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Cap ou pas cap ?

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Devyn & William


Cap ou pas cap ?


Oui, tu savais plutôt bien parler le bourge apparemment. Pas comme si tu étais bilingue, il ne fallait pas exagérer, mais comme quelqu'un qui avait déjà joué ou vu ce genre de rôle et lu sur le sujet. Tu étais peut-être même un peu trop dans la caricature, tu ne savais pas vraiment, mais tu n'avais pas vraiment de point de repère non plus, tu ne connaissais personne ayant ce genre de parlers.dans ton entourage proche. William aurait pu, s'il avait suivi le carcan familial, mais ce n'était heureusement pas le cas. C'était quand même assez ennuyeux à la fin, de trop bien parler, avec de belles tournures de phrases. Cela faisait très hautain, prétentieux et narcissique... mais tu t'amusais quand cela était à petite dose. C'était quand même suffisamment opposé à ton caractère pour que cela te défoule un peu. Tu étais trop vulnérable pour vivre en permanence dans cette haute société... ou pour passer une unique soirée en leur compagnie unique. Enfin, aucun noble ne se serait sans doute autant collé à son partenaire, il n'en aurait pas eu de masculin en plus de cela, vu les mentalités conservatrices du milieu. Tu en étais presque sensuel, la vache, quelle transformation rapide de la part du petit coincé pudique. Mais bon, c'était William, et tu n'avais pas l'intention d'en abuser, même avec lui. Tu préférais largement rester toi-même avec lui, sous peine d'avoir l'impression de le tromper. Ta plaisanterie sur le fait que filmer serait un motif de rupture passait cependant difficilement auprès du Kane apparemment, et tu en perdis ce petit sourire amusé qui montrait bien que tu plaisantais. Y avait-il réellement cru ? En tant que comédien,tu en aurais été ravi bien sûr, cela signifiait que tu étais bon... mais autant que Devyn Gale, tu ne pouvais décemment apprécier sa réaction, au contraire. Une moue blessée apparut sur ton bras tandis que ton petit-ami s'e détourna un peu de toi : non, tu ne restais pas parce que tu n'avais pas de motif pour te séparer de lui. Bien au contraire, il te donnait plutôt toutes les raisons du monde pour rester à ses côtés, envers et contre tous. Idiot. Tu avais juste murmure ce mot, mais avec plein de tendresse, pas comme une insulte. Il était bête de réellement penser que même cela te ferait le quitter. Il te faudrait une vraie trahison pour en souffrir réellement et juger que la séparation valait mieux que de rester, et ce n'était pas prêt d'arriver. Tu étais trop attaché à lui, trop lié à lui pour accepter ne serait-ce que de lui faire un petit peu mal. William était quand même touchant et faisait fondre son petit coeur de Gale en te demandant tout de même de ne pas partir trop loin, tout en s'écartant doucement. Tu n'eus qu'à le rejoindre pour déposer un léger baiser sur ses lèvres, tout en plaisantant. Désolé, mais je ne pars pas du tout, tu vas devoir me supporter un très long moment, je le crains. Tu t'en sortiras ? Tu espérais bien quand même qu'il s'en sortira, tu ne voulais pas te retrouver avec un problème cardiaque sur les bras, il ne manquerait plus que cela. Et puis, si tu avais survécu à un saut en élastique sans mourir, lui pouvait bien tenir bon à cette annonce, non ? Il était peut-être fragile après tout, tu ne savais pas, tu en découvrais encore des vertes et pas mûres sur lui avec le temps, malgré ces années d'amitié. Cela promettait pour la colocation tiens, vous alliez bien rire... et les autres aussi sûrement. Il n'empêchait que tu étais bien heureux de ne pas avoir à découvrir le monde de la famille Kane. Mais on ne peut pas dormir sur ses deux oreilles en même temps, vu la forme de la tête. Sérieusement, Devyn... Tu faisais peur là. Tu avais toi-même un peu honte d'ailleurs, cette blague était franchement pourrie jusqu'à la moelle. Plus sérieusement, j'ai le sommeil assez lourd, donc ça ira, même si tu ronfles. C'était une possibilité, non ? Vous n'aviez jamais dormi dans le même endroit après tout, c'était ce genre de détails que tu ne pouvais connaître qu'au moment de l'installation qui allaient être amusants. Du moment que tu ne viens pas m'observer la nuit pendant mon sommeil avec un sourire flippant, tout ira bien.
