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Sous ta fenêtre [Jessy & Abygaelle]

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Au moment même où je prononçais mes dernières paroles, je voyais le visage d’Abygaelle se décrisper. Elle n’avait pas perdu une miette de mon petit récit et devait sans doute se poser plein de questions. Et je ne tardais pas à en avoir la confirmation. Curieuse comme toutes les filles, elle donna du volume à ses pensées pour me les poser directement. Elle me demandait si j’aimais toujours Anna et si je l’avais revu depuis son départ. Hé oui celui qu’on surnommait volontiers le bad boy, inaccessible et aimé pour sa fougue avait bien été accro d’une nana comme un drogué aurait pu l’être de son pétard.
Enfin bref, s’il y avait bien une chose que je ne supportais pas au moins autant que me confier c’était une ambiance maussade et tout ce qui va avec. Alors certes me rappeler cette histoire et en voir les souvenirs défiler dans ma tête piquait le cœur comme on peut être piqué en mangeant du piment, mais je n’allais rien montrer. Et puis si ça continuait la sensible petite Abygaelle risquait de se mettre à pleurer. Secouée par ses émotions ahaha. Alors je reprenais du poil de la bête comme si de rien n’était.

« Hum tu es pleine de ressources dis donc. Aurais-tu été flic dans une autre vie ? »
Et voilà, c’était déjà mieux comme ça. On avait frôlé l’entrée en scène des violons.

Mais j’avoue que mon ton ironique je ne pus pas le garder longtemps car déjà Abygaelle me regardait en tirant la moue.

« Ok, ok. Alors si je dois être franc. Je te dirais volontiers que je ne le sais pas moi-même. Si la dernière fois que je l’ai vu c’était lors de son départ et que ce fut autant déchirant que très touchant, il y a un tas de choses qui pourraient faire douter même un esprit sain. J‘en garde à la fois une profonde chaleur mais aussi une certaine rancœur. Et cette photo sonne à la fois comme la présence d’un souvenir mais aussi le glas d’une leçon.»

Même en y réfléchissant j’avais du mal à m’exprimer. J’étais peut-être de ces gens qui font parler d’eux mais je n’étais en aucun cas de ces gens qui aiment parler d’eux.
J’en avais désormais la certitude puisque quelque chose en moi verrouillait automatiquement le sujet. Fallait-il qu’il y ait un échange équivalent ? Qu’on insiste ? Où qu’on me mette à l’aise pour que je daigne raconter ?

En tout cas, comme j’avais récupérer ma photo et ma lettre, je pouvais repartir tranquille, s’il ne fallait que ça. Mais comme je m’y senti obligé et qu’elle avait été impliquée ce soir, je décidais d’à mon tour poser le questionnaire.

« Et toi dans ta vie, tu en es où ? Peut-être suis-je de trop et devrais m’éclipser pour que tu puisses vider ton sac rempli d’eau et inonder tes draps comme l’a fait Alice.»

Je tenais à garder du moins un peu d’orgueil autant que je le pouvais. Si les gens autour de moi ne savaient pas qu’une partie de ma vie m’avait influencé de manière plus que significative, je devais être loin de me douter qu’au fond j’étais comme eux. En fait, je ne savais rien de ce que cet événement était véritablement pour moi.
Il me fallait un petit peu d’Anna pour me raccrocher.
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Abygaëlle avait posé des questions des plus basique, mais elle en avait plein d'autre en réserve, mais beaucoup plus personnel ! Voyant que Jessy accepter sans trop de méfiance à se confier à elle, elle se dit qu'elle n'allait pas non plus le bousculer. Elle sentait que l'ambiance devenait de plus en plus froide, qu'elle horreur ! Et en même temps elle ne savait pas trop quoi dire pour éviter ça. Le mieux sera de changer de sujet de conversation, mais elle avait tellement envie d'en savoir plus …. Mais cela dit elle fait confiance à Jessy, elle est persuadée qu'il va très vite faire en sorte que ça change. Et voilà (a), elle sourit suite à cette intervention. C'est avec le même ton ironique qu'elle lui répond. " Merci, merci ! Que veux-tu? On est étudiante en journalisme ou on l'est pas j'ai envie de te dire ". Dit-elle en souriant de plus belle. Elle hoche la tête " Oh oui tu dois l'être! " Dit-elle d'un faux aire presque menacent, mais toujours ironique. Par contre Jessy avait tout de même moins la joie de vivre que plus tôt. Toute ouïe encore une fois, la jeune brune le regarde toute en attendant la suite, vous savez un peu comme ses enfants à qui on ne peut rien refuser, et qui demande toujours une centième histoire avant le dodo? Bon et bien elle en déduit que cette histoire n'est pas terminé, non loin de là. Elle sourit, Abygaëlle ne peux pas lui sortir une phrase comme 'je te comprends ! ', Car de toute façon personne ne peux se mettre à la place de personne! Puis ce n'est pas comme si elle avait déjà vécus une histoire comme celle-ci. Aby est du genre fidèle, et si elle aurait été face à cette situation, elle se serait faufilé dans la valise de son compagnon, avec un mot du genre ' On ne se débarrasse pas de moi aussi facilement (a)'. Mais bon, Jessy n'est peut-être pas dans cette optique?

Très maladroitement, à la manière d'Abygaëlle, car fidèle à elle-même ! Elle lui demande, " Et excuse-moi, mais ? Tu te balade toujours avec cette photo et cette lettre? C'est histoire de ta rappeler ce que tu as vécus dès que tu te rapproches un peu trop d'une fille? " Dit-elle en souriant par la suite, la fin de sa phrase était ironique, & il aller certainement le sentir ! C'est juste histoire de ne pas continuer dans cette ambiance tristounette. Abygaëlle avait fait une analyse très rapide intérieurement de Jessy (oui sa lui arrive de faire la psychologue), elle en avait très vite déduis, qu'il vivait peut être encore dans le passé, et que dans le fond le grand Bad boy, avait peut-être un cœur en guimauve. Par la suite, il décide d'échanger les rôles, c'est ce qu'elle craignait ! Dans une discussion très souvent, les personnes on besoins de cette échange ! Je t'en dis plus sur moi, & tu en fais de même … Mais quelque part c'est un petit peu normale, même si elle préféré écouter les autres parler. Elle relève son regard vers lui.

