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LEANDRO & JUNE ∇ oups, i did it again.

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June & Leandro


Je me mis à rire quand il me répondit qu’il risquait de venir tous les matins, franchement s’il apportait le petit-déjeuner je n’aurais rien contre sa présence. Au contraire, je ne connaissais pas beaucoup Leandro mais j’appréciais qu’il soit là, avec moi. Je le trouvais plutôt gentil : « Mais pas de problème, ma salle de bain te seras toujours ouverte ! ». Répondis-je en riant. Je n’étais pas contre l’accueillir, le revoir mais je ne savais pas trop. En général les garçons m’ignoraient après avoir passé une nuit dans mon lit c’était comme ça, mais bon peut être que Leandro serait différent. Déjà s’il n’oubliait pas totalement mon visage ce serait cool. Je m’installais alors sur Leandro et je me sentais plutôt bien, surtout quand il m’embrassait. J’adorais sentir ses lèvres contre ma peau, j’adorais ces petits attentions, je me contentais de peu parfois. « Tant mieux alors parce que je me sens très bien ici ! ». Leandro souhaitait ensuite en savoir plus sur moi, ça n’arrivait pas souvent mais ça me dérangeait pas de parler de moi. Enfin d’une façon très succincte car quand on creuser plus en profondeur on comprenait que ma vie n’était pas dorée. J’étais surprise quand il me dit que j’étais belle, moi je ne le trouvais pas du tout. « Belle, moi ? Et bien je suis française, j’habitais à Paris. J’ai toujours fait de la danse, de la boxe et plus tard du chant. J’étais dans une comédie musicale avant d’arriver là, j’ai emménagé  au départ pour me rapprocher de mon petit ami de l’époque et aussi parce que c’était un rêve de venir à Harvard…Et toi ? ». Moi aussi j’étais curieuse d’en savoir plus, en attendant sa réponse je lui fis une proposition : « Je peux te chanter un petit truc s’il te plait, je connais une chanson qui commence par my love, live yourself behind… ». Je me mis à chanter cette magnifique chanson, une reprise d’une chanteuse maintenant très connu.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH


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Je souriais quand elle m'expliqua que sa salle de bain me sera toujours ouverte, un jour je pense que je viendrais à l'improviste un matin histoire de voir sa réaction, car de toute évidence le courant passe très bien entre nous, ce serait avec grand plaisir de la revoir prochainement. Cependant quand je lui ai demandé de me parler un peu de sa vie, elle semblait surprise par mon compliment. Incroyablement belle. Murmurais-je au creux de son oreille avant de retourner l'embrasser pendant qu'elle me parlait de sa vie. Je souriais en apprenant sa nationalité, j'aime rencontrer des personnes des quatre coins du monde, June est la première française que je rencontre. Elle termina ensuite par me retourner la question, j'enroulais mes bras autour de son corps pour la sentir un peu plus contre moi, tentant d'expliquer ma vie en évitant les moments pas très glorieux de mon existence. J'ai toujours voulu visiter Paris, ça doit être immense comme ville non ? Alors moi je suis italien, je viens de Capri et j'ai habité la-bas jusqu'à l'été dernier. Quand j'ai eu dix-huit ans j'ai arrêté les cours pour vendre mes peintures mais disons que ça n'a pas forcément été concluant donc j'ai repris mes études pour faire médecine. Et sinon .. J'ai une fille. Disais-je très rapidement, j'aime Malvina mais j'ai toujours un peu de mal à parler d'elle, surtout à cause de ma relation avec sa mère. Puis par la suite la belle lowell me demanda si elle pouvait chanter, je souriais en hochant la tête de haut en bas. Finalement elle commença à chanter une très belle chanson et autant être franc, elle chance extrêmement bien. Je l'écoutais sans rien dire, jusqu'à ce qu'elle termine. En plus d'être belle tu chantes divinement bien, tu n'as aucun défaut enfaîte ? Lui demandais-je en souriant. Je ne connais pas encore très bien June, pourtant je n'arrive pas à lui trouver le moindre défaut. Doucement je laissais mes mains caresser son corps, espérant secrètement que ça ne la dérange pas.

