je m’y plais, je déciderais d’acheter une maison là-bas. » Ouaip, fallait qu’il place le plus possible le voyage dans les Caraïbes auquel il tenait PARTICULIEREMENT. Il baissa les yeux sur ses doigts qui dessinaient le pourtour de la pulpe de ses lèvres, sentant magistralement la fièvre monter en lui. Il la désirait, il la désirait. Embrasse-mooooi, embrasse-mooooooi. Puis elle lui annonça la couleur ; elle fera tout pour qu’il tombe amoureux d’elle. Euuuuhhhh OOOOOK, s’il existait une échelle des psychopathes, alors Diamantika atteignait le sommet. Elle explosait même la jauge. Sale grosse psychopathe de l’amour. Enfin, comme on dit, c’est un concept. Il se mit à rire, amusé par l’assurance de Diamantika ; « Tu me menaces, là ? Et c’est censé m’intimider que tu sois fille d’ambassadeur et de journaliste ? En plus, t’as pas un nom et un prénom qui font peur. Ils sont trop à rallonge, c’est chiant à dire Diamantika Kovalevski. Franchement, si tu veux m’avoir, tu devrais revoir ta phrase d’accroche. » Et baaaam, n’est pas Quentin Tarantino qui veut heiiiing. Une fois qu’il l’eut bien cassé, il voulait son baiser qu’il attendait sagement depuis toute à l’heure, mais toujouuuurs pas. Elle ne fit que baver sur ses lèvres, c’était charmant, très charmant. Heureusement qu’après, elle indiqua sa ferme intention de tester Codynosaure. AAAAH, la partie la plus intéressante dans ce mariage. En plus y a deux spectateurs, ben ouais Joan et Leandro ils vont pouvoir mater, ces cochons. Mais comme dit Freddy Mercury 'THE SHOW MUST GO OOOOON'. Bleeker tenta de paraître le plus détaché possible à l’idée d’amener Codynosaure au cirque ; « Hein ? Ah oui, lui. Ouais si t’as cinq minutes faudra le tester. » Puis ils quittèrent la mairie en gardant un minimum de distance entre euuux.
Lalalalalaaaa je fais une ellipse c’est ça la magie du RP tralalilalaaaaa. Ils descendirent de la voiture de Cody, une fois garés devant une petite maisonnette en pierre, légèrement en banlieue du centre-ville. Ça se voyait que c’était une maison de petite vieille, avec un jardin bien entretenu et une armée de nains en porcelaine sur la pelouse verte. Il commenta en voyant le regard de Dia se perdre sur la décoration de jardin ; « Ils sont flippants, j’te conseille pas de faire du topless dans mon jardin car tu te sentirais épiée. » Il soupçonnait sa mère d’avoir incrusté des caméras dans les yeux des figurines. Il dégaina son trousseau de clefs et ouvrit la porte qui donnait directement sur la pièce de séjour. « Salon, salle à manger, la cuisine est là-bas, pipi-room là. » Petite visite du propriétaire. Pour la dernière pièce, il le dit dans un toussotement, histoire de le dire sans le dire mais en le disant quand même ; « *tousse* Ma chambre est à l’étage *tousse tousse* » Il s’approcha d’elle pour l’aider à retirer son manteau comme un vrai gentleman. Mais il était tellement gentleman qu’il continua le job, déboutonnant les premières paluches de son chemisier. Très professionnel le mec, ça ne se voyait presque pas qu'il était carrément en manque d'elle.

