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I CAN'T SLEEP AT NIGHT, GET IT OFF OF MY MIND ❋ CECE

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La jeune femme faisait Leo ambassadeur de la gente masculine, mais bon sang quel mauvais diplomate il pouvait faire. La brune insistait, jurant que leur nuit n'avait été qu'un écart dans la vie du Mather, qu'il avait été prit de folie et qu'en gros, lorsqu'il sortirait de sa phase de transe, il regretterait immédiatement. Ce sur quoi elle se trompait, c'est que Leo n'avait jamais été attiré par les filles normales, les jolies filles mignonnes, il s'en lassait, il préférait de loin celles qui sortaient du lot. Attention, il n'était pas en train de se faire une pseudo-confession sur des pseudo-sentiments à l'égard de Cece, mais si envisager coucher avec elle lui avait été impossible à croire un jour, il ne voyait plus ça de la même manière. D'un côté elle avait raison, elle ne serait peut-être pas une conquête dont il se vanterait, car il restait un vrai mec bien con au fond, il allait pas raconter à ses potes qu'il avait pécho la Cerceï, peut-être devrait-il. Ça améliorerait peut-être le quotidien de la jeune femme. Allez savoir. Il fit tourner son gobelet dans ses mains, cherchant ce qu'il pouvait bien répondre à tout ça. À vrai dire, sa réponse était toute faite, toute prête, toute nette dans sa tête, mais pourquoi était-ce si dur à sortir ? Puis finalement, il osa, plantant son regard dans celui de Lawrence, ignorant toute trace de rougeur ou de gêne sur le visage de la Lowell, il irait au bout de son discours, il se le promettait. « Je crois que tu mets tout ça sur le compte de ma prétendue folie, mais si tu as tant l'habitude de te faire avoir, pourquoi tu m'as laissé faire ? Tu sais comme je suis, non ? T'as laissé faire, tu t'es laissée embrasser, comme si tu attendais quelque chose. T'es pas blasé, c'est ce que tu veux faire croire, mais au fond tu espères, tu as espéré que je sois pas comme les autres. La vérité c'est qu'une fois dans ma chambre j'ai oublié comment tu étais, je t'embrassais peu importe ce à quoi tu ressemblais. Et si un jour ça venait à se savoir, j'assumerai, j'ai pas honte, tu devrais pas non plus. »
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w/ leo halberstam.

Quoi ? Il n'a pas pensé un seul instant que cela puisse arriver j'en suis persuadée. Ce sont des circonstances qui font que c'est le cas... Pas la réalité des choses, il... Je ne veux rien attendre de lui, ce serait trop facile dans le cas contraire. Et ensuite ? Que serais-je sensée faire ? Je ne sais plus ce que je veux ou je désire, je suis une coquille vide, sans émotion, sans vie, sans rien de tout ça... Je donne rien, je ne prend rien, je ne compte pas vraiment. BORDEL DE MERDE ça me fait chier en faite. Il relève la tête, me regarde... Je ne vacille pas, pas tout de suite... Enfin, quand il me parle je me sens... énervé. c'est faux, il ne dit que des âneries. En faite, non... Il dit les mots qui font mal... La vérité fait mal. « J'ai pas honte... Ce sont des statistiques Leo, je fais les comptes depuis 21 ans, et c'est comme cela. » Lui avouais-je avant de passer ma main dans mes cheveux répondant à ce qu'il dit... Parce que ça me gêne vraiment qu'il puisse croire cela... Je veux dire. ça ne s'est pas passé comme cela. « Tu es comme les autres, tu oublieras si facilement la petite cece, je le savais et j'ai fais en connaissance de cause. J'ai apprécié cela, j'ai fais quelque chose de fou ce soir là, c'était surprenant, je ne comprend pas, mais je l'ai fais... » Je baisse les yeux, réfléchissant tout haut à cette soudaine révélation qui frappe mon esprits. « C'est peut-être ça la raison...je dois arrêter de croire que quelqu'un m'aimera moi et je dois juste profiter. » Comment profiter quand des images sordides martèlent mon esprit depuis ce fameux jour. Je relève la tête vers lui. « T'es exaspérant Halberstam. » Pour retourner mon cerveau comme ça. Je boude maladroitement, j'essaye, j'arrive pas, ça craint.
