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LOWELL TEAM ✮ Le bizutage ultime de la mueeeeeerte

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Armée de ta cagoule (pour faire peur à tes adorables lowells) et de ton post de musique, tu jettes un dernier regard complice à Cody. T'as branché les lances d'eau, tout est ok ? Il approuve du signe de tête avant de s'éclipser vers le couloir des chambres des garçons. Sur ta montre il était exactement 3h30 du matin et avec Cody vous aviez préparé une petite surprise pour le fin du bizutage de vos futurs lowells adorés. Et pas n'importe lequel attention. Vos victimes : Devyn, Roxanna, Joana, Joan, Cercei et pour finir en beauté Irini. T'as un énorme sourire sadique dessiné sur ton visage juste à l'idée de réveiller en fanfare tes lowells. Et vous aviez prévu grand. Très grand. T'attends le signal de ton président et... un... deux.. TROIS ! Le tuyau d'eau était actionné et tu enclenches lamusique à fond les ballons. Tu fais claquer la première porte qui se trouvait devant toi, ta lance d'eau à la main. Premières victimes : la chambre de Rox et Irina ON S'REVEILLE ET QUE CA SAAAAAAAAAAAAUTE ! tu t'approches du lit des filles et  les arrose d'eau glacée PLUS VITE J'AI DIT! gosh tu faisais flipper avec ton air militaire. Tu t'éclipses dans la chambre d'en face. Celle de Joana. Tu donnes un coup de pied dans la porte en hurlant POLICE D'HARVAAAAAAAAARD ! ON SE BOUGE VOUS ËTES EN ETAT D'ARRESTATION POUR VOL D'ANANAS! n'importe quoi Lizie, définitivement. Et pour clore le tout, tu arroses de plus belle la jeune femme, avant de sortir de la chambre vers ta nouvelle victime...


HS: et voilà les loulous, y'a pas vraiment d'ordre, répondez au feeling, on vous aime, promis vous ressortirez vivants.. LOWELL TEAM ✮ Le bizutage ultime de la mueeeeeerte  2511619667 ou pas :twisted:
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Le bizutage touchait à sa fin pour une poignée de Lowell et autant vous dire que Liz et Cody allaient les lessiver jusqu’au bout. Programme complet ; lavage, nettoyage, séchage et bien sûr, l’étape préférée des deux présidents …  *roulement de tambour*  L’ESSORAGE ! Ils avaient concocté un planning d’activité pour que les bizuts aient de quoi s’amuser – ou pas – jusqu’au bout de la nuit. Les derniers préparatifs terminés, Cody et Liz s’apprêtaient donc à réveiller les six recrues. Liz réveilla trois des filles alors que Cody s’occupait des deux autres (Cerceï et Joan) et de son chéri, son chouchou, son amour, sa vie, aka Devyn. Liz avait mis la musique à fond et, déjà, si avec ça ils n’étaient pas réveillés, c’est qu’ils avaient une très mauvaise ouïe et qu’il faudrait sérieusement repenser leur place au sein de la Lowell House. Enfin, Cody déboula dans la chambre de Devyn mais, contrairement à Liz, il chantonna une comptine pour enfants en lançant des pétales de roses sur son bizut, trottinant tout autour de son lit. « Lalalalalalalaaaaa. » fredonnait-il avant de dégainer le vuvuzela qu’il portait sous le bras et de souffler fortement à l’intérieur pour que son bizut sorte totalement de ses rêveries. « IL EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT, IL EST VRAIMENT PHENOMENAL LALALILALALALALALALAAAA IL EST VRAIMENT … » Il constata que c’est booooon, il venait de réveiller Devyn et même de décoiffer sa tignasse d’habitude si bien brosséééée. Il tendit un seau d’eau au jeune homme et dicta les consignes ; « Habille-toi vite et dépêche-toi d’aller dans la chambre de Joan pour lui jeter ça à la figure ! Ensuite, vous descendrez dans le hall ensemble. » Quoi ? Vous avez cru qu’il existait une entraide entre bizuts ? AHAHAHAHAH. De son côté, Cody traversa tout le couloir des dortoirs et défonça la porte de la chambre de Cerceï et la réveilla à coups de vuvuzela, soufflant dans l’instrument au rythme de Skrillex. « MON SEIGNOOOOOR, IL EST L’HOOOOORE ! Bouge tes fesses Cerceï, t’as trente secondes chrono pour sortir de ta chambre, lavée, habillée, peignée ! » ça c’est du réveil.