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« Je t'ai prise pour ma future villa à Bora Bora. J'y vais en lune de miel et si je m'y plais, je déciderais d'acheter une maison là-bas. » Dia aura beau vouloir se jouer à la meuf indifférente et plus forte que lui, mais il suffira qu'il ouvre sa bouche pour qu'elle réponde aussitôt. Elle est faible, faible, faible, faible. C'est injuste d'être aussi faible et amoureuse quand l'autre profite justement de ça. J'avais envie pour une fois de jouer à la meuf qui s'en fout, mais impossible et la preuve en est là encore aujourd'hui. Babouin avait ouvert sa bouche et vache avait répondu même pas cinq secondes d'intervalles. Père castor tu nous racontes une histoire encoreeee ?. Il était une fois, un babouin tout poilu rencontra une vache super sexy. Le babouin et la vache se sont rapidement pris la tête, mais, ils ont fini par créer un lien étrange. Babouin adore traire vache qui adore se faire traire par babouin, même qu'ils ont fini par copuler pendant que babouin était toujours en train de traire, ouai, il se dit que faire les deux en même temps, c'est le Jackpot vous voyez ?. Vache a fini par tomber amoureuse de la façon de traire de Babouin et aujourd'hui, elle lui a demandé qu'il devienne son traiteur officiel. Monsieur le babouin, comme pour se faire désirer et faire chier sa vache, demanda un essai d'abord même si au fond de lui, il sait qu'il est déjà tombé amoureux, mais ne veut pas se l'avouer. FIN DE L'HISTOIRE ET SURTOUT H.S DU MATIN. « Tu me menaces, là ? Et c'est censé m'intimider que tu sois fille d'ambassadeur et de journaliste ? En plus, t'as pas un nom et un prénom qui font peur. Ils sont trop à rallonge, c'est chiant à dire Diamantika Kovalevski. Franchement, si tu veux m'avoir, tu devrais revoir ta phrase d'accroche. » Je roulais des yeux en mimant un sifflotement. « Non j'te menace pas, je te lisais juste ton futur ! Et c'était juste pour me donner du style. Puis tu peux bien parler toi, si mon prénom est trop à rallonge, le tien est genre trop pygmée ! Rhaaa et puis je les aime mes noms, rien à foutre qu'ils soient trop longs !. » Fis-je en grimaçant et en lui tirant la langue. Je venais tout de même d'émettre une possibilité de tester son bijou « Hein ? Ah oui, lui. Ouais si t'as cinq minutes faudra le tester. » et même si monsieur jouait au plus malin, je savais qu'il en avait plus envie que moi. Alors, je ne répondis rien, le suivant jusqu'à sa demeure. Et une fois à destination, je parcourais son jardin déjà du regard. Étonnant tous ces nains de jardin. « Ils sont flippants, j'te conseille pas de faire du topless dans mon jardin car tu te sentirais épiée. » Jarquais un sourcil ne préférant pas poser de questions. Il m'invita à entrer chez lui tandis que je parcourais du regard, chaque endroit qu'il me montrait. « Nice Place !. » Complimentais-je jusqu'à ce que monsieur m'indique le chemin de sa chambre en ôtant mon manteau et en commençant à déboutonner mon chemisier. Doucement, je lui retirais ses mains avant de l'attraper par sa cravate et l'attirer jusqu'à l'étage afin qu'il me guide jusqu'à sa chambre. Une fois à l'intérieur, je lâche le jeune homme et ôte mes bottines en laissant tout de même, mes longues chaussettes qui m'arrivaient jusqu'aux genoux. « Ce mariage m'a un petit peu épuisé j'avoue !... » Faisant semblant de bailler, je grimpe sur le lit et m'allonge sous le drap que je remonte jusqu'à mes épaules. « Tu m'réveilles dans une heure ? Le temps de m'assoupir un peu et de reposer mon cerveau !. » J'allais me faire tuer par la babouin ou même pire, me faire violer.
