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(+ Caleb) Everything was so perfect... but it's over now.

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« Ben c’est peut-être l’une des rares choses qui me prouvent que je suis en vie… » soupira-t-elle, ne sachant même pas comment lui expliquer la chose car cela restait inexplicable pour quelqu’un de « normalement constitué ». Mais Thaïs laissa s’écouler des larmes silencieuses, serrant Caleb contre lui pour mieux s’en écarter de quelques millimètres en haussant les épaules. « Tu sais… si tu m’avais aimée aussi fort que je t’aime rien n’aurait pu être plus fort. Pas même ta crainte de ce salopard. Mais il faut croire que je me berçais d’illusions. Tu sais combien de fois j’ai espérer que ce ne soit qu’un cauchemar ? Que tu n’aies pas divorcé, que tu ne m’aies pas abandonnée avec deux enfants sans vraiment te préoccuper de savoir si je pouvais assumer financièrement ? Alors oui, tu es un connard Caleb, je confirme mais je voulais croire que l'on fait juste tous des erreurs. Et malgré ça, moi, je t’aime toujours. Je dois être masochiste. Masochiste ou conne. » Thaïs se releva, essuyant ses yeux pour retourner dans sa chambre, se rhabillant avec sa robe de soirée de la veille : elle n’avait que trop traîné ici et puisqu’il ne voulait plus se battre…
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Les mots de mon ex-femme m’atteignirent plus assurément que bon nombre de coups de poings et pourtant son cousin n’y avait pas été de main morte la dernière fois que j’avais croisé sa route mais malgré cela, je voulais espérer, espérer que je pouvais encore changer quelque chose, que je pouvais encore réparer mes conneries. « Une semaine. » m’écriais-je en ouvrant la porte de sa chambre à la volée. « Accorde moi une semaine pour te prouver que tu as tort »lui dis-je avant de la regarder. « Oui tu as tort en imaginant que je ne t’ai jamais aimé comme tu m’as aimé, que je t’aurais abandonné en te laissant sans le moindre sentiments avec nos deux enfants. Je t’aime Thaïs, je t’aime comme un fou et ce n’est pas l’homme fou amoureux qui a pris la décision de divorcer mais bel et bien cet adolescent qui restait effrayé devant son bourreau. Tu ne sais pas les horreurs qu’il m’a dite sur ce qu’il te ferait à toi et aux enfants. Merde Thaïs, il m’a décrit à la perfection comme il voudrait enculer notre fils en se targuant qu’un nouveau-né serait si étroit qu’il prendrait son pied bien mieux qu’il ne l’avait pris avec moi. Je sais que j’aurais pu t’en parler voire même demander de l’aide de nos deux flingueurs de service mais j’avais la trouille que malgré toutes les précautions du monde, il ne t’atteigne »lui dis-je essoufflé. Je ne savais pas comment lui dire que j’avais eu la trouille, que l’amour fou que je lui portais c’était retourné contre moi. « J’aurais pu faire bien des choses mais j’étais effrayé, effrayé comme je ne l’avais jamais été. Je me fichais totalement qu’il révèle à tout le monde des scènes humiliantes de mon passé. Je m’en serais relevé mais je sais que s’il avait osé te violer ou te faire subir ce qu’il m’avait fait subir, toi, tu ne t’en serais jamais relevée. Tu avais déjà bien trop souffert avec tes parents adoptifs, je voulais t’épargner cet enfer mais en faisant cela, je t’en ai offert un autre. Une semaine… Une semaine pour te reconquérir, pour te prouver que je peux encore te faire sentir en vie… C’est tout ce que je demande après, je te promets que tu n’auras plus jamais à faire à moi… Je m’arrangerais pour être présents pour nos enfants mais je ne t’imposerai plus ma présence »

