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Kitathina • My walking-dead lover

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 Ce soir, j'ai bien envie de me saouler un petit peu, et puis j'ai bien besoin de ça pour pouvoir tenir surtout ! Mais merde, qu'est-ce sue je fous là ? Je suis pas censée lui en vouloir ? Le détester  du plus profond de mon être ? Ce gars a détruit une bonne part de mon existence. Mais il en a occupé une autre part et ça c'est pas négligeable. Il m'a donné une place tellement importante dans sa vie, il a fait de moi une femme, une vraie femme indépendante, adulte. Ouais, partir à Glasgow avec Kit m'a fait grandir ! J'ai dû gérer des choses, apprendre à vivre avec quelqu'un qui ne soit pas mon père, ma mère ou ma soeur. J'ai fait des choix, j'ai appris à gérer ma vie, parfois celle de Kit un petit peu, quand il partait en cacahuète. Fallait bien que je le rattrape dans sa chute. Je l'aimais et j'aurai tout fait pour lui. J'avais espoir en son cas, je pensais qu'il pourrait s'en sortir... J'ai perdu cet espoir, io ne cessera jamais de se droguer, de dealer... Ca lui apportera que des emmerdes mais il continuera. Ca je l'ai accepté. Il part chercher de la vodka. Ouais, la vodka ça me va. Je bois ce qu'il me sert sans réfléchir et je me ressers un coup. Je tiens pas à être totalement déchirée, mais j'aime trop la sensation d'ivresse pour me retenir. " La vodka c'est très bien !" Il me propose une cigarette, j'accepte sans mot dire. Je suis une fumeuse occasionnelle, ça veut dire que j'ai pas de paquet de clope, mais que je fume quand on me le propose. J'ai coutume de dire que j'ai une superpouvoir anti-addiction. Ce qui n'est pas faux : j'ai plongé à Paris, mais je n'ai jamais été alcoolique. J'ai toujours bu ou fumé par choix, sans jamais devenir dépendante. Oua alors, peut-être que ça marchait pas sur moi parce que la seule chose à laquelle j'étais accro avait disparu, à savoir Kit. Bref, j'attends sa réponse en fumant doucement ma cigarette. Je ris avec lui quand il me parle de cette  vraie éducation que veut lui donner son père !  Le pauvre homme a de l'espoir... Puis je sens mon coeur battre un peu plus vite que la normale quand il dit qu'il a toujours pensé à moi, et du coup je me sens coupable, parce que je l'ai pas attendu. Mais en même temps, il était mort pour moi. On attend pas après un mort quand même ! Du coup je lui souris et je me dis qu'il faut que je lui dise. Alors je cherche mes mots... "Kit... Faut qu'je te dise quelque chose. Je... Je suis en couple. Avec un Dunster. Ruben il s'appelle. Et ouais, c'est vrai que j'l'aime. C'est le premier garçon que j'ai aimé après toi." Bon, faut que j'y aille jusqu'au bout, qu'il comprenne l'ampleur du désastre. Ce pourquoi je suis en train de boire dans son appart. "Mais le souci, c'est que je t'aime aussi Kit. Et je peux rien faire contre ça. Crois-moi, c'est pas simple... Parce que je vous aime tous les deux putain, mais c'est avec lui que je suis. Je t'aurais retrouvé plus tôt, tu sais qu'on serait ensemble là, mais je peux pas lui faire ça, il peut pas comprendre, il peut pas savoir... Mais j't'aime Kit..." Et maintenant il va me détester. Je t'aime, mais je peux pas être avec toi parce qu'il y a un australien que j'aime aussi... Et merde, vous pouvez pas imaginer c'que ça fait mal. Ca fait assez mal pour que je boive directement à la bouteille une gorgée de vodka.
