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my bloody fangs into your fresh neck + ponix

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La vie est faite de rencontres, parfois tu tombes sur les bonnes personnes celles qui te font changer comme Poppy, et parfois sur les mauvaises comme mes rencontres de tous les jours. Je ne sais pas dans quoi je me suis mis, pourquoi elle est toujours près de moi alors qu'elle m'a vu tué de sang froid une bande de caïds, que je l'ai battu et que j'ai scellé notre destin par des ébats plus que merveilleux. Je me souviens à ce moment là j'avais vraiment l'impression d'être moi, de le faire parce que j'en avais envie, pas seulement pour faire la vidange, mais parce que je désirais Poppy plus qu'autre chose. Alors oui je l'ai ignoré, parce que ça m'énerve. Je m'énerve moi-même à ressentir ce truc bidon qu'est l'amour, enfin je crois que c'est ça. Je n'ose même pas affronter son regard, et je joue les hommes méchants et sans coeur alors que quand je suis avec elle, je me dis qu'au moins il bat pour une raison. Je ne sais même pas pourquoi je lui ai posé cette question, peut-être parce que je pensais qu'elle voulait finir comme une mather, ou bien juste parce que je voulais avoir la certitude qu'elle n'allait pas s'enfuir en courant. Franchement, je n'en sais rien. Alors elle pose ses prunelles noisettes sur moi, puis sur Apocalypse qui lui aussi l'a regarde, en même temps comment faire pour ne pas être attiré par elle ? Elle détourne rapidement les yeux, elle aussi à la recherche d'un conversation. C'est vrai la scène est débile, je suis là assis sur mon fauteuil à la regarder. Je cligne des yeux et pose mon regard sur l'écran de télé où il n'y aucune image. « Viens t'asseoir, reste pas plantée là » dis-je d'un ton mauvais. Merde quel con. « Tu veux peut-être regarder un film ? Tu veux parler ? Me poser des questions sur ma vie, qui je suis, et pourquoi je suis tellement hautain ? » Je bois une gorgée de mon verre. Et à ce moment je joue le con, en fait j'aurais tellement aimé me lever et prendre possession de ses lèvres, mais non j'ai fait le pitre. Au fond ça me représente, et les gens ne perçoivent pas cela comme de l'imbécilité mais plutôt comme de la méchanceté. Malgré tout, je lui souris et me décale pour lui faire une place à mes côtés, à supposer qu'elle vienne.
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Ponix + my bloody fangs into your fresh neck.
La relation que j'avais avec Phoenix était assez particulièrement il fallait l'avouer. Des fois je ne savais pas du tout comment me comporter avec lui. Et s'il finissait par me détester ? Il était chaud et froid, représenté la pluie comme le soleil, c'était assez frustrant à la fin. Il passait d'une émotion à une autre et je devais avouer que la plupart du temps j'avais du mal à le suivre. Mais qu'importe c'était son caractère, et même s'il fallait s'accrocher avec lui, je n'avais pas peur des challenges, bien au contraire. Il me demanda de venir m'asseoir et j'arquais instantanément un sourcils. Son ton froid et sec me fit soupirer bruyamment. J'avais l'impression qu'il me donnait presque un ordre et je n'aimais pas ça. Je secouais alors négativement la tête en posant mes prunelles noisettes sur lui, puis penchais la tête sur le côté. Ça te tuerais d'être plus aimable ? Je commence à en avoir marre de faire les montagnes russes avec toi. Je l'observais, l'air parfaitement sérieux plaqué au visage. Malgré ma réplique, il continue à jouer le con et je suis sûre qu'il sait que ça m'horripile au plus haut point. J'inspire alors profondément, je n'avais pas envie de m'énerver, ça ne servait à rien. Il se décale tout de même sur son canapé me laissant une place. Je fixe cette dernière pendant de longues secondes qui me parurent être une éternité puis levant les yeux aux ciel, je m'approche de lui et m'assoie à ses côtés. Des fois je me demandais comment je faisais pour supporter une personne aussi hautaine et imbu d'elle même alors qu'en temps normal je détestais ça. Je mordis alors ma lèvre inférieure une nouvelle fois, fuyant son regard, je n'avais pas envie de le regarder. Pas quand il agissait de la sorte en tout cas.
