I CAN'T SLEEP AT NIGHT, GET IT OFF OF MY MIND ❋ CECE

Son regard se cillait pas, se fixant toujours sur les prunelles de la brune. Halberstam ne comprenait pas vraiment où venait en venir Cece, pourquoi soudainement elle s'en venait à balancer avoir apprécié leur nuit passée ensemble, ayant soi-disant raté sa vocation, certes le ton de la Lowell laissait entendre qu'elle se moquait, mais le jeune homme n'était pas habitué à ce genre de sarcasmes, qu'il n'arrivait même pas à identifier comme tel. Bon sang, il avait envie de secouer la jeune femme, la secouer, pourquoi était-elle brusquement gentille ? Elle était où la meuf qui se foutait de sa petite gueule de gros con, quelle espèce de génie maléfique avait pris possession du corps de mademoiselle Lawrence. Un rictus aux lèvres, il la questionna donc directement. « Depuis quand tu veux me faire plaisir ? » Quoiqu'il en soit, elle avait réussi à créer un petit malaise dans la conversation, à moins que Leo s'entrave avec ses propres pieds comme un vrai boulet, ce qui ne serait pas étonnant. Conflit en Tchétchénie, oui bien sur, sûrement ça. Non mais, le brunet n'en revenait pas, ignorant le regard choqué de l'étudiante. « Ouais sûrement, enfin bref. » Préféra-t-il conclure de suite, pas la peine de s'attarder dix ans sur l'état étrange dans lequel Leo s'était plongé tout seul. C'est pas qu'il n'aimait pas ce couloir, mais c'était à peu près aussi accueillant qu'une morgue. « Tu voudrais pas qu'on aille boire un café ensemble ? » Par boire un café ensemble, il pensait à boire un café côte à côte ou face à face, pas ensemble du genre ensemble. Il prit un air tout à fait détaché pour pas qu'elle commence à se faire des films en attendant sa réponse. Et puis merde, il la prit par le bras pour la forcer à avancer. C'était une question rhétorique, point.

Je pense la tête légèrement sur le côté surprise des paroles de Leo, je veux lui faire plaisir ? Non, bien sur que non, c'est le dernier de mes soucis, au contraire si je peux l'emmerder je le ferais avec plaisir. Je n'aime pas particulièrement me sentir comme cela, dans cette étrange sensation. Eurk... « ça va pas non, prend pas tes rêves pour des réalités, c'était juste de l'ironie. » Va falloir que je fasse attention à mon comportement, j'ai peur de devenir quelqu'un que je ne suis pas. Ce n'est pas parce que monsieur a eu une partie intime de mon anatomie que je dois lui laisser tous les droits. Jamais de la vie, plutôt mourir que d'accepter une chose pareille. Je ne me reconnais plus et j'ai même envie de me secouer un peu pour que j'arrête d'avoir ça, ce comportement douteux. OMG et voilà que je me ridiculise avec le conflit en tchétchénie. Conclusion, CECE tais-toi une bonne fois pour toute, j'en ai assez là de m'entendre dire cela. Je soupire un peu, beaucoup... Passionnément et à la folie avant avant quoi ? Café ? Ensemble ? Le temps d'assimiler les informations que je me retrouvais à marcher, Leo me tirant par le bras. « Ai-je seulement le choix ? » Lui dis-je alors que nous marchons, réfléchissant à ce qu'il venait de dire. Bizarre et étrange cette discussion en faite et je ne sais pas qu'elle en est la cause. Ma petite personne, le fait qu'il sache pour enfin... voilà quoi ou autre chose, quelque chose d'encore plus compliqué que cela. Je suis complètement paumée, perdue, dans les choux et à côté de la plaque. J'ouvre la bouche avant de dire... « Y'a vraiment peu de gens qui te tiennent tête en faite Leo ? C'est pas trop lassant à force ? » Je le regarde alors, cherchant à y voir quelque chose, une réaction ou quoique ce soit, n'empêche ça doit être super chiant ce genre de choses. POAW. toujours avoir ce qu'on désire, même si j'aimerai avoir plus souvent l'occasion d'obtenir ce que je désire trop c'est trop.

