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Joyeux Anniversaire o/
Jeno & Olympe
Jeno & Olympe
Ca va, on a un look passe partout quand même, annonça Jeno lorsque j'eu fait l'erreur de dire que mon look vestimentaire n'était pas très vert dans l'âme. Ne voulant pas répliquer par la négative totale : bien sûr que si ils ont un look particulier, loin d'être passe partout, parce que sinon ça allait finir en débat, je me contentais de faire les gros yeux en le fixant histoire qu'il n'y ai pas d’ambiguïté dans son esprit. Pour moi, toutes les filles vêtues de robes moulantes courtes et vulgaire sont vertes, tout ceux avec des baggys ou des pantalons troués et des haut sortant de l’ordinaire son verts. Idem pour les piercings, si quelqu'un est troué par un truc métallique, il appartient forcément aux mathers. Jeno n'est que l'exception qui confirme la règle si il n'a pas les cheveux violets, en fait. Me rapprochant un peu de lui pour être plus à l'aise et pour parler moins fort, je me mordis la lèvre en le voyant réagir un peu.. amèrement à mes propos. Mais c'était la pure vérité, j'allais perdre de la crédibilité aux yeux d'un bon nombre de fréquentations si on apprenait que je venais souhaiter l'anniversaire d'un mather directement dans sa chambre. Je sentis que je l'avais blessé, parce que il était bien plus qu'un simple dealer de la maison, et je repris doucement, malgré son regard dégouté jeté à la va vite vers moi, pour qu'il ne s'éloigne pas, et surtout qu'il comprenne que mes propos étaient modérés, et qu'il n'était pas juste le symbole d'un loupé social pour moi. Je lui expliquais que si j'avais encore toute ma tête, je serais carrément partie, mais depuis quelques jours ma tête me faisant royalement défaut. le fixant d'un oeil inquiet, de peur qu'il ne parte, ou qu'il m'en veuille, c'est avec soulagement que je vis sourire doucement, avant de s'approcher de moi. Je poussais un soupir de soulagement discret, et lorsqu'il frotta son nez contre le miens je ris légèrement. Je me rebelle comme je le peux, répondis-je, mon nez toujours contre le siens, profitant de ce contact quelques dixième de secondes. Je n'aurais pas laissé un homme faire ça habituellement : soit je l'aurais embrassé pour en finir et pour qu'il me lâche, soit je l'aurais giflé, mais parce que leurs intentions n'étaient pas très camouflés. Là, je me sentais en sécurité, et j'avais presque envie de plus bouger. Jeno ne me faisait plus peur, si il m'avait fait peur un jour car même le soir d'halloween dernier, la première fois que je le voyais, je lui avais malgré tout tenu tête. Glissant mon nez contre sa joue, je me reculais rapidement, comme si je m'étais brûlée, pour me redresser à une distance raisonnable. Je devais faire attention de ne pas me laisser emporter, j'étais là pour lui faire plaisir, pas pour.. badiner en faisant les yeux doux. Il allait me prendre pour une idiote rose sans cervelle et ça m'aurait gênée. Je ris, prit son oreiller en me penchant vers lui, lui soufflant pour qu'il ne se méfie pas : je dois te montrer un truc. Puis, une fois l'oreiller en main, je le frappais avec en riant, montant à califourchon sur son jean pour plus qu'il ne bouge : Tu vas voir ce que ça fait, de se moquer d'une Jones, l'ancêtre Carpenter. Il allait réussir en deux secondes à me prendre l'oreiller si il le voulait, mais au moins j'avais réussi mon coup avec l'effet de surprise. Puis au moins, j'oubliais ses yeux à quelques centimètres des miens, ou du moins j'essayais.
HJ : roman time, désolée
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