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Je me mis à hausser les sourcils quand il me répondit que j’étais incroyablement belle, j’y croyais pas du tout, je crois que c’était la première fois qu’on me disait ça, même mes exs petits amis n’avaient jamais dit un truc pareil. Belle oui mais incroyablement belle, non, je n’en ai aucuns souvenirs en tout cas. « Personne ne m’a jamais dit ça mais…je te trouve également très à mon goût, mais je ne dois pas être la première fille à te le dire… ». J’avais bien compris que Leandro était très apprécié par la gente féminine. Le jeune homme me raconta à son tour quelques principaux éléments de sa vie. Il parlait de Capri, j’adorais moi aussi cette vie. J’avais l’impression que nous avions beaucoup de points en commun : un côté artistique, puis la reprise des études et enfin son enfant. Certes je n’avais pas eu d’enfants mais j’avais cru être enceinte et c’est à cause de cette grossesse nerveuse que je ne pouvais plus avoir d’enfant. Je lui embrassais alors les mains avant de lui demander sérieusement : « Tu voudrais venir avec moi à Paris, pendant les vacances de Noël, bon je te connais pas beaucoup mais c’est toujours un plaisir de faire découvrir ma ville… ». Je me retournais ensuite pour apposer mes lèvres sur les siennes. J’avais bien compris qu’il avait une fille et j’adorais moi-même les enfants, j’avais l’impression qu’il en avait honte mais il ne devait pas : « Quelle âge à ta petite fille ? Comment s’appelle-t-elle ? Je suis sûre qu’elle est aussi adorable que son papa… ». Je me blottissais ensuite contre son torse. Il me répondit que je n’avais aucun défaut, si j’en avais beaucoup. Je lâchais alors : « Huum, c’est ça en faite je suis trop parfaite pour qu’on s’intéresse à moi ! Tu as trouvé le secret ! ». Je l’embrassais alors un peu plus passionnément, j’aimais le sentir contre moi, sentir son corps contre le mien. Je prolongeais alors mon baiser un peu plus langoureusement en commençant à jouer avec ma langue dans sa bouche. Je passais mes mains derrière son coup tandis que je plaquais mes seins contre son torse nu.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH


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C'est toujours agréable de se faire complimenter par une magnifique jeune femme, mais aucun homme sur terre ne peut dire sans mentir qu'il ne trouve pas June à son goût, cette fille est juste sublime et remplie de surprises, car j'admets que sa proposition de passer quelques jours à Paris en sa compagnie m'avait surpris, mais néanmoins pas déplu pour autant puisque je me suis mis à lui sourire en acceptant bien volontiers. Bien sûr avec plaisir .. Par contre je te préviens de suite, j'ai un sens de l'orientation vraiment nul, tu risques de me perdre plus d'une fois dans les rues de Paris. Disais-je en rigolant. Mais ce serait avec plaisir de passer quelques jours en sa compagnie durant les périodes de Noël, bon le seul problème sera de savoir ce que je vais bien pouvoir faire avec ma fille. Si sa mère allait bien vouloir la garder et si bien évidemment mon frère et ma soeur n'allaient pas me tomber dessus pour déserter la ville quelques jours.. Bref d'ici décembre j'ai encore du temps pour réfléchir aux détails. Néanmoins je me sentais un peu mal à l'aise lorsqu'on évoqua ma fille. Je l'aime réellement ma petite Malvina, mais parfois j'ai l'impression d'être un mauvais père, cependant la belle lowell voulait visiblement en savoir plus sur ma petite, ce qui me fit sourire. Elle s'appelle Malvina et aura cinq mois le 17 novembre. J'ai une photo d'elle dans mon téléphone, je pourrais te la montrer si tu veux. Puis ensuite June s'est blottit contre moi, chantant une belle chanson avant de m'embrasser langoureusement, sentant sa poitrine contre mon torse et ses cheveux mouillés toucher mon visage. Je caressais doucement le bas de son dos tout en jouant avec sa langue, je pourrais rester comme ça pendant des heures, cependant June me donnait de plus en plus envie, sauf que depuis qu'elle m'a fait comprendre qu'elle ne voulait pas qu'on aille plus loin ensemble je ne sais plus sur quel point danser. T'as changé d'avis depuis tout à l'heure ? Parce que là j'ai de plus en plus de difficultés à résister, à te résister. Murmurais-je en souriant entre deux baisers.
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Je connaissais bien Paris puisque j’y avais habité durant plus de vingt quatre année et emmenait Leandro ne me faisait pas du tout peur, j’avais hâte même de préparer ce voyage, savoir où est-ce qu’on allait manger, les monuments qu’il aimerait visiter. Heureusement j’avais gardé le petit appartement de mes parents, enfin normalement il était à mon père mais comme il ne sortirait jamais de l’hôpital psychiatrique, on pouvait y aller en toute tranquillité. Je me renseignais ensuite sur la fille de Leandro, il ne pouvait pas se rendre compte de la valeur que pouvait avoir un enfant, lorsqu’une étudiante tomber enceinte à Harvard c’était panique à bord en général…Mais quand on était privé de ce droit alors qu’on adore les enfants, alors qu’on pense à fonder une famille depuis des années et bien on aimerait avoir un enfant n’importe quand, même si ce n’est pas le bon moment. « Je veux bien, même si ça peut te sembler paradoxale, j’adore les enfants…. ». J’étais même institutrice en France, maintenant j’avais très très peu de chance de tomber enceinte, c’était peine perdue et je ne pu m’empêcher de regarder mon ventre à la fois meurtri par les cicatrices de l’attaque de mon père lors de mes neuves ans mais aussi par mon opération de l’utérus après ma grossesse nerveuse. Je l’embrassais avec fougue, ma langue jouait de plus en plus avec la sienne et je comprenais sa question, elle était légitime, je me mis à rire avant de lui murmurer en un souffle chaud au creux de son oreille : « Je suis sûre que tu as de très bons arguments pour me convaincre… ». Je le regardais avec un air malicieux, il avait le feu vert de faire ce qu’il désirait de moi, et moi bien sûr je ferais ce que je voulais de lui, juste retour des choses et je sentais que la température de cette baignoire aller encore grimpé.