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Donc c'était ça son truc à elle ? Elle se contentait d'être et de mener la vie que les autres attendez d'elle. Alors quoi, elle jouait au même jeu que les autres, donnant de bon gré le rôle du gros relou de sa vie à Leo comme si ça le satisfaisait. Elle cherchait pas plus, lui non plus, et d'ici quelques semaines ils en arriveraient à vraiment pas pouvoir se voir. Il s'en moquait de devenir son pote, il trouverait mieux à faire s'il était vraiment le genre de mecs qu'elle semblait croire qu'il était. Alors Halberstam parce qu'il était d'origine mexicaine aller devoir servir des tacos au buffet de son mariage et sûrement car il était californien, Cece devait le penser bon au surf ou alors croire qu'il avait déjà été figurant sur une production hollywoodienne. Elle voulait fuir les stéréotypes ou s'enfoncer dedans ? « Justement tu n'as que 21 ans ! Tu comptes baser tout le reste de ta vie sur une seule malheureuse expérience ? C'est ça ton truc ? Désolé je marche pas, compte pas sur moi pour m'embarquer dans ce truc, c'est le moment où jamais de montrer que c'est pas ça ta vie. Je comprends pas quel est ton but. » C'était lui qui était exaspérant sérieusement ? De quelle planète débarquait cette fille ? Quoiqu'il en soit, il termina son café avant que celui-ci ne soit totalement froid. « Et il y a rien que j'arrive à expliquer de façon logique chez toi, je comprends pas comment tu fonctionnes et ce que tu as derrière la tête. »
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w/ leo halberstam.

Je ne comprends pas ce qui me dérange tant chez lui. Ses manières, cette façon de dire les choses directement, sans passer par des tournures et de la guimauve. Il pense, il dit et ça m'énerve. Parce qu'à chaque fois il tombe juste... Ou au contraire se trompe complètement mais provoque mon agacement. Je suis agacée par son comportement. Je l'écoute alors que j'ai envie de lui dire combien ma vie n'a été qu'une succession de mauvaises expériences. Au lycée en Angleterre, ma première fois avec un connard de première, Kirill et ses promesses, mon agression dans les toilettes. Vingt et un ans et oui... OUI je suis encore jeune mais c'est bien assez pour me méfier des gens. AH qu'il m'exaspère avec cette façon de croire que la vie est facile. MERDE, il est beau la vie pour lui est forcément facile. « Je t'ai rien demandé. » J'ai lâché les mots avec un tel mépris que j'en suis surprise. Il ne sait pas qui je suis, il ne me connait pas. Il ne sait rien... Et pourquoi je fais ça ? J'en sais rien, surement pour le faire taire, pour qu'il arrête de croire que je suis une fille dérangée, pour qu'il cesse de penser que je suis une pauvre petite chose qui se plaint de sa vie, qui ne prend pas sa vie en main ou tout simplement parce que j'en avais envie. Mais avant qu'il ne puisse dire quelque chose, je me lève et je prend son visage d'ange entre mes mains et je l'embrasse. J'écrase plutôt mes lèvres contre les siennes, ici à la vue de tous, comme ça sur un coup de tête. J'ai mal, ça fait mal quelque part, parce que j'ai pas le droit de faire cela après ce qui m'est arrivé et en même temps... En même temps ça me rend plus forte. Bordel, c'est bizarre. Je lâche ses lèvres sa tête et je le regarde. « Je te l'ai déjà dis, je ne tourne plus rond depuis longtemps. » Je me mordille la lèvre, exaspérée quelque part... Perdue également mais avec cette fierté, je ne suis pas quelqu'un qu'on catalogue facilement. « Ce n'est pas seulement une expérience Leo, ce sont des fragments de ma vie qui me poussent à dire... que certaine personne sont faites pour être aimé et d'autre non. J'ai compris cela dans les toilettes, alors que j'étais seule avec un pervers salopard. Qu'est ce qui le poussait à s'attaquer à moi ? Qu'est ce qui pousse un homme à violer une femme ? J'ai embrassé le doyen à la remise de prix, j'ai emmerdé les gens qui ont votés pour moi comme la moins stylés, je suis tombée amoureuse d'un garçon qui a juste parié sur moi pour coucher avec la grosse du campus. Je n'ai pas eu le cran de hurler quand on m'a... Je ne suis pas... il n'y a rien de logique. » Et il n'y aura jamais rien de logique chez moi... « Je suis folle c'est tout... » Finissais-je par dire, en... souriant légèrement... Je le suis, c'est tout. Folle, frappé, écorchée, et je cherche encore comment continuer...
