KENYA ❀ Roller bougie baby

Il me demandait d'apporter la tablette de chocolat et si je ne le faisais pas je devais lui donner un bisous. Je laissais clairement la tablette de côté, c'était clair et net. Doucement, j'allais vers sa chambre, j'ouvrais la porte avec précaution, pour la fermer derrière moi. Avant de venir, je mettais mise en pyjama moi aussi, après une petite douche rapide. C'est donc vêtue de ma nuisette que j'allais le rejoindre. Je posais d'ailleurs son pull sur le dos de la chaise avant de me poser sur le lit. J'hésitais un peu à aller à côté de lui. Je voulais être dans ses bras. Je voulais le sentir contre moi. Cependant, je restais au bord du lit, parce que je savais qu'il m'en voulait.  J'ai pas pris la tablette parce que la rançon m'arrangeais davantage je souriais, puis je m'approchais de lui pour déposer un baiser contre sa joue.  Je veux vraiment pas que t'abandonne la musique Kenny. Je veux pas être celle qui te fera oublier tes rêves, je m'en voudrai trop pour ça et au final, tu m'en voudras aussi Oui un jour ou l'autre, je me le prendrai dans les dents et je n'en avais pas envie, parce que bien sûr que je voulais qu'il perce. Je voulais le meilleur pour lui et il devait le savoir. Faut pas croire, mais je le faisais souvent passer avant moi, avant mes envies. Le mariage, le bébé, nos petits moments ...  J'ai toujours mis un point d'honneur à dire ce que je pense et c'est ce qui te plait chez moi d'ordinaire ... tu te souviens, qu'on s'était dit que c'était important la communication, pour pas qu'on garde nos doutes pour nous ... Tu prends un nouveau tournant dans ta vie Kenny, tu veux réaliser ton rêve et j'en suis tellement fière si tu savais, mais moi, en attendant, j'ai encore des études à faire ici. J'ai un avenir tout tracé et j'ai pas envie que plus tard on soit un couple à distance. Je serais prête à suivre à mon tour, quelque temps, mais je pourrais pas le faire tous le temps .... et tu vois tout à l'heure, je voulais que tu me dises que tu m'expliquerais tout ce qui t'intéresse, que tu me dises, que tu prendrais le temps pour m'apprendre ton métier

Anya arrivait, un peu doucement d'ailleurs, je regardais ses mains, un sourire sur le coté naissait sur mon visage. Hum. Elle n'avait pas prit la tablette parce qu'elle préférait le bisou et j'étais bien heureux qu'elle fasse ce choix. "D'accord, sachez que je viendrais prendre ce que vous me devez quand je le voudrais." Petit jeu amusant entre nous, je souriais tendrement, je l'écoutais sans l'interrompre, je la regardais assise dans sa nuisette et j'avais pas envie d'elle, je veux dire en cet instant c'est un adulte qui était là, pas un ados guider par ses hormones mais un mari qui essayerai de faire de son mieux pour son couple. "Mais quand je disais la musique, c'est pas des concerts c'est comme je faisais avant, enregistrer parce que ça me plait, écrire des chansons pour des films, faire des mélodies, c'est ça que je pensais, j'ai beaucoup de proposition mais à chaque fois je dois décliner et… ça change rien à notre plan, la musique j'aime ça mais je t'aime encore plus, c'est pas un rêve, le mot serait trop grand mais une passion comme la basket." Je désignais la télé. "Après je peux pas te garantir que je ne trouverai pas quelqu'un avec qui je m'entendrais, une personne avec qui on partagera des moments musicaux mais te quitter non, jamais, je t'aime c'est ça que tu saisie pas Anya. Je le sais depuis trois ans, et même après deux ans de vie commune, je sais toujours que c'est toi et ça le restera. Maintenant, je sais pas pourquoi tu as des questions, j'ai pas de doute, moi j'avance avec toi, j'aime voir ton visage le matin, te voir faire tes petites manies, te crier dessus à ma manière parce que tu nous envahis de chaussure à chaque fois que tu sors et pleins d'autres choses. Alors oui parfois on a pas grand-chose à se dire, c'est vrai parfois tu peux trouver le temps long mais on reste tout le temps ensemble, on voit les mêmes et honnêtement ça me va, je sais que dans les années futures ça ne sera pas comme ça, qu'on se verra peut être même pas le soir alors j'apprécie aussi ces moments ou on a rien à se dire." Je prenais une aspiration, je pensais pas la convaincre, je disais clairement ce que j'avais sur le cœur. "ça m'a blessé ce que tu m'as demandé, j'ai souvent eu l'impression, le sentiment que je t'en demandais trop au niveau intime et le fait que tu poses la question sur des conversations qu'on a pas énormément, bien ça me fait penser que j'ai un problème. Je vais essayer de m'intéresser plus à toi enfin, à tes études si tu le veux, ton boulot aussi après tout peut-être que tu aurais besoin d'un coup de main d'un avocat pas tout à fait confirmer mais le fait que je m'intéresse pas à ton passé amoureux ou autre c'est simplement parce que j'ai épousé cette femme que je connais maintenant, ça me suffit." Chacun avait ses secrets, moi le premier, j'allais pas lui arracher des réponses alors que moi-même je n'aimerais pas qu'on me le fasse.

