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※ BEHIND THESE HAZEL EYES JESSIE

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Le jeune homme n'imaginait aucunement que Jessie simulait, qu'elle ne le faisait pas réellement chanter. Il voyait en elle cette femme aigrie, acerbe, qui puisait son essence en faisant littéralement chier le monde, qu'importe ce qu'elle détruisait sur son passage. Il croyait vraiment en sa méchanceté même s'il pensait que, dans le fond, tout le monde pouvait changer. Tentant de paraître le plus solide possible, il soupira ; « T'en fais pas, un jour elle réalisera que tu es une mauvaise personne. » Non, Bleeker n'avait pas l'intention de casser du sucre sur le dos de Jessie, il n'était pas comme ça. Mais un jour, elle payerait bien son comportement pourri. Il refusa donc de lui faire une déclaration enflammée aux yeux de tous, persuadé qu'il s'en sortirait tellement bien que des malins s'amuseraient à filmer et à le diffuser. Cody était généralement doué pour les longues tirades un peu pathos, de quoi alimenter les mauvaises langues. « T'auras une tournée gratuite quand tu te marieras vraiment. Encore faut-il que tu te trouves un mec. » Il ignorait le passé de Jessie, son vieux mari, son héritage parti en fumée. Ben quoi, il était possible que chez certaines personnes, faire le ménage relevait d'une véritable conviction plutôt que d'un job par défaut, hého. Il l'aida à se lever – se contentant cependant du minimum syndical pour se donner bonne conscience – et poussa de longs soupirs quand elle se servit de son épaule comme béquille. Nan, en fait, chaque fois qu'elle faisait un mouvement il soupirait, rien que pour montrer Ô combien il n'avait pas envie d'être là. « Pas trop moche ? Oh merci pour ce demi-compliment Jessie, vraiment. » Il la ramena sur le bord de la route, jugeant qu'ils avaient assez embouteillé le trafic. Cette mélodie de klaxon et de conducteurs grincheux risquaient de lui manquer. « Bon j'vais réparer ce qu'il te reste de cerveau là-dedans. On va où ? À l'infirmerie ? » ça lui semblait logique, mais on sait jamais si Jessie avait une autre de ses idées pourries.
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Cody me voyait réellement comme la méchante connasse sans cœur, sauf que ma méchanceté s'arrêtait tout de même à ma sœur, je n'ai aucunement envie de la faire souffrir. Mais je n'ajoutais rien, au fond ça me plaisait qu'il me voit comme tel, comme ça je peux faire perdurer le petit jeu que je mène avec lui. Puis j'eus une grimace pas très belle sur les lèvres lorsqu’il me fit savoir que si je voulais une tournée gratuite je n'ai qu'à me trouver un mec, ironisant par la suite en me faisant comprendre que personne ne voudra de moi comme femme. J'ai déjà perdu plus de dix ans de ma vie en me mariant avec un connard, donc non merci, je préfère encore me la payer moi-même cette tournée. Disais-je carrément agacé rien qu'en repensant à ce vieux con qui ne m'a strictement rien légué, même pas le chien que j'ai choisi ! Merde quoi, j'ai passé plus de onze ans avec lui et au bout du compte il ne me laisse rien, maintenant je préfère profiter des mecs et de leur fric que pour une soirée, c'est beaucoup moins prise de tête. Puis je souriais quand monsieur grincheux me remercia pour le demi-compliment comme il disait. Il attendait quoi ? Que je dise qu'il est beau-gosse et plutôt sexy ? Ça ne serait pas mentir, mais j'ai pas non plus envie de gonfler l'égo de ce couillon qui passait son temps à soupirer. Finalement il me proposa de m’emmener à l'infirmerie, c'était le choix le plus judicieux j'imagine. Je marchais donc à ses côtés, toujours avec ce foutu mal de crâne par sa faute. Ouais de toute façon je ne vois pas d'autre solution, à cette heure-ci Danae doit être à la maison, elle se poserait des questions en nous voyant ensemble et c'est ce que tu veux éviter n'est-ce pas ? Disais-je avec un petit sourire de garce sur les lèvres en fixant droit devant moi. Et j'ai pas fini de m'amuser avec toi, je compte bien me venger de cette chute que j'ai faite à cause de toi et de tes rires de gamins. Tu vas t'en mordre les doigts Bleeker. Oui je comptais bien le faire chanter encore un peu, surtout après ce qu'il venait de me faire. Même si au fond je pense que je ne dirais rien à ma sœur concernant notre partie de jambe en l'air, sauf que lui n'en sait rien et je vais en profiter aussi longtemps que possible.
