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Alejandro était à la fête de la maison Eliot depuis un petit moment. Il entamait sa troisième coupe de vin. Il avait observé les gens aller et venir, avait discuté avec quelques connaissances à lui, mais somme toute, il ne s'était passé pas grand chose d'intéressant.C'était jusqu'à ce qu'une femme arrivée du future fasse son entrée et arrive à venir le rejoindre au bar. Assit sur un tabouret, Alejandro s'était redressé à l'approche de Viktoria, qu'il enlaça et fit une brève bise, après l'avoir accueilli avec un beau grand sourire.
-Viktoria, que je suis content de te voir. Cette tenue semble sortir tout droit du film Metropolis!
Puis, le jeune homme, s'écartait de son amie.
-Je t'offre un verre? Tout est gratuit, mais enfin, c'est pour la forme... Merci à notre nouvelle présidente.
Il désignait avec son menton May Lee, qui était toujours entourée de monde.
(Invité)
Cela fait à peine quelques mois que je suis un Eliot, même si dans cette maison, tout le monde doit être solidaire et lié comme les cinq doigts de la main, j'ai toujours été solitaire alors m'attacher aux autres est quelque chose de très difficile, si bien que je prends plus ça à la rigolade d'où ma remarque à Dante, qui ne se souvenait plus de moi, et qui n'avait plus de nouvelles de son très cher père En fait je m'en souviens, il a eu son accident qui lui a causé une perte de mémoire, ça me fait sourire de façon sournoise. J'ouvre la bouche pour répondre mais une jeune femme, plutôt sexy se pointe et lui donne un baiser sur la joue. Puis elle se présente à moi Diamantika, un prénom original pour le coup, de fait en guise de réponse aux deux personnes face à moi, je dis « Je suis Phoenix. » J'adresse un sourire à la demoiselle. Cette dernière commence à s'énerver, enfin à s’exciter plutôt parce que le brunet ne la reconnait pas, elle n'est pas censée savoir qu'il souffre d'amnésie ? Cela me fait rire intérieur, je ne me retiens pas et mon rire se fait cristallin. Moi je suis au courant de son amnésie car je sais tout, sur tout. Je pourrais très bien expliquer à cette charmante jeune femme le pourquoi du comment il ne se souvient plus d'elle, mais c'est plus jouissif pour moi de faire des remarques au bon moment et de les laisser se débrouiller seuls. « Je crois qu'il t'entend oui, mais son esprit non. » Je laisse un peu de mystère laissant filer mes mots comme le cours d'eau de la rivière. Je bois une gorgée de ma boisson et rajoute « Toi en tout cas, on dirait clairement que t'étais sur la planète mars.. » Du coup elle ne pouvait pas dire « Allô ici la terre »... Logique.
"Y a plus rien…" Je levais les yeux au ciel c'était la seule et unique chose que j'avais retenu de toutes les phrases qu'elle avait prononcée, elle parlait trop vite et quand j'étais saoul son accent russe devenait parfois incompréhensible, pire que du charabia. "T'es aveugle ou mieux médium ! Qui te dis qui a plus rien Anya, 5 ans faut attendre 5 ans avant de savoir que je n'aurais plus rien, ce genre de truc pousse comme des champignons puis j'ai eu mal à la tête, fait toi à l'idée !" dis-je en fermant les yeux, j'avais totalement peur, ce maux de tête m'avait rongé totalement, toute la journée. "Puis t'en a des bonnes toi de me parler d'alcool, non parce que les grands se ressaisie mais toi tu as le droit à tes coups de moue avec ton violon normal moi j'ai pas le droit !" Je parlais de la mort de son meilleur ami notamment, j'avais du la ramasser à la petite cuillère alors qu'elle non, je m'étais toujours montré fort que ce soit pour le décès de mon père ou la maladie, j'avais le droit aussi de flancher et ce jour là c'était aujourd'hui. Je me levais, comparant Anya à un petit poussin seulement quand je la prenais dans mes bras, elle me rejetait. Bon, je me sentais encore plus mal surtout que j'avais même pas le droit de rentrer chez nous, j'étais condamné à rester… Bien en fait je sais même pas ou. "Je vais au lac !" dis-je en essayant de remettre les idées en place. "A la maison du lac veux dire !" Ouais pas au lac lui-même et vu qu'Anya me prenait pour un poivrot de première autant que je cuve ailleurs.