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Thaïs ne lui demanda pas de se taire, mais les propos qu’il prononça lui arrachèrent de nombreuses larmes. Malgré ça, elle ne se défila pas, ne baissa pas le regard ni ne chercha à le fuir. C’était inutile. Mais il allait falloir qu’il lui prouve beaucoup de choses pendant cette semaine… « Le problème Caleb, c’est qu’à l’issue de cette semaine, si tu parviens à ton but, est-ce que tu seras capable de ne pas redemander le divorce ? J’avais déjà compris pourquoi tu l’avais fait mais d’un autre côté, j’ai surtout l’impression que tu n’avais pas confiance en moi. J’aurais pu te soutenir, on aurait pu faire front et trouver une solution… quitte à ce que je ne participe pas au Summer Camp et que j’aille me reposer dans une maison surveillée le temps que les choses se tassent… mais tu as pris la décision tout seul Caleb. Tu m’as évincée alors que tu dis m’aimer de tout ton cœur… mais moi je ne t’aurais pas tourné le dos. Et c’est ce que tu as fait ne t’en déplaise. Tu m’as lâché des horreurs à la figure et après pouf, plus de nouvelles… tu voulais que je pense à quoi si ce n’est le fait que tu m’as abandonnée ? Je ne dis pas que tu aurais tourné le dos aux enfants mais moi, c’est comme si je n’avais plus la moindre importance. » Thaïs soupira en s’asseyant sur le bord du lit, le regard vide. « Soit, une semaine. Si tu es si sûr de pouvoir arrêter de me faire croire que je ne sers à rien. »
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« Je te faisais confiance mais c’était à moi que je ne faisais pas confiance. Je n’ai jamais cessé de te surveiller après notre rupture. Je ne pouvais pas rester loin de toi. Pourquoi crois-tu que j’ai tout quitté pour venir à New York ? Je ne t’ai jamais lâché parce que je t’aime comme un fou. Je ne te demande pas de me croire ni même de me pardonner. Je sais que toutes les raisons du monde n’effaceront jamais la douleur que je t’ai causé mais je ne veux pas renoncer à toi sans me battre même si au bout de cette semaine, tu me demandes de te laisser tranquille » lui répondis-je avec assurance. J’étais prêt à tout pour lui faire retrouver le goût de la vie même si cela signifiait que ce serait peut-être un autre homme que moi qui en profiterait. « Je ne suis sûr de rien Thaïs mais je veux que tu retrouves le sourire et que tu cesses de te mutiler. Je me fiche même qu’un autre homme puisse t’aimer à ma place tant que tu es heureuse. C’est tout ce que je désire : que tu sois heureuse qu’importe où, qu’importe avec qui. On vivra comme tu l’entends… Dis-moi ce que tu veux le plus et je me plierai en quatre pour te l’offrir »

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Thaïs ne savait plus ni quoi penser, ni comment réagir à vrai dire. Elle rêvait de s’engouffrer dans un trou de souris et d’y rester jusqu’à ce que la tornade passe mais cela faisait trop longtemps qu’elle se cachait à vrai dire. « Je voudrais remonter le temps et ne pas entendre toutes ces horreurs que tu m’as dites… mais ce n’est pas dans nos cordes » avoua-t-elle d’un ton triste, ôtant son bandage pour en gratter légèrement ses nombreuses plaies jonchant une bonne partie de son poignet et de son avant bras. « Je n’ai pas envie de quelqu’un d’autre, à quoi bon ? Pour être traitée comme une petite poupée fragile ou pire, juste un beau petit cul ? Non merci. Je ne sais pas quoi te dire Caleb. D’un côté j’ai follement envie de fondre dans tes bras et de t’embrasser et de l’autre j’ai envie de te massacrer parce que tu as réussi à me faire me détester. C’est ça le pire je crois… je n’arrive pas à te détester, c’est moi que je blâme. »
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« Arrête.. N’y touche pas, tu vas faire que rouvrir tes plaies »lui dis-je avec douceur avant de la conduire dans la salle de bain pour désinfecter son poignet et refaire son bandage. « Tous les hommes ne sont pas des connards Thaïs. Tu pourrais tout aussi bien rencontrer quelqu’un qui prendra soin de toi et te traitera comme une reine pour mieux te rendre heureuse jusqu’à la fin de ta vie. J’aimerai être cet homme » lui avouais-je mais je n’arrêtais pas de me demander si ce n’était pas mieux que je la laisse se reconstruire loin de moi. « Tu n’y es pour rien dans toute cette histoire. Tu es une victime et je suis ton bourreau. Si tu savais combien j’aimerai pouvoir moi aussi remonter le temps et ne pas t’avoir dit ces choses horribles mais je ne peux pas. En revanche, je peux toujours réparer les dégâts que j’ai causé en toi et redonner confiance à la fois en toi mais aussi en l’amour » murmurais-je en prenant son visage en coupe pour mieux déposer un baiser sur son front. « Tu veux bien passer la journée avec moi ? »

