Les retrouvailles des mariées ! (Leroy-Thomspers)

Je devais à présent retrouver ma femme, j'avais donc quitté la soirée futuriste des Dunsters afin de me rendre dans la maison des artistes, seulement je ne connaissais pas très bien l'endroit et j'avais donc demandé à ma belle de me retrouver à l'entrée. Je savais qu'elle devait faire une représentation et j'espérais que c'était terminé puisque j'étais pas du genre très forte en sens de l'orientation surtout dans un endroit que je connaissais pas. J'étais donc sur le porche, avec ma tenue vraiment inappropriée pour leur soirée, niveau espace temporel c'était plutôt grand comme échelle pour le coup. Je décidais donc de m'allumer une cigarette, depuis le temps que j'avais pas eu la chance de voir sa bouille, j'en avais des choses à lui raconter, notamment mon petit passage en prison.  

Tu avais reçu un message de ta tendre et chère femme, enfin mademoiselle daignait à te donner des nouvelles, c'était pas trop tôt ! Vous vous étiez donnée rendez-vous devant la lowell house, juste après la représentation de ton spectacle. Une fois ce dernier finit, tu n'avais même pas pris le temps de faire un détour dans les coulisses pour te changer que tu avais filé dehors pour retrouver ta belle. Tu étais toute excitée à l'idée de la retrouver, limite euphorique. Tu courais le long des couloirs de la lowell, ta robe à paillette qui flottait dans l'air et tu arrivais enfin à l'entrée. Tu vois derrière la porte que la belle blonde t'attendait sa cigarette à la main. Tu décides de la surprendre en lui disant bonjour à ta façon. Avec une main malicieuse tu viens lui pincer les fesses avant d'exploser de rire Saluuuuuuuut toiiii! 

Devinez qui avait décidé de me pincer les fesses en guise de bonjour ? Ma femme évidemment, je la reconnaissais tellement dans cet acte que je ne pouvais m'empêcher d'exploser de rire tout comme elle. Je décidais de tirer sur ma cigarette avant de lui recracher la fumée dessus tout en prononçant de manière malicieuse. Tu veux jouer à ça ? C'est pas parce que tu es mariée à moi que tu peux te permettre de faire ça... bien évidemment je rigolais, au moins, malgré notre mariage j'étais sûre d'une chose avec Elizabeth : il n'y avait rien de plus que de l'amitié entre nous et cette idée me libérait vraiment, notamment depuis qu'on étaient ensemble sur le papier. Un jeune homme passait à côté de nous, je décidais donc de lui demander un service afin de me venger de la belle - pour lui faire peur plutôt -. Hé vous aurez pas une tronçonneuse s'il vous plait, faut que j'arrache la tête à cette demoiselle ? dis-je en pointant du doigt madame Thomspers. Il faisait non de la tête avant de s'éloigner en vitesse, on faisait si peur que ça ou quoi ? Tu vois tu fais peur à tout l'monde ! dis-je. Bon un peu de sérieux, tu vas bien ? 

Tu ris aux éclats avec ta femme, vraiment il vous en fallait peu pour rire comme deux dindes. Ouais c'est l'heure je commence à raconter du n'importe quoi. Bref revenons à nos moutons. Tu n'as le temps de répondre à la blonde que tu la vois interrompre un passant pour lui demander quelque chose de... plutôt suspect. Tu fais une drôle de tête en entendant le mot tronçonneuse. Mais quelle idée avait derrière la tête ta femme ? Franchement, elle avait déjà perdu la tête ! Avais-t-elle pris de l'alcool ou de la drogue pour lui faire tourner la tête. Tu fais ta tête de chien battu quand elle te pointe du doigt avec son air accusateur. Nan mais elle comptait vraiment te couper la tête ? Non mais ça va pas la tête Caly d'amour ? tu oserais trancher la tête de ta bien aimée ? tu dis avec tes yeux doux et ta têted'ange. Peut-être que cela allait la faire céder. Mais non en vain, tu es faussement outrée à ses mots et cela peut se voir sur ta tête Nan mais n'importe quoi Caly! tu dis en faisant la moue. Mais ta femme arrive à te redonner le sourire comme par magie et tu lui réponds Oui je vais très bien, tu m'as manqué, t'étais passée où encore femme indigne ?

Dit donc c'est qu'elle était de bonne humeur ma jolie rousse de femme. Et souriante en plus de ça, je ne pouvais m'empêcher de sourire également, heureuse de retrouver sa joie de vivre. Elizabeth, malgré ses aventures, c'est le genre de fille qui a TOUJOURS le sourire et franchement, ça fait du bien d'être entourée par des gens comme ça. Si tu savais ce que j'oserais te faire... dis-je avec un ton plein de sous-entendus. Et voilà, elle me faisait sa petite tête d'ange à laquelle je ne pouvais résister, je la prenais donc dans mes bras en jetant ma cigarette terminée sur le côté droit du porche, niveau écologie, on repassera. Je dis jamais n'importe quoi moi, j'suis super sérieuse ! D'ailleurs, t'aurais pas un peu bu toi ? Je la connaissais ma petite femme, et d'ailleurs j'avais bien besoin d'un verre pour le coup. Elle me demandait où j'étais passée, si elle savait... J'hésitais à lui balancer la nouvelle comme ça, ouais au fait, j'étais en prison mais ça va hein. Pas la meilleure idée du siècle sachant que je voulais pas gâcher sa soirée, je décidais donc d'attendre... Tu m'as manqué aussi, beaucoup beaucoup dis-je avant de relâcher mon étreinte. Ça va sinon... pas facile de revenir, mais on fait avec ! Et j'étais passée en Russie tu le sais bien ! J'pourrais pas éviter le sujet éternellement de toute manière, mais bon. Et toi alors, quoi de neuf ? J'attends toujours un message hein ! Retourner la conversation, tout un art.