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Il y a quelques temps , j'étais en colocation , du moins j'ai essayer. Autant dire que ça ne m'a pas tant plu puisque je préférait retourner vivre avec mes saloperies les meilleurs fous de l'université , mes confrères , les Lowell. Il est clair que je m'y sentais plus à l'aise avec eux finalement , puis vivre en bonne communauté dans sa confrérie c'est normal quoi , la chambre est belle avec ses papiers peints violets , j'aime la vie en violet. Bref , je dormais à poings fermés , en même temps vu l'heure j'étais bien dans mes rêves depuis belle lurette.... Soudain , une musique forte retentit et je reconnu le son de Skrillex. Bon dieu , qui faisait un boucan pareil? J'étais de suite réveillée évidemment il faudrait être sourde pour ne pas l'être , lorsque j'allais me lever afin de voir ce qui se passait , somnolant à peine , tellement que je n'étais pas bien réveillée , je marmonnais...Je n'eus pas le temps d'aller voir que Elizabeth rentrait dans ma chambre , bon dieu elle me faisait presque peur avec sa cagoule sur la tête , elle criait.   « POLICE D'HARVAAAAAAAAARD ! ON SE BOUGE VOUS ËTES EN ETAT D'ARRESTATION POUR VOL D'ANANAS!  »  Ce surnom m'avait fait rire depuis le début , mais là de suite je n'avais pas forcément envie de bien rire , alors qu'elle m'arrosait d'eau bien fraîche afin de mieux me réveiller. J'étais trempée jusqu'aux os à présent. Je me levais bien sûr en sursaut et je ne pris pas la peine de me changer tellement que j'étais encore sous le choc on va dire, je criais tandis qu'Elizabeth était dans une autre chambre réveillant une autre bizut. « Merde Lizzie ! C'est quoi ce bordel ?!!! »    
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Huuum enfin une bonne nuit de sommeil, tranquille, sans soutif de tomber ou encore de pelotage de nénés. J'étais dans mon lit, douillette, bien que pour une fois Roxanna était dans la chambre -mais ça j'm'en tamponnait. La tête sur l'oreiller, le traversin entre les jambes et les boules quiez dans les oreilles parce qu'après tout, nous étions dans la maison des artistes. Ces artistes qui dansent, chantent et font de la musqie tout le temps. Ces artistes qui se lèvent hyyyyper tôt pour aller peindre le lever du soleil où j'en sais trop rien ou encore ces artistes complètement taré qui ... qui vienne te réveiller avec un jet d'eau gelé dans ton lit tout en criant : ON S'REVEILLE ET QUE CA SAAAAAAAAAAAAUTE ! PLUS VITE J'AI DIT! Je l'avais déjà remarqué plusieurs fois déjà auparavant. Ouais, ma bizuteuse était vraiment adorable ! Me réveiller si gentillement un matin comme ça de bonne heure. Sauf que moi, le matin, j'suis pas commode. Mais pas du tout. Alors j'ai envie de dire, en ce moment même, j'étais debout à côté de mon lit, trempée et j'avais froid et la, ouais très clairement : je gueulait comme dans la pub où la nana est toute contente pour sa voiture, tellement contente qu'elle se déssape. Et bah moi j'ai fait la même. Je me déshabillait le plus vite possible pour courir sous une douche brûlante avant de me rhabiller -avec d'autres vêtements bien entendu. Et la je réalisait enfin : ELIZABEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
EEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEETH ! J'VAIS TE BUTER !
Bon, fallait juste qu'elle reste cachée 10 à 15 minutes le temps que ma mauvaise humeur passe parce que là, j'avais mal pour celui qui allait croiser ma route.