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Idiot… Oui, ça collait plutôt bien. Devyn avait bien compris que William n’était pas sérieux à en juger par son intonation -et le baiser qu’il lui donna, il ne l’était plus depuis un moment. Evidemment qu’il ne souhaitait pas qu’il parte, il l’aimait bon sang. « Je suppose que je n’ai pas le choix, alors je vais faire avec. » Mais oui, pour peu, on le plaindrait. Alors qu’ils continuaient d’avancer tranquillement dans la forêt, Devyn s’aventura sur un terrain dangereux, à deux doigts des limites, celles qu’il est interdit de franchir sous peine de se voir exclu du bateau & dormir dehors. Je ne parle pas de collaboration avec une autre équipe, je parle de quelque chose d’encore pire. Qu’est-ce qui peut être pire pour une équipe que de voir l’un des siens pactiser avec l’ennemi ? Rien. Je n’ai pas dit que c’était l’équipe qui pâtissait de ce que venait de dire ce cher Gale, c’était William. « Mais on ne peut pas dormir sur ses deux oreilles en même temps, vu la forme de la tête. » Il aurait pu accepter cette phrase de la part d’un Cody Bleeker, mais pas de celle d’un Devyn Gale. Il se demanda un instant s’il était sérieux ou s’il se payait sa tête, pour en avoir le cœur net, il s’arrêta net, faisant face à Devyn. Il le fixa un instant avant de soupirer ; « Si nous n’étions pas déjà dehors, je te demanderais de sortir. » Parce que franchement, le coup de dormir sur ses deux oreilles… Non, j’arrête, c’est vraiment limitrophe avec le foutage de gueule. Il pointa un doigt accusateur sur lui, intimant ; « Ne recommence jamais, Devyn Gale. » Sans quoi il finirait à la Mather à grands coups de pieds au cul. C’est la décadence, la chute dans la spirale de la rébellion, six pieds sous la terre de la logique ! Je m’arrête là, vous avez compris le principe. Par chance, le véritable Devyn fit son grand retour quelques instants plus tard, avouant avoir un sommeil lourd & donc, par conséquent, les ronflements de William ne le dérangeraient pas. Il était encore loin le petit Gale, il n’avait pas réalisé, en près de deux mois de cohabitation maritime, qu’il ne ronflait pas ? Il lui restait encore un peu de temps, il le réaliserait peut-être une fois dans l’avion. Espérons. Enfin, le miracle se produisit, il était de retour sur terre, tout entier, avec ses pensées étranges & tout ce qui le caractérisait. C’était tout à fait le genre de William de se balader la nuit dans les chambres avec un sourire malsain cloué au visage, vraiment. « Je ferai une exception pour toi, si tu veux. Pas d’observations nocturnes. » Alors qu’ils continuaient leur route, il ne put s’empêcher d’ajouter, l’air pensif ; « Quoique théoriquement, si tu dors, tu ne verras rien… » N’ai-je pas raison ? A moins qu’il ne soit insomniaque, mais ça, ça relevait plutôt du domaine du Kane.
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Bien sûr qu'il n'avait pas le choix, ce pauvre petit. Enfin, petit, façon de parler, c'était quand même ton aîné de plusieurs années, tu n'allais pas le plaindre parce qu'il devait te supporter. Il devrait même en être honoré tiens, ce n'était pas tous les jours que tu forgeais de tels liens avec quelqu'un. Il devrait même en être fier, lui qui t'avait toujours gentiment poussé à t'ouvrir. Absolument aucun choix, et aucune négociation n'est possible. Tu avais gardé un sourire en coin à ces mots, car non, tu ne négocierais jamais la proximité que tu avais avec lui avec tout autre cadeau. C'était trop unique pour que tu le laisses passer si facilement, quitte à paraître flippant si tu devais réellement t'accrocher à lui. Il avait toujours été ta bouée de secours, même lorsque vous étiez amis, celui qui n'hésitait pas à t'aider sans même que tu lui demandes lorsque tu osais lui parler de tes problèmes ou qu'il y assistait. Même s'il était parfois étrange, parfois cryptique, c'était l'ensemble que tu appréciais chez lui, voilà tout. Sans ces bizarreries, ce ne serait pas William après tout. Même son humour parfois étrange ne te dérangeait pas, alors que tu avais tendance à être parfois crédule : remarquez, ton humour, n'était guère meilleur, vu la blague que tu lui sortis. Sérieusement... Non, tu avais presque honte là, même si tu riais. Même William semblait surpris, c'était pour dire. Oui, tu l'avais vraiment sorti, il était inutile de te regarder de cet air scrutateur que tu lui rendis de manière plus malicieuse que jamais. Je peux sortir de la forêt, mais rien de plus, en effet. Bien sûr qu'il plaisantait. Il n'avait pas voulu que tu partes quelques instants auparavant, et même une blague pourrie digne d'un