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NOW LET ME HOLD YOUR HAND ❋ JOADYKANDRO

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Son cœur n’obéissait plus quand elle était avec lui, son cœur refuser de cesser de battre, son cœur s’entêtait à cogner sa cage thoracique, à fissurer la moelle osseuse pour s’éjecter or de cette prison de cartilage et de chair. Son cœur, lui, disait non. Pendant quelques secondes, Cody l’admira, bien que son esprit voguait vers des contrées lointaines, en train de discuter avec son cœur à lui, l’interrogeant sur ce qu’il ressentait, comment il se sentait, s’il pouvait affronter un cœur à cœur incessamment sous peu. La vérité, c’est que Cody n’était pas Cristina Yang. Dans Grey’s Anatomy, cette chirurgienne ne craignait pas une seconde de manipuler le cœur d’un papy de 77 ans ou d’un enfant de 3 jours, à peine sorti du ventre de sa maman. Mais pour Cody, plus les instants s’enchaînaient, plus la pellicule se déroulait, plus il éprouvait chaque contact avec Dia comme une opération à cœur ouvert, la chair à vif, les nerfs chauds, la dopamine qui s’éjectait et inhibait chacun de ses neurones, laissant place à une sensation de plaisir inégalée. A elle seule, en ne faisant strictement rien, Diamantika agissait sur Cody comme de l’adrénaline par intraveineuse à flux constant. Ça ne s’arrêtait pas, jamais. D’un souffle, d’un simple murmure, il la supplia ; « Fais-le obéir, avant qu’on … Avant que je … » M’attache à toi ? Que je tombe amoureux de toi ? Non, non, il chassa ces idées de sa tête. Non non, une belle connerie. AVANT QUE JE BANDE. Voilàààààààà, on a la fin de la phrase wesh. Après tout, Dia et Cody, à la base, ce n’était que du sexe, n’est-ce pas ? Voilààà, fallait qu’ils s’en tiennent aux bases. Enfin j’croooois. Il tenait fermement entre ses doigts la pièce de tissu lui servant précédemment de cravate. Sans faire exprès – et non ce n’était pas un lapsus révélateur – il cafouilla littéralement en débutant par une proposition SM pour embrayer sur une pratique étrange pour sortir Codynosaure du nid. Bref, chelou. Pour zapper le tout, il embrassa passionnément Diamantikrotte juste avant que celle-ci ne puisse glisser tout contre son oreille Ô combien elle lui faisait confiance. Et pas que pour lui bander les yeux. Il lui lançait un sourire sincère, légèrement esquissé, dévoilant que partiellement ses dents blanches, sa lèvre inférieure tremblotait sous le poids de cette révélation. Bien sûr, elle cassa tout le romantisme de l’instant en indiquant que ça faisait un moment que Codynosaure s’était réveillé. Euuuuh ouuui, certes. Il baissa systématiquement ses yeux vers son entrejambe pour constater à son tour l’évidence. « Oui ben il va patienter encore un peu, c’est pas l’heure de faire son tour de magie. Et arrête de regarder. » T’façon dans 30 secondes, elle n’aurait plus trop le choix. Il déplia la cravate de façon à ce qu’il constitue un bandeau qui recouvrirait le visage de Dia, de ses sourcils au haut de ses pommettes rosées, nouant délicatement le tout à l’arrière de son crâne. Il dégagea son front de ses mèches rebelles avant d’y plaquer ses lèvres fébriles pendant quinze longues secondes. Ce petit de répit lui faisait du bien, ce petit moment où il sentait le souffle de Kovache dans son cou recouvrir chaque pore de sa peau diaphane qui se dilatait comme les pupilles d’un chaque dans l’obscurité. Ça lui faisait du bien, son corps tressaillit. Il ne suffisait que de ça pour qu’il tressaille. C’en était inquiétant. Il lui souffla par la suite dans le creux de l’oreille ; « Allonge-toi sur ton gros bide, je reviens dans une minute. » Il prit quand même le temps de dévorer la chair de son cou, de la marquer de ses incisives de rongeur, d’embrasser l’antre de ses seins, de consacrer un peu d’attention au gros bide en question et leva pour quitter le lit, puis la pièce. Fallait qu’il fasse quelques provisions, les choses sérieuses allaient commencer.
