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Bizarrement malgré ma comédie, Aby n’avait pas reculé pour autant. Bien au contraire, elle s’était même approchée davantage quitte à m’effleurer les lèvres. Elle jouait un drôle de jeu quand même. Et si ce n’était pas sa manière de fonctionner habituelle, je laissais présager la floraison d’un plan diabolique contre moi dans sa tête.
La couverture devait certainement en être l’objet.
J’étais alors prêt d’elle voire très prêt. Si je le voulais je pouvais anéantir tous ses plans en l’embrassant mais en moi raisonnait la voix d’Anna. Comme à chaque fois qu’une fille avait voulu que ça aille plus loin que les premières formalités. Certes pour certaines ça m’avait été égal car aussi cruel que cela puisse être, elles n’avaient été là que comme des objets ou une pâtisserie qu’on goûte mais qu’on ne finit pas. Mais là Aby était mon amie et je n’avais pas le droit de lui faire ça, peu importe si elle allait le prendre à la rigolade ou non.
Heureusement j’avais une autre idée disons bien plus bâtarde. Je bougeais mes pieds de manière à bien les caller dans la couette et la bloquer. De là, ça serait comme les dents d’un requin maintenant sa proie, impossible à retirer. Aby n’y verrait que du feu.
Puis je décidais de m’approcher encore un peu. Si je devais finir la bouche sur la sienne ça serait le prix à payer mais pour faire ce que je voulais il fallait que je sois prêt au maximum. Une fois bien placé, je déviais ma bouche vers son oreille pour l’occuper en lui murmurant.
« Si je t’obsède comme un dieu au point où tu en es de ne pas pouvoir te passer de moi sous tous les angles, normal que tu veuilles déguster l’instant. »
C’était le bon moment, elle était distraite. Et là je tendais les mains et lui touchant le dos comme pour des caresses lui dégrafait son soutien-gorge en dessous de son débardeur.
Je n’avais plus rien à craindre car aussi vite qu’elle s’était approchée, elle allait maintenant s’éloigner complètement paniquée.
Hé oui les mecs ne portent pas ce genre d’artifices ultra chiant comme les nanas. Il faisait parfois bon d’être un mâle.
Néanmoins à cet instant, il se passa quelque chose que je n’avais absolument pas prévu, un appel. Mon portable s’était mit à vibrer et le numéro qui s’était affiché m’était totalement inconnu. Comme à mon habitude je ne décrochais pas si je ne savais pas à qui j’avais à faire. Mais contrairement à ce à quoi je m’attendais, cette personne m’avait laissé un message. Ca devait être important et je sentis la goutte de stress alors perler sur le coin de mon front. Qui était ce ? et si tard? Il fallait que je le sache et je composais donc mon numéro de boîte vocale.
La couverture devait certainement en être l’objet.
J’étais alors prêt d’elle voire très prêt. Si je le voulais je pouvais anéantir tous ses plans en l’embrassant mais en moi raisonnait la voix d’Anna. Comme à chaque fois qu’une fille avait voulu que ça aille plus loin que les premières formalités. Certes pour certaines ça m’avait été égal car aussi cruel que cela puisse être, elles n’avaient été là que comme des objets ou une pâtisserie qu’on goûte mais qu’on ne finit pas. Mais là Aby était mon amie et je n’avais pas le droit de lui faire ça, peu importe si elle allait le prendre à la rigolade ou non.
Heureusement j’avais une autre idée disons bien plus bâtarde. Je bougeais mes pieds de manière à bien les caller dans la couette et la bloquer. De là, ça serait comme les dents d’un requin maintenant sa proie, impossible à retirer. Aby n’y verrait que du feu.
Puis je décidais de m’approcher encore un peu. Si je devais finir la bouche sur la sienne ça serait le prix à payer mais pour faire ce que je voulais il fallait que je sois prêt au maximum. Une fois bien placé, je déviais ma bouche vers son oreille pour l’occuper en lui murmurant.
« Si je t’obsède comme un dieu au point où tu en es de ne pas pouvoir te passer de moi sous tous les angles, normal que tu veuilles déguster l’instant. »
C’était le bon moment, elle était distraite. Et là je tendais les mains et lui touchant le dos comme pour des caresses lui dégrafait son soutien-gorge en dessous de son débardeur.
Je n’avais plus rien à craindre car aussi vite qu’elle s’était approchée, elle allait maintenant s’éloigner complètement paniquée.
Hé oui les mecs ne portent pas ce genre d’artifices ultra chiant comme les nanas. Il faisait parfois bon d’être un mâle.
Néanmoins à cet instant, il se passa quelque chose que je n’avais absolument pas prévu, un appel. Mon portable s’était mit à vibrer et le numéro qui s’était affiché m’était totalement inconnu. Comme à mon habitude je ne décrochais pas si je ne savais pas à qui j’avais à faire. Mais contrairement à ce à quoi je m’attendais, cette personne m’avait laissé un message. Ca devait être important et je sentis la goutte de stress alors perler sur le coin de mon front. Qui était ce ? et si tard? Il fallait que je le sache et je composais donc mon numéro de boîte vocale.
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