Bleeker n'y changerait rien... Enfin, normalement. Elles pouvaient être vraiment nulles après tout... Mais voici qu'il se montrait faussement menaçant maintenant, te pointant même du doigt en te demandant de ne pas recommencer. Tu lui fis une petite moue innocente en te mordillant légèrement les lèvres, retenant en même temps un rire. Sinon quoi ? Tu vas me jeter du bateau à coup de fessés ou de coup de pieds au cul ? Tu ne tins pas plus longtemps, tu éclatas de rire. Tu allais vraiment finir par l'effrayer si tu continuais, mais c'était tellement tentant... et l'image assez bien représentée par ton imagination. Il n'en serait de toute façon pas capable, tu ne l'avais jamais vu violent avec quiconque. Certains auraient plutôt dit que vous alliez vous réconcilier sur l'oreiller, mais cela ne te venait même pas à l'idée, tu n'étais pas assez poussé là-dessus pour que cela soit vraiment automatique. Je suis soulagé si cela ne produira pas alors... quoi que te voir au réveil n'est pas la pire chose à mon avis. Sauf s'il te regardait avec une tête de psychopathe, mais cela allait bien évidemment de soi. Cela pourrait presque être mignon pour ton petit esprit romantique que l'on n'aurait pas forcément soupçonner chez toi au premier abord. Ça dépend, et si je me réveille juste à ce moment-là ? Tu aurais l'air fin, je serai obligé de te râler dessus.
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Aucun choix & aucune négociation possible. Tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous devant un tribunal. Vous pouvez faire appel à un avocat, si vous n’en avez pas, il vous en sera commis un d’office. Avez-vous compris les droits que je viens de vous énoncer ? Eh bien quoi, c’est plutôt pas mal, non, comme amorce ? Devyn aurait peut-être pu écrire des polars, entre ses idées tordues & ses phrases bien placées, ça donnerait quelque chose de plutôt pas mal. Qu’il se rassure, le Kane ne comptait pas négocier, mais ça, Devyn le savait. Pourquoi le ferait-il ? C’était aussi ridicule que la remarque de Devyn sur l’impossibilité de dormir sur ses deux oreilles. William n’employait que rarement des expressions toutes faites, ça lui apprendrait. Il avait donc conseillé au Gale de ne pas recommencer, mais allez savoir pourquoi, il joua les rebelles. Qu’il ne s’amuse pas trop avec le feu, il allait se brûler, si William n’irait pas jusqu’à le chasser du bateau à coup de pieds au derrière, il ne se gênerait pas se venger plus… Subtilement. Lorsqu’il ne s’y attendrait pas, lorsqu’il croirait la tempête passée, comme il le faisait toujours. Il fixa Devyn longuement, il savait qu’en général, il ne soutenait pas son regard. Mais face à un Devyn qui a du répondant, on peut s’attendre à tout… « Je rêve ou tu te fous de moi ? » Il ne pouvait qu’abuser de la rhétorique maintenant, le voir comme ça était surprenant mais bien mieux qu’en mode crêpe. De toute façon, il ne tint pas & éclata de rire, contrairement à William qui resta stoïque, cherchant à comprendre le pourquoi du comment. Il posa sa main sur son front, la laissant glisser lourdement sur son visage, soupirant ; « Mais qu’est-ce que je vais faire de toi… » Pauvre Kane, obligé de supporter un Devyn en période d’adolescence tardive. Bientôt, il aurait des pelures noires pour tout vêtement, un teint blafard, des cheveux gras corbeau & un goût prononcé pour le métal. Haut les cœurs. Cette vision d’horreur eu pour effet de faire frissonner William, qui s’empressa de répondre à Devyn ; « Pas d’espionnage nocturne, promis. » Il ne manquerait plus que ça, un masque de hockey sur la face & boum, en plein trip horrifique. Brrrr. Ce que dit Devyn un peu plus tôt le fit cependant réaliser qu’à la rentrée, ils seraient en colocation, une grande première pour lui. En tout cas, il n’appréhendait pas, il connaissait Devyn après tout. William se demanda par conséquent qui serait son bizuteur, lui gardait un très bon souvenir de son bizutage. Ils sauraient tout ça d’ici quelques jours maintenant, le Summer Camp touchait déjà à sa fin. Il avoua ; « Je pense que je pourrais m’y faire. » Il s’habituerait à le voir tous les matins comme il s’était habitué à ce qu’il lui prenne la main. Au final, ils allaient plus ou moins vivre ensemble, c’était impressionnant en un sens mais comme tous les jours depuis un mois, il laisserait venir. Ca leur avait plutôt réussi, non ? Maintenant il n’allait pas non plus se laisser marcher sur les pieds. « Toi, me râler dessus ? Laisse-moi rire. » Il leva les yeux au ciel & reprit sa route, ce n’est pas comme s’il doutait de ses mots, du tout. Une scène de ménage ? Très peu pour lui, merci.