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Quand Jessie rencontre Cody se transforma en confessions intimes. Déjà, elle avait évoqué le fait qu'elle avait été chassée de chez elle et, maintenant, elle parlait de son mariage avec un connard. La première réflexion qui lui traversa l'esprit fut 'putain, elle est si vieille que ça ?' mais il ne lui fit pas partager cela puisque le code du parfait gentilhomme explicitait clairement qu'on ne devait jamais demander son âge à une femme. Cody faisait donc preuve d'un minimum de respecter en la préservant de cette question. « Et pourquoi il t'a quitté ? Il t'a trompé ? Pas étonnant. » Faut pas pousser mémé dans les orties, le respect s'arrêtait à un minimum de galanterie. Pour le reste, aucune pitié. Ils prirent ensemble le chemin de l'infirmerie où Bleeker risquait de devoir jouer au Docteur House pour les beaux yeux – ou pas – de la grand-mère Olsson. Oups, je voulais dire la grande sœur, ça va de soit. « Evitons ça, en plus j'aime pas votre déco. » grincha-t-il. Il n'avait rien contre la déco de leur appart, il ne s'en rappelait même plus étant donné qu'il l'avait vu que deux fois ; le soir quand il était bourré, le matin quand il avait la gueule de bois. C'était juste histoire de rester cohérent avec son rôle d'ours. Suite à ses menaces, il se stoppa net et lui ria au nez, ne prenant pas au sérieux ses discours. « Oh tu sais, j'vais pas toujours céder à tes caprices de starlette en carton, à danser parce que madame veut que je danse, à chanter parce que madame veut que je chante. Tu devrais te trouver un pigeon plus intéressant pour te payer un mcdo et une bière. » lâcha-t-il en passant devant. Il poussa les portes de l'infirmerie une fois arrivés.
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Quand Cody me demanda pourquoi mon ex-mari m'a quitté, mon regard changea du tout au tout, rien que parler de ce vieux chnoque me foutait en rogne. D'ailleurs j'aurais largement préféré qu'il me trompe, de toute façon en onze ans de mariage je n'ai pas arrêté de le faire, mais non, cet enfoiré est mort sans rien me léguer. Non il ne m'a pas trompé, ce vieux con est mort. J'espère qu'il a souffert atrocement en faisant sa crise cardiaque. Râlais-je en serrant des dents. J'exagérais dans mes propos, évidemment je n'ai jamais souhaité qu'il meurt et encore moins qu'il souffre, mais la colère était toujours présente, avoir passé plus de dix ans à ses côtés, mettre marié avec lui alors que j'avais à peine 19 ans et me retrouver avec absolument rien me foutait en rogne, encore plus en sachant que sa connasse de petite-fille, Chrissy, était à Harvard. Bref, je marchais à ses côtés pour rejoindre l'infirmerie, une fois devant la porte il m'expliqua que ce petit jeu ne dura pas éternellement, malheureusement il avait raison, mais je comptais encore en profiter un peu. C'est ce que tu crois mon petit, mais tu ne peux rien me refuser, tu m'appartiens à présent. Je devrais penser à te faire tatouer mon prénom sur la fesse gauche, histoire que tout le monde sache à qui tu appartiens. Lui lançais-je suivi d'un clin d’œil pour l'agacer davantage. Une fois à l'infirmerie j'allais m'asseoir sur une chaise en attendant que la réincarnation bien plus sexy de Gregory House commence à opérer. J'espère que tu es meilleur infirmier que chanteur, sinon la blessure que j'ai subie par TA faute, risque de s'empirer par ta faute une nouvelle fois. Alors fait en sorte de faire ça en douceur et de terminer avec un bisou magique sur mon front, sinon je hurle au viol. Ouais si j'ai pas mon bisou magique sur le front, le pauvre Bleeker risque de prendre cher.