Ah ouf, un soupir de soulagement s'échappa des lèvres du brunet tandis que Cece affirmait ne pas vouloir lui faire plaisir. Bon, d'accord il y avait aussi un tout petit pincement au cœur, il l'avait cru gentille un court instant, pas qu'il désire établir un lien amical entre eux, c'était à peu près aussi compliqué que résoudre les conflits en Tchétchénie – comme ça semblait lui plaire HEIN. Déjà il allait recommencer à appeler Cece Cerceï, pas son petit surnom tout mignon qui donnait l'impression qu'ils étaient intimes. Merde il lui avait promis de ne rien changer à leur relation qui n'en était pas vraiment une au sens propre du terme suite à leur escapade d'une nuit. Elle était où la réputation d'homme de parole là ? « Je suis d'accord il n'y a qu'entre amis qu'on souhaite faire plaisir à l'autre, or tu es loin d'être mon amie que ce soit clair. » Bon d'accord en terme d'intimidation, on avait fait mieux, Leo avait beau lui exprimer par A+B qu'ils n'étaient pas amis, ni même potes, qu'ils n'avaient rien à faire dans la même pièce et que l'autre soir n'était qu'une passade, il l'invitait à boire un café, narmol. C'était pas le moment de l'envoyer sur les roses, en plus il avait cru comprendre que la jeune femme était fragile hein, doux euphémisme, aussi il voulait faire une bonne action, il se devait d'être un minimum serviable même si effectivement, si il avait la possibilité de ne pas l'être, les deux jeunes gens auraient pu tout de suite remettre les choses à leurs places. Il ne comprenait pas trop la question de Cerceï – pas Cece surtout pas Cece. Lassant d'avoir toujours tout ce qu'il voulait ? Non pas vraiment, puis il se battait pour hein, c'est pas comme si c'était gagné d'avance à chaque fois. « Non, c'est une habitude à prendre, puis maintenant que j'y ai goûté j'aurais du mal à faire marche arrière. » Une fois au Starbucks il commanda son propre café avant de laisser le place à Lawrence. « Tu veux quoi ? En fait … débrouille-toi, obtiens ce que tu veux du serveur. » dit-il avec un sourire flambant.

Faut mettre les choses au clair tout de suite, sinon il y a risque de dérive et hors de questions que nous en arrivons là. Pas de pitié, pas de quartiers, c'était déjà comme cela avant, ça ne va pas changer de cap. Surtout pas, et puis quoi encore franchement. Je plisse les yeux face à ses paroles, okay... ça n'aurait pas du faire mal... Mais ça fait mal en faite. On est pas ami, c'est vrai mais le réaliser à voix haute, c'est autre chose que de faire en sorte que. Je dois pas me vexer, non non et non. Et puis quoi encore. Mais le mal est là. Fais chier. Leo bah... c'est le Leo que j'imagine, point barre... avec incartade ou pas. « Très clair. » Ma voix est sèche, plus que je n'aurai voulu le montrer. J'aurai du jouer l'indifférence, c'était le deal, hors... Hors ce n'est pas du tout le cas. Je soupire franchement, je m'auto fatigue franchement, dans le genre difficile à suivre je suis la numéro un. Et on marche, et il semble toujours tout maitriser avec panache, dieu que c'est chiant. Je lève les yeux au ciel en repensant à tout cela, ça fait sincèrement chier cette histoire. Je bougonne comme une adolescente de quinze ans. Qu'est ce que je veux au final ? « Ah bah... oui forcément. » On est au starbuck, il se commande un truc et je cherche du regard quoi prendre. La gourmandise prend le dessus et je commande un délicieux chocolat, c'est plus fort que moi. Je paye la commande et me décale sur le côté attendant que ça se fasse. Puis je regarde la foule autour de moi et j'ai un pincement au coeur, une angoisse, une crainte comme à chaque fois que je me retrouve dans une telle situation, il suffit de pas grand chose. On me bouscule et je sais pas pourquoi je fais ça, cette simple pensée me renverse, mais trop tard... Je m'agrippe à son bras, comme pour me rassurer qu'il n'est pas là, qu'il ne m'arrivera rien. Je regarde ma main enlacée dans la sienne, et je me racle la gorge... Avant de relever la tête vers lui. « on m'a bousculé. » ouai ouai, on la fera à un autre.