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Il resta sur les fesses, quand il l'avait vu se lever, il s'était attendu à ce que la jeune femme parte de son côté, en boudant, pleurant, criant, l'insultant. Un nombre incroyable de scénario s'était bousculé dans sa tête en un quart de seconde. Aucun d'entre eux ne contenait un baiser de la part de Cece, encore moins directement sur les lèvres. Pourtant c'est ce qu'elle fit, là au beau milieu du Starbucks de l'université, elle s'approcha de lui, ne laissant aucune possibilité à Leo de la repousser, de tourner la tête ou quoique ce soit. Sous le coup de la surprise, le brunet se leva d'un seul coup, repoussant la chaise derrière lui par la même occasion, bousculant la table ce qui fit vaciller puis tomber leurs gobelets. Le Mather était partagé entre la colère et la frustration. Non, elle ne lui demandait rien, même pas son accord avant de l'embrasser devant une bonne partie des étudiants de l'université. Un rictus déformait son visage tandis qu'il se concentrait pour ne pas faire attention aux gens autour d'eux. C'était pas son plus gros problème pour l'instant. Rapidement, Leo laissa échapper un reniflement moqueur, elle chutait donc elle l'entraînait avec elle c'était ça son deal ? « Et alors ? Parce que tu es folle à lier t'as le droit de faire … ça ? Ok ta vie c'est pas la fête, ok t'as le droit à une marge assez importante pour te venger de tout ce qui t'arrive ou t'es arrivé, mais pas sur moi, te venge pas avec moi. Si j'étais sympa je pourrais t'aider à vivre, mais j'ai carrément du mal avec le côté obscur de la Force. Alors choisis ton camp de suite, je peux pas supporter tes sautes d'humeur, c'est pas pour moi ce genre de choses. » dit-il en tendant de garder son calme. Comme dirait Pierre Bergé à Yves St-Laurent, tu veux vivre ou tu veux mourir ? Parce que si tu veux mourir je peux rien faire pour toi, a.k.a la plus jolie des phrases du film avec Pierre Niney, c'était le point culture du rp revenons à nos deux beaux moutons. « Choisis. Quelle Cerceï Lawrence tu dois me présenter, soit celle qui a décidé que je valais pas mieux que les autres, soit celle qui m'embrasse quand ça lui pète. Je veux pas être un con de plus dans ta vie, laisse-moi au moins le droit de pas en être hein, que je puisse agir en conséquence. »
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w/ leo halberstam.

Sur une échelle à dix concernant la connerie, je pense sincèrement que je me situe au niveau... 11 voir 12. Je ne sais pas trop ce qui m'a pris de faire ça, ma tête je suppose. La folie. Non la folie a bon dos. J'ai fais ça, pour qu'il arrête de croire je ne sais quoi... Je ne sais pas moi même ce que je suis, je n'ai pas encore cette réponse, mais je ne suis pas ça. Je ne suis pas la fille que je crois voir dans ses yeux. Après l'effet surprise, ça à fait du bruit. Les gobelets sont par terre, la chaise pas loin, des regards sur nous. Okay, j'avais zappé cette affaire, mais je le regarde... Il est en colère ? Qu'est ce que j'ai fais encore ? « okay. » après sa longue tirade c'est la seule chose de sensée que j'ai réussi à pondre, je sais c'est carrément flippant de comprendre que je ne sais dire que ça mais je suis un peu sous le choc moi aussi. Mais je le montre pas, parce qu'il n'est pas encore parti en courage. Bon sang, mais en quel métal est-il fait ce Halberstam franchement ? Je me pince les lèvres, à moitié à côté de la plaque, avant de lever un sourcil. « J'ai toujours trouvé fun dark vador. » Je grimace parce que c'est sérieux ce qu'il me dit et c'est pas le moment de faire des blagues franchement, ça sert à rien du tout. Je m'étais faite une fausse idée de lui, je n'allais pas le lui dire, bon sang non mais... je devais admettre qu'il était plus que surprenant et je ne sais même pas, pourquoi il est pas encore parti en courant... « Prouve moi que t'es pas un con... » Je fais une petite moue avant de rajouter, navrée. « Après tout, y'as que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. » J'ai toujours détesté cette phrase, mais elle se porte bien à la situation, je trouve.
