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Si t'as mis mon soutiens-gorge ou j'pense, tu n'auras plus ces attributs.

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Jeno & Olympe

Moi je le vois comme un mal, répliquais-je avec une petite moue boudeuse. C'était la pure vérité : j'avais souffert mon isolement, petite : je n'avais pas le droit de sortir, mes mais étaient triés sur le volet, et j'avais passé plus de la moitié de ma scolarité chez moi, avec des instituteurs privés qui venaient à la maison. Je fronçais légèrement les sourcils en l'entendant dire qu'au moins, cette éducation avait fait de moi quelqu'un de bien. Je n'étais pas spécialement d'accord, je ne me sentant pas une comme "une bonne personne", mais je ne me sentais pas non plus mauvaise. Du coup, je préférais le prendre comme un compliment, et je souris au Mather à mes côtés, me rapprochant de lui pour éviter d'être bousculée par tous les gens qui trainaient dans le coin ce soir. Visiblement, personne n'avait enregistré que c'est la rentrée et qu'on est censé travailler, à tout les coups je risquais de croiser des gens de mon entourage. Je comptais sur le foule pour me camoufler, et pour m’empêcher de tomber nez à nez face à mon ancien cavalier du bal, Zakhar, par exemple. Croiser un Eliot sous le bras de Jeno serait une situation vraiment étrange pour tout le monde je pense. Laissant la conversation sérieuse dans la rue, il se moqua gentiment de moi, et je frémis en sentant ses doigts glisser sur ma nuque, alors qu'il retirait son bras de mes épaules. Et ça n'avait rien à voir avec le froid, puisque la foule dégageait une certaine chaleur. Je n'ai aucune envie de finir bourrée, murmurais-je, me demandant si il m'avait entendue ou non. Il y avait du bruit, de la musique, des cris, des discussions, et c'était très vivant comme ambiance. Observant les gens présents pendant qu'il s'étirait, je le laissant attraper ma main pour me glisser derrière lui tandis qu'il se dirigeait vers le bar. Il y avait beaucoup de bruit, beaucoup de gens, et je me hissais sur la pointe des pieds pour lui dire, proche de l'oreille, afin d'éviter de crier : Tu veux qu'on aille au bar, ou on se trouve une place sur les banquettes? Il y avait du monde, mais je voyais au moins un tabouret de libre au bar, et il devait bien y avoir un petit coin quelque part. On était pas obèses non plus, on prend pas de place !
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Il arrivait à s'imposer sans jouer des coudes et sans donner des coups pour passer, ce qui me facilitait la tâche pour le suivre : je n'avais qu'à le suivre, dans le couloir que les gens lui laissait. Du coup, assez rapidement nous arrivions au bar, et en Jones avertie, je balayait la salle du regard, un noeud au ventre, cherchant un regard connu, des cheveux familiers, quelque chose m'indiquant que je risquais soit de passer la soirée crispée comme une huitre, soit que quelqu'un allait colporter des rumeurs à mon sujet. Mais rien de tout cela, c'est donc avec un sourire aux lèvres que je demandais à Jeno, dans son oreille, si on allait au bar ou plutôt sur une banquette, un peu à l'écart. Il pencha la tête vers moi pour me répondre, tout en posant une main sur mon bras, afin de me faire passer devant lui. Il avait peur que je le lâche et que je me sauve en courant..? Cette pensée me fit sourire, et j'avançais vers les dernières places libres, amusée et heureuse de passer un moment avec lui. En fait, j'avais adoré chaque rare moment où j'avais passé du temps avec cet homme, et j'avais hâte de voir si ça pouvait encore être une bonne soirée. Me glissant contre la banquette, entre la table et le mur, je posant le pull de Jeno à côté de moi, lui souriant. Je ne pensais pas qu'il allait aller tout de suite au bar, mais ça serait plus simple comme ça, et je réfléchis quelques secondes, avant d'annoncer d'une voix amusée : Choisis ce que tu veux pour moi, tu es sûrement plus calé que moi sur les boisons servies ici. Mais rien de trop fort, s'il-te-plait.. Si j'avais été seule ou avec une amie, j'aurais prit uniquement une jus d'abricot, ou en tout cas, un truc léger, sans alcool. En groupe, j'aurais peut-être prit une bière, même si je n'étais pas fan, ou un cocktail : j'espérais sincèrement qu'il allait m'obéir, en me rapportant mon verre, parce que je n'avais aucune envie de me retrouver avec de la vodka à peine diluée. Je le regardais s'éloigner, le suivant du regard jusqu'au bar, attendant avec curiosité qu'il revienne. Il y avait un monde de fou, et je l'avais perdu de vue, puisque le bar était assez loin de la table..