C'était l'heure du chocolat chaud aussi non ? Elle sourit quand il lui parle d'inonder ses draps. " En effet, c'est pile poil l'heure a lequel je suis sensé être sous ma couette, à pleurer comme une petit fille sans son doudou." Dit-elle en faisant mine de regarder son poignet qui ne posséder même pas de montre. Puis elle ajoute " D'ailleurs, tu es assis juste à l'endroit où je vide mes larmes … je te demanderai un peu plus de respect pour elles, en te déplacent un petit peu." Elle le regarde avec un air faussement sérieux, en faisant mine d'attendre qu'il le fasse pour de vrai. Intérieurement, elle se demandait ce qu'elle aller lui dire sur sa vie. C'était bien trop compliquer, de plus elle en a jamais parlé a personne, pas même les personnes dont elle est super proche. Elle le regarde en cherchant ses mots, il devait le voir étant donner qu'elle mettait du temps à sortir une syllabe. " Je vais très bien, je suis née il y a une semaine. " Soit il va penser qu'elle est complètement attaquée ! Soit il va penser qu'il est tard et qu'il est temps pour elle de dormir. Avant qu'il ne la pense schizophrène ou autre elle ajoute. " C'est plutôt compliqué ! Et je ne voudrais pas te retenir, maintenant que tu as récupérer se qui t'inquiété tant ! " Dit-elle en souriant par la suite. En effet elle ne voulait pas l'embêter avec son histoire, et puis peut être qu'il se sentait simplement obliger de lui en demandais plus sur elle étant donné qu'il lui avait raconté un bout de son passé. Elle tire sa couverture sur laquelle il avait une fesse (a), puis la passe sur ses jambes.Et oui il faut lui tirer les vers du nez, Jessy est peut-être pas prêt à le faire ?
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Il devait s’en passer des choses dans la tête d’Abygaelle, cette petite peste. Je la voyais là assise sur son lit à faire comme si de rien n’était, alors qu’au fond elle devait crever d’envie de connaître la suite. Comme un film dont on coupe une partie pour mettre la pub, ça démange.
Après tout, les filles étaient et sont toujours bien connues pour dire l’inverse de ce qu’elles aimeraient. Du moins de dire les choses de manière indirecte.

Elle était sans doute grillée d’avance. Car comme par hasard quand il s’agissait de parler un peu d’elle, elle avait l’air gênée. Tellement qu’elle ne savait plus trop quoi faire de ses mains et où se mettre. Sauf peut-être tirer la couette pour me titiller et passer à autre chose. Mais ça ne fonctionnait pas comme ça. Elle allait vite revoir apparaître les petites cornes sur ma tête. Garder une image de gentil garçon de moi pouvait sérieusement nuire à sa santé et il fallait le lui rappeler.
Je me levais alors et regardais l’arrière de mon pantalon.

« Oula demain je vais devoir laver mon fut. Il risque de puer le sentimentalisme si je me suis assis sur ton lit. Comme si j’avais besoin de ça (dégouté). »

Elle ne pouvait que protester.

« Ahhhh, toi aussi tu trouves ? »
Et me penchant vers elle et la regardant solennellement dans les yeux, je lui avouais.

« Tu sais il y a des hommes pour t'aider dans ta vie quotidienne notamment à faire le ménage. A moins que ça soit à cause du tien que le pire ait dépassé le meilleur. »
Et accompagnant mes paroles, je lui pris la main et effleurais la bague qu’elle avait au doigt.

« Mais je te retourne la question. Pourquoi la garderais-tu si c’était cela ? »
Je devais sans doute passer pour un sadique à cet instant précis. Mais elle ne semblait visiblement pas convaincue de faire jeu équitable. Elle avait besoin d’être bousculée cette fille et encore une fois je ne démordais pas à ma réputation, j’étais simplement cru.

« Il t’a quitté il y a une semaine c’est ça ? Ou tu as appris quelque chose et tu es en pleine méditation à savoir si tu vas garder cette bague? »
Ce que j’allais ensuite répondre allait la ravir même si une fois de plus, je ne comptais pas aller au bout de mes mots.

« Tu vois moi c’est un peu ça. Confronté à une situation que je ne savais pas gérer et face à laquelle je n’ai pas eu de choix possible pour tout un tas de raisons, j’ai décidé de tout garder. Je ne suis pas gentil, je ne suis pas attentionné. Mon humanité c’est Anna qui me l’a donné et elle est partie avec.»

Et voyant que je pouvais l’avoir heurté parce que j’avais abordé une partie de ce que je pensais être son secret, je marquais un temps de pause et me retournais pour chercher un mouchoir. Parmi le petit foutoir organisé de mademoiselle, j’en trouvais un sur la table et le lui tendais.

« On ne sait jamais, ça peut être utile et ça évitera de faire subir un nouveau supplice à ton lit.»
Et quand je la regardais j’avais le sourire. Avais-je de la compassion ? Pour sûr oui.

« Et au fait pour les filles, je devrais plutôt dire que ce sont elles qui viennent vers moi. Toutes dans un but différent certes mais voilà d’où me vient ma réputation de bâtard. Je suis généreux mais je finis toujours par ne jamais leur donner ce qu’elles veulent. En gros elles ne s’approchent jamais trop près et encore moins assez près pour pouvoir voir ma photo. » Et je lui faisais un clin d’œil tout aussi ironiquement qu’elle m’avait fait la remarque.

« Non mais sérieusement je n’ai pas besoin d’elles, comme je n’ai pas besoin de la photo pour me rappeler.»

Puis regardant une seconde fois autour de moi, cherchant la cuisine, je proposais.