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[size=11]Tu dormais à poings fermés cette nuit-là. Tu n'étais pourtant pas franchement un gros dormeur, loin de là, mais le sommeil t'avait finalement rattrapé, blotti contre William. Tu dormais donc à poings fermés, au point de ne même pas entendre la musique à fond dans le bâtiment des Lowells. Tu avais bougé instinctivement lorsque Cody avait jeté ses pétales de rose, sans même te réveiller... mais c'était sans compter sa vuvuzela. Tu sursautas très largement, retenant le drap d'instinct pour ne pas te montrer à poil, et remuant dans tous les sens pour trouver d'où venait ce bruit horrible. Cody, putain, casse-toi ! Tu n'étais pas du genre injurieux mais tu n'avais jamais été du matin non plus, cela s'expliquait donc facilement. Tu étais complètement à l'ouest, et ne comprenais pas tout ce que ton bizuteur te racontait, hormis deux mots : Joan et eau. Vu que l'eau était dans le seau, tu finis par associer le tout, hochant vaguement la tête tandis qu'il sortait de la chambre. Voyant l'heure qu'il était, tu grognas fortement tout en faisant tout de même l'effort de sortir du lot et de te traîner pour t'habiller. Bon sang, Cody allait le payer, pour une fois qu'une nuit à peu près complète te profilait pour toi... C'était dans un état digne d'un zombie que tu atteignis ensuite la chambre de Joan que tu ouvris sans faire particulièrement attention au bruit, et tu renversas rapidement le seau sur sa tête visible. Mgne-toi Joan, le chef nous veut en bas le plus rapidement possible. Oui, le mode grognon était activé, mais ce n'était franchement que justice.
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bizutage ultime de la mueeeeeerte.
w/ bizus & chefs.

Je dormais trop bien dans mon lit, avec mon ours en peluche dans les bras. En plus de ça, j'allais enfin pouvoir m'envoyer en l'air avec mon fantasme depuis toujours quand bordel, j'entendis un vacarme pas possible. NON DE DIEU mais qu'est ce qui se passe ? Je crois être dans un cauchemar ou un mauvais remake quand j'entends sincèrement Cody me hurler de ssus. Mais pourquoi ? J'ai rien fais encore. Je me redresse ensommeillé, cherchant à tout prix un moyen de le faire terre. Je jette mon coussin posant mes deux mains sur mes oreilles. « BORDEL DE MERDE CODY, c'est l'heure de dormir. » Mais je me rends compte que je ne suis pas la seule, oh mais super. Au radar et je sais même pas pourquoi, j'enfile un jean, un t-shirt au piff et je sors pour faire face à... BORDEL ils sont mouillés. Je passe ma main dans ma nuque, mes cheveux dans tous les sens. « Si c'est une blague, elle est de mauvais gout. » Je suis grognon aux réveils et alors ? Honnêtement c'est pas possible, je passe mes mains sur mes oreilles, j'en peux plus, je n'en peux plus.
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Joan inspira, expira, à deux doigts de l'implosion. Déjà qu'elle n'était pas particulièrement de bonne humeur au saut du lit après avoir passé de longues heures dans son lit douillet, là c'était la goutte d'eau. Les gouttes d'eau, le seau d'eau, tout, et tout ce à quoi pensait Lindley c'était le temps que son oreiller et son matelas allaient mettre à sécher, surtout qu'il ne faisait pas spécialement beau, pas encore assez réveillée pour voir que le réveil sur sa table de nuit affichait une heure tardive de la nuit, pas non plus capable de faire le lien avec l'eau qu'elle venait de se recevoir sur la tête et d'où elle provenait. Finalement, Joan croisa le regard de Devyn qui parla de chef, de bas. Devyn, le jeune homme discret et plutôt sympa qu'elle avait rencontré à la pendaison de crémaillère de Jackie quelques semaines plus tôt, il fallait croire qu'elle s'était trompée sur son compte. Elle finit par s'essorer les cheveux, par acquis de conscience, elle enfila un veste de jogging et un pantalon par dessus son pyjama. Elle jeta un rapide coup d'oeil dans le noir, devinant que le brunet n'était pas plus enthousiaste qu'elle. « Chef, chef, pas tortionnaire non plus. Allez on y va. » Quand elle aurait identifier le commanditaire de cette attaque à main armée, à n'en pas douter, elle allait lui faire payer.