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Pauvre William Kane. Pauvre petit gars qui voulait juste une petite idylle calme avec celui qui avait depuis longtemps la place de son meilleur ami. Oui, tu donnais l'impression d'avoir disjoncté, qu'un fusible avait lâché dans la gestion de tes neurones, mais il n'en était absolument rien. Tu avais juste ressenti l'envie de... t'amuser. Comme ça. Pour rien. Bien sûr que William ne te frappait pas, jamais de la vie. S'il faisait ça, tu risquais réellement de mal le vivre, très mal même. Sous tes airs de petit plaisantin, tu étais toujours assez sensible et fragile, et tu n'étais pas là pour te faire dominer par quelqu'un d'autre, même par William. Se disputer pour de faux, pour jouer, d'accord. Se disputer pour de vrai et que cela dégénère, très peu pour toi, tu avais tendance à fuir les conflits plus vite que Bip-Bip face au Coyote. Cela risquait presque d'être "amusant" s'il devait y en avoir un jour, entre lui qui était du genre très tenace, pire qu'un roquet, et toi qui aurait juste envie de t'enfuir en courant. Mais là, présentement, ce n'était pas le cas, non. Là, tu le provoquais juste pour rien, et lui ne savait pas si tu plaisantais ou pas... rectification : il savait très bien que tu l'embêtais volontairement et était désespéré. Ce que tu vas faire de moi ? Mais tout ce que tu veux bien sûr... Tu eus un léger clin d’œil avant de repartir dans un nouvel éclat de rire. Oui, tu étais fou en ce moment même, mais cela te faisait du bien, plus qu'on aurait pu le penser pour quelqu'un de réservé comme toi. Peut-être parce que tu savais que tu ne serais pas surpris par quelqu'un dans un lieu si isolé, et que tu étais seul avec ton petit-ami... et aussi que tu venais d'affronter la mort en face. Ou pas, tu exagérais. Mais il te fallait bien une raison, donc tu conservas celle-ci. N'empêche que maintenant, il semblait moins d'avis à faire le psychopathe la nuit, et toc. Mais cela allait être bizarre au début, la colocation et tout ce que cela impliquait. Tu n'avais jamais vécu avec quelqu'un depuis le décès de ta grand-mère, tu avais été seul pendant 6 ans. Après, tu n'avais aucun problème pendant le Summer Camp, mais c'était quand même différent, vous étiez 6 garçons avec tous des horaires assez variés. Là, vous seriez 2 gars amoureux, c'était quand même un gros changement pour quelqu'un qui avait du mal avec cela à la base. Et pourtant, c'était toi qui l'avais proposé, comme quoi... Toutes les valeurs sûres fichaient le camp, même le fait que tu pourrais un peu ronchonner s'il t'embêtait trop dès le réveil. Ce n'est pas gentil. Bien sûr que je peux râler, je ne suis pas tellement du matin. Oui, s'il te réveillait, il allait avoir quotidiennement droit au spectacle "Les Grognements de Gale" gratuitement, ce n'était pas beau ça ? Mais bon, après, s'il te réveillait gentiment, peut-être que cette habitude allait changer voire disparaître, qui sait ? Tu n'étais pas devin. C'est bien toi qui as dit qu'il fallait que je m'affirme, non ?