Et si on buvait ce chocolat tant que je suis encore là? Je me porte volontaire pour le préparer pendant que toi tu resteras à côté pour me raconter.
»
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Abygaëlle ? Une peste ? Non c'est un ange cette fille. Bon d'accord peut être qu'elle a tout d'un peste, mais il ne faut pas se fier à l'apparence ! Mais il est vrai qu'elle voulait tout savoir, pas qu'un peu, mais tout. Si Jessy serait quelqu'un qu'elle connait très bien & surtout si elle connaissait ses limites avec lui, il y a bien longtemps qu'il serait passé à la casserole (a). Elle le regarde se lever suite à sa remarque à propos de ses larmes. Elle lève les yeux au ciel en riant légèrement, l'air de dire n'importe quoi. Elle lui répond en souriant " Soit tendre avec mes larmes s'il te plait. " Par la suite elle le regarde s'approcher d'elle, en effet il avait un petit air sadique tout d'un coup, bien loin du garçon qui lui raconter ses misère il y a quelque seconde, mais sa façon de faire l'amuser, & le faisait plutôt sourire. Jusqu’à ce qu'il lui prenne la main, & lui effleure la bague qu'elle porter, celle de William. Suivis d'une question des plus simples, pourquoi elle la garde ? Sans doute parce que au bout de deux ans de relations plutôt stable, elle s'accroche encore peut être au quelque sentiments qu'il lui reste. Mais Abygaëlle se connait, et sais que c'est qu'une question de temps pour elle, si rien ne s'arrange, elle n'hésitera pas à mettre une croix dessus, quitte a oublié tout ce qui s'est passé, certes ça ne se fera pas en deux trois jours, mais Abygaëlle ne sais pas faire les choses à moitié, soit elle s'investie a 1oo% dans une relation, soit c'est rien du tout. Puis très rancunière, et têtue par la même occasion … il n'y a qu'un pas pour qu'elle soit rebuter par celui qu'elle a sincèrement aimé pendant deux ans.

Jessy ne faisait pas du tout dans la dentelle, et remué plusieurs chose en elle qu'il n'imaginerait même pas, seulement pas ses mots. Elle essaie tout de même de ne pas se démonté, et d'essayer de lui répondre avec autant d'assurance qu'elle la fait depuis le début, oui elle n'était pas du tout à l'aise dans le rôle de celle qui se fait questionner. " Ce genre d'homme sont rarement intéressant, du moins à mon gout. Puis il me faut bien plus qu'un homme pour m'aider à faire un petit ménage dans ma vie. Cela dit, ça me ferai bien rire d'en rencontrer un. " Elle garde tout de même un sourire, ce qu'elle voulait surtout dire par là c'est qu'enchainer les conquêtes ne l'aiderai en rien, a par aggraver sa situations. Mais elle ne met tout de même pas cette option de coter, ne jamais dire jamais ! Elle fait mine de réfléchir à sa deuxième questions, et répond naturellement," Sans doute parce que je n'ai pas encore trouvé un plan assez diabolique pour la lui rendre ! " Dit-elle sur un ton ironique, bien sûr c'était faux. Elle baisse son regard vers l'espèce d'anneaux a petit diamants, plutôt simple, une bague qui lui ressembler. Il était grand temps de changer de conversation ! Elle était de moins en moins à l'aise. Mais Jessy, lui une fois qu'il a les pieds dans le plat, il ne semble plus vouloir en sortir (a), pire qu'Abygaëlle ? Certainement ! Elle relève son regard vers lui quand il lui repose deux questions. Bon Aby essaie de s'ouvrir un petit peu, bien que ce soit difficile. " Non ..., disons que cachoterie, et mensonge font rarement bon ménage ! Je sais que je ne garderai pas cette bague, je commence déjà à regretter d'avoir bêtement dit oui, c'est fou ce que l'amour peux nous faire faire. Honte à moi !" Dit-elle en finissant par sourire. " Quand je vais la lui rendre? Certainement quand je serais prête à le faire, sans aucun regret, et sans avoir peur de la suite." Elle le regarde toute en l'écoutant reparler de "son histoire", elle était soulagé, elle se disait qu'il aller certainement plus vouloir en savoir plus (a), mais elle se tromper totalement. Il était vraiment fort a se jeu la ! " Il est peut-être temps d'arrêter de vivre pour Anna? Vivre dans le passé n'est pas une chose à faire tu ne penses pas ? " Dit-elle en le regardant, cette fois ci sans aucun humour dans sa voix.


Elle le regarde trifouiller sa table de nuit pour trouver un paquet de mouchoir, il lui en tend un, elle le regarde, et rit légèrement. " Tu arrêtes un peu, tu vas penser que je suis une pleurnicheuse ! Et surtout me faire passer pour une pleurnicheuse." La jeune brune trifouille ses cheveux presque nerveusement, il n'y avait pourtant pas vraiment de raison de le faire, c'était certainement le faite d'avoir parlé de tout ça, alors qu'elle ne l'avait encore fait avec personne. Mais en reparlant de ses filles qui soit disant s'approche de lui, Jessy arrive presque à lui faire penser à autre chose, elle sourit. " Oups, excuse moi, j'aurais dû me douter que ce sont les gens qui vienne à toi, et non le contraire. " Dit-elle en se tapant légèrement le front l'aire de dire ' comme je suis bête '. Elle sourit à la fin de ca phrase, que voulait-il dire par là ? Elle avait été trop loin c'est ca ? Elle lui demande très vite " Ouawouh, je suis l'exception de Jessy c'est ca ? " Dit-elle en riant, et sur un ton faussement flatter. Bien que si c'était le cas, sa lui faisait naturellement plaisir. Elle hoche la tête à cette avant dernière intervention, elle se doute bien qu'il ne lui faut pas grand-chose pour lui rappeler se souvenir.

Il est vrai qu'un chocolat chaud, à cette heure-ci, lui ferai le plus grand bien. Même si à la base, Abygaëlle avait prévus de se venger, en lui offrant un chocolat chaud salée, là il se propose de le faire x), alors elle ne va pas refuser. Qui c'est qui disait "Je ne suis pas gentil, je ne suis pas attentionné" ? Aby en pense tout de même le contraire mouhaha, mais elle évite de le lui rappeler pour qu'il ne change pas d'avis. "Mmmh, sa marche ! " Dit-elle en souriant, plutôt emballer par sa proposition, même si elle ne sait même pas par ou débuté … Puis, elle ne compte pas trop lui en dire non plus, lui, il ne lui as pas tout dit. Elle retire la couverture de ses jambes, et elle est automatiquement envahie par un grand frisson. Elle descend de son lit, et attache des deux premiers boutons de son gilet. "Par ici Roméo ! " Dit-elle en souriant, & en ouvrant la porte de sa chambre, elle se retourne très vite a lui dit " Et attention, pas de coup digne d'un film d'horreur! Je n'ai pas dit mon dernier mot avec mon support de guitare. " Dit-elle en se retournant et en descendant en bas afin de rejoindre la cuisine commune, les filles étaient toute couché, & tant mieux. Jessy serait vite devenus la mascotte ce qui aurait certainement agacé Aby (a).
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Je voyais bien qu’Aby ne paraissait pas à l’aise face à toutes ces questions. Et chaque fois qu’elle toucherait ses cheveux maintenant je le saurais. Un tic de nana ça. Dans le futur le mien serait de prier qu’elle ne passe jamais sa main dans les miens.
Puis comme si elle avait été frappée par la foudre, elle se leva d’un bond pour prendre la porte. Chocapic c’est fort en chocolat ! J’avais prononcé les mots magiques.

