Emrys & Wyatt - Tu crois que c'était le papa noël ?!

« Mon dieu, on dirait un vers luisant ... ou une luciole ... Mon dieu, je deviens ray de la princesse et la grenouille ! » C’était à mon tour de me marrer. Bien sûr, je n’oubliais pas de ranger précieusement, mon téléphone dans ma poche. Il fallait que je garde cette photo en souvenir ! Je ricanais, alors qu’il se levait, pour courir dans tous les sens. « Mais fait quelques choses bordel de crotte ! » Il était marrant lui ! Je me faisais engueuler, alors que je n’avais rien fait. A mon tour, je me relevais des marges. « Mais quoi ?! Faut peut-être qu’on t’embrasse pour que tu redeviennes normal ! » Je me rapprochais de lui et battais des bras pour lui faire de l’air. « Je sais ! Faut que tu manges le bonbon magique ! »

Il se tapait un fou rire tandis que je me levais pour courir comme un dingo autour des gens debout entrain de fumer pour la plupart en gueulant qu'il vienne m'aider. Lui, il me regardait sans bouger et mit un certain temps à réagir ce qui me saoulait. Je crois que l'alcool n'était pas redescendu et je devenais fou néanmoins l'air battant dans mon visage aidait à décuver un peu à moins se sentir tomber. Et il me rejoignait en me disant que je devais peut-être me faire embrasser, je lui tirais la langue alors qu'il me faisait de l'air en battant des bras. Je serrais les poings pour ne pas lui taper dessus et lui dire de cesser les moqueries. Bonbons magiques ? Je compris que la totale déconnade family était de retour et je répondais : Oh oui, des bonbons magiques, donne ! Dis-je en tirant sur son bras comme un gosse avant de regarder les gens autour et de leur tirer la langue parce qu'ils mataient trop. Et des bisous de Chacha .. avais-je dit inconsciemment portant directement ma main à ma bouche.

Pauvre petit, il était en train de virer couleur doré comme dans la pub, j’adore de Dior. Pour le sauver, je lui proposais un bonbon magique. « Oh oui, des bonbons magiques, donne ! » Seulement, j’en avais pas ! « Ils sont cachés à l’entrée des toilettes ! » Vous savez, les pastilles qu’on prenait en sortant des chiottes. Je n’étais même pas sûr que tout le monde se lave les mains en les prenant. « Et des bisous de Chacha .. » J’avais bien entendu, il parlait de Charlie ! « Han t’aime bien la tite rouquine » Un sourire malicieux aux lèvres, je faisais tournoyer mon doigt en le visant.

Je ressemble à une luciole, j'ai presque le popotin lumineux, quoi. Je suis en plein cauchemars et l'autre, il s'en balance le coquillage. Je crois que je vais lui taper le cul, il va comprendre sa douleur et le pire c'est qu'il me dit que je dois retourner aux chiottes pour les chercher sauf que là ça m’inquiète et je comprend moi qu'il parle des pastilles qu'on fout dans nos trucs où on pisse : Mais t'es immonde ! Dis-je en le tapant comme un gosse plusieurs fois en jouant à la pieuvre avec mes bras. Je le comprend pas et semble désespéré alors qu'il se moque de moi vis à vis de Charlie alors je répond : Ouais, je la kiffe et je t'emmerde ! Trouve une solution parce que j'ai le popotin qui démange ! Dis-je en courant de plus belles en ronde autour de lui.

«Mais t'es immonde ! » Punaise, j’étais en train de me faire taper ! Il avait mal compris de quoi je voulais parler ! Il pensait que je parlais des pastilles désinfectantes. « J’te parle des pastilles à la menthe idiot ! » lançais-je en évitant un énième coup. « Je vais appeler meilleur ami maltraité ! »[/color] Pour appuyer mes dires, je levais le point. « Ouais, je la kiffe et je t'emmerde ! » C’est ce que j’avais crus comprendre. « J’le sais depuis le début ! J’suis un cupidon moi ! »

Je ne comprenais pas ce qu'il me racontait et j'avais horreur des trucs dégueulasses imaginés comme traitement pourtant il se foutait de ma gueule alors que je le tapais expliquant qu'il parlait de pastilles à la menthe. Je fis une moue incompréhensible et le regardais avec un mono sourcil élevé en continuant à frapper alors qu'il se plaignait menaçant d'appeler les autorités compétentes bien qu'inexistantes. Là, il m'annonça savoir depuis le début que je kiffais la belle et qu'il était cupidon : Non, tu n'es pas cupidon puisque je suis meme pas avec elle et qu'elle m'aime pas d'abord ! Avais-je dit sur une voix d'enfant malheureux.