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Non, partir en courant n'était pas la première chose qui avait traversé l'esprit du brunet, allez savoir pourquoi, même pas il n'osait se poser la question parce qu'il n'avait pas la réponse, c'était tout, comme ça, allez hop on passe à autre chose. Puis elle était longue à répondre, elle prenait son temps, agaçant encore un peu plus Halberstam qui pendant qu'elle ne parlait pas avait tout le loisir de réfléchir sur la situation. Pourri pourri pourri. Il allait faire quoi maintenant ? Pas par rapport aux gens autour, ni même à Cece directement, mais si quelques minutes plutôt il ne se sentait pas assez impliqué dans la vie de la brune pour agir sur celle-ci, en un baiser volé et deux cafés renversés, il trouvait qu'il prenait d'un coup beaucoup trop de place. « Très bien, j'pense qu'on devrait sortir, c'est pas une affaire publique et j'ai aucune envie de faire le ménage. » Et c'est ce moment là que Leo choisit pour faire sa sortie fracassante du Starbucks … tirant Cece par le bras pour l'entraîner avec lui. Fallait le suivre le petit, il la traînait partout, et la pauvre n'en sortait jamais totalement indemne. Pour ce qui est des sorties théâtrales, le Mather comptait bien travailler dessus d'urgence, parce que pour l'instant il se démerdait plutôt mal. Quand ils furent assez éloignés et qu'il avait assez marché vite pour montrer un semblant d'énervement, il s'arrêta, croisant les bras sur son torse, se calmant alors. « Qu'est ce que tu attends vraiment de moi ? Me dis pas rien, tu attends quelque chose, alors dis le moi je verrai ce que je peux faire. »
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w/ leo halberstam.

Aie aie aie. Mais qu'est ce que j'attends de lui. Bon sang, je pars vite et je passe à autre chose. C'est plus simple comme cela, au lieu de te ridiculiser en spectacle, au lieu de t'énerver contre lui, au lieu de te sentir soudainement éprise d'un sentiment qui n'a pas lieu d'être. Ce garçon n'est pas logique, il est... irritable et franchement, je dois partir partir et ne pas me rabaisser à l'envie de lui montrer qui je suis. Franchement, qui je suis ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdue... J'ai besoin d'être... Libéréeee, délivréeeee... POAW. Une minute, la folie est plus grande que ce que je pensais. Il me prend par le bras et nous voilà dehors à marcher, malgré moi sans que je puisse dire quoique ce soit. Tout se bouscule dans ma tête, j'analyse la situation et ça ne me plait pas du tout. N'attends rien de lui, n'attends strictement rien de lui. Ma conscience gronde, vraiment... Fortement et m'ordonne de quitter cet endroit. Ni vu ni connu, si je fais demi tour ça devrait le faire et il en serait que plus heureux. Merde on s'arrête. Merde il me demande quelque chose. Okay, j'étais en colère, j'étais mal à l'aise, j'ai été folle et là... Là, je n'ai plus de répartie. BORDEL c'est pas juste. Intérieurement je boude, extérieurement je suis en état de choc. « Je... » Qu'est ce que j'attends de lui ? Pfff, je ne sais pas, vraiment pas. Qu'il arrête de dire des phrases d'une vérité facile comme s'il me connaissait. Qu'il arrête de réagir l'inverse de ce que j'attends de lui, qu'il soit celui que j'attend qu'il soit. Un connard de mec comme tous les autres. Rien ne sort... Je m'engouffre sérieusement dans la médiocrité. Dans des abysses angoissantes. Je ne veux rien de lui pourtant je suis là. Il a raison je veux vraiment quelque chose de lui. P*tain de merde ça... Me fait chier qu'il ait toujours raison ce... « Je veux que tu me fasses oublier mes démons. En étant je ne sais quoi... Je veux dire... Je fais des choses insensées quand tu es dans les parages, c'est flippant. Mais... j'apprécie. » Je me mordille la lèvre, je ne veux pas lui devoir quoique ce soit, qu'il se force, ou qu'il prenne peur. J'en ai marre de tout ça. Je... poaw, il me retourne toujours le cerveau. « Je ne sais pas ce que j'attend de toi. C'est LE paradoxe de ma vie, mais je sais ce que je ne veux pas... Je veux pas que tu sois juste un ami, comme je peux en avoir, je ne veux pas compter fleurette avec toi non plus, ce n'est pas envisageable. Je veux que tu arrêtes de dire ses phrases qui font mal... mais qui sont d'une justesse troublante, tu me rends vivante. C'est trop compliqué pour moi, tu ne veux pas juste... me prouver que le monde doit continuer de tourner malgré les angoisses chroniques de mon monde. » Je le fixe avant de réagir à mon tour. « Et toi, qu'attends-tu de moi ? » c'est vrai, il est là en face de moi, il aurait pu partir, il aurait pu en rire, il aurait pu ne jamais m'adresser la parole. C'est vrai ça, il veut se prouver quoi ? Que la charité existe, ça nous le savons tous...