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Cody ne fut pas bien étonné que le mari de Jessie soit mort d'une crise cardiaque. Elle n'était pas facile à vivre. Il n'en avait qu'une pâle démonstration aujourd'hui, mais il imaginait bien que la vie de couple avec ce monstre relevait plus du parcours du combattant que de la promenade de santé. Cody ne put retenir un sarcasme qu'il envoya mielleusement au travers de sa gueule ; « Quand on se marie avec toi, le 'pour le meilleur et pour le pire' tu le prends au mot. » Surtout pour le pire. Le meilleur ? Il ne le voyait pas. En plus, elle devait être le genre de nana possessive, il suffisait de voir comment elle transformait Bleeker en sa chose. Au pieu, elle devait avoir le genre de délire collier à pointe et laisse en cuir. Il était content de n'avoir passé qu'une nuit avec elle, pas sûr qu'il en serait sorti indemne sinon. Il s'indigna avec une grimace qui dessinait grossièrement des rides sur son crâne ; « Non mais tout le monde ne verra pas ma fesse gauche. Personne verra ma fesse gauche. T'as vraiment cru que je faisais du naturisme de la fesse gauche ? » Elle a vu la vierge celle-là. Certes, il avait un cul divin mais ça s'arrêtait là, il était égoïste et le gardait pour lui. Cody ouvrit l'armoire à pharmacie et inspecta en détail ce qu'il avait sous la main pour réparer le bobo, tentant d'ignorer les menaces en guimauve de Jessie. « Tu vas crier au viol si je t'embrasse pas ? Tu crois pas qu'il y a un problème ? » demanda-t-il, goguenard. Après avoir pris un flacon d'alcool à 90, il pencha la tête de Jessie en arrière pour mettre en évidence sa blessure. Et, avec sadisme, versa sans doser et sans compresse le désinfectant sur la plaie ouverte. Il se ravisa et l'air faussement désolé, s'excusa ; « Oups, j'ai vraiment la main lourde. » C'est booooon, elle n'allait pas chialer parce qu'il était généreux avec le désinfectant.
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Bon il n'avait pas tort, le mariage pour moi, c'est surtout pour le pire. Mais je n'ai jamais aimé mon ex-mari, j'en avais que pour sa fortune et ce qu'il pouvait m'offrir, mais qu'importe. Une fois à l'infirmerie, Cody m'avoua ne pas être naturiste, dommage d'ailleurs. Arrête un peu, t'es pas un moine, tu vas pas me faire croire que je lui la seule femme à avoir vu ton cul ! Et dommage que tu ne sois pas naturiste, t'es bien mieux à poil qu'habillé comme un gland. Disais-je avec un petit sourire en coin, ça allait certainement l'emmerder que je dise ça, même si au fond ça reste un compliment. Ouais il est peut-être un peu beaucoup con par moments, mais je ne peux pas nier qu'il soit plutôt beau-gosse. Finalement il remit une nouvelle fois en doute mes menaces, s'amusant de nouveau à jouer avec les mots. Il veut jouer au plus malin ? Il risque de s'en mordre les doigts. Et toi tu crois quoi ? Mine de rien je travaille ici je pense que ma parole compte plus que celle d'un étudiant. Si je me mets à crier au viol, t'es dans la merde mon grand. Alors autant me donner ce que je veux. Et je compte bien l'avoir mon baiser magique. Une fois assise sur ma chaise, je le laissais me soigner et ce clown ne trouva rien de mieux que me verser le désinfectant sur ma plaie sans même doser, sans compresse. Je grimaçais avant de relever la tête. Putain mais t'es con c'est pas possible ! Et par un geste de réflexe, je donnais un coup de poing dans l'entre-jambe de Cody. Ça n'allait pas le rendre stérile ni même lui éclater les bourses, mais un coup de poing dans l'anatomie de l'homme ne doit pas faire que du bien. Finalement je grimaçais encore un peu, avant d'afficher un sourire moqueur sur les coins des lèvres. Bon termine ce que t'as commencé. Puis n'oublie pas ce que j'attends. Est-ce que j'allais avoir ce que je veux ? J'en doute, mais j'allais pas le lâcher avant de l'avoir.