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Cette soirée aurait pu être parfaite, des retrouvailles émouvantes et tragiques pour finir par se taper une bouteille de vodka et partir en délires. On avait même (re)commencé à rire ensemble, comme au bon vieux temps, comme au temps Glasgow où c'était elle et moi contre le monde entier. Mais non, non, ça aurait été trop simple sinon. Elle m'annonçait que, bah, elle avait un copain, et qu'elle l'aimait. J'avais l'impression que ledit copain venait d'arriver par derrière comme un lâche et de me planter un poignard en plein cœur. Et le pire, c'est que je ne détestais même pas ce mec. Enfin, je ne le connaissais pas, mais j'aurais pu être... Jaloux, ou énervé, ou j'sais pas. Mais rien du tout. Juste un abattement aussi bien physique que mental, j'en prenais un coup et me resservais un shooter pour aider à faire passer cette... Nouvelle. J'suis content pour toi. Bien sûr que non j'étais pas content pour elle, putain, et dire que cette soirée se passait bien ! Merde ! Bon, il était inutile que je m'énerve. Elle avait refait sa vie et c'était normal, j'avais rien à y redire. J'espérais juste que son mec, là, Ruben, il arrivait à la rendre heureuse, parce que je crois que j'avais pas réussi. Si Athina était partie, là, je crois que j'aurais sniffé de la coke direct. Mais elle était encore là. C'était quoi, sa vengeance ? La satisfaction de me voir me décomposer sur place comme ça avait du être le cas pour elle quand j'étais parti ? Elle me redonnait de l'espoir, et juste après, flinguait tout exprès pour me voir encaisser ? En fait, non, puisque la suite qu'elle ajouta rendait tout plus complexe encore, et m’asséna un nouveau coup. Elle... M'aimait ? Je veux dire... Elle nous aimait ? Je partageais une place comme ça avec un autre mec ? J'étais... J'étais censé réagir comment, là, au juste ? Elle m'annonçait qu'elle avait un copain qu'elle l'aimait, et qu'elle m'aimait moi aussi. Je n'avais absolument aucune idée de comment me sentir vis-à-vis de ça. Athina, je... Non, j'pouvais pas lui dire que je l'aimais aussi, même si j'en avais envie. Après tout, elle avait... Ruben. Et il était hors de question que je fasse un quelconque geste envers elle après ce que je venais d'apprendre. J'en venais même à regretter de lui avoir tenu les mains tout à l'heure. C'est mieux avec lui que ça l'était avec moi je suppose. C'est pas si compliqué comme situation. T'as un copain et tu l'aimes. Rien de plus simple, j'ai rien à foutre là dedans. Putain, mais si c'était complexe, parce que je l'aimais aussi, Thina, en un rien de temps j'étais retombé amoureux d'un fantôme de mon passé, et là, les choses devenaient sérieusement compliquées. Mais j'voulais pas, j'voulais pas m'imposer entre eux. J'en devenais froid et je m'en voulais, je savais vraiment plus comment réagir, quoi ressentir et où me placer.
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  Pourquoi j'ai dit à Kit pour Ruben ? Parce que je veux rien lui cacher, je suis dans la merde. Pourquoi je lui ai dit que je l'aimais ? Parce que c'est la vérité et que je commence a sentir la désinhibition. J'ai envie d'être avec Kit, et que ce soit lui qui m'ait dit qu'il m'aimait dans ce foutu kiosque y a moins d'une semaine. Mais je peux pas ignorer ce que je ressens pour le Dunster, ce serait me mentir. Je l'aime et je le veux rien que pour moi. Et je pourrai pas accepter de partager Kit non plus. Rien qu'imaginer les autres femmes qui ont été proches de lui le révulse ! Ouais, je suis dans de beaux draps et je viens d'enrouler Kit dedans avec moi... Est-ce une forme de vengeance de ma part ? Peut-être, inconsciemment. En tout cas, il a du mal à encaisser la nouvelle. Il me dit qu'il est content pour moi. Des clous ! Je vous bien qu'il souffre. Et la suite de ses paroles me le confirme. C'est PAS mieux avec lui qu'avec Kit. Y a qu'à voir comment je me comporte avec les deux, je les suivrais jusqu'au bout du monde, je leur fais confiance aveuglément. Et les moments que j'ai passé avec Ruben, c'était tellement simple, tellement beau. La simplicité, c'est ce qui caractérise notre relation. Mais l'intensité qu'il y a entre Kit et moi... C'est unique. Et je peux pas y renoncer, c'est comme un coup d'adrénaline, un truc qui te fait du bien et te fait te sentir autre... Meilleure, plus toi. C'est ma drogue, mes vitamines. "C'est pas aussi simple Kit. Sinon je serai pas là, j't'aurai planté au Lord. Mais regarde, je suis là à boire avec toi... J'ai arrêté d'agir comme ça. Mais avec toi... C'est différent, et désolé si je parle trop, si mes propos sont décousus. Mais j'ai besoin de toi dans ma vie, je veux pas qu'on se perde de vue, on peut pas devenir indifférents l'un à l'autre, c'est pas possible. J'suis heureuse avec Ruben, mais t'es toujours là. Je pense toujours à toi et te savoir en vie... Je suis trop heureuse que tu vives Kit." Je pose ma main sur la sienne en le regardant dans les yeux. Je suis assise en tailleur sur la canapé, face à lui, un shooter à la main et j'ai l'impression qu'on est revenus à Glasgow. La légèreté et l'insouciance en moins.