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Maintenant qu’ils s’étaient rendus à Codyland, ce dernier entreprit une petite visite de la maison en présentant vulgairement les quelques pièces constituant le rez-de-chaussée. Il présenta le salon et la salle à manger par principe, puisqu’on sait bien que t’façon c’est à la cuisine que Dia passera le plus clair de son temps, à faire la popote pour Cody (emo) (c’était la minute machoooo du jouuuur). Mais pour le moment, il avait juuuste envie de lui montrer sa chambre afin qu’elle admire la décoration, la tapisserie, la vue … Le tout depuis son lit. Très booooon plan. Il ne ronchonna même pas quand elle le tira par le cravate – d’ailleurs, pour une fois, il avait réussi à la perfection son nœud car cette dernière ne se défit pas sur le chemin de la bedroom. Arrivés à destination, elle retira une bottine, puis l’autre bottine, puis … Elle se coucha. OK, narmol. « Bonne sieste alors … » souffla-t-il, l’œil dubitative. Donc le Codynosaurus Rex attendrait pour son petit quart d’heure de spéléologie ? Mon dieu, mais c’est gore comme comparaison, j’vous laisse imaginer quelle caverne humide il comptait explorer heeeeeiiiin je suis dégueulasse la maintenance ne me réussit pas, ahalalalalalaaaa. Il s’avança vers la fenêtre et s’apprêta à baisser le store ; « Le soleil te dérange ? Et bien, si c’est le cas, tu bouges le cul et tu fermes le rideau, j’suis pas ton esclave. » Et ouuuuuais, c’était Diamantika qu’on testait pendant une semaine, donc pendant une semaine elle devait jouer à la petite amie modèle pour que Cody ait envie de l’engager à temps plein dans sa vie. A son tour, il desserra sa cravate et retira ses baskets – il portait costard + basket, le muuust Justin Timberlake le fait bien – et prit place dans son lit, sous la couette, qu’il remonta à son tour jusqu’aux épaules. « À dans une heure ! » Il se pencha même sur la table de chevet pour brancher le réveil avant de s’allonger correctement dans le lit. Mais … Oui mais voilà. Il leva légèrement la couverture et jeta un coup d’œil à la tenue de Diamantika. « T’as pas chaud comme ça ? Si, tu dois avoir chaud. » Il faisait les questions et les réponses, il trouvait qu’il était un interlocuteur intéressant. Du coup, serviable comme personne, il grimpa sur l’Eliot et tint un petit discours scientifique qu’il avait entendu dans le journal de la santé ce matin-même. « Il faut que tu fasses gaffe à l’hypothermie. Un choc thermique est si vite arrivé. » Il attrapa les pans inférieurs de la tunique de Diamantika et la fit glisser le long de son buste longiligne, ces pupilles s’insinuèrent sur ces formes, ces monts, ces vallées, ces rivières, ces reliefs qui lui avaient tant manqué. Face à Diamantika, Cody s’appelait Cheval Fougueux, chef indien qui, après avoir été expulsé par une armada de cow-boys, reprenait possession de ses terres. « Lève les bras, comme çaaa … La pièce n’est pas chauffée et la couette est très chaude. C’est dangereux de dormir dans un cocon aussi caniculaire, alors en plus si tu gardes tes vêtements, ton corps pourrait très mal s’adapter à cet environnement quand tu te réveilleras toute à l’heure. Et crac, à plus Diamantika. Hyperthermie aigue. » Il jeta le haut, tout juste retiré, par terre. « Attends, j’vérifie que tout va bien, j’suis pas médecin mais là, ton diagnostic vital est lancé. Tu vas peut-être y rester. » C’est ainsi qu’il posa ses mains glacées sur son ventre plat, ses doigts tatillonnaient à partir de la ceinture de son short jusqu’à la frontière de son soutien-gorge qu'il ne franchissait pas, se contentant d'être un gentil petit Mexicain avec son sombrero à la frontière américaine. Entre les deux, il était maître. C’était son terrain de jeu qu’il meublait comme un appart IKEA. À plusieurs endroits, il laissa traîner ses lèvres et comme, en décoration, il n’était pas trop branché surface adhésive, il les incrusta sur sa peau telles des vis, marquant son bas-ventre d’un suçon. Ça manquait pas mal de relief par là, il creusa donc, dans une douceur infinie, l’une après l’autre les côtes apparentes de Dia, demeurant très professionnel dans sa démarche. Pourtant, il la sentait vrombir sous son traitement, tant par le duvet de sa peau qui se surélevaient que par ses jambes qu’il sentait défaillir à sa présence. « Mmh. » marmonna-t-il finalement en se pinçant la lèvre, se redressant et prenant appui sur ses mains postées de part et d’autre de la tête de Dia. « ça devrait être bon, mais refais plus jamais un truc comme ça, t’es prévenue ! J’suis à deux doigts de ta passer un bilan de santé complet pour m’assurer que tout va bien. » La santé avant tout ! Docteur Bleeker (ouais, le docteur au nom de pygmée) y mettait un point d’honneur.
