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Décidément quand Aby bougeait elle ne le faisait pas à moitié. C'était comme une tornade, elle dévastait tout. Heureusement qu'encore une fois j'étais là pour rattraper le cou, enfin dans la situation présente pour rattraper le produit vitre avec mon épaule. C'était elle qui en fin de compte allait me faire peur avec sa maladresse. Cette dernière qui l'avait notamment fait se baisser à une hauteur pour le moins... suspicieuse. Comme si elle l'avait fait exprès juste après qu'on en ait parlé.
"C'est que madame serait intéressée en plus, quel honneur". Et j'étouffais mes rires en de petites secousses qui se voyaient juste aux mouvements de mon dos. C'était à se demander si on était véritablement dans un film d'horreur et pas dans un comique.
La réponse donnée, il ne fallait pas perdre de temps. Je me faufilais donc dans l'espace qu'il restait pour me mettre hors du placard et entrainais Aby avec moi. Sans lâcher sa main, je regardais alentour le meilleur endroit pour ne pas être vu mais être assez convaincants. Il fallait être logique, même si deux personnes avaient réellement eu le projet de faire l'amour dans une cuisine publique, elles n'auraient pas choisi le coin visible par tous, genre sur la table, quoique si ca avait été moi (moment d'hésitation).
Quand j'eus trouvé, je dirigeais gentillement Aby vers le coin du mur et lui murmurais à l'oreille.
"Imagine que tu te fais kener, amie de Barbie." J'avoue que sur le coup, il n'y avait absolument rien de rassurant et mes conneries n'allaient sans doute pas la rendre très concentrée. Alors j'ajoutais :
"Fais moi confiance. Je compte sur tes talents d'artistes."
Et alors que les pas se faisaient de plus en plus proches, je retirais rapidemment mon tee shirt et mettais juste mes deux mains sur la taille d'Aby. Je lançais la scène par un espèce de rale bestial qui faillit se transformer en rire. Mais si je riais je n'allais être crédible pour personne. Et je continuais par de rapides inspirations comme si j'étais en plein effort ainsi que de petits mouvements (digne d'un canard).
Je savais que j'aurai du choisir les cours de théâtre. Ensemble moi et Aby devions en faire, un sacré orchestre.
Mais alors que les pas étaient arrivés à l'entrée de la cuisine quand on commença, ils s'arrêterent subitement. On dirait que la fille avait entendu notre simulation et nos soupçons furent confirmés quand elle étouffa un cri d'étonnement et qu'elle partit en courant dans la direction opposée. On était sauvé, du moins pour l'instant et jusqu'à demain si elle n'avait bien vu de nous que nos ombres. Il était sur qu'elle allait faire la commère.
Je pouvais enfin rire comme il fallait et je crois que se fut se retenir de ne pas exploser qui fit dans l'histoire le plus dur. Dans le genre délire, celui qu'on avait du éxécuté n'était pas mal en son genre. Il ferait un bon souvenir. Mais là n'était pas le temps de se reposer sur ses lauriers, il fallait se mettre dans un endroit sur avant que du monde ne débarque alerté par la "furie". Ainsi je reprenais mon tee shirt et me préparais à laver les verres en deux temps trois mouvements.
"C'est que madame serait intéressée en plus, quel honneur". Et j'étouffais mes rires en de petites secousses qui se voyaient juste aux mouvements de mon dos. C'était à se demander si on était véritablement dans un film d'horreur et pas dans un comique.
La réponse donnée, il ne fallait pas perdre de temps. Je me faufilais donc dans l'espace qu'il restait pour me mettre hors du placard et entrainais Aby avec moi. Sans lâcher sa main, je regardais alentour le meilleur endroit pour ne pas être vu mais être assez convaincants. Il fallait être logique, même si deux personnes avaient réellement eu le projet de faire l'amour dans une cuisine publique, elles n'auraient pas choisi le coin visible par tous, genre sur la table, quoique si ca avait été moi (moment d'hésitation).
Quand j'eus trouvé, je dirigeais gentillement Aby vers le coin du mur et lui murmurais à l'oreille.
"Imagine que tu te fais kener, amie de Barbie." J'avoue que sur le coup, il n'y avait absolument rien de rassurant et mes conneries n'allaient sans doute pas la rendre très concentrée. Alors j'ajoutais :
"Fais moi confiance. Je compte sur tes talents d'artistes."
Et alors que les pas se faisaient de plus en plus proches, je retirais rapidemment mon tee shirt et mettais juste mes deux mains sur la taille d'Aby. Je lançais la scène par un espèce de rale bestial qui faillit se transformer en rire. Mais si je riais je n'allais être crédible pour personne. Et je continuais par de rapides inspirations comme si j'étais en plein effort ainsi que de petits mouvements (digne d'un canard).
Je savais que j'aurai du choisir les cours de théâtre. Ensemble moi et Aby devions en faire, un sacré orchestre.
Mais alors que les pas étaient arrivés à l'entrée de la cuisine quand on commença, ils s'arrêterent subitement. On dirait que la fille avait entendu notre simulation et nos soupçons furent confirmés quand elle étouffa un cri d'étonnement et qu'elle partit en courant dans la direction opposée. On était sauvé, du moins pour l'instant et jusqu'à demain si elle n'avait bien vu de nous que nos ombres. Il était sur qu'elle allait faire la commère.
Je pouvais enfin rire comme il fallait et je crois que se fut se retenir de ne pas exploser qui fit dans l'histoire le plus dur. Dans le genre délire, celui qu'on avait du éxécuté n'était pas mal en son genre. Il ferait un bon souvenir. Mais là n'était pas le temps de se reposer sur ses lauriers, il fallait se mettre dans un endroit sur avant que du monde ne débarque alerté par la "furie". Ainsi je reprenais mon tee shirt et me préparais à laver les verres en deux temps trois mouvements.
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