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Je ne suis pas aimable de nature, et par principe je ne changerais pas, surtout pas pour une fille et même si c'est Poppy. Bien sûr que j'ai de l'affection pour elle, mais j'ai peur de l'avenir et je ne préfère même pas y penser. Au fond, s'il n'y a plus de Poppy ça serait mieux, pour elle surtout puisqu'elle souffrirait moins et je n'aurais pas à lui dire la vérité. Mais quand je la regarde, et que je sens mon coeur battre la chamade, je ne peux pas juste rester là, c'est trop difficile. Je lève les yeux au ciel suite à sa remarque. « Estime toi heureuse que tu sois encore là. » lui dis-je en étant toujours énervé contre moi-même. J'agis comme un con, je le sais. Elle se pose malgré tout à côté de moi, mais je sais qu'en vue de ma réaction elle va vite se lever, et sûrement s'énerver contre moi. Enfin je pense.. Mais tant qu'elle ne bouge pas, je passe une main autour d'elle, et la colle contre moi. Voilà. Au moins nous sommes bien, pas de cris, pas de disputes rien. Enfin, on n'a l'air de deux idiots à fixer un point imaginaire et à ne pas parler. Je brise enfin le silence « Tu sais que je ne suis pas le plus gentil, et pourtant tu restes là. Je pensais que j'avais un problème mais je ne suis pas le seul. » Bon, peut-être que j'ai fait une boulette, mais j'ai tout de même parlé d'un neutre et pas de mon ton froid habituel alors j'espère qu'elle ne va pas mal le prendre. Pour être certain de ne pas être face à des cris, même si Poppy est je pense, une fille très calme je rajoute. « C'est pas ce que je voulais dire.. Je me demande pourquoi, t'es autant attachée à moi ? Je suis un psychopathe qui adore prendre des bains de sang, maltraiter les autres, et refouler tous les sentiments que j'ai, simplement par orgueil et fierté. Et toi t'es tout le contraire. » Ça me fait mal de dire ça, mais c'est la vérité. Cette si jolie Poppy serait mieux avec un autre, même si à proprement parlé nous ne sommes pas en couple, enfin je pense.
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Ponix + my bloody fangs into your fresh neck.
Je ne savais jamais sur quel pieds danser avec Phoenix car je savais dans le fond qu'une petite parcelle de moi avait peur de lui, même si j'étais bien trop fière pour l'avouer. Il avait tellement été là ces derniers temps avec moi, tout les moments que nous avions pu passer seulement tous les deux, c'était des moments de bonheur, des souvenirs qui resteraient à jamais gravé dans ma mémoire. Mais j'avais l'impression qu'il y avait toujours un évènement ou un problème qui était prêt à s'installer entre nous pour nous séparer ou nous éloigner. Je savais que je ne pourrais jamais être heureuse avec lui, qu'il aurait mieux valut que je ne le rencontre jamais, mais parfois le destin en décide autrement et prends la décision d'interférer dans des relations digne des pièces de Shakespeare. Aussi je préférais ne pas répondre à sa première pique qu'il me lança, je me laissais simplement inspirer profondément, comme pour reprendre du poil de la bête et être bien plus tranchante lorsqu'il m'en sortirait une nouvelle comme-ça. Je le sens ensuite passer une main autour de ma taille pour finalement me rapprocher de lui. J'avais encore une fois l'impression d'être une propriété, un vulgaire jouet avec qui, il prenait plaisir à tirer les ficelles pour son bon-plaisir. Je ne savais pas ce que j'étais pour lui, mais je détestais ce genre de réaction, j'en étais persuadée. Je l'écoute ensuite m'expliquer pourquoi il ne comprends pas que je reste toujours autant proche de lui malgré ses agissements et sa manière de se comporter à mon égard. Je suis peut-être une adoratrice des comédies romantiques ou une fleur bleue à l'occasion, mais je sais aussi très bien refouler mes sentiments, mes émotions et mes agissements. Je ne suis pas toute blanche, je ne suis pas aussi gentille que tu le prétends. C'est peut-être mon visage avenant qui te fais penser une chose pareille, mais ouvre les yeux sur mes actions. J'aime rabaisser les gens quand ils se sentent trop puissants, j'aime briser les espoirs des personnes que je déteste, et j'ai même aimer me battre tout à l'heure avec ce gang qui nous a attaquer. Je pense que si je suis encore ici, assise à côté de toi, à parler avec toi, c'est tout simplement parce que quand je suis avec toi, j'ai l'impression de vivre. J'ai trop souvent était muré sur moi-même, refusant de voir la vérité, crachant sur la vanité de ce monde. Mais j'ai ouvert les yeux et tu es arrivé. Cet homme froid, sans coeur, imbu de lui-même qui prends toutes les personnes de haut. Je ne vais pas cacher que ça me procure une certaine fascination et j'en viens même à me demander comment tu fais pour réussir dans la vie alors que tu te braques trop souvent sur toi-même. Mais malgré tout ça, quand je suis avec toi, je vis, je sors, je m'amuse. Je pense que j'ai besoin de cette dose d'adrénaline que tu n'as sans cesse arrêter de m'apporter depuis que je t'ai rencontré. Je posais mes prunelles noisettes sur lui, mordant ma lèvre inférieure, je me reculais néanmoins de son étreinte trop possessive à mon goût et prenait enfin une grande inspiration, comme-ci je venais de sortir quelque chose de trop compliqué à supporter.