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Je ne pouvais pas arrêter les battements de mon coeur, je ne les contrôlais tellement pas quand il était près de moi. C'était ainsi, c'était automatique. Cody est là, coeur bat vite. Cody est pas là, coeur bat lentement. « Fais-le obéir, avant qu'on ... Avant que je ... » Avant qu'il quoi ? Qu'il se laisse hypnotiser par les battements amoureux de mon coeur et qu'il tombe amoureux ?. Pourquoi avait-il peur d'aimer ? Ça n'avait pas marché avec Danae et alors ? Cela ne veut pas dire que ça ne marchera pas avec toutes les autres filles. Il est juste en train de laisser passer sa chance de pouvoir construire quelque chose avec moi, de passer à côté d'une histoire vraie, d'un amour sincère, d'une fille qui se fout totalement de ses défauts et le prend comme tel, qui l'aime ainsi. Une fille avec qui il peut être lui-même sans être obligé de se cacher derrière un masque. Et il se refuse d'aimer à nouveau ? De me laisser entrer dans son coeur, pourquoi ? Pour une histoire qui n'a pas marché, pour une fille qui ne lui était pas destinée en fin de compte ?. Il laissait passer tout cela et le jour où il se rendra compte qu'il avait fait l'erreur de sa vie en craignant que son passé se répète et bien ce jour-là, il aura peut-être tout perdu et se retrouvera à la case départ. Moi je lui donnais tout, mon corps, mon âme, mon coeur, mais ce n'était pas suffisant ou c'était beaucoup trop pour lui, puisqu'il s'était simplement arrêté à mon corps. Mais encore aujourd'hui plus qu'hier, je garde espoir. L'espoir qu'il tombe enfin amoureux de moi et qu'il m'appartienne entièrement, car son corps ne me suffisait pas, ou plus. Je venais de lui faire la remarque comme quoi, monsieur bandait déjà et c'était le cas à en juger par sa petite bosse qui grossissait de plus en plus d'ailleurs. Je le conseillerai d'ôter son pantalon, Codynosaure devait être en train d'étouffer là. « Oui ben il va patienter encore un peu, c'est pas l'heure de faire son tour de magie. Et arrête de regarder. » J'essayais de ne pas regarder, mais, mes yeux retombaient maladroitement dessus. « Pas ma faute...il est en train de grossir de plus en plus, il d'vient flagrant. Une oeuvre d'art, libère-le, le pauvre doit être en train de s'étouffer dans ton pantalon... » De nouveau, j'essayais de regarder ailleurs en me mordillant la lèvre. Savoir que je lui faisais autant d'effets me rendait toute chose, même plus heureuse que le jour où j'ai eu ma première voiture, ou même mon diplôme au lycée.... 'fin heureuse quoi et surtout satisfaite. Moment de silence et... Cody me banda les yeux avec sa cravate. Noir complet. Je ne voyais plus rien et c'était flippant. Mais bien vite, il posa ses lèvres sur mon front qui avait eu le même effet qu'un adoucissant. Quelques souffles chauds s'échappaient de mes lèvres pour s'écraser dans le cou du Lowell. Son geste affectueux et tendre, me faisait fondre. J'aimais lorsqu'il était comme ça aussi, cela me prouvait à moi -pas à lui puisqu'il était aveugle- qu'il tenait à moi plus que il ne le voyait et plus qu'une sex-friend. Seriously ? Quel genre de sex-friend adopterait ce comportement avec une fille qu'il compte baiser et ensuite la demander de s'en aller après ?. Euhhhhhhhhhhh aucun non !. Après quelques secondes de pures bonheurs à sentir ses lèvres sur mon front, mon bien-aimé me susurra à l'oreille. « Allonge-toi sur ton gros bide, je reviens dans une minute. » Mais avant qu'il ne décampe, monsieur devait m'achever en parcourant de ses lèvres, mon cou, l'entrée de mes seins et mon bide. Une vague de chaleur et de passion m'emporta en m'obligeant à me cambrer légèrement et à lâcher un soupire assez sensuelle tandis que mes pensées se disloquèrent dans une pluie romantique. Et pouffff plus rien. Je ne voyais rien, mais je constatais qu'il n'était plus là, alors, je retire mon short et me retourne contre mon bide. Restant donc en soutif, mini boxeur noir de femme style demi-fesses et mes longues chaussettes noirs. Mes jambes se balançaient timidement dans le vide, mes yeux perdus dans la rumeur du noir artificiel de la cravate. Attendant impatiemment que mon homme des cavernes, mon babouin, mon bien-aimé, mon amant, mon amoureux, mon petit-ami -test- l'homme dont je suis folle amoureuse, se ramène car il me manquait déjà.
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L'amour n'a jamais été quelque chose que craignait Cody. L'amour rendait vivant. L'amour signifiait le dépassement de soi. L'amour, c'était un Grand Prix de Formule 1 où on prenait chaque virage à 200km/h sans se demander si la courbe n'était pas un peu trop resserrée pour le faire, sans calculer la probabilité de terminer droit dans la chicane. L'amour, c'est le risque, un risque pour lequel on n'enregistre aucune provision, pour lequel on ne souscrit à aucune assurance. L'amour, c'est un risque qu'on prend même en sachant qu'on peut finir plus bas que terre en souhaitant toucher les étoiles. Et toucher les étoiles, c'est beau, peu importe le temps que ça prend. Voyez, Rosetta, elle a quand même mis dix putains d'années à se poser sur une comète, comète sur laquelle elle s'est finalement très mal harnachée. Et tout ça pour quoi ? Pour envoyer depuis l'espace un cliché flou avec des cratères dessus. J'aurais fait un trou dans la terre, c'aurait été pareil. Et tout ça pour quoi ? Parce que ce voyage en valait la peine. Et ce voyage, jamais Cody n'avait réfuté à le faire ... Avant aujourd'hui. On pouvait dire ce qu'on voulait, qu'il attachait bien trop d'importance à son histoire avec Danae ... Mais merde, il avait foiré avec la nana la plus parfaite de l'univers. Comment c'est possible de merder avec la perfection ? Comment ce serait donc possible de ne pas merder avec une fille ultra possessive, lunatique, jalouse, une pelote de nerfs, une pile électrique ? C'était voué à l'échec. Cody avait peur que sa nacelle spatiale explose trente secondes après le décollage comme la fusée à la NASA. Même la NASA a merdé. Donc Cody merderait. CQFD. Et Dia ne méritait pas ça. Même si elle ne le réalisait pas encore, obnubilé par une vision des choses faussée, modifiée par le filtre jaune d'instagram qui rendrait même une cuvette terriblement sexy. La preuve, elle trouvait même qu'un pénis était une oeuvre d'art. Oy oy oy. Voici les effets de la drogue sur votre organisme. « Il n'a pas de nez, il ne risque pas de s'étouffer. En plus, faut que