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Ce n’était pas tant une question de tranquillité qu’une question d’habitude, le Kane était habitué à avoir face à lui un Devyn calme & sérieux et il se retrouvait maintenant avec un Devyn qui se laissait aller à l’humour & avec du répondant. Ca changeait certes, et s’il jouait les vieux réacs choqués, il n’en était pas moins fier. Si son poulain ne surpassait pas le maître, il n’en demeurait pas moins qu’il se débrouillait très bien. En effet, après que William se soit demandé ce qu’il allait faire du Gale, ce dernier lui répondit qu’il pourrait faire de lui ce qu’il voulait. S’il ne lui avait pas adressé un clin d’œil après ça, William aurait pu jurer que ce n’était qu’une phrase innocente pouvant prêter à confusion. Et voilà qu’il se remettait à rire, il ne réussissait qu’à ficher la frousse à William. Il n’était pas terrorisé non plus, mais contemplez donc ce changement. Il se laissait aller & c’était plaisant à voir. Mais si, au fond de William, derrière la peur & l’envie de détaler comme un lapin se cachait la joie de le voir s’épanouir. « Devyn Gale… » Et il continuait, il continuait. William s’approcha de lui, lentement, posant ses mains sur ses épaules, sentencieux. Il lui répondit, navré ; « Que vais-je faire de toi ? » Il avait haché sa phrase, articulé chaque mot, soutenant son regard. Oh, il ne doutait pas du fait qu’il pouvait se montrer sous un jour différent avec lui, au contraire, il en avait la preuve, et elle ne serait que plus grande à la rentrée, lorsqu’ils cohabiteraient à la Lowell House. Il ne doutait donc pas non plus du fait qu’il pouvait être râleur au réveil, Monsieur n’étant pas du matin. Bon, William non plus, il n’avait rien à dire à ce sujet, mais s’il devait se lever tôt, il le faisait & c’est tout. Il faisait ce qu’il avait à faire, comme toujours. Ôtant ses mains des épaules de Devyn, un sourire moqueur étira un coin de sa bouche, déformant ; « Mon petit Gale serait grognon le matin ? » Foutage de gueule, bonsoir. I lfallait qu'il riposte, tout de même, même si ça ne volait pas haut. C'était juste histoire de ne pas passer pour mort. Prenant cet fois un air sérieux -seulement l'air, William lui conseilla cette fois ; « Je pense que c’est aussi pour les gens comme toi que les cours du soir ont été crées. Plus de problème d’amabilité puisque tu étudieras la nuit. » Et voilà, affaire suivante, s’il vous plait. Il suffisait de le demander puisque Devyn questionna ensuite William. Enfin, questionna, il lui posait plutôt une question rhétorique. C’est nouveau ça, il s’y mettait aussi ? « Pourquoi poses-tu une question dont tu connais la réponse ? » Ce genre de questions ne laissait aucune échappatoire, c’était un traquenard verbal qui vous obligeait à ne donner qu’une seule réponse.
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Oui, tu aurais pu jouer l'innocent pour cette réplique, qu'il ne sache pas si les sous-entendus auxquels il pouvait penser étaient réellement ceux auxquels tu pensais. Il ne t'aurait pas forcément soupçonné, tu semblais bien innocent encore malgré ton âge... mais le jeu t'amusait suffisamment pour que tu tentes le coup. Au final, ton rôle de petit-ami très joueur et ta propre personnalité se mélangeaient, donnant ce cocktail détonnant qui avait semblé déstabiliser William plus que tu ne l'aurais pensé. Toi, le coincé à ce sujet, ce qui t'avait même attiré une proposition de "cours particuliers" par Alekseï - non ne pense pas à lui, pourrais-tu réellement penser cela ? C'était qui étais réellement déstabilisé par William cette fois, alors qu'il s'approchait doucement de toi en murmurant ton identité. Ton rire s'atténuait petit à petit, et tu te faisais un peu plus sérieux alors qu'il posait doucement ses mains sur tes épaules et qu'il te répétait plus doucement sa phrase, en accentuant bien chaque mot... et tu n'arrivais pas à déchiffrer ce qu'il pensait. Tu l'avais senti navré, mais cela semblait être une façade... mais qu'est-ce qui se trouvait derrière ? Tu avais l'impression d'avoir joué le rôle d'Icare, mais qu'au lieu du soleil, c'était lui qui t'avais quelque peu brûlé, sans autant de gravité certes, mais cela te perdait. Tu te sentais rougir doucement mais sûrement, c'était bien toi et toi seul qui devait gérer ça, sans te cacher derrière le rôle d'un mec plus sûr de toi que tu ne l'étais. Je ne sais pas tellement en fait. Tu allais sûrement passer pour une girouette au final, mais tu avais l'impression que ce n'était plus un jeu, à moins que William avait décidé d'y entrer à son tour, mais de manière convaincante, très convaincante même, trop pour que tu ne tentes pas le diable. Autant être franc jusqu'au bout, quitte à continuer tes précédents balbutiements hésitants murmurés. Je ne sais pas comment gérer... tout ça. Désolé, tu me rends chèvre. Cela faisait du bien à l'avouer à voix haute à William, même si tu n'en étais pas totalement fier. Et si cela lui avait donné des idées que tu avais coupées directement ? Tu aurais l'air encore plus bête qu'actuellement. Heureusement que la suite de la conversation te donnait un peu plus matière à te rattraper... quitte à ce qu'il se moque de toi et du fait que tu sois grognon au réveil. Ne t'inquiète pas, je te trouverai bien un défaut équivalent. Il devait en avoir un, tout le monde avait ses défauts chez soi, non ? Il se fichait même de toi en te parlant des cours du soir. Je te rappelle également que j'ai mon travail à la bibliothèque, et je préférerai ne pas m'endormir à l'accueil parce que je n'aurai pas eu ma nuit de sommeil. Il fallait que tu tentes de reprendre un certain avantage tout de même, tu pensais le trouver en lui demandant de confirmer qu'il devait s'affirmer, en réponse à son semblant de désespoir face à tes répliques... et il me répondit par la réponse la plus évidente, celle que tu attendis et à laquelle tu pouvais répondre avec le sourire. Juste pour t'entendre avouer que cela ne te posait pas de problèmes. Il ne faudrait pas que tu craignes que l'élève dépasse le maître un jour.