« Non, tu n'es pas cupidon puisque je suis meme pas avec elle et qu'elle m'aime pas d'abord ! » Sérieusement, le champagne lui montait à la tête ! Il fallait être idiot pour ne pas remarquer les yeux de merlans fris qu’elle lui lançait. Prenant un air faussement sérieux, je mettais une main sur son épaule. « Va falloir que tu manges une pastille ! » Le tirant de force à l’intérieur, j’évitais ses coups, tout en prenant une pastille près des chiottes. Je la lui mettais de force dans la bouche, avant de le tirer une nouvelle fois à l’entrée de la salle. « T’vois ta rouquine là-bas ? » disais-je en la pointant du doigt, alors qu’elle était assise à la table. « Elle n’a pas dansé avec un autre mec de la soirée. Ça veut tout dire ! »

Et le pire, c'est que je deviens masochiste mais imaginez vous que vous soyez complètement devenu une luciole limite en mode popotin lumineux et tout, c'est pas le bayou ici et j'ai l'impression carrément que ça l'est alors je flippe. Je suis un peu trop dans les vapes d'où la panique surement inutile. Il tente de me rassurer et me posait sa main sur l'épaule comme soutien surement vu mes paroles totalement chaotique et là, il me parle des pastilles montrant leur nécessite du coup il me traine presque à l'intérieur et m'en fourre une dans la bouche. Je crachote mais je la suce doucement et sent que la menthe aide doucement. Là, il me fout devant la grande salle et pointe Charlie du doigt en me disant de la regarder et là, il me choque. D'ailleurs, je me choque simplement rien qu'en me trouvant en mode yeux en cœur alors qu'il dit : « Elle n’a pas dansé avec un autre mec de la soirée. Ça veut tout dire ! » Je rougis et souris en pensant au fait qu'il a surement raison mais toujours un peu bourré, toutes mes paroles sont bien marrantes à entendre : J'vais lui vendre du rêve tu verras ... Je me tenais à son épaule. L'air ne m'avait pas réussi, la pastille ? ouais. Je rigolais tout seul et faisait aussi le grand gosse en la regardant au loin ; regarde, ces cheveux roux magnifiques, son air angélique, sa beauté si naturelle, si originale pourtant ... Je m'extasiais clairement sur le coup.

« J'vais lui vendre du rêve tu verras ... » Moué, bah ce jour n’était pas encore arrivé ! En plus de ça, il s’était mis à rougir, façon Ron Weasley ! « Mais bien sûr » lançais-je dans le but de le provoquer. « regarde, ces cheveux roux magnifiques, son air angélique, sa beauté si naturelle, si originale pourtant ... » Qu’est-ce qu’il me faisait là ? On aurait dit qu’il avait vu la vierge Marie. « Tu veux un mouchoir pour essuyer ta bave ? » Bah ouais, il était clairement en train de se baver dessus. Je jetais un coup d’œil à Charlie. C’est vrai qu’elle était pas mal dans son genre. Je trouvais les rouquines mignonne, d’ailleurs, mon ex Feldt était rousse. Alors, je n’étais pas un raciste des roux !

Genre, il était en mode, je te crois pas ou je me fous de ta gueule, j'avais juste envie de le tuer là ... je rigolais pourtant comme un gros boulet que je suis en regardant la belle et lui me provoquait clairement en me disant qu'en gros, il croyait pas que j'allais lui vendre du rêve et je le regardais menaçant en disant d'une façon débile ; Écoute-moi bien mon petit Guerin, je ne te permet pas ... avais-je dit un peu bancal. Je souriais ensuite en me retournant vers la belle que je voyais au loin manquant presque de marcher comme un zombie vers elle comme ci je venais de manger des friandises avec un filtre d'amour hypnotisant. Je vis alors mon ami se marrer et me dire en rigolant qu'il pourrait me donner un mouchoir pour essuyer ma bave. c'est là que je me tournais suçant toujours la pastille de menthe en disant : Bon ... là, ça suffit ... tu te moques mais toi, tu es là ... et tu ne fais rien du tout avec ta meuf alors au moins, moi je la regarde tu vois ... Je jouais au gamin, la voix tout en lui tirant la langue.