tu arrêtes de le complimenter, il va prendre la grosse tête et pourra plus passer les portes. » Même si les portes chez Diamantika étaient grandes et ouvertes *siffle* Après ça, il quitta la chambre direction la cuisine où il fit quelques provisions ; un pot de crème glacée vraiment très glacée, une pomme découpée en quartier, une barre chocolatée, un piment et il emporta même l'une des grandes orchidées blanches auxquelles sa maman accordait une attention digne ... D'une maman. Ahlala, heureusement qu'elle n'était pas là pour voir les idées loufoques de son fils avec son plan-cul. Il remonta à la chambre, vraiment silencieusement, à pas de loup, et posa au sol ses petites courses. Ensuite, il libéra totalement Codynosaure, puisque ça ne changeait pas grand-chose qu'il le fasse maintenant ou toute à l'heure. Il attrapa la longue fleur, recouverte de pétales blancs, légers et volubiles, et la dirigea sur les jambes de Dia, guettant le moment où elle sursauterait de surprise. Délicatement, il dessina des ronds à la plante de ses pieds, glissant inlassablement le long de son mollet, se réfugiant dans le creux de son genou, à l'orée de sa grosse chaussette en laine, remontant lentement à l'arrière de sa cuisse, se délectant du potentiel sentiment de frustration qui naissait chez Dia. La fleur continua son chemin, ses fesses, son coccyx, le bas de son dos, la courbe de ses reins. Les frissons étaient visibles, la chaleur était palpable. La fleur montait encore, toujours, jusqu'à se lover dans la nuque de Dia. À ce moment-là, Cody l'escalada, passant ses genoux de part et d’autres de ses fesses, se couchant sur elle jusqu’à ce que son torse imprime chaque courbe de son dos à la perfection. Il se pencha, épousa chaque forme, se tordit littéralement le cou pour prendre possession des lèvres de Kovache, en posant doucement et sensuellement ses doigts au berceau de sa mâchoire pour diriger son visage tout contre le sien. Leurs souffles se perdaient et ce n’était que le début. Et putain, ce qu’il avait envie d’elle. Et pas besoin de le dire, ça se sentait très bien.
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« Il n'a pas de nez, il ne risque pas de s'étouffer. En plus, faut que tu arrêtes de le complimenter, il va prendre la grosse tête et pourra plus passer les portes. » Encore heureux que Codynosaure n'avait pas de nez ein. D'après Pascal Quignard, aimer, c'est pouvoir penser tout haut avec un autre être humain. Confier ce qui passe par la tête, c'est comme arracher le voile sur sa nudité et ses états. L'intimité ne se discerne pas de l'extrême franchise. C'est l'indécence même. Et Hippolyte Adolphe cite que: aimer, c'est avoir pour but le bonheur d'un autre, se subordonner à lui, s'employer et se dévouer à son bien. Donc l'amour c'est un désir énigmatique, qui débouche sur un désir mystérieux simultané. Et d'après Diamantika Kovalvski: aimer, source de stress, de peur. Source de joie de bonheur. Ce mot d'espoir et de désespoir. D'échecs et de victoires. Ce mot qui fait couler les larmes, son feu qui brûle les âmes, sa douceur qui éteint les flammes. L'amour est très flou et rend le sage fou. Mais le vrai amour, c'est d'aimer sans raison, sans attendre la récolte des saisons. C'est d'aimer en douceur, sans provoquer la peur, sans provoquer la douleur, sans traumatiser les cœurs. Il faut juste y croire pour que ce soit possible. Sinon, c'est voué à l'échec. D'ailleurs, je partage également les dires d'Hippolyte, l'amour c'est penser au bonheur de l'autre et se dévouer entièrement à lui. C'est ce que je fais avec Cody. C'est ce que je fais lorsque j'aime tout court. Je me dévoue entièrement à l'être aimé et ce, peu importe si je risque de tomber, de souffrir et d'avoir le cœur brisé. On tombe une fois, on tombe deux fois, on tombe trois fois, on tombe autant de fois que le ciel veut, mais on ne peut pas empêcher un cœur d'aimer, on ne peut pas se passer d'amour, on ne peut pas défier l'amour. Et c'est ce que j'ai appris en croyant qu'après ma séparation avec Jeremiah, j'en étais immunisé. Sauf que non, puisque me voilà aujourd'hui, amoureuse. Il ne faut pas résister, il faut se lâcher et ne penser qu'aux bons côtés des choses, car les mauvais côtés ne vous feront jamais avancer et lorsque le monde tournera, vous, vous serez toujours bloqué au même endroit avec cette même peur de souffrir et de vivre un nouvel échec. Et c'était ce que Cody était en train de faire, il n'avançait plus alors que le monde lui tournait. Et pourquoi ? Parce que ce fut la deuxième ou troisième fois qu'il tombe. L'amour c'est comme un enfant qui apprend à marcher et qui tombe mainte et mainte fois, mais toujours, se relève pour apprendre à ne plus tomber. Moi, je ne veux pas me poser des tas de questions sur le futur, de si oui ou non, ça ne marchera pas avec Cody, ce que je veux, c'est de vivre l'instant présent afin de pouvoir moi-même préparer mon futur. Allongée à plat ventre, mes pensées fusaient une à une dans ma tête, lorsque j'entendis la porte se rouvrir. Et dix secondes après, quelque chose se glissait sur mes jambes, parcourant tout un chemin sensuel jusqu'à ma nuque. Ma respiration s'était accélérée, mon corps fut parcouru d'un frisson de plaisir, tandis que je serrais le drap du lit du bout des doigts. Les papillons de me ventre se réveillaient en bataillons. Et ensuite, le lowell vint prendre place sur mes fesses alors qu'il épousa mon corps, penchant son cou pour pouvoir me voler les lèvres. Il m'aida à pencher suffisamment mon visage grâce à sa main posée sur ma mâchoire. Je prends appuis sur mes paumes afin de me redresser un peu pour pouvoir l'embrasser à pleine bouche. Je me laissais entrainer par cet ouragan qu'était Bleeker. Ma langue joua avec la sienne. Ce baiser dura peut être une seconde ou un millénaire avant que j'y mette fin sur la petite douleur de mon cou qui venait de se créer. Va-t-il m'enlever cette cravate ?. Parce que je voulais voir ses yeux, ses lèvres, son nez, son corps et cette pensée m'obligea à me mordre l'intérieur de ma lèvre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi, autant maintenant succomber à notre désir de s'unir. Mais, Cody avait décidé de faire durer le supplice apparemment. « J'ai tellement envie d'toi, arrête de me torturer Bleeker, fais-moi plutôt l'amour... » Murmurais-je sensuellement en me mordillant de nouveau les lèvres, cherchant à pouvoir entendre ses gestes et deviner ce qu'il faisait.