Hanlalaaaa toujours aussi taquine ta femme ! Elle vient se glisser contre toi et tu sens ses mains doucement te serrer dans ton dos, tu fais de même, déposant ta tête sur son épaule. Tu restes quelques instants comme ça, sans bouger, juste profitant du moment présent, c'est fou elle t'avait manqué, un truc de dingue depuis le summer camp. Votre relation était vraiment unique, vous vous connaissez depuis des lustres et malgré le fait que vous ne vous voyez pas quotidiennement, vous ne vous étiez jamais lâchées. Jamais. Tu l'écoutes te parler et tu lui réponds avec un sourire Ne repars plus jamais aussi longtemps en Russie ou je demande le divorce! tu la taquines avant de reprendre ton sérieux Moi ça va, ça va, l'été a plutôt été caliente tu dis plein de sous entendus.

Voilà que mademoiselle me faisait des menaces ! Elle allait demander le divorce si je repartais en Russie, je souriais (toujours et encore) avant de lui tirer la langue. J'avais de la chance quand même, ce mariage était la plus belle chose que j'avais vécu depuis des lustres ! Mon petit rayon de soleil de l'été. Jamais tu voudrais divorcer de moi, tu as la femme la plus extraordinaire du monde à ton bras... tu troquerais ça pour un être banal ? dis-je avec un clin d'oeil. Elle venait d'éveiller ma curiosité, qu'est-ce que ma petite femme avait bien eu l'occasion de faire pendant son summer camp ? Pendant que moi j'étais dans une prison pourrie de Russie avec des hommes aux odeurs nauséabondes qui me faisaient des avances pas très alléchantes. Ouh, comment ça ? demandai-je avide d'informations. Et tu sais ça marche pas le fait de changer de sujet pour ne pas souligner le fait que tu m'as pas envoyé de message ! Je disais ça sur le ton de la rigolade bien évidemment, puis d'un côté c'était pas derrière les barreaux que j'aurais eu le temps de lui répondre.

Tu ris à ses mots Bon d'accord, tu as raison, personne ne t'arrive à la cheville, mais bon, je compte sur toi pour plus repartir aussi loin de moi aussi LONGTEMPS ! Genre t'aurais pu m'emmener avec toi en Russie comme lune de miel ! tu dis sur un air faussement fâché Je l'attends toujours figure toi Madame Thomspers-Leroy ! tu dis une nouvelle fois en riant avant de voir ses yeux tout curieux à la nouvelle que tu venais de lui dire. Tu fais mine de réfléchir quelques instants, histoire de faire durer le suspens. C'est que j'ai rencontré des pirates plutôt charmants durant cet été.. tu dis en faisant allusion à tes conquêtes du summer camps. Tu avais aussi insisté sur le des car tu ne t'étais pas contenter à un seul et unique garçon bien sûr ! Sinon ça ne serait pas drôle. Rho tu me connais trop bien.. tu dis en faisant une nouvelle fois ta tête de chien battu, trop de comédie en toi ce soir Comment puis-je me faire pardonner auprès de ma belle ? tu demandes en battant des cils.

Ne plus repartir, pour l'instant c'est ce que je comptais faire, mais mon oncle était toujours là-bas, lui et ses problèmes qui étaient les miens - du moins, une certaine partie - à présent. Et te priver d'un Summer Camp exceptionnel pour un climat glacial avec des gens qui ont pour habitude de boire trop de vodka ? dis-je avec un clin d'oeil, sans rajouter le mot mafia ni corruption. Où est-ce que tu as toujours rêvé d'aller ? demandai-je, malicieusement, c'est vrai, je n'avais jamais pensé à notre lune de miel, faut dire j'avais jamais imaginé qu'on allait se marier non plus. Elizabeth commençait à faire des révélations par rapport à son été apparemment « caliente ». J'espère qu'ils ne s'appellent pas Kol ces garçons car si c'est le cas je veux pas en entendre plus, mais sinon... Je l'aimais pas celui-ci, mais alors vraiment pas, il était temps que Liz se change les idées et si elle l'avait fait c'était très bien. Hmm je sais pas... m'offrir à boire peut-être ?

Tant que je suis avec ma femme, je m'en fiche de où je vaaais ! moment cutie on (a) Tu reprends ton sérieux avant de lui répondre Hm.. en Asie, j'avais adoré mon voyage en Inde l'an dernier avec les lowell, visiter un autre pays dans le coin, tu aimerais ? tu lui demandes, curieuse de savoir ses réponses. Haaaaan! Non, non j'te rassure, c'est bel et bien fini avec Kol, même si c'était pas évident, je lui ai dit que je ne voulais plus le voir, qu'il me laisse vivre en paix tu es un brin triste en repensant à cela, mais tu secoues légèrement la tête pour oublier ce triste souvenir de ta tête. Ok, c'est parti pour un verre ! tu l'attrapes par le bras pour l'entraîner avec toi, tu ne sais pas encore où Alors tu veux qu'on aille squatter quelle housing day femme ?