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Là, même avec la meilleure volonté du monde, j'arrivais pas à comprendre Athina. J'essayais, j'essayais, mais rien n'y faisait. Comment pouvait-on aimer à égale intensité deux personnes différentes ? Il n'y avait qu'elle dans ma vie, et si je lui disais que je l'aimais, ce n'était pas pour me foutre en couple à côté. Non, là, vraiment, je ne la suivais plus. Et le pire, dans l'histoire, c'est que ça me faisait super mal. En fait, elle était plus ou moins en train de me dire que même si elle m'aimait, entre nous, maintenant, c'était mort. J'étais censé faire quoi ? Aller butter Ruben ou quoi ? L'attendre comme un petit chien toute sa vie, le temps que Ruben ne veuille plus d'elle ? C'était comme ça qu'elle nous voyait, maintenant ? Je t'aime mais ça le fait pas, alors tu vas attendre bien sagement, d'accord ? Sérieux. Je ne pouvais rien faire d'autre que de la regarder, complètement avachi sur le canapé. J'avais besoin de m'aérer, j'étouffais dans cette pièce emplie de fumée et de relents d'alcools. Mais je n'en fis rien, je la fixais, un air assez sombre sur le visage, et je ne disais rien. Je n'avais purement et simplement rien à dire. Je la regardais se défendre comme elle pouvait, et je me sentais mal. Ouais, j'étais la roue de secours, en fait. Autant, si elle m'avait annoncé de but en blanc, quand je l'avais revue, qu'elle avait un copain et que nous c'était mort, j'aurais tout de suite compris. Mais là, nan, elle m'avait fait espérer quelques courts instants, pour finalement me dire que rien n'était possible. Athina, tu comprends pas... T'as pas le droit de me dire ça. T'as pas le droit. Arrête, bon sang, de me dire que t'as besoin de moi ! T'es avec... Ruben, là. J't'ai dit que je comprenais, d'accord ? Tu peux pas débarquer comme ça, de me dire que tu m'aimes et me dire que c'est mort. Arrête, Athina. T'as pas besoin de moi. Est-ce que c'était l'alcool qui lui montait à la tête ? Mais merde, quoi, je voulais pas être le plan B, la roue de secours. Je laissais sa main sur la mienne, parce que j'avais pas la force de la dégager. Mais maintenant, de savoir que j'étais qu'une parenthèse de sa vie, le contact que j'avais avec sa peau me faisait beaucoup moins d'effet. Enfin, si, mais c'est plutôt de la douleur, à ce stade des choses.
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J'agissais comme une vraie connasse, sous l'effet de l'alcool certes, mais comme une vraie connasse... J'étais tout bonnement en train de bousiller Kit, de lui piétiner le coeur, de le réduire à néant. Je pense vraiment que mon subconscient essayait de me venger... En réalité, je ne voulais pas m'avouer quelque chose. Je voulais pas me dire que je les voulais tous les deux. Je voulais encore moins tirer un trait sur l'un des deux. Je jouais la parfaite égoïste. C'est à ce moment-là que j'ai décidé de mentir. Aux deux. Enfin, plus à Ruben qu'à Kit. Kit, je l'ai déjà bien fait morfler ce soir. Et quelque chose me dit que ce n'est qu'une question de temps avant que pareil chose n'arrive à Ruben. J'allais les faire souffrir tous les deux et moi aussi. Un beau triangle amoureux. Je caresse la main de Kit du bout des doigts, je veux qu'il me regarde, afin que je vois l'amour dans ses yeux. Je veux qu'il voit qu'il y a encore cette lueur dans les miens, qu'elle s'est jamais éteinte. Je lui murmure : Kit... Je suis désolée, je... je sais pas ce qui m'a pris. Tu m'as pas bien comprise : avec toi je l'oublie Ruben, mais quand je suis avec lui, t'es encore là, t'es toujours là... Je tiens à toi... A nous. Ca veut toujours dire quelque chose pour moi. Je peux juste pas planter Ruben comme ça, il souffrirait trop. J'ai besoin de toi dans ma vie. on peut... on peut être amis ?" Mes paroles sonnent encore comme une supplication. Je suis en train de tout foutre en l'air mais je veux me rattraper. Il y a toujours quelque chose entre nous, je le sais pertinemment et je sais que c'est évident pour lui aussi. Je continues à lui caresser la main et reprends un autre shooter de vodka.