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Ce soir, Cody ferait l’amour à Diamantika comme il l’aimait. Son temps il prendra, de jouer avec elle il se permettra, tester ses limites il n’hésitera pas. Après tout, étymologiquement, faire l’amour ne signifiait pas fabriquer l’amour ? C’est ce dont Cody avait besoin, il avait besoin de construire un temple à leur effigie, un sanctuaire dans lequel eux seuls reposeraient, où leurs propres offrandes leur seraient destinées. Il voulait bâtir un château, voire le palais de Cléopâtre en plein milieu du désert. Avec un architecte comme Numerobis et la potion magique de Panoramix, ils étaient parvenus à l’ériger en seulement trois mois. TROIS MOIS. Mais Cody ? Combien de temps mettrait-il à bâtir ce temple, ce château, ce palais à l’image de leur amour ? Ou non-amour ? Lui qui tatillonnait ne serait-ce que pour poser les bases. Il avait besoin de temps, beaucoup de temps, pour accepter qu’il n’était pas l’unique responsable du naufrage du Codae, ce navire pourtant promis à un grand avenir. Comme le Titanic, by the way. En quittant l’Angleterre, on ne pouvait pas prévoir que sa coque se briserait sur un gros glaçon en plein milieu de l’océan, à peine trois jours après l’embarquement. D’ailleurs, il a coulé dans la nuit du 14 avril. Je suis née le 14 avril. Coïncidence ? Je ne crooooouaaaaas pas. Le Codae avait donc eu le même destin que Titanic et pourtant, Cody avait cru à son côté invincible, à l’amour plus fort que tout, que la mort, que les mœurs, que les rumeurs. Et il craignait simplement que le schéma se répète avec une fille aussi conflictuelle que Dia. Et s’il lui brisait le cœur ? Elle semblait tellement attachée à lui en si peu de temps et, ça, c’était flippant. Et c’était flippant de voir comment, malgré lui, il dépendait carrément d’elle. Ils se complétaient. Même leurs silhouettes semblaient avoir été taillées pour s’unir l’une contre l’autre, l’une dans l’autre. Et pourtant, Cody n’avait pas une silhouette qui correspondait à tous les types de morphologie hein, donc ça relevait limite du miracle. Mais il réalisait la chance qu’il avait de l’avoir, malgré tout. « Je m’abandonne à tes bras ce soir Cody, c’est toi qui mènes la danse Cody, fais ce que tu as envie Codyyyyyy je t'en priiiiiieeee je suis à touuuua. » répéta-t-il en reprenant son discours tenu il y a peut-être une vingtaine de minutes. Oui, il imitait très bien Dia, 10/10, 20/20, 30/30 enfin vous avez compris j’vais pas tous les faire non plus. Il étouffa un petit rire avant de glisser chaleureusement ses lèvres dans son cou. Ses doigts s’attelaient à retirer l’agrafe de son soutien-gorge, donc les bretelles glissèrent le long de ses bras au fur et mesure que ses lèvres suivaient un chemin invisible jusqu’aux mains de Diamantika. Voilà, ses seins étaient libérés, délivrééééés, ce qui n’était pas le cas de la Kovache que Cody comptait faire languir encore et encore. Il voulait jouer avec elle, avec ses nerfs. En plus, il songeait à remplacer le vibreur de son iPhone par le corps de sa petite amie TEST parce que ouais, niveau spasme, ça y allait. Il se pencha à l’extérieur du lit pour attraper un morceau de pomme qu’il mit en bouche avant de se coucher de nouveau sur son vacherin préféré, partant à la conquête de ses lèvres. Il les effleura du bout du quartier de la pomme, laissant le goût acide infiltrer ses papilles, la faire frémir de part le sucre qui s’en extirpait, lui intimant d’entrouvrir ses lèvres pour goûter à ce fruit. Il fit la même chose avec la barre chocolatée qui succéda à la pomme, très vite. Un peu de douceur, beaucoup de douceur, mais aussi de la chaleur, de la frustration, des goûts de sueur qui perlaient sur leur peau, leurs deux corps qui suppliaient, qui criaient à la fusion. Qui demandaient leur anticipation. Qui refusaient d’être contrôlés au bon vouloir de Cody. Il plaqua sa tempe contre la sienne, regardant dans la même direction qu’elle. Ses lèvres tremblaient, son souffle se saccadait, il était cruel avec lui-même, il luttait pour ne pas juste lui sauter dessus. Pour faire durer l’instant. Une nuit de noces, il n’en aurait qu’une et il était heureux de la partager avec elle. « Tu … Peux te retourner … » Le début de la délivrance ? Maybe. Ou pas. C’est Cody, hein.