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Ah ! Et bien voilà enfin quelque chose de concluant dans cette histoire ! Cerceï savait ce qu'elle voulait ce qu'elle attendait de Leo et … MAIS NON LA BLAAAAGUE. Certes Cece lui énonça toute une liste de choses que lui inspirait le jeune homme. Pas ci, mais pas ça non plus, un peu comme ça, mais pas trop comme ci. Ahah, elle était rigolote. Et ensuite ? Parce que quand le Mather comptait sur ces doigts tout ce que la brune lui disait, il en arrivait à quelque chose d'encore plus flou qu'il n'avait eu droit avant. Heureusement qu'ils étaient sortis de ce café, Halberstam ne se sentait pas de tenir cette conversation en public, il avait bien trop peur des réactions qu'il pourrait avoir. Il était dans un état mental pas possible, il ne la comprenait pas, ni là où elle voulait en venir. Donc quoi ? Elle voulait qu'il agisse comme son mec sans l'être ? Comme son meilleur pote sans l'être ? Comme le connard de service sans l'être ? Il était encore une fois pas grand chose au final, ce qui le mettait en rogne un peu plus. Mademoiselle exigeait ça, mademoiselle exigeait ceci … et alors ? Lui il faisait quoi dans l'histoire ? Il regardait, il la rendait vivante comme elle le disait, il se demandait bien comment. « Ouais ouais, ben non, je vois pas ce que je peux faire pour toi alors ! Faut recoucher avec toi ? T'embrasser une nouvelle fois ? » Il allait ajouter qu'elle faisait pas gaffe à ce que lui voulait à côté de ça, mais elle le coupa lui demandant ce qu'il souhaitait. Bonne question, merci maman ! Il attendait rien d'elle, il attendait rien de personne, quand il voulait quelque chose, il le prenait, il attendait pas qu'on lui donne, il n'attendait pas après les gens, encore moins après elle. « J'attends rien de toi si ce n'est que tes agissements est un sens, tu donnes pas de sens à ce que tu fais, je comprends pas, c'est troublant. »
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w/ leo halberstam.

Je suis bien heureuse de me retrouver dans la rue, maintenant tout de suite. Je peux grogner comme je peux contre ses paroles. Il m'énerve et il ne se rend pas compte à quel point c'est frustrant. Et je suis en colère parce qu'il me rend hors de moi. Ma vie est un naufrage, je ne sais pas comment garder la tête hors de l'eau, je n'arrive pas à comprendre ce qui se passe. Je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je ne comprends pas et ça m'emmerde tellement. Je le regarde et je suis interdite par ses paroles. « Faut m'embrasser ? Faut coucher avec moi. Je demande pas la charité merde. » Je boude comme une enfant de quatre ans, puis il continue de parler et c'est vexant. et je suis en colère, plus contre lui mais contre moi. Comment ai-je pu croire un seul instant que ça peut marcher ce genre de choses, je suis idiote. Une imbécile, j'ai pas la carrure pour ça, ni le charisme. Je ne suis qu'une âme errante dans un monde qui n'est pas fait pour moi. Je dois survivre, avancer mais je m'en veux tellement. Il m'énerve, franchement il m'énerve. « A quoi bon te dire ce que je désire, tu ne me le donneras jamais. J'ai besoin d'amis qui ne me parlent pas sans arrêt de mon agression. Je veux être le centre du monde de quelqu'un me sentir aimer pour ce que je suis et pas pour une autre raison, je veux vivre sans avoir la pitoyable sensation de n'être qu'une coquille vide sans âme. Leo... je n'ai pas le droit de te demander de l'être. Je pars dans tous les sens parce que je n'ai plus de logique. Je ne sais pas ce que tu es dans ma vie. Tu es ce point d'interrogation irritable qui mâche des mots d'une vérité si rarement révélé. » Je me mordille la lèvre, inspirant fortement . Je ne sais pas comment formuler ce qui me passe par la tête, je sais très bien que je ne peux pas attendre de lui qu'il tombe par magie sous mon charme, la vie ne se déroule pas comme cela, je ne veux pas être une pauvre fille qu'on oublie non plus. Je ne sais pas ce que je veux... Je ne veux plus ressentir ce que je ressens en l'instant. « J'aurai pas du t'embrasser par surprise, Je voulais juste te faire taire, que tu arrêtes de croire que je suis cinglée » Mais le pire c'est que je suis la première à le dire. Je m'agace, je ne me supporte pas là, tais-toi Cercei Bon sang ferme ta gu****.
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