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Lorsque j'évoquais ma fille, je voyais bien June regarder son ventre avec un regard légèrement triste. Elle aimait les enfants mais ne pouvait pas en concevoir, j'espère qu'un jour elle aura la chance de devenir mère, que ce soit par adoption ou une mère porteuse. Doucement je posais ma main sous son menton pour que son regard s'unisse au mien. Un jour tu auras un enfant .. De nos jours il existe bien des manières d'avoir un enfant, alors baisse pas les bras d'accord ? Lui disais-je d'une voix qui se voulait rassurante. Même si avant d'avoir Malvina je n'ai jamais voulu d'enfant, même si j'ai beaucoup de mal avec mon rôle de père, ma petite a changé ma vie et je sais que June mérite de connaître ce bonheur d'être parent. Puis par la suite sa langue venait jouer avec la mienne et l'envie montait en flèche, elle est douce, sympathique, belle et incroyablement attirante, je me sentais donc faiblir à chacun de nos baisers échangés jusqu'à ce qu'elle s'amuse à me titiller. La belle jeune femme veut être convaincue ? Très bien, j'accepte le défi. Ma main glissait peu à peu sur son corps, caressant ses belles formes jusqu'à ce que l'une de mes mains caresse sensuellement ses fesses sous l'eau. Pendant ce temps ma langue jouait de nouveau avec la sienne, une danse endiablé et torride commençait entre elles. Après quelques secondes je lâchais ses lèvres pour les descendre dans sa nuque, l'embrassant de mille baisers pour descendre peu à peu jusqu'à sa merveilleuse poitrine. Je sentais sa peau brûlante contre mes lèvres avec l'envie dévorante de ne faire qu'un avec la magnifique lowell, cependant je prenais mon temps, embrassant à présent le bout de ses seins en espérant lui donner davantage envie de moi. Puis soudainement j'échangeais nos places, plaçant délicatement le dos de June contre la baignoire pour m'allonger sur elle en faisant évidemment bien attention à ce que son magnifique visage soit en dehors de l'eau. Est-ce que mademoiselle est convaincue à présent ? Murmurant en collant mon corps au sien, allant de nouveau manger ses lèvres pulpeuses.
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Ce que j’ignorais en disant que je ne pouvais pas avoir d’enfant c’est qu’en fait il était possible que j’en ai un. Certes j’avais eu une opération de l’utérus et ce serait peut être un peu plus compliqué mais personne ne m’avait jamais dit que je serais définitivement stérile. Seulement je venais de perdre le bébé dont j’avais rêvé pendant 3 mois et quand on m’avait dit qu’il serait difficile d’en concevoir un rapidement suite au choc j’avais compris être stérile. Cependant dans ma tête c’était maintenant clair et net que je n’aurais pas d’enfant. Beaucoup de garçons avait la réaction de Leandro, je lui en voulais pas mais j’y croyais pas vraiment, je hochais la tête, plus pour me débarrasser de cette conversation gênante. Je lui avais ensuite demandé de me prouver qu’il pouvait me faire changer d’avis. Que personne ne se méprenne, j’avais déjà envie de Leandro mais je souhaitais qu’il me mette l’eau à la bouche. Rien que ses baisers me donnait terriblement envie de lui mais j’essayais de résister, je ne savais pas si c’était une bonne idée. Ses caresses sur mon corps me faisait perdre tout sens commun et tant pis si je faisais une bêtise. J’y réfléchissais plus tard, pour l’instant c’était le plaisir, ou plutôt l’envie de plaisir qui l’emportait. Il titillait ensuite ma poitrine et j’adorais ça, je ne sais pas comment il le savait mais les seins étaient l’une de parties les plus sensibles de mon corps. La baignoire n’était finalement pas un lieu très pratique pour ce qui était préliminaire et ce dont j’avais l’habitude de faire dans un lit. Il se mit au dessus de moi, son corps était très près du mien et ses lèvres mordillaient les miennes, je ne pouvais plus refuser, pourtant je luttais une dernière fois : « Hum…Peut être… ». Avouais-je à demi mot. J’étais en vérité complètement charmé mais je ne voulais pas lui avouer, je voulais le faire languir encore un peu. Cependant je désirais moi aussi l’exciter. Je passais alors ma main jusqu'à son membre que je commençais à caresser tout doucement.