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Au lieu de me faire une visite intégrale de son cocon familiale, Cody décida de passer cette partie en ne me montrant que brièvement quelques endroits. Ce que Cody préférait, c'était la visite de sa chambre. Pas du tout en manque le mec. Putain c'est écrit en énormes caractères au milieu de son front. "DIA J'AI ENVIE DE TOI". Je me suis donc empressée de le tirer par sa cravate pour qu'on se dépêche de monter. Je savais qu'il vivait avec sa fille et sa mère et à mon entrée, je n'avais vu personne. Du coup, j'ai donc conclu qu'il y avait personne et que justement, c'était le moment d'en profiter. Mais une fois dans sa chambre, j'ai préférée me jouer à la petite bitchy de service en le laissant en plan et en préférant sommeiller plutôt que copuler. « Bonne sieste alors ... » Sous le drap, je laisse un petit rire m'échapper, mais sans bruit. « Le soleil te dérange ? Et bien, si c'est le cas, tu bouges le cul et tu fermes le rideau, j'suis pas ton esclave. » Dit-il alors que je ne répondais toujours rien. J'avais le droit à une petite farce n'est-ce pas ? Après tout, il avait décidé de se marier sans même m'en souffler un mot, je pouvais bien me permettre une petite vengeance non ?. Je sentais les draps bouger, le lit grincer et à son tour il avait grimpé. « À dans une heure ! » Je demeurais toujours silencieuse, pas le moment de craquer et ce que je voulais, c'est qu'il craque. « T'as pas chaud comme ça ? Si, tu dois avoir chaud. » Il va craquer, il va craquer, encore quelques secondes de silence et ça sera dans la poche. Le lowell grimpa soudainement sur moi. Me pivotant rapidement, dos contre lit. YAHOUUUUUUUUUU il a craquéééééé, il a craquééééé !. Me voici à présent, large sourire aux lèvres. « Il faut que tu fasses gaffe à l'hypothermie. Un choc thermique est si vite arrivé. » J'arquais un sourcil d'incompréhension totale. Qu'est-ce qu'il allait encore inviter pour me dessaper ?. Il glissa lentement ma tunique le long de mon corps. « Lève les bras, comme çaaa ... La pièce n'est pas chauffée et la couette est très chaude. C'est dangereux de dormir dans un cocon aussi caniculaire, alors en plus si tu gardes tes vêtements, ton corps pourrait très mal s'adapter à cet environnement quand tu te réveilleras toute à l'heure. Et crac, à plus Diamantika. Hyperthermie aiguë. Attends, j'vérifie que tout va bien, j'suis pas médecin mais là, ton diagnostic vital est lancé. Tu vas peut-être y rester. » Je lui obéis en levant les mains -Dia a pris la place de Kiki fait- le laissant retirer mon haut qu'il balança au sol. Mais le babouin semblait bien lancé. Puisqu'il posa ses mains glacées sur mon ventre chaud tandis qu'un gros frisson s'empara de moi, me cambrant légèrement pour accueillir une légère électrisation. Mes pores se sont rapidement ouverts laissant mes poils s'hérisser. Et ça ce n'était rien comparé à ses lèvres qui parcouraient chaque partielle de ma peau jusqu'à me laisser un suçon au bas ventre, à l'entrée de Kovagin. Je fus à cet instant, dépossédée de mon propre corps, dans un tourbillon de sensations intenses. Il se redressa rapidement, venant prendre ma tête en otage. « Mmh. ça devrait être bon, mais refais plus jamais un truc comme ça, t'es prévenue ! J'suis à deux doigts de ta passer un bilan de santé complet pour m'assurer que tout va bien.» Mon regard se noya littéralement dans le sien, tandis que mon cœur tambourinait sans relâche. « CODYYYYYYYYYYYY !!!!! » Criais-je un peu moins fort ouaich. C'était ça, plutôt qu'un grognement vous voyez ?. « Viens dans mon coeurrrrr !. » Je lui ouvrais mes bras, j'avais envie d'un câlin NOW !. J'avais eu la peur et la pire journée de ma vie, alors je méritais bien ce câlin. Bras entour sa nuque, je l'oblige à venir fourrer sa tête dans mon cou. D'ici, il pouvait entendre mon cœur battre tellement vite, tellement fort. Mes mains se glissent dans ses cheveux que je caresse tendrement. Je me voulais douce ce soir et non sauvage. « Ce soir, je m'abandonne dans tes bras. Ce soir, c'est toi qui mène la danse !. » Dis-je en relevant sa tête, gardant quelques secondes mes mains sur son visage, le temps de partager un tendre et passionnant baiser. Puis, mes doigts commencèrent le dessapage du seul beau mâle de mon cœur. D'abord, la cravate et ensuite la chemise, laissant mes mains gambader sensuellement et surtout tendrement un peu partout sur son dos, ses épaules, ses bras...