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Assise seule sur ma banquette moelleuse, je commençais à douter légèrement de ma superbe idée de lui laisser le choix de ma boisson de ce soir. Il avait disparu avec un clin d'oeil, et j'avais totalement le temps pour imaginer ce qu'il allait pouvoir commander pour moi. C'est intéressant, un choix de boisson pour une personne, parce que ça en dit long sur elle, et sur ses goûts, alors malgré la petite incertitude face au risque que je prenais en le laissant choisir, puisque certains profitaient de cette situation pour me déconnecter de la réalité avec de l'alcool fort, j'étais curieuse. Si il m'a prit un verre de vin blanc, c'est qu'il ne me connait absolument pas, j'adore le vin, mais je ne suis pas snob au point de boire ça comme ça, lors de son anniversaire. Si il m'a prit une bière, c'est qu'il ne se doute absolument pas que j'ai des goûts malgré tout plus raffinés que ceux de certaines personnes qui trainent au bar ce soir. Jouant avec le manche du pull qu'il m'a gentiment prêté, je souris en le voyant revenir, après avoir écarté plusieurs personnes assurément, vu la densité de la population ce soir. Il posa un verre bien coloré devant moi, qui d'aspect me plut immédiatement, avant de s'asseoir à côté de moi. Je me décalais légèrement pour lui laisser un peu plus de place comme je m'étais mise de façon à réserver les deux places, l'écoutant en attrapant mon verre. Je trinquais avec lui en souriant, répliquant avant de porter mon lèvre à mes lèvres : J'ignorais que j'avais une tête exotique, mais je prends quand même, ça a l'air d'être un compliment ! Joyeux anniversaire, Jeno ! J'ajoutais un petit clin d'oeil, goutant donc le cocktail pour femme d'après Jeno. C'était très bon, exactement ce qu'il me fallait, et je poussais un petit soupir de contentement en éloignant mon verre de mes lèvres. C'est délicieux, j'adore, ajoutais-je avant de reposer mon verre sur la table, pour tourner la tête vers le Mather à mes côtés, curieuse de le voir si détendu à présent à mes côtés. Alors, ça fait quoi de grandir, monsieur Carpenter ? Tu te fixes des objectifs à atteindre avant l'an prochain, tu te contente de vivre au jour le jour, Carpe Diem ? le questionnais-je l'observant, le gout du Cranberry délicieusement présent dans la bouche.
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Je ne m’amuse plus vraiment à mes anniversaire maintenant : je me demande même si je me suis réellement amusée un jour, et j'en garde un gout amer, un sentiment douloureux avec ma famille me connaissant si mal. Et du coup j'avais envie de faire plaisir à Jeno, aujourd'hui : puis clairement, j'allais bien devoir me l'avouer, j'aimais passer du temps avec lui. J'étais bien, assise à côté de lui, un verre à la main alors qu'il avait l'air détendu, et que moi je souriais en posant des questions idiotes en cessant de faire attention à tout : mon sourire, ma robe devant toujours rester impeccable, les gens à qui je dois dire bonjour.. c'était un break agréable. Je ris à mon tour, ça avait été une question idiote, mais j'aimais ça, faire parler les gens nous renseigne sur eux. Ce n'est pas stupide, c'est pas très réfléchi mais moi je me sens plus responsable après mon anniversaire, tu vois ! répliquais fière d'avoir une réponse à lui fournir, en le regardant poser son menton sur son genou. Il avait l'air confortable, son genou. Reportant les yeux sur mon verre pour en observer les nuances, je l'écoutais me parler de son business plus ou moins en sous entendu. Visiblement il avait encore envie de gagner de l'argent sur la dépendance des gens, mais au moins il avait la décence de m'épargner ses mots crus. C'était un acte voulu, puisqu'il n'avait, du moins à mes yeux, jamais eut de problèmes pour être direct et sincère. Et je me sentie soudain touchée, comme si il avait voulu m'épargner quelque chose : c'était peur, mais ça me suffit à sourire et à ne pas relever ce que moi j'en pensais, de ses habitudes. Super sage, tu vas réussir à faire ça toi, en continuant tes "petites habitudes" ? lançais-je, légèrement moqueuse, curieuse de me dire qu'un Carpenter pouvait être sage. J'écoutais ensuite sa question, secouant la tête en l'entendant parler. Une femme parfaite : je ne l'étais pas, j'avais essayé de l'être, mais j'avais échoué, lamentablement, perdant l'affection de mon père au passage. Cherchant mes mots, je commençais, un peu incertaine : Eh bien, non, je ne compte pas rester une femme parfaite. Je ne me sens pas parfaite, et j'en ai marre d'être toujours plus.. Jones que Olympe, tu vois? J'enchainais, ne lui laissant pas le temps pour répondre à ma question, histoire de ne pas me dégonfler après : Je suis une fille normale, peut-être même moins sage que certaines Mather dans ce que j'ai fait il y a quelques années : j'ai trompé mon fiancé, tu le sais. Je ne l'aimais pas, mais ça ne m'excuse pas, j'aurais pu trouver une autre solution. Il m'avait été imposé, mais je n'avais pas tout de suite trouvé la force de dire non. Du coup pour te répondre, je pense que je vais essayer de moins regretter mes actes, ce sera déjà un bout début : arrêter de laisser des mecs me saouler, et me rapprocher d'une fille normale. Pas parfaite, normale. La normalité, chose que je ne connaissais pas vraiment, mais que j'enviais de plus en plus.. Finissant, j'haussais les épaules, guettant sa réaction.
