KENYA ♥ Mr. & Mme. Patate

Je me regardais un instant dans le miroir pour me recoiffer un peu et mettre un peu de baume à lèvres. J'étais mariée. Je n'arrivais pas vraiment à y croire à vrai dire, j'avais pas l'impression que quelque chose avait changé entre nous deux, non , nous étions toujours les mêmes n'est-ce-pas ? Finalement, c'est avec un sourire que je retournais dans la chambre. Je memeutais la marche nuptiale avant de me poser devant lui, les mains jointes dans le dos Oh si t'as d'autre idée en tête, j'suis toute ouï il retirait mon voile pour m'embrasser et cette fois ci je me laissai complètement aller dans ce baiser parce que j'étais fin prête. Je n'avais plus envie de quitter ses lèvres non, elles étaient miennes jusqu'à la fin de notre vie. Oui, ce mariage finalement, je ne le prenais pas à la légère pour la simple et bonne raison que c'était pour la vie quand bien même aujourd'hui ça n'avait plus la même signification, mais soit, ça, ça concerne les autres, pas nous. C'était limite si je ne perdais pas haleine, mon coeur battait à la chamade, ma poitrine remontait rapidement au rythme de mon souffle. Qu'est ce que tu fais ? soufflais-je en tendant les mains vers lui pour qu'il revienne contre moi

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Je réalisais pas que j'étais marié avec elle, je crois que je rêvais. J'avais mis 3 ans avant d'arriver à avoir la femme de mes rêves et encore même je n'étais pas sur que tout fonctionne entre nous car même si à l'époque notre complicité était connue de tous, je ne savais pas si en amour ça fonctionnerait et pourtant si. Nos débuts avaient été compliqués, beaucoup de disputes, de cries et de moment difficile mais je pense que c'était plus une période de rodage, on sondait l'autre, les limites qui ne faillaient pas franchir, voir ou l'attachement pouvait nous emmener et désormais c'était beaucoup plus calme. Après le baiser, je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder, je savais même pas ou mettre mes mains, j'avais presque pas envie de la déshabiller tellement elle était jolie dedans. "Rien…" dis-je en restant les bras en l'air au dessus d'elle, j'allais m'attaquer à la jarretière j'y arrivais ça non ? Enfin peu importe, mes mains caressaient ses jambes, ma bouche déposait des baisers sur sa cuisse jusqu'à ce que mes dents attrapes ce petit bout de tissus, j'avais envie de la mordre, c'était pas méchant, juste drôle à mes yeux seulement je le faisais pas. Arrivé à son mollet, mes doigts s'occupaient de la suite du trajet et hop plus de jarretière désormais restait le plus compliqué. "Je sais pas par ou commencer… T'es tellement belle dedans…" Un pur gamin le matin de noël qui regardait ses cadeaux sans pouvoir choisir.

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Mon regard se posait sur mon mari avec un grand sourire, ce qu'il était beau. Il me regardait , sans pour autant me toucher... sauf que moi, j'avais envie qu'il pose ses lèvres contre les miennes, j'avais envie de sentir sa peau, son odeur, son souffle.. sauf que voilà qu'il s'attaquait enfin à ma jarretière. Je levais la jambe un peu plus pour lui faciliter la tâche. Les dents contre ma lèvre inférieur, je m'la mordillé tellement j’appréciai ce moment qui m'faisait frissonner. J'avais des paillions partout dans le ventre alors que je sentais un léger tracé humide sur ma jambe suite au passage de ses lèvres. Gad c'est que ça m'faisait encore plus frissonner. Je riais un peu à ses mots, avant de me relever. A présent assise, j'haussais une épaule avant d'attraper nos coupes. On est pas pressé, on peut attendre et tu peux m'admirer autant que tu veux. Sur ces mots, je me levais sur le lit pour enfin tourner sur moi même en riant doucement. voudriez vous m'accorder une danse ? lui demandais-je en tentant une main vers lui une fois la coupe terminé et reposer contre la table de chevet.

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Je passais pour un faible. Je le voyais dans ses yeux, deux fois dans la même soirée. La première pour les vœux puis là parce que je la trouvais belle, je ne savais pas quoi dire d'autre alors la vérité était sortie, elle était belle, divine ma femme. Elle prenait les coupes, je bu un peu. "Je sais pas en fait si t'admirer va pas causer un gonflement anormal de tes chevilles ! je fais comment pour t'emmener au Brésil demain si tu sais plus marcher !" Madame avait un égo surdimensionné aussi fallait ce le dire, elle savait qu'elle était belle en plus. Posant la coupe, je me levais. "Bien sur Duchesse !" Je lui faisais la révérence comme on le faisait en Russie, j'avais un peu potassé sur le sujet, je voulais être parfait quant on vivrait ensemble là-bas et les coutumes j'apprenais à les connaitre une à une. Ma main dans la sienne, notre valse de tout à l'heure à la fête n'allait pas se reproduire dans notre chambre non, j'avais envie de quelque chose de plus sensuel, de la sentir plus proche alors un slow s'imposait à mes yeux. Mes mains dans le creux de ses reins pour ne pas dire presque sur son fessier royal et on dansait, yeux dans les yeux, mon front contre le sien, je déposais un bisou sur le bout de son nez puis mes yeux tombaient presque innocent sur sa poitrine faut dire que son bustier n'arrangeait rien et là danser commençait à être plus problématique. "Fin !" dis-je prématurément en me posant sur le lit. Je pouvais plus bouger disons les choses clairement elle me faisait de l'effet et l'ambiance aussi très intime avec les bougies et les fleurs, je crois que j'étais pas récupérable. Un petit signe avec mon index pour lui dire de venir et je commençais à lui retirer son voile de sa tête, je glissais ma main sur son bustier sans rien retirer. Mes doigts effleuraient sa cuisse remontant doucement vers le creux de ces dernières délicatement. Ce soir je voulais que ce soit romantique pour elle. "Merci pour cette surprise, demain c'est à mon tour..." murmurais-je. Erreur fatale, Anya était le genre de personne à vouloir savoir tout tout de suite.