« En avant Moïs…ette, ouvre moi le chemin. » lançais je, bien décidé à quitter cette prison de bordel exhibitionniste qui lui servait de chambre (a) pour le paradis culinaire (je n’avais toujours pas mangé).

Et nous étions désormais sur le palier. Elle s’était donc décidé à accepter ma proposition et s’apprêtait à me guider vers la cuisine collective. J’étais passé du statut d’intrus à celui d’invité au pays de ces dames.
Mais comme en général ces dernières prennent le temps de se maquiller, elles en prennent tout autant pour avancer. Elles aiment bien nous faire attendre. Je décidais alors de prendre les choses en main. Et ce fut bel et bien Abygaelle qui allait en faire les frais. Je la soulevais donc par derrière et la mettais sur mes épaules en me mettant à courir. Uhhh gogo. J’étais prêt à parier que nous allions plus vite qu’une formule 1. Moi dans le rôle du pilote et elle dans celui du copilote en m’indiquant le chemin.

Arrivé dans le lieu sacré, je ne m’arrêtais pas pour autant et me dirigeait vers la poubelle. J’avais un colis à y déposer et je faisais donc brusquement halte juste devant, laissant passer Aby par dessus moi. La pauvre. Heureusement pour elle le sac en plastique était vide. Sinon bien évidemment je ne l’aurais pas fait. Je faisais d’une pierre deux coups. A la fois je délivrais mon colis et je m’assurais que celui-ci ne bouge pas, le cul coincé dans sa prison cylindrique. Je pouvais donc faire le chocolat tranquille.

« Allez tu n’as pas le choix, dis moi où est caché le trésor ? »
Quelques secondes suffisèrent pour que je tombe sur les ingrédients nécessaires. Lait, casserole, chocolat en poudre. Et quand venu le tour des verres, je ne pus m’empêcher de faire un petit jeu de jonglage en tout bon barman que j’étais. Une fois prêt, j’y versais le liquide bouillant dans la même foulée et faisais glisser les verres sur la table sans en renverser une goutte. Ce n’était pas la première fois que je faisais du chocolat et sans doute pas la dernière, boulot oblige.

Abygaelle allait pouvoir se réchauffer et moi me remplir la panse.
Ca avait été le moment des rires mais maintenant ça serait celui des règlements de comptes. Et le prix final revenait à Aby.

« J’ai fait le trois quart donc c’est toi qui fera la vaisselle. Déjà que tu devrais avoir sacrément honte de maltraiter ainsi un gentilhomme comme moi. » Sourire colgate en puissance.

« Enfin remettons ça à plus tard et revenons en à nos moutons.
Vivre pour Anna ? Parce que selon toi, dans une vie il faudrait vivre pour quelqu’un ?
»
Cette phrase sortait du cœur et à elle seule résumait tellement de choses. Le traumatisme lié à ma mère, la déception engendrée par Anna qui ne donnait presque plus de nouvelles puis mon père que je me devais d’aider. Oui je vivais pour quelqu’un voire j’avais toujours vécu pour quelqu’un car je croyais en les belles valeurs. Mais la vie ne pardonnait personne, j’en avais conscience, alors mieux valait marcher droit sans compagnie à perdre.

Ne voulant cependant pas casser l’ambiance, j’accompagnais ma réponse d’un haussement de mono sourcil et soufflait sur le chocolat en poudre.

« Tempête de chocolat, Aby à l’abri. »

Je lui montrais alors du doigt les mouchoirs que je lui avais donnés dans sa chambre, elle en aurait besoin pour s’essuyer.
Et reprenant mes airs de diplomate bien éduqué, je la regardais plus sérieusement.

« Oui tu es une exception. Si de loin je n’apprécie pas grandement la présence féminine, il s’avère que ce n’est pas tout à fait la même chose du côté opposé. Elles ne sont pas fouineuses mais davantage vicieuses. Jamais elles n’auraient essayé de faire mes poches, non puisque tout leur intérêt était déjà porté sur la visite d’une partie de mon anatomie. Leurs mains glissaient dans mon pantalon. Et pour ce qu’il s’agit des autres, la seule réponse qu’elles trouvaient à mon indifférence est la vexation. Elles aimeraient que tout le monde ne regarde et n’approuve qu’elles. Mais bon, j’ai la foi alors je me laisse une marge pour me dire que peut-être je me trompe sur leur compte.»

Qu’Aby allait-elle penser de celui qui lui faisait face ? Peu importe, je n’étais pas resté pour parler de moi.

« Maintenant que tu as eu ta dose, je t’écoute. Après tout je suis là pour ça. Parfois vider son sac peut faire plus de bien que l’on ne le pense. Enfin après je t’aurai proposé, libre à toi de décider de la suite. Je ne suis certes pas ton confident mais j’ai l’oreille attentive.
Alors si tu m’autorises, si tu veux finalement lui rendre sa bague et que tu en parles comme d’une erreur, c’est bien qu’il ne représentait pas quelqu’un d’aimant. Alors pourquoi attendre et hésiter ? Pourquoi même avoir voulu commencer ? et si tu y rajoutes des cachoteries et des mensonges, cela fait beaucoup non ? De quoi remplir un vase déjà trop plein. Vivre dans le regret afin de ne pas se sentir exclue, est ce une solution ?
Puis rien à voir mais ne t’inquiètes pas tu ne seras la pleurnicheuse de personne. A part peut-être de tes murs et de tes photos pornos.
»

Un monde trop sérieux ou sérieusement négligé? Mon discours était comme ma vision de ce monde, ambivalent. Mais si c’était par hasard que j’étais arrivé là, c’était en revanche pour l’écouter que j’étais resté.

