(+ Mace) The truth.

Je l'avais plaqué contre le mur, et j'avais murmuré que je pouvais pas lui résister. Elle m'excitait vraiment, et je me lassais pas du tout de son corps. L'eau ruisselait sur nos peaux alors que l'on s'embrassait fougueusement. Ma main se posa sur sa cuisse et je fis la demoiselle se pivoter afin qu'elle m'offre son dos et ce qui allait avec. Je massais son dos. « J'vais pas pouvoir attendre bien longtemps », déclarais-je. Et, ça voulait vraiment tout dire.

Je la soutenais de mes bras alors que ses jambes avaient entouré ma taille. J'étais bien comme cela, libre dans mes mouvements surtout. Je rentrais en elle, et je sentis la chaleur dans tout mon corps mais surtout le bien-être. Qu'est ce que j'étais bien, qu'est ce que j'aimais cette sensation de connexion avec ma tendre et chère Mélodie. J'avais laissé échapper un petit gémissement de plaisir alors que je commençais à bouger.

J'essayais d'alterner entre plus rapide et plus lent, plus brutal et plus doux et pour l'instant, j'y arrivais bien. Je voyais que ma partenaire adorait ça, et je prenais énormément de plaisir également. Mais, il m'en fallait plus et cette position n'était pas dès plus confortable pour moi. Je retournais Mélodie, ayant alors une vue sur son fessier. A nouveau, je me collais à elle, rentrant en douceur en elle. A nouveau, je me mis à bouger mais cette fois ci beaucoup plus rapidement que les fois précédentes.

J'adorais quand l'amour était sauvage, bestial. Et là, ça l'était totalement. Je m'étais retrouvé au sol je ne sais comment alors que Mélodie était sur moi en train de se déhancher. Je l'avais rarement vu comme ça mais j'adorais vraiment et le plaisir montait en moi, pourtant je n'aimais pas trop être dominé et je préférais l'inverse. Je changeai de position, et ce fut Mélodie qui se retrouva être en dessous de mois alors que j'étais toujours en elle. Je continuais à une très bonne cadence, j'adorais ça.

J'allais craquer, je le sentais venir. Ce fut au moment où Mélodie eut son orgasme, qu'elle se cambra que le mien arriva subitement. Je laissais échapper un soupir assez rauque alors que j'avais tendu tout mes muscles. Je pris ma respiration un peu avant de me dégager et m'allonger sur le côté. Je me rendis compte qu'on était sur le sol de la salle de bain, on faisait vraiment l'amour n'importe où. J'avais plus de voix, mais je préférais de toute façon garder ce silence.