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Si William était conscient de quelque chose, c’était bien du fait qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Devyn avait l’air d’être quelqu’un de calme, posé, réfléchi au premier abord, mais il lui arrivait de perdre parfois les pédales avec lui, comme maintenant. Ca avait un côté marrant comme il n’y était pas habitué, et s’il jouait les faux flippés pour le calmer, on ne pouvait pas dire que cela soit très fructueux. Au contraire, il en rajoutait même, usant de clins d’œil & de sourires charmeurs. Mine de rien, ça l’amusait de voir le Gale jouer avec nerfs –même s’il était raisonnable, il ne devait pas être fou non plus-, ça lui faisait découvrir une autre facette de sa personnalité, quelque chose qu’il n’aurait jamais soupçonné exister en lui. Alors lorsque Devyn lui avoua qu’il ne savait pas comment gérer tout ça et que William le rendait chèvre, il posa une main sur sa joue, la caressant de son pouce. Pauvre Gale & son regard de chat potté. S’il commençait à céder face à ça, il était cuit. Ressaisi-toi, Kane. Il soupira ; « Chat potté attachiant. » Et lui alors, il ne le rendait pas dingue ? Il était parfois complètement terre à terre, et d’autre fois, il en était à mille lieux. Mais ça, il ne le lui dirait pas, pas tout de suite du moins. Il venait tout juste d’atterrir, il n’allait pas prendre le risque qu’il s’envole une nouvelle fois. On ne pouvait pas toutefois vraiment considérer ça comme un défaut, en tout cas, William ne le considérait pas comme tel. Ne pas ranger derrière soi, avoir les doigts crochus ou ronfler, ça ce sont des défauts. D'ailleurs, Devyn s’était mis en tête d’en trouver un à William. La tâche ne serait pas bien compliquée, je peux même t’aiguiller si tu veux. William siffla donc, faisant mine de regarder ailleurs ; « Tu n’auras pas trop de mal. » Ca alors, l’enfant vaniteux se serait-il calmé afin de voir clair à son sujet ? N’abusons pas, il ne répéterait pas ce qu’il venait de dire une seconde fois, il s’assommerait lui-même. Au sujet d’assommoir, comment Devyn faisait-il pour cumuler les cours, le théâtre & son travail à la bibliothèque sans jamais ciller ? Il n’avait pas des journées de vingt-quatre heures, c’était impossible. « J’oubliais que tu étais ministre. » Un ministre qui prenait un malin plaisir à piéger William sur son propre terrain. Il n’y a pas que le RedBull qui donne des ailes. Fourrant ses mains dans ses poches, il contre-attaqua ; « Je n’ai rien avoué du tout. Et ne t’inquiète pas pour ça, ce n’est pas mon cas. » Et vas-y que j’affiche un grand sourire, et vas-y que j'ai cinq ans à nouveau, et vas-y que tu me fais pas peur.