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« Peut-être que c’est le but » avoua-t-elle en haussant les épaules. Tous les hommes n’étaient peut-être pas des connards mais Thaïs n’avait plus foi en rien. C’est comme si on l’avait privée de son sempiternel enthousiasme et qu’elle n’était rien de plus qu’une coquille vide. « Tu n’as pas dit ce que tu voulais, toi. Arrête trente secondes de penser que tu m’as détruite parce que crois-moi, je suis très douée pour me détruire toute seule comme une grande. Vraiment très douée. La preuve, je trouve que me mutiler, ça me fait du bien. » Peut-être avait-elle envie qu’il se batte. Sa force lui donnerait probablement envie de redresser la tête pour cesser de regarder uniquement le sol. « Mais je n’ai rien à me mettre… »
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« Ce que je veux ? Retrouver ce que nous avions tous les deux avant tout cela. Je veux que tu m’aimes, je veux être près de toi qu’importe si c’est en ami, en compagnon ou en mari. Je veux pouvoir t’aimer librement sans me cacher, ni même en étant loin de toi. C’est toi que je veux tout simplement » lui répondis-je en la regardant droit dans les yeux. Oui, c’était elle que je voulais. « Je veux retrouver le bonheur de me coucher et de me réveiller près de toi, le plaisir de pouvoir effleurer tes lèvres des miennes dans un baiser après t’avoir longuement fait l’amour, d’entendre ton rire résonnait dans une pièce alors qu’une pub passe à la télé et que l’humour était tellement pourri que ça te fait rire. Je veux voir le bout de ta langue sortir quand tu te mets à réfléchir sur quelque chose. Je veux t’entendre parler aux enfants quand tu penses que je dors la nuit. C’est toi que je veux. Notre vie à nous » lui dis-je avant de secouer la tête, un léger sourire aux lèvres. « Dans tout ce que je t’ai acheté, tu devrais bien trouvé quelque chose à te mettre non ? Essaie de trouver quelques chose d’assez classe mais pas trop »

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Thaïs ne pouvait pas s’empêcher d’être bêtement émue que Caleb la connaisse aussi bien et terriblement paumée qu’il ait été le premier à demander le divorce. Pourquoi diable en était-il arrivé à de tels extrêmes ? « Tu avais tout ça » répondit-elle d’un ton perdu, soupirant à plusieurs reprises en se mordillant la lèvre. « Je serais allée jusqu’à Guantanamo pour toi… quitte à me faire enfermer à vie. Je n’arrive pas à comprendre ce qui t’es passé par la tête. Tu aurais dû te reposer sur moi. Ceci dit tu n’as pas à te cacher, c’est ridicule. » Thaïs se releva de la baignoire pour mieux aller enfiler une robe d’un blanc pur, à volants, moulant à merveilles ses jolies formes de grossesse. « Comment tu me trouves ? » demanda-t-elle prudemment, même si ses cheveux étaient encore à coiffer.
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« Je sais. » lâchais-je presque avec douleur et mon regard se chargea de tristesse. « Je ne sais pas moi-même et sûrement ne le saurais-je jamais »soupirais-je avant de la laisser se changer, quittant la chambre alors que d’ordinaire, je serais resté pour l’observer. Malheureusement, il y avait des choses que je n’étais pas en droit de réclamer. « Tu es tout simplement magnifique » lui dis-je avec sincérité en m’approchant d’elle. « Tu seras encore plus magnifique avec ceci, attends, ne bouge pas »lui demandais-je en lui accrochant une broche à sa robe. Vingt-minutes plus tard, nous quittions le manoir du russe en direction d’un hôtel particulier. « Je… J’ai demandé à Nicolaï de jouer de ses relations pour te permettre de rencontrer quelqu’un. J’espère que tu passeras un bon moment en sa compagnie »lui dis-je presque timidement tandis que je sonnais à la porte. Un homme ouvrit, il s’agissait d’un des plus grands pianistes au monde. « Bonjour. Tu dois être l’élève que j’attendais, Miss O’Donoghue n’est-ce pas ? » s’exclama-t-il. « Je reviens te chercher dans deux heures… Amuse toi bien » soufflais-je à son oreille avant de déposer un baiser sur sa joue.

La broche

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