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« Je m'abandonne à tes bras ce soir Cody, c'est toi qui mènes la danse Cody, fais ce que tu as envie Codyyyyyy je t'en priiiiiieeee je suis à touuuua. » HA HA HA ! Monsieur s'amusait à m'imiter surement qu'il devait jubiler que j'en vienne à le supplier pour qu'il s'occupe de moi, pour qu'il me fasse l'amour. Mais c'est surtout parce que j'avais envie de lui et non parce que j'avais envie de faire l'amour. J'avais surtout envie de lui, uniquement lui. Du coup, je laisse un soupire m'échapper puisque je ne pouvais grimacer. « Azy moque toi spèce d'homme des cavernes ! Tu préfères peut-être que j'aille supplier un autre de s'occuper de moi et de me faire l'amour... » Balançais-je comme une possibilité. Il n'avait qu'à pas se moquer de moi, ou même se vanter qu'une fille le supplie à moitié de lui faire l'amour. Encore une fois, ce n'était pas le sexe en lui-même que je voulais, mais le corps de Cody dans le mien. Le lowell passa maintenant aux choses sérieuses, puisqu'il s'attela à l'agrafe de mon soutif et libéra mes seins de leurs prisons. Je sentais à cet instant, une petite brise glacé réveiller les pores de mes tétons. Soudainement, je sentis le jeune homme se pencher, me libérant un peu de son gros popotin qui pesait lourd quand même. Je cherchais à entendre n'importe quoi, oui, là je ne pouvais me fier qu'à mon ouïe. Il s'approcha de nouveau, cherchant mes lèvres et les trouvèrent. Cependant, je frémis sous la fraîcheur de quelque chose qui frôlait ma bouche. Je penchais légèrement la tête, entrouvrant mes lèvres pour goûter à cette...pomme ?. Oui c'était bien une pomme à en juger par son goût. Cette pomme atterrissait sur ma langue tandis que je n'en fis qu'une bouchée. « Mhm... Une pomme verte. » Une pomme verte est à la fois sucré et acidulé contrairement à une pomme rouge. Et c'était le cas avec ce morceau de pomme. Il refit la même chose avec une barre chocolaté. Idem, je croquais dedans et cette fois-ci, tout en mangeant j'émettais comme des grognements de plaisir. « Miammm... J'adore le chocolat. » Et une fois bien avalé, je passe ma langue sur ma bouche pour ôter tout le chocolat au coin de mes lèvres et surtout ne pas en perdre le goût, bien que je préfère nettement plus, le goût des lèvres du lowell. Sans que je ne m'y attende, Bleeker colla sa tempe à la mienne, alors que je fixais droit devant moi sans voir quelque chose malheureusement, maudite cravateeuhhh. Seulement, je pouvais sentir sa respiration, son souffle chaud, son corps trembler. Il était cruel avec moi, mais cruel avec lui également, à en juger par les faits ici présent. Le cœur battant, je tente de reprendre un rythme normal, mais impossible. Mon corps était en éruption volcanique et je ne pouvais plus rien maintenant. Je le voulais, now. « Tu ... Peux te retourner ... » Allalujah !. Vais-je pouvoir enfin voir de nouveau ?. Je me retourne en ayant une main posée sur mes seins pour l'empêcher de les voir. Je ne le voyais pas, ça me faisait donc bizarre de le laisser voir mes deux bébés ainsi. De mon autre main libre, je pose quelques bouts de doigts hésitants sur son ventre, les glissant timidement jusqu'à sa nuque, remontant dans ses cheveux pour passer sur son visage. Je commençais par le front côté gauche, descendant doucement sur son œil, puis sa joue et enfin ses lèvres, voulant m'imprégner de chaque détail. Mes doigts caresseraient le coin de ses lèvres, lorsque soudainement, je laisse retomber mon bras lourdement sur le lit. « T'es cruel.... » Murmurais-je avec pourtant, un large sourire. Gardant toujours une main sur ma poitrine.
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Demander à un autre de s’occuper de Dia ? Euuuuuh non, Cody avait le monopole sur son corps, sur ses seins, sa bouche, son cœur, sur TOUT. Vous pensez bien que même s’il savait qu’elle balançait des paroles en l’air histoire de le faire rager un p’tit coup, ben le Bleeker ne laissait rien passer, totalement intransigeant sur son doigt de propriété à son égard. Et weeeesh, s’il avait été avocat, Cody Bleeker aurait été un gros relou. Bref, il s’indigna ; « Oui ben bien sûûûûrrrrr, fais donc çaaaaa, j’te préviens que mon offre de te couper les seins si tu vas voir un autre homme tient toujours. » Jaloux ? Non non … Enfin si beaucouuuup. On parle quand même du même homme qui a boudé l’autre soir parce que des lucioles ont pu mater ses seins dans la voiture et que lui non, heeeeiiing. A part çaaaa, la possessive dans leur pas-couple s’appelait Diamantika. Par la suite, Cody trouva qu’il avait été un super mauvais hôte pendant le mariage. Merde, cérémonie de merde et … même pas de banquet ! Du coup, il rattrapa son erreur en nourrissant sa Kovache avec de l’herbe en lui glissant directement entre les lèvres des morceaux de fruits et de chocolat. Guuuys, mangez cinq fruits et légumes par jouuur, ceci est un message du ministère de la santé et des sports. Franchement, si on faisait respecter les recommandations de la sorte, Cody deviendrait herbivore ! Comme ça il lui suivrait le régime alimentaire de sa potentielle future petite amie si Dieu le veut. « Tu sais reconnaître une pomme rouge d’une pomme verte rien qu’au goût ? T’es plus intelligente que je ne le pensais. » Si un jour il participait à Money Drop ou à Qui Veut Gagner Des Millions ou bien à tout autre jeu qui nécessite un minimum de matière grise, il y irait avec Dia. Enfin, il était temps d’arrêter de jouer, merde, Cody était en ébullition, il se sentait comme un bouillon de légumes qu’on avait oublié sur le feu. Il suppliait soit qu’on arrête cette putain de plaque de cuisson, soit qu’on le déguste (puisque ce serait dommage d’être