C'était clair, ok c'était clair. Voilà maintenant qu'il était certain que la jeune femme trouvait ça clair, ils pouvaient reprendre là où ils en étaient. Or ils étaient nulle part, ils étaient pas amis, ils étaient même pas vraiment amants, ils étaient encore moins plus qu'amis, beurk, et il n'éprouvait finalement assez de haine pour réduire Cece au rang de souffre-douleur. La Lowell était comme un fantôme qui a pas trouvé la lumière blanche, elle hantait le monde de Leo à sa manière, il n'arrivait pas à la mettre dans un casier de son esprit, le dossier Cerceï Lawrence restait sur son bureau, il s'épaississait, donnait du fil à retordre au brunet qui ne savait plus quoi faire de cette jeune femme. Il n'échangea plus un mot avec elle, la laissant faire sa commande. Halberstam la vit changer de couleur, se faire un peu bousculer par les passants qui ne faisaient pas exprès certes, mais voilà, le problème était là. Elle semblait paniquer, se retenir, Leo se demandait s'il devait intervenir ou bien … Il la sentit se tenir à son bras, lui prendre la main. Le contact était agréable, la sensation qui en découlait aussi. Et puis merde, non non non non non, c'était pas ça, ça ne devait pas être ça. Il dégagea sa main, sans précipitation néanmoins, la posant sur l'épaule de la jeune femme avant d'attraper leurs deux boissons à la main, tenant en équilibre et de les poser sur une petite table non loin. « Tu … tu vas bien ? Ça va ou tu veux prendre l'air ? T'as pas l'air bien en tout cas. » demanda-t-il prenant un air tout à fait détaché à la fin, comme pour prouver que tout ça ne l'atteignait pas et ne le mettait pas dans un état étrange.

J'aime pas cette relation avec Leo, parce que clairement ça ne mène nul part. On est pas ami, on est pas amant, on est pas amoureux, on ne se déteste pas non plus à l'extreme, on est nulle part. Pourtant je parle bien avec lui, j'ai bien passé une nuit avec lui, je m'énerve contre lui, je ne supporte pas sa suffisance et j'adore ses fesses. On a beau dire on est rien, il est quand même. Et ça vexe, ça doit pas. Il est pas là pour moi, je dois me le rappeler puis c'est trop compliqué dans ma vie, je ne peux même pas lui proposer quelque chose d'indécent j'en suis incapable. Je suis la fille vide, la coquille, le manque cruel de raison, de pensée. Alors ça me vexe, ça ne doit pas. MERDE QUOI ! Reprend toi cece. Mais je regarde autour de moi et je me sens terriblement mal, mal parce qu'on est dans un endroit public, que je sens toujours la crainte qu'une coupure de courant revienne, qu'il me surprenne, qu'on me vole encore ce que j'ai trop perdu. Je m'accroche à Leo et je regrette déjà mon geste. Il n'est rien, il ne doit être rien. Rien que je ne puisse contrôler, analyser, et ne pas lâcher. I retire sa main et je m'en rend pas vraiment compte, enfin si... mais pas dans ce sens là enfin merde quoi. Je le regarde, je... je sais pas quoi répondre. Je dois pas me laisser déborder par toute cette merde. « Non, non c'est bon... » Je souffle entre mes dents et je prend ma boisson, je soupire en même temps, je déteste ça, je déteste ça... ARRRRGGGG. « Je suis sensée être survivor, ne pas me laisser engouffrer par mes angoisses. » Mais je suis pas rassurée non plus, avec Leo encore plus. « Ya pas de fou furieux dans la salle. » Je pose mon regard avec insistance sur lui. « Enfin... » Je me mordille la lèvre, en instant sur lui, pour rire, est ce qu'il va comprendre la nuance.