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Chat potté attachiant, quel curieux surnom qu'il te donnait là. Pour le chat potté, tu pouvais relativement bien le comprendre, il devait dire cela parce que tu essayais de temps à autre de l'attendrir par le genre de petits regards suppliants dignes de ce personnage. En plus, cela ne marchait pas trop mal en général, tu n'allais donc pas t'en priver. Même en-dehors des regards, la ressemblance avec le personnage pouvait se faire avec quelques parallèles : lui aussi était fragile et sensible, même s'il affichait une carapace bravache et sûre de soi. C'était plus le "attachiant" qui te faisait tiquer en fait : tu entendais distinctement le "chiant" surtout, cela sentait le mix peu subtil entre attachant et chiant. Comment ça attachiant et pas attachant ? Tu aggraves ton cas là... Surtout que le meilleur pote du Chat Potté est Shrek et un âne je te rappelle. Tu préfère quel rôle ? Pour toi, il n'était aucun des deux bien sûr, mais tu avais envie de l'embêter un peu : il t'avait quand même qualifié de chiant, même en atténué, cela méritait bien une vengeance... même si cette idée de vengeance était diminuée par sa main sur ton visage, encore une fois, alors que tu avais fermé les yeux pour mieux profiter, sans même pouvoir t'en empêcher. Que c'était vilain comme stratégie, plus que la tienne en tout cas. Moi, au moins, je n'exploite pas tes faiblesses. Faux... Disons simplement que tu essayais de les trouver alors que lui avait déjà visé juste. Mais tu avais conservé ton sourire, amusé malgré tout de la situation. Ce ne serait pas aujourd'hui que tu gagnerais ce combat en tout cas. Peut-être gagnerais-tu le suivant, lorsqu'il t'avoua qu'il n'était pas si compliqué que cela de lui trouver des défauts. Personne n'était parfait, cela se saurait sinon, et William ne faisait pas exception à la règle, tout comme toi. Je commence la liste par ton caractère, ou j'attends la rentrée pour parler de tes manies ? Pour toi, il pouvait effectivement commencer par ton investissement (trop ?) important pour différentes choses, entre les cours et ton job : quand tu entrais dans quelque chose, tu ne le faisais pas à moitié, au contraire... quitte à trop en faire. Mais tu aimais ça, tu aimais tes études de théâtre et d'arts visuels, ton aimais ton job qui était à la fois intéressant et te permettait de payer convenablement tes études et de pourvoir à tes besoins, et tu n'avais pas envie de laisser tomber l'une de ses parties de ta vie, même par manque de temps. Le pire ? Tu voulais même t'en rajouter. Dis-toi que le ministre hésite très fortement à s'inscrire à un club à la rentrée... Soit celui de théâtre, celui de photographie ou d'arts visuels. J'en aurais bien fait deux en réalité, mais je sais très bien que je finirai sur les rotules plus vite que jamais si je le fais. Ouverture, ouverture, c'était ton maître mot pour cette 7ème année d'études à Harvard, même si tu ne savais pas si ton instinct n'allait pas te jouer des tous au passage. Tu savais très bien que William voulait aussi que tu ailles mieux à ce niveau-là, que tu te fasses plus d'amis et ne restes pas dans ton coin, chose plutôt bien partie si on y réfléchissait. T'affirmer aussi, c'était plutôt bien parti, surtout avec lui : avec les autres, c'était encore relativement timide, pas tellement dans ton caractère. En tout cas, ce n'était pas ton petit-ami qui craignait ta domination dans ce domaine, cela pouvait presque en être vexant, tu en soupiras faussement d'ailleurs avant de lever les yeux au ciel. Tu devrais. Je m'améliore très vite, tu vaste faire battre en douce mon cher. Mais je te pardonne ton... outrecuidance à mon égard, je cache trop bien mon jeu pour toi. Des gamins ? Mais non, à peine. Ce n'était que des chamailleries de maternelle, rien de dangereux de toute façon.
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Cap ou pas cap ?