arrivé là pour ne pas le manger, quoi). Donc ouais, il était temps de passer à la séance dégustation. « Tu veux pas que Papa Cody voit Bébé Cody et Bébé Cody ? » Il arqua un sourcil en la voyant recouvrir sa poitrine de son bras. « Egoïste … » la traita-t-il finalement, tétanisé, immobilisé par ses doigts fins qui parcouraient le contour de ses lèvres à l’aveugle. Il s’humecta les lèvres et vint déposer un léger baiser au bout de son index. « T’es belle. » renchérit-il quand elle annonça qu’il était cruel. Instant de silence. Solennel. Tendre. Sensuelle et désinvolte, sa main descendit tout le long de son ventre, trouvant refuge au cœur de son boxer pour réveiller l’innommable Kovagin, cette bête féroce qui ne ferait qu’une bouchée de son Codynosaure dans les secondes à venir. « T’es belle quand j’vois pas la moitié de ton visage. » Il pouffa de rire avant de cueillir ses lèvres. C’est horrible, il était cruel avec lui-même, il sentait tous ses muscles se tendre, trop de pression, trop de stress, ils étaient prêts à démissionner si Cody ne relâchait pas un peu toute cette tension. Mais le dépôt de bilan était proche, il la voulait, il la désirait, son corps criait famine, Codynosaure demandait réparation. Avec envie, il lui dévora, il lui mordilla la lèvre. Il retira le dernier bout de tissu qui le séparait de la fusion de ces deux êtres dans un tourbillon d’émotion. Il gardait quand même les chaussettes, il les trouvait cooooool. Cody prit en main le bout du drap avec lequel il les enveloppait tous les deux, formant ainsi un petit cocon, une prison fermée de l’intérieur dont eux seuls avaient la clef. Le roseau flirtait avec le nénuphar au sommet de la mare et le jeune homme caressait le visage de sa belle du bout du nez. Soudain, il eut une idée G-E-N-I-A-L-E. LE PIMENT. L’occasion de s’amuser une dernière fois avant l’apocalypse. Il attrapa l’objet de ses convoitises qu’il glissa entre ses lèvres et entreprit le même manège qu’avec la pomme et le chocolat. Il caressa la bouche de la brunette avec l’épice (le piment, pas le cunnam, lui don’t touch tes lips NOW LET ME HOLD YOUR HAND ❋ JOADYKANDRO - Page 5 3861440630) et c’est seulement en croquant qu’elle verrait de quoi il s’agissait. Et ce n’était pas un petit piment acheté bon marché, non, c’était un piment rouge, importé tout droit du Mexique. Cody allait bien rire. En plus, il continuait à onduler tout contre elle, pressant Dia pour qu’elle croque une bonne fois pour toute dans cette épice du feu de dieu. Cody était un connard. Mais entre Amour et Humour, il n’y a qu’une syllabe.
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« Oui ben bien sûûûûrrrrr, fais donc çaaaaa, j'te préviens que mon offre de te couper les seins si tu vas voir un autre homme tient toujours. » Bah bien-sûr et après, c'est uniquement moi la possessive, namého. Il arrivait même à être jaloux de ces pauvres petites lucioles pour avoir eu la chance de mater mes jolis boobs et après c'est moi la jalouse et possessive ?. Cependant, je ne répondis rien parce que je plaisais de temps à autre à le provoquer, alors, laissons tout ça en suspens histoire que ça le travail un peu et que ça le fait encore plus rager. Après la dégustation des deux fruits que je pus facilement reconnaître, Cody fut assez étonné. « Tu sais reconnaître une pomme rouge d'une pomme verte rien qu'au goût ? T'es plus intelligente que je ne le pensais. » Ouai, Dia était plus intelligente que l'image qu'elle donnait. Il faut juste apprendre à la connaître et ne pas se fier à sa première impression de bimbo et rebelle sur mesure. En tout cas, j'étais plus intelligente que l'homme ici présent. « C'est trop facile Bleeker, même un enfant pourrait faire la différence... » Tout le monde sauf Cody Bleeker. Je parie même que sa fille est totalement plus intelligente que lui. Dommage que son père lui apprend à dessiner des choses bizarres. Alalalalalala. « Tu veux pas que Papa Cody voit Bébé Cody et Bébé Cody ? Egoïste ... » Me traitant parce que je venais de me retourner en cachant mes bébés à MOI namého. Ce ne sera ses bébés que lorsqu'il m'appartiendra pour la vie. Ouai, mais non, je ne pouvais pas tellement le contredire parce que monsieur les avait déjà nommé faisant d'eux, sa propriété. Je n'avais malheureusement pas mon mot à dire, sinon, je risquais de m'en prendre pleins la tronche de ses menaces à deux balles, comme quoi, je pouvais oublier Codynosaure et il était capable en plus. Vaut mieux pas prendre de risque. Je le voulais en entier et là, je suis en train de m'égarer et vaut mieux que je redescende sur terre avant de dire des bêtises. Lorsque ma main parcourra son visage, je sentis ses lèvres déposer un petit baiser sur mon index. Geste qui me fit frémir. « T'es belle. » Murmura-t-il après l'avoir traité d'homme cruel. Sans comprendre comment, mes joues viraient au rouge pivoine. Le lowell glissa sa main jusqu'à mon bas ventre devant l'entrée de Kovagin. Je me cambre à sa rencontre, soupire, mon cœur tambourine. « T'es belle quand j'vois pas la moitié de ton visage. » Pouffa-t-il de rire. Je le savais. Il profitait du fait que j'étais à sa merci et ce n'était pas cool. Vengeance, il y aura. Il me dévora et me mordilla les lèvres tandis qu'il profita pour m'ôter mon mini boxeur en mettant à nue, ma petite fleur. Je ne pouvais pas la cacher, car monsieur s'amusait maintenant à onduler sur mon corps en laissant son nez caresser mon visage. Une vague de chaleur s'empara de corps, un tourbillon de sensations fusaient, je tremblais, soupirant de plaisir, mes pupilles s'étaient dilatées à travers la cravate. Je remontais doucement mes jambes, les écartant légèrement en plaquant tout de même mes cuisses sur ses