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Je venais de temps au Lord Hobo, mais il n'avait été comme ce soir à mes yeux : aussi bondé, et pourtant un peu calme, puisque j'étais dans ma petite bulle, sur ma banquette. J'écoutais et je parlais avec Jeno : les autres étaient devenus des figurants ou presque, et je n'avais pas envie que ça change. Je ne voulais pas me souvenir de la peur qu'il m'avait inspiré lors de notre première rencontre, du chantage qu'il avait utilisé contre moi. Non, je voulais juste parler, découvrir, m'amuser, rigoler, et oublier. J'étais même curieuse pour tes sujets que j'avais toujours trouvé idiots et répugnant : la drogue. Puis finalement, j'avais essayé : et je ne comptais pas recommencer, j'avais vraiment eu du mal à m'en remettre après le SB : physiquement parce que j'avais surement été sensible à ce que j'avais fumé, mais aussi psychologiquement : parce que j'avais franchi une barrière que je m'étais interdite seule. Ouais, t'as sûrement raison, mieux vaut que j'ignore tout ça, lançais-je en réalisant qu'en effet si j'en savais plus je serais peut-être déjà partie, le laissant seul avec son verre, sur une petite banquette du Lord Hobo. Mais je restais, allant de surprise en surprise : il n'était plus dépendant. Clignant des yeux quelque secondes, choquée, j'étais en train d'analyser ce qu'il venait de me dire. Pour moi, il était accro, comme ceux qu'il fourni, c'était une évidence. Je l'avais imaginé prendre de la cocaine chaque jour, mais finalement.. non? Quoique, j'allais vite en besogne : il n'était plus accro, il n'a jamais dit qu'il n'en prenait en plus. Félicitations soufflais-je, un petit sourire amusé aux lèvres. Un point pour toi Jeno, tu m'as prise au dépourvu, je ne m'y attendais pas du tout. Puis finalement la discussion dériva sur moi, et le mot parfaite, ce mot anodin qu'il avait employé m'avait renvoyé directement à ce que j'étais, ce que je n'étais plus, ce que j'avais essayé d'être sans y parvenir, à tout ce qui me tourmentait, en fait. Tentant de lui expliquer sans paraitre folle ou dérangée, je me sentis soulagée lorsqu'il rit pour me répondre, ne paraissant ni choqué ni surpris par mes révélations, en fait : juste fidèle à lui-même, stoïque. Des fois j'aimerais vraiment être normale, tu sais. Mais après, devant des robes Chanel, je me dis que c'est pas si mal, dis-je en riant, me moquant de mes propres habitudes et aspirations. Quand à l'entreprise familiale, je m'en suis détachée. J'ai un peu été forcée, mais au final c'est positif. Mais c'était toujours douloureux d'en parler, j'avais rebondit, j'avais monté ma boite à l'aide d'un ami banquier de mon grand-père, mais j'avais encore mal. L'observant se rapprocher, je ris nerveusement en l'entant parler d'instinct, passant une main dans ma queue de cheval, en lui expliquant : mon instinct me joue des tours, Jeno. Et puis les questions ça me rassure.. je contrôle tout comme ça, pas d'imprévus dans ma vie. J'anticipe..
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