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Abygaëlle ouvrait le chemin sans trop de méfiance, ce qu'elle ne devrait d'ailleurs pas faire car quelque secondes après, elle se retrouve malgré elle sur l'épaule de Jessy, autant vous dire qu'elle ne si attendait absolument pas ! Jessy a tendance à être vraiment imprévisible ! Prison exhibitionniste ? Maah non, la chambre d'Aby est juste parfaite, un grand grand lit, et tout ce dont elle a besoins ! Abygaëlle c'était retenue de crier quand il la passé sur son épaule, pour ne pas prévenir tout le monde dans cette maison. Déjà qu'il a fait fort avec le coup de la chanson, alors si en plus les filles qui dorment se rendent compte qu'il est encore dans les parages, ça va paraitre vraiment étrange. C'est alors en chuchotant presque qu'elle lui râle " Mais tu es complétement attaqué Keegans, redescend moi ou je te mords. " Dit-elle en s'accrochant légèrement a son tee shirt pour ne pas glisser, elle n'était pas super confiante dans cette position qui n'était absolument pas à son avantage. La jeune brune aller venir le mordre dans le dos quand elle se dit que si elle faisait ça, il aller surement lui faire regretter en criant à son tour, & donc en alertant tout le monde. Elle retire donc ses dents de son tee shirt x) sans l'avoir mordu & referme la bouche, en se laissant porter comme un vulgaire sac de pomme de terre. " Tu aggrave ton cas Jessy, tu aggrave ton cas. " Dit-elle d'une voix de vieux sage.

Une fois arrivée dans la cuisine après lui avoir malgré elle indiqué le chemin, elle se dit qu'elle aller enfin toucher le sol, mais non. Tout naturellement, il la dépose … dans la poubelle, oui oui la poubelle. C'est bien la première fois qu'elle se retrouve le derrière coincer dans une poubelle. Elle bloque un instant à vrai dire, & ne réalise pas tout à fait qu'il vient de la déposer là. Elle reprend alors la parole en secouant la tête, & en passant ses mains dans ses cheveux qui avaient maintenant sécher pour se dégager le visage, c'est avec un regard plutôt noir qu'elle regarde Jessy. "Non, c'est une blague la, mais regarde-moi? Comment peux-tu me parler d'un air ultra sérieux, alors que … alors que je suis là les fesses coincer dans cette poubelle." Mais à vrai dire, Jessy préparer le chocolat chaud tranquillement, avec aisance d'ailleurs, elle le regarde faire en essayant de se sortir de la poubelle, mais ses pieds ne toucher pas le sol, alors du coup chaque fois qu'elle arrivé à se levé la poubelle rester coller. Inutile d'insister, elle se relaisse "tombé" dans la poubelle. Elle soupire en regardant son chocolat chaud qui était presque prêt. Jessy serait-il barman? C'est sans aucun doute que oui, ou alors il l'aurait été. Elle sourit, en se disant qu'il doit en faire craquer plus qu'une derrière son comptoir.

Quand il termine les deux chocolats chaud, elle l'écoute, là il se moque vraiment d'elle. Elle rit, et lui dit. " Profite donc chère Jessy, car quand je vais me venger tu risqueras de t'en souvenir bien longtemps ". Dit-elle en souriant avec un air de peste indétrônable (a). " Oui un gentilhomme, qui m'a juste foutue la peur de ma vie en l'espace de deux minutes, qui n'a pas hésité une seule seconde à me prendre en photo contre ma volonté en petit tenue, et qui enfin… (Elle pointe la poubelle du doigt), JE SUIS la gentille se soir ". Puis Jessy qui avait en effet les choses en mains, reprend le fil de leur conversation. Elle réfléchit à sa réponse, " … Disons qu'il faut savoir faire la part des choses, mais que l'on vie avant tout pour soit même … " Abygaëlle était plutôt partager, se connaissant, elle sait que si elle s'investie dans une relation, elle aura trop tendance à s'oublié elle-même. " Mais du peux que tu m'ais montré, les souvenirs d'Anna m'ont l'air très présent dans ta vie actuelle ". Après il est certain que Jessy fait ce qu'il veut, mais si il est dans l'idée de passé a autre chose sa façon de procéder est la mauvaise. Mais il a l'air bien dans ses souvenirs (a). Quand elle remarque qu'il va souffler sur le chocolat, automatiquement elle ferme les yeux, elle retire ses mains du coin de la poubelle pour se les cacher …Du coup elle s'enfonce encore plus dans la poubelle. " AÏÏÏÏÏeeeeeeeeeeeee ! " Dit-elle en se rattrapant pour ne pas plus s'enfoncer, bien que là elle doit être au maximum. " Jessy, sort moi de la !! :O " Dit-elle en le regardant très sérieusement cette fois ci.