Kenny se mit à parler sans même prendre sa respiration, du moins, c'était l'impression que j'avais. Je le regardais avec de grands yeux, buvant ses paroles. Il m'aimait plus que la musique, il ne comptait pas faire le tour du monde et au fond, j'étais rassuré. J'avais du mal à être loin de lui pendant plus de trois jours, je voulais pas que ça nous arrive pendant des moins. Non, je voulais vraiment pas. Mes sourcils se fronçaient un peu lorsqu'il me disait, qu'il trouverait peut être quelqu'un avec qui, il puisse partager sa passion : la musique. Je voulais que se soit moi. Je voulais qu'il partage sa passion avec moi. La passion, c'est ce qui anime une personne et je voulais être la personne qui l'anime, bien que se soit la cas, c'est ce qu'il semblait dire. Moi aussi j'aimais cet homme. Tellement, il s'en rendait pas compte à quel point cet amour pouvait me bouffer. Je n'avais jamais ressentie ça. Je suis quelqu'un de passionnel bien que je le cache à autrui et c'est peut être ça qui me bouffait de l'intérieur. J'allais finir par imploser si ça continus. Imploser, exploser Pourtant, lorsqu'il me disait penser avoir un problème, je me tournai vivement vers lui en fronçant les sourcils. T'as pas de soucis Kenny, je voulais pas dire ça, je veux pas que tu penses ça j'étais pas aussi douée avec les mots que je le pensais. Moi qui pensais savoir manier les mots, savoir faire des grands discours. Je parlais pas de mon passé Kenny je m'approchais un peu de lui pour poser ma tête contre son torse, prudemment tout de même. Je ne savais pas encore sur quel pied danser dans cette situation. J'aurais toujours besoin de toi soufflais-je en glissant sa main dans la sienne pour entremêler nos doigts.