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Plus on avançait dans la soirée et plus j'avais l'impression qu'elle se foutait de ma gueule. Je veux dire, c'était pas possible autrement. Elle me disait qu'elle m'aimait, qu'il n'y avait que moi -et j'en passe-, et en parallèle, elle me disait qu'elle aimait trop son copain pour le quitter. C'était quoi, alors, sinon du foutage de gueule ? Elle pouvait pas juste me dire que j'étais un connard, me foutre une tarte, et me dégager de sa vie une bonne fois pour toutes ? Nan, fallait qu'elle rendre tout plus compliqué, si bien que j'ignorais totalement la façon dont je devais réagir, ce que j'étais censé faire, dans tout ça. En fait, j'étais dévasté. Si ce qu'elle disait était vrai, la situation n'était pas bien meilleure, puisque, quand bien même elle aurait véritablement été amoureuse de moi, elle comptait rester avec son... Ruben. Tu tiens à nous ? Mais quel "nous", Athina ? Y'a plus de "nous" depuis longtemps. TU L'AIMES, D'ACCORD ? J'ai RIEN à foutre là dedans. C'est plus NOUS, c'est VOUS. Maintenant, PUTAIN ATHINA, arrête de me faire tourner en rond, c'est MORT et tu le sais. De rage, je m'étais levé. Je ne supportais plus sa main qui caressait la mienne, c'était trop. Comment pouvait-elle encore me caresser les doigts en me parlant de son copain ? J'étais écœuré. Ecoeuré, non pas parce qu'elle avait reconstruit sa vie, mais parce qu'elle essayait de me faire croire à un "nous". Ouais, bien sûr, un nous+lui. Alors, j'avais gueulé, parce que ça se bousculait trop en moi, y'avait trop de trucs qui s'accumulaient. De colère, j'avais shooté un grand coup dans le mur. J'avais les mains qui tremblaient, j'avais quelques larmes qui coulaient, et j'essayais par tous les moyens de trouver un truc pour me calmer. De l'herbe. Non. De la méth. Non, bordel, non, pas devant Athina ! Alors, je me passais la tête dans les mains, et, toujours debout, je continuai. Et non, on ne peut pas rester amis. Je peux pas... J'peux pas faire semblant, faire comme si de rien n'était et comme si rien ne s'était passé. Tu crois VRAIMENT que je vais pouvoir te regarder embrasser ton... Ruben ? Tu crois que tu vas pouvoir me regarder comme un ami ? JAMAIS on sera des amis, JAMAIS. T'es beaucoup plus qu'une amie pour moi, merde, mais Athina, JE T'AIME. Putain, c'était sorti. Et j'peux simplement pas voir la fille que j'aime dans les bras d'un autre. Tu piges ? Tu veux qu'on se tape la tchatche comme si on s'était jamais fiancés, c'est ça que tu veux ? Tu veux que j'finisse par me flinguer, ou quoi ? Rage, tristesse, colère, désespoir. Maintenant, le calme, je devais retrouver le calme. Je soufflai, je soufflai fort pour essayer d'évacuer comme je le pouvais. Sans prêter attention à Athina, je saisis la pipe à méth sur la table et commençais à l'allumer. Sans réfléchir, je tirai dessus, je me concentrai sur la fumée, je devais penser à autre chose. Fallait que je me calme, et là, je voyais que ça. Puis, quelques minutes après, je me rasseyais. J'suis désolé Thina. J'peux juste... J'peux juste pas. Je m'écroulais, la tête dans les genoux. Non, j'pouvais pas, elle représentait trop de choses pour moi.