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Jessie avait une qualité qu'on ne pouvait nier, même quand on ne pouvait pas la saquer. En effet, elle maîtrisait l'art et la manière du compliment. En fait, elle réussissait l'exploit d'insulter les gens mais de les complimenter en même temps. Intrigant, vraiment. Du coup, Cody ne savait pas trop s'il devait bien le prendre ou pas. D'un côté, elle disait qu'il était bien gaulé et de l'autre, sapé comme un gland. « J'vais juste retenir la partie où tu dis que je suis mieux à poil. » notifia-t-il en haussant les épaules. Au fond, il ne voulait qu'une chose ; qu'ils soient peace and looove. Mais le problème avec Jessie, c'est que Cody ne savait pas sur quel pied danser. Elle lui en faisait baver mais la seconde d'après, elle se révélait assez attachante. Il comprenait très bien comment il avait pu tomber sous son charme, l'autre soir. Mais seulement l'autre soir. Aujourd'hui, elle se montrait trop détestable pour son petit cœur de guimauve. « Screugneugneu. » lâcha-t-il comme un gamin quand elle prétexta que c'était sa parole contre la sienne, et qu'on croirait plus un membre du staff qu'un élève. Putain. Ni une ni deux, il versa le contenu de son antiseptique sur son crâne. Bam. Une bonne douche d'alcool à 90 pour la vieille. Il n'avait pas prévu qu'en retour, Cody junior se prendrait un coup. Note à lui-même ; le port de la coquille est obligatoire en présence de la vieille Olsson. Il pressa ses mains contre son entrejambe, le corps tordu en deux. « Putaaaaain j'voulais encore un enfant. » s'exclama-t-il dans un cri de désespoir. Reprends-toi, repreeeends-toi, t'es un homme. Il se redressa, tentant d'oublier ses douleurs testiculaires. Les pauvres. Elles n'avaient rien demandé à personne. « Tu rigoles, si j'embrasse ton crâne ça serait comme si je prenais une cuite. » Et il n'était pas sûr d'apprécier cet alcool.
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Je rigolais lorsque Cody m'a sortit cette magnifique phrase digne d'un enfant de deux ans. Au fond je m'amusais à l'emmerder, mais je dois avouer qu'en réalité je l'appréciais bien. Il était drôle, un peu con, mais drôle. Sans quoi je ne m'amuserais pas à l'embêter autant, je l'aurais ignoré depuis belle lurette. Mais autant dire que ce type n'a pas inventé l'eau chaude pour me vider le flacon de cette façon sur ma plaie, résultat des courses ? Un bon strike dans ses deux quilles, un coup qui ne semblait pas lui faire que du bien. Ça t'apprendra à jouer au plus con avec moi. T'es vraiment pas bien dans ta tête pour me vider le flacon comme ça ? Ce n'est qu'un retour de bâton, estime toi heureux, la prochaine fois je mets les dents. Disais-je légèrement énervé, ok je suis peut-être pas la nana la plus sympa, je le fais chanter mais jusqu'à preuve du contraire je ne m'en suis jamais pris 'physiquement' à lui avant ce lattage de bourse en bonne et due forme. Bref qu'importe, je me calmais petit à petit attendant avec impatience mon baiser magique que ce cher Cody tenta une nouvelle fois d'esquiver. Il croit vraiment s'en sortir si facilement ? Je me relevais doucement de ma chaise avec un léger vertige mais rapidement ça allait mieux. Je m'avançais vers lui, collant mon corps au sien, affichant un petit sourire malicieux sur le coin des lèvres tout en bombant ma poitrine. Je suis gentille, alors je veux bien négocier mon front contre mes lèvres. Après toutes ces épreuves, je mérite bien ça. Ouais ce trou du cul m'a fait tomber contre le goudron et m'a brûlé le crâne, je mérite bien mon baiser de Prince Charmant, même s'il n'avait rien du prince charmant et que je n'avais rien de Blanche-Neige. Mais cette fois-ci essaie de faire les choses bien, si j'apprécie peut-être .. Je dis bien peut-être, je pourrais arrêter de te mener la vie dure. Disais-je en restant contre lui, mon visage à seulement quelques centimètres du sien. Allait-il m'embrasser ? Non je pense pas, il n'aura pas les couilles pour le faire.