Mais si, attachiant était le mot parfait pour décrire Devyn, pas besoin de monter dans les aigus, William avait bien précisé chat potté attachiant, il fallait retenir aussi le chat potté pas seulement l’attachiant ! Et puis, il y a attachant dans attachiant, faut-il lui faire un cours sur les radicaux ? C’était un compliment à la fin, le chat potté n’était-il pas adorable avec ses grandes billes brillantes de crapaud mort d’amour ? Ce n’était pas le genre du brun de s’extasier devant des images de synthèse, mais n'avait-il pas devant lui le chat potté personnifié ? Oh que si, il en était sûr. Etait-ce physiquement humain de pouvoir faire ça ? Je veux dire, donner l’impression qu’il n’y a que les yeux de Devyn sur terre, scintillant comme s’il allait pleurer. Les années de théâtre l’aidaient peut-être, comment faire ça sur demande autrement ? Ou alors, il avait un pouvoir caché, une arme secrète. Raconter des mensonges n’était en aucun cas un superpouvoir par contre, expliquez-moi en quoi William aggravait-il son cas ? Il n’avait rien fait, que je sache, c’était le blond qui déraillait, pas William. Et histoire d’enfoncer le clou, il lui demanda qui il souhaitait être entre Shrek & l’âne. William arqua un sourcil, avait-il bien entendu ? Bien sûr, il aurait pu rétorquer qu’ils n’étaient plus de simples amis maintenant, mais dans ce cas là, qu’aurait-il été aux yeux de Devyn ? Un chat de gouttière avec un nœud rose autour du cou ? Non merci. « Tu as de la chance que je t’aime vraiment beaucoup. », soupira-t-il. Face à n’importe qui, il aurait répondu sur le même ton, poussant le jeu jusqu’à son plus haut niveau. Se faire traiter d’ogre ou d’âne n’était pas son passe-temps favoris, aussi incroyable que cela puisse paraître. Ne résistant cependant pas à la tentation, il s’approcha de Devyn lentement, le contournant en l’observant. Il murmura, plus suave cette fois-ci ; « Attention, tu n'es toutefois pas n’importe quel chat potté… » Il se plaça tout près de lui, posa ses mains sur ses épaules avant de les faire descendre lentement le long de son dos. Il parcouru ses omoplates, le creux de ses reins avant de terminer sur ses lombaires. Ses lèvres toutes proches de son oreille, il murmura ; « Un chat potelé. » et il empoigna le peu de peau qu’il avait. Là, c’était clairement du foutage de gueule, il était aussi gras qu’un cure-dent. Redoutant sa réaction, il recula de deux bons pas, enchaînant directement ; « Tu dis ça comme si c’était mon genre. » Il n’essaya même pas de jouer les choqués, sachant pertinemment que cette fois, ça ne fonctionnerait pas, il venait de jouer avec lui et savait déjà qu’il lui ferait payer au centuple. C’était une manie chez eux de toujours se renvoyer la balle, surtout que William était du genre à vouloir le dernier mot à tout prix. Il savait reconnaître ses lacunes mais là, c’était plus un jeu qu’autre chose, et il était doublé d’un mauvais perdant compétiteur. Décidemment, Devyn était mal tombé. « Des manies ? Je ne vois pas de quoi tu parles. Et puis, qu’est-ce qu’il a mon caractère ? » Susceptible II : le retour, bientôt dans vos salles obscures. Il savait qu’il avait un caractère plutôt atypique mais il n’aimait pas qu’on le souligne, même si Devyn ne faisait que lui renvoyer la pareille. Ca lui en faisait des choses à gérer à ce cher Gale, ses études, la bibliothèque, le théâtre, et même William d’une certaine manière. Mais qu’entends-je, il voulait également se lancer dans un club à la rentrée ? Et encore, avant, il hésitait entre deux, comme quoi il n’était pas impossible de lui faire entendre raison. Il appréciait chez lui qu’il fasse ce qu’il aime, y comprit lorsqu’il était question d’argent. Il aurait pu accepter un job qui paye mieux que de travailler à al bibliothèque, il était loin d’être bête & savait le montrer. Mais il avait décidé de travailler là-bas parce qu’il aimait les livres & ce qui les accompagnaient, le calme des lieux n’étant pas négligeable. Mais était-ce possible de rajouter à tout ça un club quelconque ? « Un club ? Tu penses pouvoir gérer ? Je ne doute pas de tes motivations, mais ça demande du temps, alors que tu peux vivre tes passions à côté. » William comprenait bien que c’était là une belle occasion pour lui de partager avec d’autres personnes, de surcroît des choses qu’ils apprécient tous, mais cela demandait de l’investissement & il allait commencer à attaquer la falaise à force de ramer. C’est un Devyn ramollo qu’il allait récupérer après un mois de cours. Le Kane n’en restait pas moins content qu’il veuille s’ouvrir aux autres, à défaut de faire la même chose de son côté avec autant de franchise. Franchise qui ne manquait pas au Gale, voilà qu’il clamait déjà sa victoire alors le jeu ne faisait que débuter. Non, William ne se laisserait pas vaincre comme ça, surtout que le challenge commençait à devenir intéressant, c’est vrai qu’il apprenait vite le petit mais encore une fois, William ne lui donnerait pas raison. « Tu es comme le méchant dans James Bond, tu annonces ton plan à l’avance. » Après tout, ne venait-il pas de dire qu’il allait se faire battre en douce & qu’il cachait trop bien son jeu à William ? Il se montrerait bien plus prudent.
(Invité)

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