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Elle n'a pas répondu à ma remarque, dans sens je suis content car ça évite les conflits. Lorsqu'elle s'assoit à mes côtés je passe une main autour de sa taille non pas en signe de propriété mais en simple signe d'affection. Certes j'estime qu'elle m'appartient mais parfois je n'ai pas que de mauvaises intentions. Tout comme ma question. Elle me fait alors un long discours, digne du monologue à la fin d'une pièce de théâtre. Je ne sais même pas quoi répondre, ni par où commencer tellement je reste bouche bée. Je me décale alors quelque peu, pour pouvoir voir son visage. Elle se dessert de mon étreinte, et je la relâche complètement, elle ne veut pas de mes bras, je ne vais pas me mettre à genoux non plus. Je hoche de la tête, et pose mes pupilles sur Apocalypse une fraction de secondes puis les repose sur Poppy. « J'ai l'air con mais je ne sais même pas quoi te répondre. » Et je ne mens pas car j'en pers mes mots. J'ai juste l'impression qu'elle me déclare ses sentiments, bien sûr elle juge ma façon d'agir mais je ne lui en tiens pas rigueur. Alors quand quelqu'un vous fait une déclaration comme cela, qu'est-ce que l'on est censé faire ? Moi aussi je dois avouer des choses que je ne suis même pas certain de ressentir ? Je suis bien connu pour refouler mes sentiments, et elle me l'a même dit dans ses propos. « Mais l'adrénaline que tu as, ce n'est pas la meilleure. Ouais c'est plaisant, surtout quand tu vis avec continuellement comme moi. Et je ne veux pas que tu deviennes comme moi, je suis loin d'être quelqu'un de bien. Toute à l'heure tu me disais que tu détruisais tout ce que tu touches mais c'est faux, et je te le dirais encore et encore. Mais il vaut mieux vivre de façon sereine plutôt de vivre une vie complètement déjantée, et risquée, mettant sa vie en danger tout le temps. C'est cool, mais c'est dangereux et je ne veux mettre ta vie en péril » Je me passe la main dans les cheveux. Je ne suis pas le genre de personnes à tenir de longs discours sur les sentiments, alors elle a choisis la mauvaise personne pour ça, même si mon coeur prouve le contraire.
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Ponix + my bloody fangs into your fresh neck.
J'ignorais pourquoi toutes les relations que je pouvais avoir, tous les instants de bonheur que je pouvais m'autoriser, me laissée seule, noyée dans un chagrin que je ne pouvais moi-même, pas contrôler. J'avais l'impression que les mots que j'avais sortie à Phoenix, étaient ceux d'une déclaration d'amour, une déclaration à l'eau de rose qui vous empêche de penser tout naturellement. Mon coeur tambourinait dans ma poitrine et j'avais peur que le jeune homme qui se trouvait à mes côtés, ne l'entende battre. Il m'avoua qu'il ne savait pas quoi répondre, je mordis alors ma lèvre inférieure et détourna le regard de sa personne. J'avais ôté les mots de la bouche au grand Phoenix, ça relevait presque du miracle. Mais il ne tarda néanmoins pas à me faire part de ses ressentis, il ne voulait pas que je sois comme lui et je le comprenais. Je n'avais pas spécialement envie d'être comme lui, je voulais juste vivre. Vivre et me laisser transporter dans une vie faîte de péripéties et d'actions dangereuses. J'ignorais pourquoi j'avais tant besoin de cette adrénaline, mais je savais que j'en avais besoin, c'était presque devenu mon oxygène, la seule façon que j'avais de respirer. Tu ne mettras pas ma vie en péril. Je le sais. Je sais que c'est mal comme désir, ça relève presque de la perversité, mais j'ignore pourquoi j'ai besoin de cette adrénaline. Je sais juste que j'en ai besoin et que tu es le seul homme qui me fait ressentir pareil ressentis. Je détourne alors le regard après l'avoir longuement observé, puis je me lève du canapé et mord une nouvelle fois ma lèvre inférieure. Je comprendrais que tu ne veuilles plus me voir après ce que je viens de te dire. C'est effrayant je le conçois. Mais ne m'en veut pas de dire ce que je ressens, ce que je pense... Je l'observe de mes yeux noisettes, fixée debout comme un piquet.