La jeune brunette sourit quand il lui dit qu'elle est une exception, toute en écoutant tout de même la suite. Elle rit légèrement … " Je t'assure que je ne t'ai pas fait les poches "(a). Elle le regarde en hochant la tête comme une gamine qui veut se faire entendre. Mais elle sourit quand il fait deux fois allusion à ce qui se cache sous son boxeur. Forcément, c'était tentant, surtout que Jessy est plutôt beau garçon, et charmant, mais si il n'était que beau garçon et charmant, ce qui se cache sous son boxeur deviens beaucoup moins intéressant au gout d'Aby. Cela dit, elle n'est absolument pas fan du genre de fille qu'il décrit. Avec humour elle lui répond. " Ah, alors tu dois avoir un petit oiseau drôlement chouette. " Elle sourit par la suite. Aby trouvait qu'il avait une manière plutôt bonne de réagir face au genre de fille trop aguichante. Elle adorait voir cette scène (a). Il finit par lui en demander un peu plus sur elle, certes elle n'est pas forcer de le faire, on la force rarement à faire des choses qu'elle ne veut pas faire … enfin mise a par quand on la force à entrer dans une poubelle. Pour le titiller un petit peu elle répond " Oui … dose un peu courte tout de même." Par où commencer ? Il y avait tellement de chose qui était arrivé en même temps qu'elle ne savait elle-même pas qu'elle chose est arrivée en premier. " Quand je t'ai dit que j'étais née il y a une semaine, c'est simplement parce que j'ai appris que j'ai été adopté. " Abygaëlle ne l'accepte absolument pas pour le moment. Non pas une espèce de crise de gamine, mais simplement parce qu'on lui a toujours fait croire le contraire, & qu'a aucun moment on lui a tendu une perche pour qu'elle le découvre ou autre. " Mais en plus d'être adopter par mes "parents", j'ai une sœur jumelle *elle-même ne réalisé toujours pas * "Oui si tu tombes sur une fille carrément moins canon que moi, mais qui me ressemble ce n'est pas moi! "*humour*, "J'ai toujours eue cette sensation qu'il me manquer quelque chose étant plus jeune, comme le manque d'un bout de moi-même, mais je m'y étais fait à l'idée, de savoir que finalement, mon nom de famille n'est pas réellement le mien, que je n'ai pas de sang français, mais que je suis Italienne … Disons que c'est un petit peu le Kosovo dans ma tête. Puis voilà, sa fait à peu près deux ans que je suis avec William, il a rencontré cette fille qui me ressemble avant moi, il la confondus avec moi, elle lui a entre autre tout expliquer … depuis notre premier jour ici. Il me la cacher, et disons qu'il a tendance à être un petit peu trop proche d'elle à MON gout. Voilà, tout le monde était au courant de ce qui est censé être mon histoire, sauf moi, je me sens tellement …" Elle ne trouve pas vraiment les mots pour qualifier la sensation qu'elle avait... Alors elle ajoute simplement " Je suis déçus, et j'ai un petit peu envie de tirer un trait sur tout ça ". Elle sait que ce n'est pas la meilleure chose à faire, mais Aby à tendance à fuir les situations difficile quitte à en souffrir après. C'est pour cela qu'aujourd'hui, elle se laisse encore du temps. Cette bague finalement est un petit peu en rapport avec tout ça.

Elle rit quand il fait allusion à la pleurnicheuse qu'elle n'est pas. Elle fronce légèrement les sourcilles, "Hey, qu'elle photos porno? " Dit-elle en le regardant avec des yeux tout ronds". Puis elle lui tend la main afin qu'il l'aide à se lever de cette poubelle pour enfin boire son chocolat chaud tranquillement.
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Aby me tendait la main. Je dois bien avouer qu'à ce moment l'idée m'était venue de la laisser là. Après tout elle était marrante sur son trône en plastique. Elle m'avait tellement fait rire que je m'étais presque risqué à faire le lama. Mais au bord des lèvres, je pensais à ses pauvres cheveux qui finiraient plein du mélange délicieux qui était passé par la case "ma bouche". Alors même si l'image d'elle sous la douche pouvait être fortement plaisante, je me contentais de ravaler doucement.

Puis je me levais et me dirigait vers elle. Sa main tendue elle attendait que je la lui prenne. Mais sortant à nouveau mon sourire de "Jessy la menace" comme elle aimait me le laisser entendre, je gardais ma main derrière mon dos pour ne la sortir que sous la forme du ciseau.
"Papier, caillou, ciseau. Le ciseau coupe la feuille. Tu as perdu et moi je gagne le droit de te laisser là. C'est pas beau ça? C'est juste toi qui n'a pas de chance. Je suis gentil moi."
Et j'étais à côté d'elle, les bras croisés entrain de l'admirer. Ce à quoi elle ne s'attendait alors pas était certainement la réaction que j'allais soudainement avoir. Je mis l'une de mes mains sous son dos et l'autre sous ses jambes et la soulevais. Telle une mariée je la portais jusqu'à sa chaise et je la posais avec délicatesse.

"La copine brune à Barbie est servie." déclarais-je en m'asseyant en face d'elle.

Elle avait l'air d'être mieux ainsi surtout depuis qu'elle avait déballé son sac. Elle avait l'air de se sentir moins lourde. Enfin c'est ce que je pensais en la voyant siroter son chocolat comme quelqu'un d'autre l'aurait fait pour un cocktail.
Je m'étais proposé comme un soutien alors je me devais de lui donner mon avis sur la situation. Lui dire quoi faire ou même donner des conseils aurait été très mal approprié, étant donné que je n'avais pas vécu pareille situation. Bizarrement contrairement à ce que je m'attendais, je levais les barrières pour lui parler franchement.

"Cela doit être insupportable de ne pas se sentir tout à fait soi même, à la fois parce qu'on t'a menti et qu'alors tu n'as plus de base à croire. Mais aussi parce que tu découvres que tu as une copie conforme. Comment se sentir unique dans tout ça? Moi même je ne pense pas que j'aurai supporté que quelqu'un me ressemble, pas plus que l'on me mente.
Quant à ton...prétendant, je me passerais volontiers de commentaires. Non pas que je me définirais comme mieux mais rien que par respect pour toi je me taierai. Alors ne te sens pas honteuse, tu as bien du courage, c'est admirable. Mais tu es maitresse de tes propres choix alors fais les de manière à ce qu'ils te fassent du bien à toi. Et si certains s'en vont, dis toi que c'est juste pour laisser place à ceux qui te mériteront. Même un aveugle saurait ce que tu es.
"

Et là je la regardais d'un air plutôt compatissant. A vrai dire je comprenais plus ou moins ce qu'elle ressentait. Elle s'était laissé bercer par les mots de William comme je l'avais été par ceux d'Anna. Si contrairement à elle, j'avais toujours été seul dans le coeur d'Anna, notre finalité restait la même. Nous restions prisonniers d'un souvenir agréable dont lequel nous hésitions à nous débarasser au point de négliger notre propre liberté. Moi de la dernière lettre que j'avais reçu et de la photo d'Anna. Elle de sa bague qui marquerait une vie de regrets si elle décidait à la garder.