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Je n'ai plus envie de parler de nos petits problèmes, de notre train-train quotidien car je voyais bien qu'en parlant d'enfant ça blessait la belle lowell. Alors autant s'amuser un peu ensemble, on se plaît, on est jeune, en pleine santé et célibataire, ce n'est pas lorsqu'elle sera en couple ou amoureuse d'un autre qu'on pourra s'amuser ensemble. Je jouais donc avec chaque parcelle de son corps, malheureusement dans une baignoire ce n'est pas très facile, néanmoins sa réponse me fit hocher les sourcils. Peut-être ? C'est pas suffisant ça .. Murmurais-je contre ses lèvres alors que je sentais ses doigts glisser sur mon membre, rien que ses douces caresses me rendait encore plus dingue d'elle. Sauf que la demoiselle voulait jouer, donc nous allons jouer. J'ai envie d'elle, terriblement envie d'elle et elle devait sans l'ombre d'un doute s'en rendre compte à cause de mon entrejambe. Je laissais la belle jouer encore quelques secondes avec mon membre avant d'attraper doucement sa main pour l'enlever à contre cœur, mais avec la simple envie de la chercher à mon tour. C'est dommage je suis sûr qu'on aurait pu passer un bon moment ensemble. disais-je avec un petit sourire provocateur sur le coin des lèvres. Non je ne suis pas en train de la rejeter, d'ailleurs ça se voyait très largement sur mes lèvres que j'attendais simplement qu'elle me demande de revenir ou bien de partir dans sa chambre avec elle. Je sortais doucement de l'eau, sans lâcher le regard de June. Doucement je prenais une serviette dans mes mains sans pour autant me sécher de suite. Sauf si tu changes d'avis avant que je me sois totalement rhabillé. Allait-elle craquer ? Je l'espère bien, car nul doute que nous avons autant envie l'un de l'autre, sans compter qui si rien ne se passe entre nous, j'aurais l'air bien stupide avec mon soldat au garde-à-vous.
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Je haussais un sourcil quand Leandro me dit qu’un peut être n’était pas suffisant, qu’est ce qu’il cherchait au juste ? Que voulait-il que je lui dise ? Je n’allais pas lui hurler mon désir et mon envie de lui, surtout que c’était comme un jeu entre nous. Ma main toujours sur son membre je savais qu’il n’y avait plus que quelques secondes avant qu’il craque. Mais…Il la retira, malgré son sourire malicieux, je ne comprenais pas pourquoi ? Il voulait me faire languir encore…Sur le coup, j’étais surprise, je savais pas ce qu’il traficotait : « De quoi ? Tu fais quoi là ? ». Je regardais son entre jambe qui pourtant ne réclamait que moi (et oui les autres filles dans ce sujet c’est moi que mini-Leandro désire, faites vous une raison LEANDRO & JUNE ∇ oups, i did it again.  - Page 3 152426858 ). Il sortit même de l’eau. J’avais soit la possibilité de le mettre dehors à poil, soit de m’amuser encore un peu avec lui. Les deux seraient drôles de toute manière. Je me levais à mon tour avant d’embrasser doucement ses lèvres : « Tu veux me suivre ? ». Je ne lui posais pas vraiment la question puisque je l’emmenais presque directement dans ma chambre, prenant quand même la peine de me sécher un minimum avant, je l’allongeais alors sur mon lit avant de le couvrir de baiser. Ma langue se balader sur mon corps et ma bouche profitait de sa peau adoucit par l’eau chaude. Leandro était vraiment délicieux mais je devais me rappeler de cet affront qu’il m’avait fait et ainsi, ne pas m’offrir à lui comme il le souhaitait tant. Je l’embrassa langoureusement avant de descendre mes baisers au niveau de son entre jambe qui avait l’air toujours aussi en forme, je commençais alors à passer doucement ma langue sur son membre avant de remonter près de lui et de lui murmurer à l’oreile : « Mais rhabilles toi, tu as raison, c’est ce que tu veux non ? ». Je l’avais jamais regarder avec une telle intensité, mais je savais ce que je voulais et c’est lui qui allait craquer. Je me mis à califourchon sur lui avant de murmurer : « Par contre décides-toi maintenant, ma patience à des limites… ». Je l’embrassais tout en trimoussant mes petites fesses contre son corps toujours nue.

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