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Je peux parfois être sincère, surtout quand je suis avec Poppy. J'ai bien souvent du mal à mettre mes idées au clair, savoir quoi dire, quoi faire. Parfois, j'ai même peur de la toucher. Je sais qu'elle n'est pas si fragile que ça, mais je vois en elle ce que je ne serais jamais, ça doit être pour ça que je suis si attaché à elle. « Tout le monde a besoin de cette adrénaline tu sais, simplement certaines plus que d'autres à tel point que ça en devienne une drogue. » répondis-je de manière franche. Elle m'a fait comprendre que j'étais le seul homme qui pouvait lui faire ressentir ces émotions là, ça me touche beaucoup parce que mine de rien ça prouve que je ne suis pas qu'un coup de vent dans sa vie, et que je compte un minimum. Elle m'observe pendant un long moment, se lève du canapé puis annonce son départ. Non. Je me lève à mon tour, et me pointe à quelques millimètres d'elle. J'attrape sa main, et la pose sur mon coeur pour qu'elle puisse sentir les battements de mon coeur qui se font de plus en plus forts. « Toi aussi tu me fais ressentir des trucs. » Je n'ai peut-être pas employé le bon mot, mais face à ses prunelles noisettes je ne sais plus où donner de la tête. Je pose ma main sur sa joue, et la caresse avec mon pouce. Sans attendre une seconde plus, j'attrape ses lèvres et lui donne un baiser passionnel et fougueux. Elle a toujours la main posé sur ma poitrine, et à mon tour pour sentir son coeur au creux de ma main, je pose cette dernière sur la poitrine de Poppy sans aucune arrière pensée. Le moment peut paraitre bizarre, mais nous avons besoin de ce contact, sentir que nous indispensables l'un à l'autre. Moi-même ça me fait peur, je ne sais l'étendue des sentiments que je peux éprouver pour elle. Car aimer c'est bien, c'est beau mais l'avouer c'est autre chose et dans mon cas ça relève de l’impossibilité.
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Je venais de dire ce que je ressentais à Phoenix. J'étais heureuse de pouvoir lui avouer le réel fond de ma pensée. Qu'il était important pour moi et que j'avais besoin de l'adrénaline qu'il me fournissait pour me sentir mieux. Que j'avais besoin, de tout ce qu'il pouvait m'apporter pour me sentir mieux. Et je ne savais pas si c'était le genre de comportement qui ressemblait à de l'égoïsme mais je savais ce que je voulais, et je voulais être prêt de lui, quoi qu'il arrive -du moins c'est ce que je pensais-. Il me disait que certaines personnes pouvait devenir une drogue pour d'autres, et j'étais totalement d'accord avec ce point, au fond est-ce qu'il n'était pas devenu ma propre drogue ? J'inspirais alors profondément, ne sachant pas si je devais lui répondre ou si je devais laisser faire les choses sans dire le fond de ma pensée. Mais j'ignorais si restais avec lui ce soir était une bonne idée. Il se leva rapidement après moi, m'attrapa la main sans crier garde et la posa sur son coeur. Mon coeur, lui, eut un raté, je sentais qu'il était entrain de s'accélérer et que je n'étais plus réellement maitresse de mes émotions. Il m'avoua que lui aussi de son côté ressentait quelque chose à mon égard, et j'en aurais presque eut les larmes aux yeux, si je n'avais pas plongé mes yeux noisettes dans les siens. Il caressa ma joue, approcha son visage du miens, et embrassa mes lèvres. Le baisé n'était pas chaste, ni même prude, c'était quelque chose de sentimentale, de vital, de la fougue et de la passion. Il posa sa main sur mon coeur, et je répondais à son baisé avec cette même vitalité, cette même fougue. Je ne voulais m'éloigner de lui, je voulais rester, j'avais besoin de ce " nous " que je pensais que nous étions entrain de former. Lorsque je relâchais ses lèvres, j'inspirais alors profondément, plongeant une nouvelle fois mes yeux dans les siens et chuchotant. Je crois que tu es ma drogue... Je mordais alors doucement ma lèvre inférieur.