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Cody avait toujours cru que la violence conjugale de la femme passait par des coups de rouleau à pâtisserie dans le dos. Aujourd'hui, il comprenait que son entrejambe pouvait également servir de punching-ball et bizarrement, il n'aimait pas trop cette utilité. Se parant avec ses bras pour défendre ses armoiries familiales, il soupira ; « Tu ne t'approcheras pas de mes gousses d'ail, Dracula. » Sinon … Sinon il ne savait pas ce qu'il ferait mais il le ferait. Puis, Jessie se leva, s'approcha de lui, s'approcha beaucoup trop de lui. Ses yeux s'écarquillèrent, que foutait-elle ? Qu'elle s'étouffe avec ses loches, Bleeker ne céderait pas à ses caprices. Le front contre ses lèvres ? C'est clair qu'il préférait le front. Il allait rouler une galoche à son front, dans le sens des aiguilles d'une montre, dans le sens inverse, de haut en bas, de bas en haut … Il s'en foutait mais tout, tout, tout … Sauf ses lèvres. Pourtant, il revint sur ses positions. Il avait l'espoir candide qu'elle lui ficherait la paix une bonne fois pour toute s'il s'osait à lui prodiguer ce baiser, ce dernier baiser. Est-ce qu'elle tiendrait vraiment parole ? Rien n'était moins sûr. Jusqu'à preuve du contraire, il ne pouvait pas lui faire confiance. Elle en demanderait encore plus, toujours plus et ce baiser serait peut-être le point de non-retour.  « Tu vois, c'est le 'peut-être' qui m'emmerde. » répondit-il avec provocation, soutenant son regard. Même si c'était dur. Les yeux revolver, c'était de famille. Il pourrait l'embrasser, seulement s'il avait la confirmation que son calvaire prendrait fin.
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Le chantage n'est pas la seule arme que j'ai, donc ça ne me dérangeait en aucun cas d'abandonner cette carotte que j'avais en ma possession pour faire de lui ce que je veux. De toute façon je trouverais toujours un moyen de le torturer d'une manière que ce soit. Le petit Cody Bleeker n'a pas fini d'entendre parler de la jeune et magnifique femme de ménage de l'université. D'autant plus que je voyais bien son doute dans son regard, il voulait le faire, il allait craquer, cependant monsieur avait besoin d'une confirmation, si c'était la seule chose qu'il voulait pour être un tant soit peu motivé, autant lui donner. Si tu me roules la pelle de ma vie, je te jure que cette histoire entre toi et moi .. Restera simplement entre toi et moi. Lui répondais-je avec autant de provocation que lui. Je tiendrais parole, de toute façon je pense que dans tous les cas de figure, jamais je n'aurais cafté auprès de ma frangine, mais ça, juste moi le sait. Et que ce soit clair, je ne veux pas d'un baiser de gamin de maternelle, j'en veux un vrai, magique comme jamais tu n'en a fait dans ta vie. Sauf si évidemment tu as peur de ne pas être à la hauteur. Lui disais-je en restant près de lui avec un sourire aguicheur sur les lèvres. Allait-il m'embrasser ? Je sais pas, mais ce serait stupide de sa part de refuser, je sais qu'une partie de lui en meurt d'envie. Et franchement qu'a t-il à perdre en m'embrassant ? Quel homme ne voudrait pas de prendre mes lèvres sans rien attendre en retour ? Puis c'est pas la première fois qu'il m'embrassera, enfin si, ce sera la première fois sans un gramme d'alcool dans le sang.
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