hanches. Lorsque de nouveau, il approcha ses lèvres des miennes où je pouvais sentir quelque chose. Il n'avait pas fini de me nourrir ou quoi ?. Bon alors qu'on en finisseeeeeeee. A peine je croque dans ce que je croyais être un nouveau fruit, l'odeur parvint rapidement à mes narines. Une odeur que je pouvais reconnaitre les yeux bandés. Le piment. J'adorais le piment alors normal que je capte tout. Cependant, je croque encore jusqu'à couper le piment en deux, je redresse ma tête avec la ferme intention de le frotter contre les lèvres de ce petit con d'amour qui voulait m'avoir, mais finalement, je m'arrête et repose ma tête sur le coussin. Et sans dire un mot, je commence à manger le piment. Au fur et à mesure que mangeais, mes larmes coulaient, non pas que je pleurais, mais c'était l'effet du piment. Je serre le drap entre mes doigts parce que ça me brulait et j'en pouvais plus. Les larmes sortaient de la cravate glissant sur mes joues, alors que ma respiration s'était accélérée. J'avais promis de m'abandonner à lui ce soir, d'être à sa merci, alors je jouais à son petit jeu et j'espère que là, il était satisfait. J'avalais difficilement le piment tout en relâchant le drap que j'avais froissé maintenant entre mes doigts. « De l'eau... de l'eau... » Murmurais-je sans pour autant crier, je restais froide, sans montrer le mal que cela était en train de faire à ma bouche.
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Leçon number one à lire et à retenir ; une nana, ce n'est pas un pote. Ton pote, tu peux lui tartiner la main de crème fraîche pendant son sommeil et lui chatouiller le nez par la suite pour que, pensant avoir affaire à un moustique nasophile, il se frappe violemment le visage et s'étale ainsi la crème sur la figure. Un pote, tu peux lui baisser le froc en public, il rira, il se dévouera corps et âme à te rendre la pareille. Un pote, tu peux lui faire bouffer du piment, il relèvera le défi avec classe et honneur. Une fille, en revanche, ça pleure, ça crie, ça se plaint, ça rigole pas, c'est chiant, ça pourrit l'ambiance. Et c'est exactement ce qui se passa dans ce moment où, pourtant, ils étaient tous les deux aussi chauds que la Côte d'Ivoire en période estivale. My goood. Mais la saison des pluies s'abattit sur eux et un torrent s'écoula des yeux de Diamantika. Aussitôt, Cody retira le bandeau. Ses yeux brillaient. Il n'était pas une pie voleuse attirée par tout ce qui brille mais il se jeta à corps perdu sur ces larmes qu'il ne voulait pas voir. « Non Dia, je t'en prie, pleure pas pleure pas tu n’peux pas pleurer tu m'aimes donc tu peux pas pleurer. » L'argument choc. Il encadra son visage de ses mains au niveau du menton et au sommet de son crâne et déposa une dizaine de petits baisers sur ses joues et sur ses pommettes comme pour essuyer ces larmes qui perlaient, totalement hors de contrôle. « C'était censé être drôle, c'était censé être ... Je sais pas, mais c'était censé l'être. » répéta-t-il la voix brisée, cassée, paumée. Puis il cueillit ses lèvres, cherchant à l’embrasser tendrement, amoureusement, mais dès que sa langue franchit la barrière de ses lèvres, il se rendit compte qu’il devait payer un droit de passage ; le goût du piment se propagea jusqu’à son œsophage et Cody se retira immédiatement, toussotant, suffoquant. « Putain, c’est costaud cette merdeeee. » Dire que sa môman le mettait dans le même poulet Basquaise qu’elle servait à sa fille. Pas sûr que ce soit bon pour sa croissance heiiiing si Maggie l’apprenait … Bref, Cody enfouit son visage dans son cou, cherchant à la canaliser en caressant doucement sa joue, malgré les gémissements qu’elle lâchait pour réclamer un peu d’eau. Et le pire dans tout ça, c’est le sentiment qui se dégageait de ce piment avalé. Cody avait l’impression que Dia ne l’avait fait que parce qu’elle promit à Cody de s’abandonner totalement à lui cette nuit. Et ça, Bleeker le vécut mal, mais mal. Elle s’était forcée, elle pleurait et lui, redescendait de son petit nuage. Il culpabilisait vraiment, vraiment beaucoup. Enfin, il se pencha pour attraper le pot de crème glacée qu’il avait ramené plus tôt, en même temps que ses autres provisions et, notamment, le piment. Il arracha le couvercle (ou le couvert :sifle:) avec ses dents et chopa la petite cuillère en plastique qu’il remplit d’une bonne grosse bouchée de vanille qu’il tendit à Dia. « Tiens, tiens, mange ça. Pardonne-moi, j’suis désolé, j’suis désolé, pleure pas, rrrrrhaaaa pleure pas. » En vrai, il paniquait carrément. De base, il n’aimait pas faire pleurer les filles. Ensuite, l’adrénaline de l’instant faisait que toutes ses émotions se décuplaient, ses sens étaient en émois et honnêtement, il se questionnait quant aux sentiments de Diamantika. Non pas qu’il en doutait. Au contraire. Ils étaient forts, Cody en détenait la confirmation. Trop forts. Ce n’était peut-être qu’un bête piment, mais ça prouvait qu’elle serait capable de tout pour lui. Ça commence par un piment, une signature sur un contrat de mariage avec une autre femme, et après elle se jettera sous une voiture pour attirer l’attention. Il avait peur de ne pas pouvoir contrôler les émotions de Diamantika. De ne pas pouvoir LA contrôler, de ne pas gérer ses larmes, ses cris, ses crises … Elle lui faisait peur, elle lui foutait les boules. S’en rendait-elle compte ? Se rendait-elle compte que Cody n’était peut-être pas en mesure de gérer une petite amie comme elle ? Il multipliait les baisers dans son cou, glissant et peignant ses cheveux de ses longs doigts, cherchant à la réconforter à sa façon. Ce n’était pas une nouveauté, il craignait pour consoler les gens. Alors Dia … Jamais il ne l’inviterait dans un restaurant mexicain.