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Je n'ai jamais eu le don des sentiments, disons que je suis plutôt don juan. C'est drôle quand on sait mon passé car des filles j'en ai aimé. Certaines pour du sexe, d'autres parce que j'avais trouvé en elle cette chose qui m'émerveille. Non, je ne suis jamais tombé amoureux à ce point, c'est trop grotesque, trop soudain et je ne veux pas d'un quotidien qui pue le bouc affamé. J'ai besoin de ma liberté, je la chéris tellement et fais tout pour qu'elle demeure inchangée. Que ça plaise ou non, je ne veux plaire à personne sauf de toute façon... peut-être à Poppy. Mais je ne changerais pas pour elle, et après les aveux qu'elle m'a fait je ne pense pas qu'elle veuille que ça soit le cas. Alors que je l'embrasse avec passion et fougue, nos deux mains respectives sur le coeur de l'autre je me rends compte que je tiens vraiment à elle, et que la vie est trop courte pour se poser des questions merdiques auxquelles nous n'aurons jamais les réponses. Elle plonge ses yeux noisettes dans les miens, et je la regarde avec admiration. Sa phrase me lance comme un feu d'artifice intérieur. Je penche la tête, souris doucement et lui caresse la joue du bout de mon pouce. « Tu crois, seulement ? » plaisantais-je pour venir reprendre possession de ses lèvres pour lui donner un furtif baiser mais qui se veut tendre et affectueux malgré tout. Je la relâche alors, trop d'émotions d'un coup ce n'est pas pour moi. Je me recale dans le canapé, et lui dis « L'envie de ne faire qu'un avec toi est grande mais je préfère me rassasier avant. » dis-je de manière subtile, mais très franchement ça veut dire : je suis partant pour faire l'amour mais je préfère reprendre des forces. Je suis un peu gentleman voilà tout.
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Ponix + my bloody fangs into your fresh neck.
Il était entré dans ma vie de la manière la plus soudaine qui soit. D'abord lentement puis tout d'un coup. J'aurais très bien pu vous dire que j'étais terrifiée de cette approche entre lui et moi, que ce n'était pas sain et que d'une manière ou d'une autre, j'allais finir par souffrir, les sentiments en vrac et le cœur piétiné. Je n'avais pas envie de ça dans ma vie, et pourtant je demeurais face à lui, un fin sourire sur mes lippes comme-ci j'attendais de pouvoir l'embrasser une nouvelle fois, puis encore et encore jusqu'à en perdre haleine. J'avais besoin de cette proximité qui s'était installé entre nous, j'avais besoin de le sentir prêt de moi, de savoir qu'il posait furtivement son regard sur moi pour voir comment j'allais, ou de pouvoir sentir son souffle dans le creux de ma nuque. J'avais besoin de tous ça, et je savais ce que je disais, j'en étais persuadé désormais. Il était devenu ma drogue, mon héroïne, ma cocaïne ou tous les calmants qu'une personne normalement constitué pouvait avaler. Non... J'en suis sûre... Il est comme le monstre caché dans le placard, il me procure l'adrénaline de savoir que je ne serais pas toujours en sécurité, mais le bonheur de voir que si je reste proche de lui, rien ne pourrait m'atteindre. Il a ce petit quelque chose quand il me regarde avec admiration, avec fascination et interrogations, il a ce petit quelque chose qui exquise au coin de mes lèvres, ce sourire qui ne veut pas disparaître. Alors qu'il prenait possession de mes lèvres pour la énième fois, il m'embrassait avec cette fougue dont lui seul était le maitre, mais faisait aussi preuve de tendresse et de douceur. Je répondais à son baisé, comme-ci ma vie en dépendait, je m'accrochais à son t-shirt comme pour le supplier de ne jamais s'en aller. Mais il s'éloigne, me dit que le désir est fort mais qu'il a besoin de se rassasier avant. Je souris alors amusée face à cette attitude puis je m'avance vers lui et m’assoit à ses côtés. Je ne veux pas être ce genre de petites niaises qui tombe amoureuse du garçon solitaire. Non avec Phoenix s'était plus que ça, il était un tout, un interdit, un objet précieux qu'on rêve de découvrir. Mais je n'étais pas dupe, il savait y faire avec les mots et avec les femmes et je savais qu'il allait me blesser un jour ou l'autre. Oui il allait me blesser, me détruire, j'en étais certaine. Nous étions rentrés dans un jeu pervers, un jeu avec aucunes règles, un jeu qui vous fait perdre haleine. Tu as vraiment faim ? Je pose mes prunelles sur lui, l'observe, le souffle court. L'envie de ne faire qu'un avec lui est forte, forte et j'ignorais si par toute la force qu'il m'était possible d'avoir, je pouvais contenir ce sentiment de manque en moi.
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