Je soupirais."Ironie"
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Abygaëlle avait encore le derrière étroitement coincer dans cette poubelle, quand Jessy se lève suite à son signe de main. Elle se dit ' enfin !', mais elle l'avait fait en sorte de ne pas le dire de vive voix, disons qu'elle commençait a 'connaitre' Jess et elle savait qu'il aimer aller à l'encontre de ce qu'elle demandait. Elle fronce les sourcils quand elle le voit faire avec ses mains une forme de ? Ciseaux ! Elle relève son regard vers le sien, (au passage mdr !), elle secoue légèrement la tête en se demandant si elle rêve. Il la fait encore marcher ! Elle soupire, & repose sa main sur le coter de la poubelle. Il est terrible le Jessy, elle le regarder avec un regarde de chat potté en se disant que c'était le seul recours qui pourrait marcher, et encore. " Non, tu es juste terrible !, je te préfère percher sur un arbre. " Dit-elle en finissant par sourire en l'imaginant encore sur cet arbre, sa guitare à la main. Suite à ses quelques mots, le jeune brun se dirige vers elle un peu trop dangereusement à son gout ! Mais à son plus grand étonnement, il s'abaisse vers elle pour enfin la sortir de là. Elle ne s'attendait pas à autant de sa part, non, elle c'était juste imaginer s'appuyer sur ses épaules, ou sur ses mains. Mais comme une princesse elle se retrouve sur cette chaise, face à son chocolat chaud. Elle a beaucoup de mal à la suivre a vrai dire, quand elle ne se méfis pas de lui il trouve toujours quelque chose pour la faire râler, & quand elle s'en méfie, il est presque adorable.

Une fois assise sur sa chaise, elle se forte légèrement les cuisses toute en relevant son regard vers Jessy, " Ouaawh, Barbie, j'ai toujours rêvé d'être comparé à la copine de Barbie." Dit-elle avec ironie bien évidemment. Elle sourit, puis baisse son regard vers son chocolat chaud avant de l'amener à ses lèvres. Enfin quelque chose qui la réchauffe pour de vrai. En effet, elle était beaucoup plus à l'aise sur cette chaise, et même si elle ne l'avouera ne pas, en avoir parlé lui a fait un petit peu de bien. Elle avait été plutôt claire dans ses explications pour éviter toute question gênante, mais en même temps Jessy n'est pas une fille (a), alors il n'aura certainement pas autant de question qu'elle en a eue toute à l'heure.

Après son explication, Jessy se lance dans un petit discours plein de conseil, à son plus grand étonnement il avait l'air d'être même compatissant. Pensée encore une fois a tout ça ne l'enchanté absolument pas, c'était presque même à entendre, parfois elle se demandait si c'était réel. Elle essayer depuis une semaine de ne pas se démontée, même parfois elle avait envie de se laisser aller. Ca faisait deux ans qu'elle était habitué à être épauler par William, ils étaient un peu comme les doigts de la main. Se dire qu'en l'espace de peu de temps toute a changé, ça avait été beaucoup trop rapide pour Aby, il ne faut pas trop la bousculer (a). Mais elle devait se faire à l'idée, ce qui était certain c'est qu'il fallait qu'elle prenne une décision. Mais pour le moment ce n'était pas la priorité ou presque. Tant qu'elle n'aura pas fait un choix, elle aura beaucoup de mal à se " reconstruire" si je peux dire ça comme ça. Elle avait les yeux rivés sur son chocolat chaud tout en l'écoutant, elle en relève les yeux avec étonnement aussitôt qu'elle entend des compliments de la part de ce dernier. Il aller presque la toucher, puis ils avaient déjà trop parlé d'elle, elle avait l'impression que sa durée ultra longtemps, puis n'oublie pas qu'elle n'a pas eue sa séance larme encore, alors se serait pas cool que ça se passe maintenant. Aby prend un petit souffle discret pou ravaler tout ce qu'elle s'interdit. (les larmes)

Fort heureusement, Jessy ajoute un petit mot pour conclure ses paroles qui font sourire Aby. Oui ce n'est pas logique, mais elle sa la fait sourire, il avait fait ce qu'il faut pour éviter que la situation devienne trop sérieuse. Mais cela dit, derrière se sourire amuser par l'attitude de Jessy, Aby méditer sérieusement a sa situation. Tout un tas de question se pose dans sa tête. Et dans le fond, même si Jessy ne pensée pas ses paroles, bien qu'elle imagine que c'est dans l'unique but de la taquiner, ses paroles lui ont un peu réchauffé le cœur. Elle finit par répondre. " Oui c'est insupportable... disons qu'a 21 ans, on s'imagine se connaitre a cent pour cent, et c'est là que l'on se rend compte qu'avec seulement une petit phrase tout s'écroule. " Là elle faisait allusion à cette sœur jumelle qui avait débarqué dans sa vie. Elle ne voulait pas s'attarder sur sa situation avec William, elle sait que la fin de leur relations se fait sentir, elle est bien trop rancunière pour lui pardonner son attitude. Elle est bien curieuse de savoir ce qu'il ne lui dit pas, par respect pour elle. Mais si c'est pour s'attarder sur sa vie, elle préfère ne pas le lui demander (a).Alors elle répond juste " Il ne faut pas grand-chose pour dérouté un homme … c'est tout ! " Dit-elle en haussant les épaules, et en reprenant sa tasse de chocolat chaud pour l'apporter à ses lèvres. Aby part du principe qu'il n'y a pas de "briseur" de couple, que des infidèles ! Voilà tout. " M'enfin peu importe ! " C'était en quelque sorte pour lui dire qu'elle voulait parler d'autre chose.
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Que ca ait été mon « Ironie » ou son « Peu importe » Aby comme moi même semblions vouloir en découdre avec cette discussion digne d’un apéritif dinatoire…en gros dérangeante.
Quand elle déclara que simplement quelques mots pouvaient changer tout un monde, qu’est ce qu’elle avait raison. Et je croyais alors pouvoir affirmer sans préjugés :
« Les mots sont l’arme de destruction massive la plus puissante qui existe. »

En effet, combien d’hommes et même de rois étaient tombés par la prononciation ou l’écriture d’une simple suite de lettres. Et combien d’esprits et de rêves avaient été brisé et enchaînés comme ceux d’Aby et moi l’avaient été. Cela devait suffire. Je commençais vraiment à les détester tous ces mots.

Et encore une fois je revenais sur mes propres décisions dont celle de ne plus jamais être influencé par ces derniers.
Je pensais beaucoup, peut-être même un peu trop comparer à d’habitude quand un bruit vint interrompre le silence saccadé par les petites gorgées d’Aby. Les pas étaient rapides et se dirigeaient vers nous.
A les entendre cela devait être une fille qui s’était levé pendant la nuit pour se chercher un encas. Une fille sans doute un peu paniquée par l’obscurité qui régnait dans les couloirs.

Je me rappelais soudain les paroles d’Aby et me levait d’une traite éteignant la lumière.