La jeune femme ne lui donnait pas d'indice, à ce stade, il aurait presque préféré qu'elle lui dise qu'elle tenait à lui, ou alors qu'elle lui jette à la figure qu'elle le méprisait pour de vrai. Leo ne savait pas quoi faire. Est-ce qu'il devait se la jouer ange gardien ? La prendre dans ses bras, la rassurer ? Ou alors se barrer comme il savait si bien le faire après lui avoir jeté un regard méprisant, se moquer de cette pauvre fille qui n'avait pas grand chose pour elle ? Le gros problème était que quelques temps plutôt dans un cas ou un autre, Halberstam aurait pu gérer, il aurait fermé la vanne à sentiments, il aurait stoppé son cerveau, il aurait su jouer le rôle qu'elle aurait accepté de lui attribuer. Il était entre deux états, avec cette fille à mille lieues de ce qui l'intéressait habituellement, et depuis ses confidences sur son agression, Leo ne se sentait plus la force de la détester, de la mettre plus bas que terre comme il aimait si bien le faire avant. Il n'osait pas partir et faire une grosse bêtise qu'elle ne lui pardonnerait pas, il ne voulait pas rester et être bras ballants comme il était. C'était sympa de se donner le rôle du mec qui n'était rien pour elle, de la coller à ce poste pour lui aussi, et après ? Cece ne voulait pas de pitié, mais c'était plus fort que lui, il était humain hého. Après s'être à moitié jetée dans ses bras, elle alignait des mots que le Mather n'arrivait pas à lier ensemble, qu'est-ce qui se passait dans sa tête là ? « Tu flippes grave, hein ? » demanda-t-il finalement avant de sourire quand elle fit allusion à lui, elle ne trompait personne. « Oh tu as rien à craindre de moi. Depuis quand tu penses que je suis un déséquilibré mental ? »

Je dois pas me laisser submerger par mes émotions, savoir catalogué, chacun d'eux et ne pas tomber dans l'extreme. c'est tellement plus simple à dire qu'à faire ce genre de choses. Bordel de merde moi je sais pas faire ça, pas maintenant, encore moins dans un tel endroit. J'essaye de me persuader que je suis une survivante, que tout cela ne me fait pas peur, mais je n'y arrive tout simplement pas. Je suis tétanisée, apeurée et la réaction de Leo est bizarre. Mais en même temps, je n'ai pas pris le recul nécessaire pour analyser les choses le concernant. Je tente de tourner la page d'avancer et il est... il est là, et je n'arrive pas à qualifier ce qu'il est... C'est trop chiant franchement, j'ai envie de me renfrogner et de plus parler à personne, ça m'évitera de la gymnastique intellectuelle. Il envoie des signaux complexes, trop pour moi. Il est pas forcément tendre avec moi, mais il est là à boire un truc avec moi alors qu'il pourrait s'en aller, en même temps je suis folle, complètement folle. BORDEL DE MERDE ! je dois arrêter cette torture intellectuel. « Flipper ? Moi ? Ça ne fait pas partie de mon vocabulaire. » Avouais-je faussement détachée de tout cela, je ne trompe personne, le regard que j'ai la crispation de mes mains autour de ma boisson chaude ne trompe personne. Je soupire. « Mouai enfin... Voilà. » Je secoue la tête alors que je souris enfin franchement à ses paroles. Oh et bien, à y repenser la réponse est plus simple que je ne l'aurai imaginé. Je ris toute seule avant de lui dire franchement. « Depuis que tu m'as embrassé dans ce bar bondé, je me suis dis qu'il te manquait une case. Il n'y avait pas d'autre explication sinon. » Bah attendez un peu, vous avez déjà vu un monsieur jesuiscanonavecmonsourire embrasser une fille comme moi, normalement ? donc c'était la preuve par A + B qu'il n'est pas net comme homme.