J'avais un souci, elle avait beau essayé de me faire croire le contraire, je le savais. Elle n'aurait jamais eu ses hésitations si j'avais cherché à parler au parc mais j'en avais pas vraiment ressenti le besoin, je veux dire, elle et moi c'était vraiment passionnel, je l'aimais puis je sais pas, je crois que peux importe ce qui se passerait, on resterait ensemble dans l'adversité moi en tout cas, je comptais rester à ses cotés. "Si j'en ai un, tu le sais sinon tu m'aurais jamais fais cette réflexion juste après que je me suis amusé à t'embêter." Car dans le fond mon jeu principal c'était bien embêter Anya, je cherchais souvent à la mettre mal à l'aise, ça m'amusait de la voir rougir sous des avances bien marqué mais même moi je ne saisissais pas que ce n'était souvent qu'un simple jeu, que je ne pensais pas non plus qu'à ça. "Je sais que tu parlais pas de ton passé mais moi j'estime que tu as le droit de conserver des parties de ton passé, si je te pose pas de questions dessus c'est pas que je m'intéresse pas à toi, juste que certains à son jardin secret et je l'accepte." Dis-je en la voyant venir. Est-ce que j'étais prêt à l'avoir contre moi? Oui bien sur, j'étais faible, je la voulais et mon corps aussi vu que mes bras se renfermaient automatiquement contre elle et que mes lèvres déposaient un baiser sur le sommet de son crâne. "J'espère… Car moi aussi…" Je serrais sa main dans la sienne, fermant un peu les yeux face à la douceur et notre bulle qui se fermaient autour de nous. "Même si je reconnais que je t'en veux." Terminais-je par dire sérieusement. Je la regardais avant de ronchonner, d'exploser. "TA FOUILLER DANS MA VOITURE !!!" m'écriais-je. "D’où tu as pris toutes mes provisions de chocolat toi, je devrais même pas te prendre dans mes bras." Je la poussais assez doucement de mon torse, ma main dans la sienne, par contre je la gardais.

et selon toi c'est quoi ton soucis Kenny ? non parce que j'avais beau dire qu'il n'en avait pas, il me répétais que si alors au fond, c'était peut être lui qui était gêné de quelque chose. C'était surement ça d'ailleurs et c'est en me disant cela que je m'apercevais, qu'on avait un cruel manque de communication, même si on prônait la communication. Raté. Tu me dis ça parce qu'on va aller chez ta famille et que t'as peur que je te pose des questions encore une fois ? Mon dieu, la dernière fois ça m'avait bien servi de leçon, je vous le dis. Je n'avais apprécier me faire rejeter de la sorte par mon fiancé, à l'époque et sa famille qui me dénigré soudainement en me répondant à peine et d'une manière assez sèche, à mon goût. Je ne disais rien de plus, mais moi j'avais envie de savoir. De savoir comment il s'était fait cette petite cicatrice qu'il a dans le dos, de savoir ce qu'il aimait faire, ce qu'il regardait avec de grand yeux, s'il avait été un enfant heureux, s'il avait eu un bon souvenir de son premier petit bisous ... C'est ces moments la, qui ont forgés l'homme que j'aime aujourd'hui, c'était donc important pour moi. La tête posé contre son torse, il venait y déposer un baiser pour me serrer contre lui et soudainement je me sentais mieux, j'étais apaisé par ce geste si réconfortant soit-il. Mes doigts caressaient les siens en faisant des vas et viens. C'était doux et délicat et ça me faisait simplement du bien jusqu'au moment où il me poussait. En me disant qu'il m'en voulait. Je prenais un coussin contre moi, comme pour me réconforter avant d'entendre la suite. Je lui donnais un coup de coussin, c'était du n'importe quoi. Ou peut être que c'est toi qui les as mangé sans même t'en rendre compte. Tu manges, tu manges et tu te souviens plus et le comble c'est que tu rejettes la faute sur moi je me laissais tomber sur le matelas, comme désemparée. Désespérée et triste par cette odieuse accusation. ça me fait mal au coeur que tu puisses penser ça, vraiment ajoutais, laissant ma main se poser contre mon coeur. Drama queen le retour.