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Au Brésil ? Il venait clairement de me balancer une info sur notre destination. C'est que c'était son domaine la lune de miel. Il avait voulu me faire la surprise mais maintenant, j'avais un petit indice. Le Brésil, mais où ça ? AU BRESIL ? ON VA AU BRESIL POUR NOTRE LUNE DE MIEL ? j'étais tellement heureuse. J'aimais ce pays et c'était un peu le notre. On y avait passé tellement de bon moment. Si j'ai un soucis pour marcher, tu me porteras, pour le meilleur comme pour le pire mon amour dis-je en riant doucement avant de déposer un baiser contre son biceps, le regard rieur. Faut bien entretenir tout ces muscles, d'ailleurs j'vois que tu t'es entrainé et gad qu'est ce que j'aimais ça. Je lui demandais une danse, il saisissait ma main. Je souriais, le regard dans le sien sans le lâcher une seule seconde. Nous dansions collé l'un contre l'autre, je sentais la main de Kenny à moitié contre mes reins mais aussi contre mon fesser tandis que l'une des miennes se posait dans son dos et l'autre sur ses fesses. Ouep, j'avais envie de les toucher, mes belles petites fesses rien qu'à moi. Je fermais les yeux en profitant de cet instant jusqu'à ce qu'il mette fin à notre danse. J'ai pas l'droit au petit basculement en arrière ? riais-je doucement avant de me poser sur Kenny. Il parcourait mon bustier sans rien retirer tout en descendant un peu plus bas jusqu'au moment ou il me parlait de surprise. Attends, attends, j'ai l'droit à une surprise demain ? Dis moi s'il te plait dis-je en le poussant un peu plus contre le lit pour tendre mes bras et poser mes mains de par et d'autre de la tête d'mon mari. S'il te plait ... dis-je doucement en faisant glisser mes lèvres contre sa gorge puis sur son torse que je découvrait en retirant son débardeur.
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Mais qu'est-ce que je disais ! Je venais de me vendre. "Non on va pas au Brésil, j'ai dis ça comme ça !" Rattrape toi mais t'es foutu ! Moi qui voulais lui faire une surprise, je me retrouvais bien bête tout d'un coup. Silencieux alors qu'on dansait, j'abrégeais bien vite la danse, faut dire que je n'étais pas non plus doué en slow par contre les danses rapide oui allez savoir pourquoi. Et comme une bêtise ne venait pas sans une autre je balançais une information super importante à ma femme. "Nan !" dis-je alors qu'elle essayait de me soudoyer en usant de ses charmes ? "Ça marchera pas, je dirais rien !" chuchotais-je en fermant un peu les yeux. Je levais les bras pour me retrouver torse nu, j'avais mon nouveau tatouage d'ailleurs petit mais présent, il était plus douloureux. "Ça marchera pas du tout…" Je perdais pied clairement mes doigts défaisaient le bustier, ma respiration se faisait plus lente, elle était douée aussi pour me faire frissonner mais je tiendrais bon. "On part tôt… Dans 3 heures si on y arrive…" Après tout c'était à mon tour de lui montrer ce que j'avais organisé, la lune de miel puis aussi cette fin de soirée magnifique avec les roses et tout, j'espérais que ce que j'avais prévu allait lui plaire d'ailleurs. Olalala et si elle n'aimait pas ? Je paniquais un peu, mes yeux s'ouvraient brusquement et mon envie de l'embrasser était de plus en plus forte alors je cédais à la pulsion tandis que je lui retirais son bustier complètement, espérant qu'elle oublie même si j'avais des doutes.
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C'est que je le connais mon Kenny, souvent il se laisse déborder et il lâche des info vachement importante comme celle-ci. Maintenant je savais qu'on allait au Brésil. J'étais tellement heureuse face à cette nouvelle et bien qu'il me dise que ce n'était pas vrai. D'accord, je ferais comme ci c'était pas vrai et comme ci mon mari n'était pas formidable de nous avoir organiser notre lune de miel au Brésil dis-je en souriant tendrement. C'était le plus fort. Sauf qu'encore une fois il se vendait. Il savait que j'étais du genre curieuse a vouloir savoir tout, tout de suite. Alors j'usais de mes charmes pour le faire céder. Humhum tu céderas pas je lui retirais son débardeur, tout en déposant mes lèvres contre son torse. Je jouais sur ses points sensible, pour le faire céder mais aussi parce que j'en avais envie. Mes lèvres s'occuper un de ses tétons, alors que je caressais l'autre avec mon index en faisant des petits ronds dessus. Suffit qu'on ne dorme pas .... et j'ai une petite idée pour que tu tiennes je le mordillais doucement avant qu'il ne défasse mon bustier. Je me relevais doucement, assise sur lui, pour l'enlever complètement et le mettre sur le côté. J'attrapais ses mains pour le guider sur mon corps bien que rapidement, il ne le fasse seul, connaissant l'chemin par coeur. Soudainement, se furent ses lèvres qui m'envahirent. Je me laissais aller contre lui pour y répondre avec autant de fougue, mes deux mains poser sur ses joues pour les lui caresser. Tu sais que je t'aime chuchotais-je contre ses lèvres en remettant une de ses mèches brunes derrière son oreille

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