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J'avais promis quelque chose et je tenais toujours mes promesses, c'est pourquoi, j'avais choisi de ne pas retourner son plan diabolique contre lui, mais plutôt faire ce qu'il voulait que je fasse. Maintenant, ma bouche était en feu et mes larmes ne cessaient de couler. Fort heureusement et surtout ENFIN, il me retira le bandeau des yeux. « Non Dia, je t'en prie, pleure pas pleure pas tu n'peux pas pleurer tu m'aimes donc tu peux pas pleurer. » Oui je l'aime et c'est bien pour ça que j'avais mangé ce piment, mais je ne pleurais pas, c'est le piment qui me faisait couler les larmes sans mon autorisation. En même temps, je ne pouvais rien contrôler et là tout ce que je voulais, c'était quelque chose pour apaiser mon mal. Il déposa une multitude de petits baisers sur mes joues pour effacer mon visage de ces larmes interminables. « C'était censé être drôle, c'était censé être ... Je sais pas, mais c'était censé l'être. » Censé être drôle ? Le piment est censé être drôle ? Goshhh, il était vraiment irrécupérable ce mec. Je ne sais pas ce qu'on va faire de lui. Malgré le piment qui continuait de bruler ma langue, je laisse un sourire s'étendre sur mon visage. Parce que le voir aussi inquiet pour moi, me plaisait, mais graveeeeeee. Là, c'est moi qui jubilais. Cependant, il fit l'erreur de m'embrasser, je voulais l'en empêcher, mais c'était trop tard, il avait déjà fourré sa langue dans ma bouche et malheureusement pour lui, il fut rapidement contaminé. Il retira ses lèvres en toussotant. « Putain, c'est costaud cette merdeeee. » Si lui avait touché à peine et il ça lui avait fait ça, comment moi qui avais carrément mangé, croqué les petites graines ?. Je vous laisse imaginer mon état. Si seulement il y avait du miel, la douleur se serait estompé après seulement six petites cuillères. Soufflant de temps à autres, respiration accélérée, lèvres qui tremblaient prenant une couleur rouge. J'essayais de me calmer, mais rien à faire et mon fleuve de larmes continuait tranquillement de couler. Cody s'empara d'un pot de glace avant de l'ouvrir y plongeant une cuillère en plastique afin de la remplir et de la tendre vers mon visage. « Tiens, tiens, mange ça. Pardonne-moi, j'suis désolé, j'suis désolé, pleure pas, rrrrrhaaaa pleure pas. » Je redresse ma tête et cueille la glace dans ma bouche. Je ferme les yeux, mon dieu que ça faisait du bien. « Encore... » Dis-je en avalant la bouchée que j'avais déjà. L'opération se répéta plusieurs fois avant que ça me soulage un peu. En même temps, je profitais de ce moment pour une fois qu'il me nourrissait, ce n'est pas toujours qu'il est aussi attentionné alors faut profiter et jouer un peu les bébés gâtés. Il fourra son visage dans mon cou et me berça à sa façon. Je ne rêvais pas, Cody était bien en train de me faire un câlin sans que je ne lui demande. Que c'était bonnnnnn. Je glisse mes bras dans son dos, les croisent et le serre tout contre moi. « J'pleure pas...j'pleure pas mon... C'est l'effet du piment, c'est ainsi qu'il agit quand on en abuse !. » Oh putainnnn, j'ai failli dire mon amour, mon coeur, mon bien-aimé...Alalalalala. « Tu veux voir ?. » Dis-je avant de renverser les positions et de me mettre à califourchon sur lui. J'attrape l'autre moité du piment et fait semblant de l'approcher à ses lèvres tout en riant diaboliquement, mais rapidement, je pose mes lèvres sur les siennes plutôt que le piment que je balançais ailleurs. Je l'embrasse de tout mon être, de tout mon âme, de tout mon cœur, de tout mon soûl. Un baiser passionnant, langoureux et amoureux. Je retire mes lèvres quelques minutes après avant d'attraper le pot de glace et d'en étaler sur ses deux tétons. BON APPÉTIT DIA. J'embrasse ses tétons sensuellement, dévorant tendrement la glace à l'aide de ma langue.
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