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Je suis en train de perdre Kit là, vraiment. Je sais pas ce qui me prend d'agir comme ça ! Putain, je veux juste qu'il m'embrasse, que tout redevienne comme avant avec Ruben en plus. Ouais, c'est égoïste, méchant, tout ce que vous voulez. J'envisage de lui faire des fausses promesses, du genre, "je le plaque dans une semaine, j'te jure" et faire traîner... Mais bon, vu ce qu'il ma balance en pleine tête, j'ai vraiment l'impression qu'il me déteste. "Mais si y a un "nous", y a toujours eu un "nous" pour moi, tu comprends pas ? Ruben... C'est juste une passade, toi t'es bien plus que ça Kit. Je t'aime, ça te suffit plus ? Je peux pas être amie avec toi. On peut pas, il nous faut plus que ça..." Il se lève du canapé, tape contre le mur. Il doit être en manque ou je sais pas quoi. Et je sais également ce qu'il veut faire là, il veut m'échapper en se réfugiant dans la drogue. Trop facile ! Bon, peut-être pas si facile que ça, mais bon. Je l'écoute : il me dit qu'il m'aime, je le savais ! Alors on va souffrir tous les deux, et on peut rien contre ça. Après quoi, il prend sa pipe à méth et se met à la fumer. Putain, il le fait vraiment et devant moi ! Chose qu'il a jamais fait, ou quasiment pas auparavant. Faut croire que je l'ai vraiment mis plus bas que terre... "Kit... Kit... J'sais pas quoi faire, j'ai l'impression d'être une vraie salope ! Tu comptes plus que Ruben ! Merde, je te veux toi ! Je déteste l'idée que d'autre nana puissent faire battre ton coeur et en même temps, je me hais de te faire subir ça. Je sais pas quoi faire Kit !" Je hurle comme une cinglée dans l'appart de Kit. Je me lève et je bois la fin de la bouteille de vodka. Je pars à la recherche d'autres bouteilles et je finis par mettre la main sur du rhum. Chouette j'adore ça. Je l'ouvre et commence à boire. Ouais, il se drogue, et moi je bois. On est fait pour aller ensemble ! Si Ruben me voyait comme ça...
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Est-ce que je devais la croire ? Bordel, mais est-ce que je devais la croire ? Je tremblais, je savais plus quoi faire, j'arrivais plus à réfléchir, je ressentais trop de choses, beaucoup trop de choses confuses. J'étais en manque. Je ressentais le manque comme lorsque je n'avais pas ma dose de dope, mais là, c'était un manque différent, c'était pas un manque de came ; c'était un manque d'Athina. Elle ma manquait, elle tout entière, et ses propos ne faisaient qu'accentuer les choses. J'essayais d'atterrir, de me calmer comme je le pouvais. Je sentais la méth faire son effet, je commençais à planer, putain. Putain, ça faisait du bien... Je sentais aussi qu'Athina dérapait. Alors, même si j'étais dans un état avoisinant plus ou moins celui du déchet, j'avais pas le droit pour autant de la laisser faire totalement n'importe quoi. J'avais donc retiré sur la pipe, et je m'étais approché doucement d'elle, lui faisant face. Je la saisis doucement par un bras. Faut que tu calmes le jeu, Thina. Pose cette bouteille. Tranquillement, parce que j'étais maintenant tranquille, je lui avais ôté le rhum des mains. Elle devait arrêter l'alcool, sinon, elle allait gerber dans mon salon et passer la nuit ici. Mais j'étais si proche d'elle, là, à quelques centimètres de son visage... J'étais stone, et la bouteille m'échappa des doigts pour aller se fracasser directement sur le sol. Y'en avait partout, mais j'avais même pas réagi, je m'en foutais, je n'avais d'yeux que pour Thina. Naaan, Kit. Non. Siii. Puis, je me penchais, et je l'embrassais. Je pourrais même pas dire comment je me sentais. Bien, tellement bien, mais c'était plus que ça. Je revivais. Je sentais en moi l'étincelle se transformer en brasier, ça répandait de la chaleur, c'était bien, j'voulais que ça dure toute la vie comme ça. Han, la grosse connerie. Je devrais pas, sinon j'vais me faire casser la gueule. Bizarrement, cette perspective me faisait rire. La situation en elle-même me faisait rire. Sûrement un rire nerveux, mais un rire quand même. Je déraillais. Complètement. Tu l'aimes plus que moi, hein ? Ouais, cet éternel problème. Je t'emmerde, Ruben, j'l'ai embrassée, je t'emmerde. Et tu sais quoi, Ruben ? Je suis trop bien avec elle, t'es rien pour elle, toi.