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Dès aujourd’hui, Cody changeait d’orientation. Nooooon, il ne passait pas des fruits de mer aux saucisses de Strasbourg, c’est pas ça que je veux dire. Mais dès à présent, on pouvait dire adieu à l’étudiant en économiste, au futur Keynes, Hayek, au magnat de la finance, au Steve Jobs des idées loufoques … Cody était un autre homme. Il s’était trouvé une vocation nouvelle pour la médecine. Il songeait à devenir cardiologue ou gynécologue. Il avait le choix entre s’occuper des poitrines ou des vagins. C’est dommage de diviser les deux by the way, parce que les deux vont en général ensemble. M’enfin, il pouvait toujours inventer une spécialité, genre la cardiogynécologie et intégrer un peu de kinésithérapie car le kinésithérapeute peut tripoter ses patientes sans craindre de représailles puisque c’est son job de masser les gens. Voilà, la profession future de Cody serait la cardiokinégycologie. Qui dit mieux ? 44 points au Scrabble ! Cody vainqueur par KOOOO, ouuuuh yeah. Bref, après avoir partagé son projet de lui faire passer un bilan de santé complet – on ne lui reprochera jamais d’être trop prudent – Diamantika se mit à crier. « Quoi, déjà ?! » Wesh, Cody est un dieu, il fait crier les nanas juste en les touchant 30 secondes. Il méritait son titre de dieu du pieu, noooon ? Finalement, elle souhaitait juste mettre à profit les compétences de son petit ami TEST en matière de cardiologie. Obéissant et rigoureux, il se coucha sur elle, fourrant son visage dans le creux de son cou, à gauche de sa tête. « Ton cœur, c’est le tambourin africain des temps modernes, une reprise d’AC/DC sans le gars qui gueule par derrière, la musique de suspense dans Psychose. Arrête-le, arrête-le, il va sortir de ta poitrine et j’vais passer quatre heures au pressing pour nettoyer mes draps. » Et la flemme, en quatre heures il pouvait faire tout un tas de choses intéressantes, comme faire l’amour à Diamantika. Ben oui, elle lui proposait ça si gentimeeeent, elle allait être sa chose pour toute la soirée à venir – enfin, jusqu’à ce que sa mère rentre du yoga, dans ce cas faudra être un minimum discrets. Il étouffa un petit rire et se redressa, prêt à rencontrer ses lèvres. « Alors quoi ? C’est toujours moi qui mène la danse et toi qui te soumets. » Rendons à César ce qui appartient à César. Elle entreprit de le déshabilla, terminant de retirer sa laisse sa fichue cravate, bien vite rejointe par sa chemise de grand seigneur qu’il avait enfilée spécialement pour le mariage. Sa peau devint neige, elle fondait, fondait, fondait sous les doigts de Dia, laissant des empreintes qui ne s’effaceraient que lorsque le soleil se lèverait. Mais ce n’était pas pour tout de suite. La fin d’après-midi leur appartenait, la soirée leur appartenait, la nuit leur appartient. « Tu me fais confiance ? » fit-il en reprenant sa magnifiqueeee cravate achetée 3 dollars chez Monoprix, la tendant sous les yeux. Se rendant compte que ça le faisait passer un peu pour un adepte du SM, il fit les gros yeux et bafouilla ; « Non non non, c’est pas pour jouer à Fifty Shades, c’est pour bander ! » Euuuuh, là, ce qu’il disait était limite piiiire. « Les YEUX, bander les YEUX. Pas … Non, enfin non mais si mais non quoi, merde. » Pour qu’elle oublie ce petit instant de cafouillage, il l’embrassa, dévora ses lèvres avec tendresse et envie, son torse ondulait au rythme de leurs lèvres qui se redécouvraient, perdant ses mains volubiles sur tout son flanc qui se courbait. Ouais bon, à défaut de lui laver la mémoire, il lui lavait la bouche face #momentdégueulassedujour.