On rappelle quand même que le jeune homme était en psychologie, décrypter un sujet comme la brunette ne devrait pas être un obstacle pour lui, pourtant ça en était un. Halberstam galérait, il croyait voir clair dans son jeu, la fille paumée, détruite, peu confiante, qui faisait mine de rien dans l'espoir qu'on la laisse tranquille. Mais d'un côte elle faisait preuve d'une certaine force de caractère qui étonnait et surprenait le Mather. Pas flipper elle ? C'était marqué en gros sur son front, c'était parfaitement logique vu son passé proche, mais puisqu'elle ne demandait pas de l'aide, Leo ne se sentait pas en mesure d'aller lui même lui réclamer de l'aider. Il allait faire quoi ? C'est pas comme s'il avait des pouvoirs magiques, il allait pas réparer Cece en claquant des doigts, sinon ça aurait déjà marcher. Ouais parce que oui, il lui avait proposé un café pour être sympa. Il haussa les épaules, commençant sa boisson, si elle disait ne pas flipper alors … Il n'était pas d'humeur à jouer le psy, il se sentait trop impliqué pour qu'elle puisse se confier à lui. Puis on parle de ça avec sa meilleure amie, pas avec un mec comme le Mather. Elle reprit finalement la parole et il regarda la Lowell en souriant. Il prenait ça comme un compliment, il s'était surpris lui-même, mais il avait voulu joué, Cece était entrée dans son jeu et elle avait joué aussi. Il lui avait dit qu'il le ferait, elle croyait vraiment qu'il n'irait pas jusqu'au bout ? « Tout de suite, pourquoi nos embrassades seraient le fruit d'un problème mental de moi-même ? C'est quoi ce cliché sérieux Cece ? »

J'ai beau l'observer, je comprends pas. Y'a un truc, y'a forcément une faille, une réponse logique. Elles sont toujours logiques. Je ferme les yeux, trois secondes à peine avant de reprendre mes esprits. Si je me focalise sur lui, je devrais arriver à oublier le reste : les angoisses, les craintes, la panique, la peur, la douleur. Je peux le faire, j'essaye en tous les cas. Et je lui dis franchement ce que je pense, il y a forcément un truc, y'a toujours eu truc. Kirill en est l'exemple je suis tombée amoureuse de lui, j'ai ressenti énormément de choses pour lui j'ai cru qu'il allait m'aimer à son tour, d'un amour simple et facile. Je pensais, je croyais tout ce qu'il disait... Il me faisait sentir jolie, importante, c'était faux. Un gros FAKE et bon sang, bon sang... BORDEL j'ai jamais ressenti une aussi grande déception, alors je ne crois plus personne, puis franchement, Leo fait parti de ces gars, a avoir qui il veut en un claquement de doigts, de très belle fille, pourquoi accepter. Je le regarde avec de gros yeux. « Ce n'est pas un cliché c'est la vérité. Mon passé personnel fait que... Je ne crois plus à la raison quand on ne me fuit pas. C'est peut être cliché ce que je dis, mais on ne m'a jamais prouvé le contraire. » Je bois de ma boisson avant de rajouter. « C'était un défi, un défi relevé, c'était fun... Mais tu as une part de folie en toi et tu ne le sais pas encore. T'imagine si les gens savaient ce que tu as fais... » Moi si, ils le font toujours, y'a toujours des cons là pour me rabaisser... Bon sang, une angoisse me prend, faut que j'arrête.