Bien mon souci c'était juste que je l'aimais trop. "Je t'aime trop donc je te veux tout le temps." Y avait pire comme souci, oui, oui à coté quand on comparait le souci des autres, moi j'étais bien lotis. Amusé par la situation, je faisais quand même un peu la moue car au fond j'avais toujours eu peur qu'Anya ne tienne pas le rythme alors pour ça que je continuais à me livrer, autant tout dire. "J'ai toujours eu peur que tu puisses pas suivre, je veux dire, je suis un homme qui en demande beaucoup et… je peux comprendre que parfois ça devient usant." On l'avait pas fait depuis une semaine, je peux vous dire que c'était compliqué et le seul soir ou on avait été tranquille tous les deux bien j'avais eu une sacré blessure et là une dispute. "Même pas, j'ai pas honte puis c'est la tradition de parler de nos souvenirs, c'est toi qui devrait avoir peur mes grands-mères sont trop curieuses, tu vas morfler, je crois que tu vas plus avoir de questions que toi qui sait un truc." Riais-je en pensant à ma grand-mère du coté maternel ultra curieuse sur ma femme. "J'espère en fait secrètement qu'ils vont pas te sortir les vidéos de mon concours de danse." Oh mon dieu, je suis sur que ça me poursuivrai. Elle contre moi, la situation s'apaisait, je préférais oublier totalement, fermer les yeux et me dire que l'instant présent était plus important que tout. Nos mains liées, je décidais de la pousser oui, je la voulais plus du tout. "Et en plus ça me frappe avec un coussin mais assume Anya !" dis-je sur un faux ton de colère. "Mensonge ! Je te crois pas, c'est toi, tu dis j'aime pas le chocolat et derrière tu…" Je faisais un bruit exagéré de mastication comme pour lui montrer ce que je voulais dire. "Fais pas la victime, je sais que c'est toi et tu sais que c'est toi voilà maintenant comment tu veux que je te regarde dans les yeux, je vais devoir regarder ta poitrine alors que tu sais bien que je déteste ça !" Je riais pas, je souriais coquin, amusé par la situation fixant sa poitrine sous sa nuisette sauf que je me calmais direct. Plus de sexe, je voulais pas être un pervers alors je me remettais en place commençant à me braquer.

Je souriais à ce qu'il disait, c'était plutôt un beau compliment Tant mieux... c'est le jour ou tu me voudras plus que je me dirais qu'il y'a un problème oh que oui, je connaissais mon époux, je connaissais aussi ses envies fréquentes et je crois que si je devais passer d'une vie sous la couette mouvement à rien du tout ou très peu, je le vivrai mal. Je suis une bête moi aussi dis-je en me redressant sur mes genoux, fière, le menton relevé, le corps en avant, mis en valeur puis finalement j'éclatais de rire pour me laisser de nouveau tomber contre lui, délicatement. La dernière fois que je l'ai fais en présence de tes deux grands mère, elles ont été tellement glaciales que même moi je l'ai senti et si moi, la reine des glaces je le sentais c'est qu'il y avait un soucis vous m'voyez ? Des concours de danse ? je le regardais un instant, curieuse, je tentais de le faire flancher d'un regard mais finalement, je posais mes mains sur mon visage, contre mes yeux pour qu'il ne les regarde pas. Je préfère attendre et voir la vidéo J'étais certaine que c'était quelque chose. Je n'échappais pas à la discussion sur les barre de chocolat qu'il cachait dans sa voiture, d'ailleurs je me demandais comment il faisait pour qu'elle ne fonde pas avec la chaleur ou le chauffage ... Mystère et boule de gomme. Je fais pas ma victime ... tu m'accuses .. je n'eu pas le temps de terminer ma phrase qu'il me parlait de mes seins. Je riais, je penchais la tête en arrière pour le regarder , posant mes deux mains sur mes copains pour les remonter, les gonfler et lui faire coucou. Ils te passent le bonjour eux aussi et ils sont vexés que tu oses dire que tu déteste ça ... dis-je avec une petite moue sur les lèvres, prête à rire.