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J'avais entrepris de crier son prénom plutôt que de grogner. Je trouvais ça plus sexy en fait, nouvelle mode à rajouter, crier le nom de votre partenaire plutôt que grogner... ou pas en fait... « Quoi, déjà ?! » parce que voilà que monsieur s'imaginait être le roi du sport au lit sans vraiment lever le petit doigt. Sauf que non, avec Dia, faut justement lever le petit doigt, même si c'est étrangement vrai qu'elle réagissait beaucoup plus vite que la normal lorsque le babouin la touchait. A vraiment se demander qui était Zoophile, Dia ou Cody ? Ou les deux. Rien ne vaut un petit moment de tendresse après l'horrible journée que je venais de passer et quoi de mieux que demander les bras de mon petit-ami ouai je m'en foutisme que ce soit TEST ou pas. Il logea donc mon cou et écouta les battements de mon cœur. Ce dernier donnait l'impression de vouloir sortir de sa cage thoracique pour pouvoir sortir de ma poitrine et aller rejoindre le cœur de mon bien-aimé. Je fermais les yeux quelques instants, laissant donc mes mains le couvrir de douces caresses au niveau de sa cuir chevelu et sa nuque. « Ton cœur, c'est le tambourin africain des temps modernes, une reprise d'AC/DC sans le gars qui gueule par derrière, la musique de suspense dans Psychose. Arrête-le, arrête-le, il va sortir de ta poitrine et j'vais passer quatre heures au pressing pour nettoyer mes draps. » Je laisse un rire s'échapper dans les airs tandis que je rouvre les yeux. « C'est malheureusement impossible de l'arrêter quand t'es là... Il n'obéit plus. » Aussi simple que l'eau de roche. Quand Bleeker est dans les parages, il réussit à activer le mode, "affolement" et quand il n'est pas là, mon cœur reprend le cours de sa vie. Et ça, c'était l'histoire de mon cœur en une phrase et osef en fait. « Alors quoi ? C'est toujours moi qui mène la danse et toi qui te soumets. » J'arquais un sourcil, style gros mytho et macho en plus. Ouai non, ce serait toucher son égo que d'avouer que c'était toujours moi qui prenais les reines. Je vais le laisser avoir le dernier mot, car de toute façon, il savait bien au fond de lui que c'était moi, la reine de la piaule ou dois-je dire, la déesse de l'amour et du sexe. Un simple « Next !. » pour ne pas m'attarder sur ce sujet-là. Un grand sourire néanmoins, j'adoptais. Suite à cela, nous avons partagé un langoureux baiser et passé à son dessapage, du moins, déjà la cravate et son chemisier. « Tu me fais confiance ? » Pourquoi est-ce que je sentais le pire arriver ?. D'ailleurs, lorsqu'il attrapa sa cravate, je fis de gros yeux. Il ne comptait pas m'attacher au lit là, si ?. Ce serait carrément du sadomasochisme, quoi que c'était peut-être son kiff et qu'il fallait que je me plie à ses exigences si je ne voulais pas qu'aille voir ailleurs. « Non non non, c'est pas pour jouer à Fifty Shades, c'est pour bander ! » Je fronçais les sourcils, encore pire comme conclusion. Le mariage ne lui réussit pas, oh ça non. Cody avait pété les plombs. Il avait complètement déraillé, un fusible avait sauté dans sa tête. Je n'imaginais pas du tout un Cody avec ce genre d'idée farfelues. Du coup, là j'avais envie de découvrir de quoi il était capable. « Les YEUX, bander les YEUX. Pas ... Non, enfin non mais si mais non quoi, merde. » Que c'est mignonnnnnnnnnnnnnnnnnn, il se perdait dans ses propres mots. J'éclatais de rire en laissant ma tête retomber contre le coussin. Et même pas j'ai eu le temps de reprendre mon souffle, qu'il vint me fermer la gueule en m'embrassant. Okey, okey. Ça je ne m'y attendais pas du tout. Je prolongeais avec délice, comment dire non à ses lèvres ? Impossible. Il peut baver, je m'en fiche, on partage déjà nos salives alors je la connaissais par cœur maintenant, la sienne. Ouaichhh, tel mari, telle maîtresse et petite-amie test. Comme je manquais d'air, monsieur ne m'a pas laissé le temps de respirer. Je posais mes paumes sur son torse et le repoussais légèrement, reprenant rapidement mon souffle. Regardant quelques instants la cravate dans ses mains, je me mordillais la lèvre inférieure. « Je te fais confiance Bleeker !. » Murmurais-je tendrement à son oreille avant de lui mordiller sensuellement et langoureusement, sa lobe. « Je te fais entièrement confiance !. » Pas pour ce soir, mais pour la suite de notre relation et j'espère vraiment ne pas regretter. J'espère ne pas tomber bas, ne pas m'être prise pour la dernière des imbéciles en lui ouvrant mon cœur et lui offrant ma confiance. S'il me trahit, il est mort. Oui, oui, je vais l'assassiner et plus jamais de Cody dans ce monde ou alors c'est moi qui vais me pendre en laissant un mot à toutes les femmes qui croient qu'un homme mérite d'avoir notre confiance. Ouaich, Diamantika pourrait devenir réalisatrice et faire de nombreux films Diamatrique aka dramatique. Oui, mais non, ne parlons pas malheur, Bleeker n'était pas de ce style d'homme. Et mon cœur me susurrait que je pouvais avoir totalement confiance en lui. « Et tu bandes déjà depuis longtemps l'babouin !. » Fis-je en faisant semblant de siffloter dans le vide. Oui, il n'y avait qu'à regarder son pantalon pour le voir. Il y avait une légère bosse au niveau de son entre-jambes et il ne faut pas avoir un diplôme en sexe pour savoir ce que cela voulait dire.
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