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Ma perception des choses est vraiment en train de devenir radicalement différente, j'ai le sang qui bat aux tempes, je divague complètement. Le rhum, voilà un truc bon. On souffre pas avec le rhum, ça donne chaud, et ça demande rien en retour. Je crois que je vais en boire encore un peu, je suis pas assez partie là. Mais je sais déjà que je peux pas rentrer chez moi, parce que a) je risque un accident, que je rentre en voiture ou à pieds b) les filles vont m'incendier. Faut être réaliste, mon état n'est vraiment pas beau à voir. Mais je me déteste tellement là. Quelle connasse je peux faire, je ne me savais pas aussi retorse, égoïste, manipulatrice. Ca me fait peur de voir à quelle vitesse je sors des bobards. Oui Kit compte pour moi, mais pas plus que Ruben. Je peux PAS faire un choix, alors je bois. C'est aussi simple que ça. Kit vient vers moi et me retire la bouteille des mains. Je me sens démunie sans elle, plus je bois, plus j'ai envie d'en avoir plus, je suis trop lucide. Calmer le jeu ? Le gars vient quand même de se droguer là, tout de suite. Et moi j'ai pas le droit de boire ? Je m'apprête à lui sortir un truc du genre mais je suis interrompue par la bouteille qui tombe par terre. Son coloc va apprécier ! C'est pas comme si l'alcool ça embaumait pendant longtemps, nan pas du tout ! Et puis je me rends compte de notre proximité, et tout d'un coup, je perds en ivresse et mon esprit est assez sobre pour dire à mon coeur de faire des loopings. Il approche son visage du mien et m'embrasse. Et moi je reste plantée là, renversée par un flot de sentiments. C'est tellement bon, je me sens tellement coupable... Après quoi, il dit qu'il va se faire casser la gueule. Ca serait vrai si Ruben l'apprenait, ce que je vais empêcher d'arriver. Et il me demande si je l'aime plus que lui. "Je t'aime Kit, de façon si intense... C'est pas comparable !" Je me rapproche de lui encore plus en écrasant du verre par terre et je passe ma main sur son visage, avant de me mettre sur la pointe des pieds pour l'embrasser de nouveau.
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Explosion nucléaire dans ma tête, purement et simplement. J'foutais quoi, là ? J'embrassais Athina. Mais, putain, elle sortait avec un mec. Et pire, même, elle m'embrassait à son tour. Mais j'pouvais pas lutter, pour la première fois depuis trois ans, j'étais en vie. Je sentais mon cœur battre de façon si intense, tellement intense que j'avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine à tout instant. Mais après Glasgow, j'avais pas cessé de l'aimer, pas une seconde, même si j'avais essayé de me faire croire le contraire. Et pourtant... Y'avait cette chose en moi, cet instinct que je tentais de réprimer, et qui me disait que ce que je faisais était mal. Si ça se trouve, elle avait trop bu, et elle allait m'en vouloir une fois sobre. Peut-être même qu'elle me racontait des mythos et cherchait uniquement à me faire sombrer pour mieux m'enterrer. Et puis, merde, elle avait un copain, c'était pas possible. Alors ce baiser, ce baiser si doux, il avait un arrière-goût d'amertume. De doutes. D'insécurité, même. Mais je ne pouvais pas, je ne pouvais simplement pas lutter contre ça, c'était trop beau pour que je foute tout en l'air... Et tant pis pour les conséquences. Je sais quand tu mens. Ouais, j'étais pas si naïf, non plus, je la connaissais par cœur. Ou, tout du moins, j'étais convaincu que la vérité n'était pas si simple que ce qu'elle tentait de me faire croire. Enfin, elle pouvait me faire changer d'avis si facilement. Alors, je lui embrassai le cou, et j'en profitais pour lui murmurer à l'oreille. Mais j'm'en fous. Là, c'était officiel, je ne savais plus ce que je faisais. J'veux dire, tout était en train de se flouter et de me monter à la tête, l'alcool, la méth, l'ivresse que me procurait Athina. Et, putain, pour une fois que je sentais mon cœur battre à ce point, je refusais que ça s'arrête. Le monde tournait, et je tournais avec, j'étais rentré dans la danse, je n'avais plus aucune notion du temps. Je n'arrivais plus à distinguer ce qui était réel ou non. J'étais... Ailleurs, sur une autre galaxie. Et comme c'était si bon, ce qu'on vivait là, j'avais passé ma main sous son t-shirt. Et c'est à ce moment là que je récupérai un semblant de lucidité. Je m'étais reculé, d'un coup, prenant conscience de la gravité de la situation. J'peux pas, Thina, j'peux pas. Je m'étais foutu dos à elle, et j'essayais de me raccrocher à la réalité comme je le pouvais. Seul bémol, je n'y arrivais pas bien. J'étais défoncé, j'devais pas, j'devais pas. Même si, putain, c'était frustrant.
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