Si pour elle ce n'était pas un souci moi je persistais à penser que si. "Une gazelle alors, ma gazelle." Lançais-je très tendrement. Une chose entrainant une autre, je parlais du concours de danse, j'en avais fais plusieurs à vrai dire, j'avais pas du tout envie qu'Anya tombe sur les vidéos, je me sentais nul puis j'étais jeune, je dansais bien à ce que mes profs me disaient mais c'était honteux. Le genre de souvenir qu'on voulait mettre à la poubelle. "Je dirais rien cherche pas." Je ne riais pas, je souriais, elle se cachait, heureusement je commençais à croire que j'allais flancher et appeler ma grand-mère pour qu'elle l'envoi. "Elles te le montreront pas, je leur fais confiance." Sauf que je me doutais pas que dès que j'aurais le dos tourné, ma grand-mère le ferait, elle était si fière de me voir danser, chanter, qu'elle était capable de regarder deux ou trois fois la maudite vidéo du concours que j'avais gagné et ce n'était pas la seule chose que j'avais gagné, oui une Anya en victime, j'avais aussi gagné ça rien qu'en la regardant et en l'accusant. "Oui et tu es coupable." Dis-je totalement convaincu, je mangeais certes beaucoup mais je me souvenais que sous mon siège il restait des barres au chocolat, je réapprovisionnais souvent ma réserve. "Bien oui je les déteste." Répétais-je en ne les regardant pas, c'était drôle de la voir comme ça mon épouse, si expansive et rieuse mais ça me calmait rapidement quand je pensais à tout à l'heure. Je n'allais pas lui sauter dessus, j'allais rester calme et posé, regardant mon épouse dans les yeux même si j'avais dis le contraire tout à l'heure. "Tu veux qu'on regarde le clip?" Oui je lui demandais quand je m'enfonçais de plus en plus sous les draps après avoir éteint la télé. Je ne baillais pas, j'étais pas forcément fatigué mais je me contrôlais toujours autant quand je prenais mon mac pour lui montrer la vidéo de notre clip. "

Si je suis coupable, c'est que toi tu es coupable d'en avoir ajouté derrière mon dos non ?  lui demandais-je, un sourcil arqué. Je compte bien le prendre à son propre jeu.  Si tu les détestes tant que ça ... tu ne les verras plus, je veux pas t'horrifier  j'haussais les épaules, même allongé je le fais quand même. A tout moment, en toute circonstance, c'est ça l'arrogance.  Depuis le temps qu'on doit le faire, je veux voir le résultat ! Je branche ton ordinateur au projecteur ? lui demandais-je en lui montrant d'un geste du menton le projecteur qu'il y avait près de l'écran. C'est toujours plus sympa. Comme au cinéma. Rapidement, je me levais pour le faire d'ailleurs. Je posais l'ordinateur sur le bureau en dessous appuyant sur play, prête à voir le résultat de notre travail que nous découvrions tout deux. Ma tête posé contre le torse de Kenny, après avoir posé des coussins derrière nous, pour plus de confort. La voix de Kenny résonnait dans la chambre. C'était divin. Mon mari était tellement talentueux que mon palpitant se mit à battre plus fort. J'étais fière, fière de lui.

Hein? Je comprenais rien du tout et je préférais ne pas en rajouter, je me taisais, je me contentais aussi de regarder Anya sur le coté jusqu'à prendre mon pc. Le clip j'avais envie de le voir, je voulais vraiment entendre ce que j'avais pu chanter et aussi faire avec mon épouse, c'était un incroyable souvenir dans ma tête, j'étais persuadé que le résultat serait génial. "Si tu veux." J'étais pas trop pour le voir en grand parce que j'étais pressé, j'avais vraiment envie de le voir, de me jeter dessus et alors que la russe revenait contre moi, le clip se lançait. C'était incroyable, l'ambiance, la chanson, ma voix, nous, tout était à la fois noir et sensuel, c'était… j'arrivais pas à mettre un mot dessus, le clip défilait, je souriais un peu en voyant la scène de la boite de nuit, ça m'amusait carrément de me voir si gêné moi qui a une époque ne l'était pas du tout en présence de ma future épouse. La scène la plus chaude était découpé en plusieurs parties, pour le plaisir des yeux, on ne voyait rien d'Anya, un bon point, moi non plus, juste mon torse, pas mes fesses, je fus bien heureux, tout était respecté dans les moindres détails sauf ma voix qui me déplaisait, je percevais les fausses notes, le professionnel refaisait surface.