« Aussitôt demandé aussitôt servie, je crois que tu vas y avoir droit à ton film d’horreur. Tu es aux premières loges »

Les mecs n’étaient pas très appréciés à cette heure-ci et si j’étais vu j’allais en faire les frais…quoique j’étais un Winthrop quand même. Partout où j’allais j’étais invité. Enfin je ne pris pas le temps de retourner le sujet dans tous les sens et couru directement me cacher dans le placard à balais en emportant Aby par le bras par la même occasion.
Seulement si nous n’avions pas été aussi bruyants que des dinosaures, nous n’avions pas fait non plus les choses à pas de souris et reculer la chaise d’Aby avait fait un certain brouha. Il fallait aussi dire que les tasses sur la table n’allaient pas non plus par ma simple pensée devenir invisibles.

Les pas s’arrêtèrent et une petite voix cria tout bas mais assez fort pour qu’on l’entende.
« Qui est là ? »

Aby et moi étions près voire très près dans notre placard. Si collés que j’avais l’impression d’être né enfant siamois. S’en étais quand même assez sexy et j’en profitais pour lui murmurer à son oreille avec mon cynisme habituel.

« Alors madame la juge, ais-je un petit oiseau très chouette ? » Sa réflexion n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd mais ma question relevait plus de la taquinerie que d’autre chose. Même si je dois l’avouer, la tentation pouvait être là.

En parlant de tentation, il me vint soudain une idée. Dans la pièce il faisait noir, la fille était encore dans le couloir donc n’allumerait pas la lumière et jetterait sans doute juste un rapide coup d’œil si elle entendait encore des bruits. Je décidais donc d’entreprendre de simuler un acte sexuel avec Aby et lui proposais discrètement en lui expliquant les détails.
Dans mon plan nous nous mettrions dans un coin sombre pour que l’intrus ne distingue pas nos visages. J’enlèverais mon tee shirt pour être torse nu et pousserait quelques cris de plaisir pour que cela fasse plus réaliste. La jeune apercevrait juste des silhouettes pour finalement partir aussi vite qu’elle était arrivée dans sa chambre sans autres crampes au ventre que celles de la peur. Sans doute que le lendemain elle dirait à ses copines qu’elle avait surpris les ébats de jeunes gens mais personne n’en saurait l’identité.

Et quitte à faire une pierre deux coups, si la rumeur montait aux oreilles de William, cela pourrait l’inquiéter que ce puisse être Aby et il lui accorderait plus d’importance.

Je n’attendais plus que la réponse de madame. Elle devait faire vite.
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Aby profite bien tranquillement de son chocolat chaud, il était juste parfait ! Rien de mieux pour se changer les idées, et se réchauffer … quoi que … (a). Puis un bruit se fait entendre un bruit de pas, c'est certain, puis se bruit se rapproche de plus en plus, mais Aby n'a pas de support de guitare sous la main, c'est dommage, mais en revanche elle a Jessy sous la main, bien plus utile, et plein d'idée qu'un support de guitare. Aussitôt, le jeune brun lui annonce que dans peu de temps, le film d'horreur qui la guettait depuis le début de la soirée, allé se réaliser ! Elle fait une grimace, l'aire de dire 'Oh non ..! '. La jeune brunette recule sa chaise avec l'aide de Jessy, et hoop ! Il l'attrape par le bras, afin de se faufiler dans le placard, je vous laisse imaginer la place qu'il y a, elle se demande même comment ils sont rentrée, bien qu'il ne soit pas très épais tous les deux. Aby se met de dos à Jessy afin d'essayer de voir qui est là, & reconnaitre la fille, elle tend l'oreille pour reconnaitre la voix, mais a vrai dire elle ne la reconnait absolument pas. Elle se tourne comme elle peu un peu comme un petit pingouin, pour être face à Jessy. Elle se retient de rire quand elle entend sa phrase. Ils étaient collé l'un a l'autre, & a vrai dire, le chocolat chaud de toute à l'heure, est bien ridicule dans le genre 'réchauffement' face à Jessy. Elle sourit donc en retenant ses rires, car elle est certaine que la jeune fille qui est descendus est encore là. Elle avait le regard levé vers le sien, & suite à ses paroles, elle fait mine de baisser sa tête ainsi que son regard vers l'entre jambe de Jessy.

Un petit sourire aux lèvres, elle relève son visage vers celui de Jessy, pour se mettre sur la pointe des pieds, & lui murmurer de la même manière qu'il la fait, vous savez, son cynisme (a), elle y ajoute même sans hésiter, sa main qu'elle pose doucement sur sa joue, " Pour le coup, je crois qu'il prend un petit peu trop de place. " Aby n'était pas du genre à craquer rapidement … et puis là il n'en était pas question, mais si il reste plus de dix minutes dans se placard, la tentation risquerai de devenir beaucoup trop grande, & ce n'est pas le but … Par la suite, il lui fait part de son illumination, l'idée faisait bien rire Aby ! Elle se demande si c'est une bonne idée, et si elle ouvrait la lumière? Elle le maudirait surement beaucoup! & pendant longtemps ! Quoi que finalement … peut être pas. Aby avait l'aire d'une hyper active dans de placard, impossible de rester en place, claustrophobe? Non pourtant. Si elle n'était pas face à Jess, elle y était de dos, & involontairement, en gigotant, elle fait tomber un produit, qui se trouver dans le placard, je vous laisse imaginer qu'il tombe bien évidement sur l'épaule de Jessy. Elle grimace en mettant sa main devant sa bouche. Puis elle chuchote "Désolé ! " , c'est vrai Aby et la discrétion font deux. Elle aller se baisser a fin de ramasser le produit, mais quand elle se trouve a la hauteur des hanches de Jessy, elle se relève aussitôt xD. Non pas qu'elle avait peur du petit oiseau, mais disons qu'il faisait déjà assez chaud comme ça. Aby s'arrête un instant en se rendant elle-même compte qu'en l'espace de dix seconde, elle n'a pas arrêté !

Elle se décide enfin à répondre a Jessy, " Sa marche, en plus du petit oiseau, j'ai le droit au torse nu de Jessy Ouawouh" Dit-elle en chuchotant et avec tout de même une pincé d'ironie, & de taquinerie surtout. Elle se décale, afin de le laisser prendre place, même si quand elle s'est déplacé c'était pour se décaler d'un centimètre.
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