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Tu t'étais préparée à ce genre de réaction : ces râlements, ces grognements, mais à fond dans ton rôle de bizutrice, tu restais de marbre. Vous aviez préparé Cody et toi, un véritable parcourt du combattant et vous verrez lesquels de vos bizuts seraient les plus ressistants. Tu ressors de la chambre de Joana et vois ta jeune bizut rebelle la plus adorable de toutes, tu nommes Irini qui te hurle dessus. Oulala, c'est que tu l'avais piqué au vif, c'est vrai qu'après le dessapage, tu l'avais tremblé de la tête au pied. Tu ne sais pas comment elle faisait pour te supporter mais il ne fallait pas oublier une chose essentielle : tu faisais tout cela avec amour. Tu regardes la brunette Parle mieux à ton ainée! tu la charrie avant d'hurler de plus belle J'VOUS VEUX TOUTES DANS LE HALL DANS UNE MINUTE TOP CHRONO! ou une nouvelle douche froide. Tu récupère ta lance descendant l'escalier en éteignant l'eau, avant de rejoindre le grand séjour en attendant Cody et les autres lowells.
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Après Skrillex, place aux grognements, soupirs, cris et plaintes de tout le troupeau de petits bizuts. Ahhhh c’est si beau d’entendre des gens râler au petit matin. Petit matin ? Bon OK, en plein milieu de la nuit. Mais ils allaient voooooir, ils allaient s’amuser comme des petits fous ! En plus, il y avait un léger favoritisme ; à noter que Devyn et Cece avaient écopé du supplice de l’eau. En fait, Cody se disait qu’ils étaient déjà suffisamment handicapés dans la vie pour en rajouter une couche. Après que Liz les ait tous ordonné de la rejoindre en bas, Cody se prit pour le sergent instructeur de tout le régiment et sonna trois coups avec son vuvuzela – décidément, ça deviendrait son joujou pour toute la cérémonie de bizutage ; « ALLEZ LES LOWELL, en petite foulée ! UNE DEUX UNE DEUX UNE DEUX ! » s’écria-t-il en tapant dans ses mains, veillant à ce que chacun des bizuts passe devant lui afin qu’il puisse ficher les retardataires et ceux qui ralentiraient le groupe.
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Je sais pas pourquoi mais cette journée -cette nuit- j'la sentais mal. Lizie passait alors une nouvelle fois devant moi et se permis de me faire la leçon pour me taquiner : Parle mieux à ton ainée! Ouuuuh j'vais l'étrangler. Rox était encore à moitié dans les vapes dans son lit. Peut-être qu'elle nous rejoindrait après ? Là, j'avais franchement pas la foi de la traîner. Ouais ouais, nan la flemme. J'suis tellement crevéeeee ! Je suivais le chemin que prenait une forme que je distinguait vaguement dans le couloir, tant pis si c'était le grand méchant loup, lui au moins il me laisserai dormir. Ouais, ouais, c'est ça ... marmonnait-je. Bon, il était temps de bouger mon popotin si je ne voulais pas que mes autres vêtements soit mouillés. J'avançais un pas après l'autre dans le couloir puisque quelqu'un avais eu la bonne idée d'éteindre la lumière -encore un coup de Lizie ça surement- puis sans faire gaffe, je m'aventurais dans les marches ... que je dévalais à une vitesse fulgurante. Arrivée par terre, la tête sur le sol et les fesses en l'air, je me relevait le plus vite possible : J'ai rien ! Ça va aller. A part si les handicapés ont le droit à un traitement de faveur : là j'aurais quelque chose. disais-je au "staff" de la Lowell House et à tous les autres membres qui avaient la tête dans le cul.
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